Ayant quelques idées en tête, j’avais demandé à Marilyne et François s’ils
acceptaient de faire une séance le samedi. Accord donné et me voilà chez
eux. Rituel immuable : Présentation des sexes des deux soumis pour que je
vérifie le bon rasage puis chacun va s’asseoir sur le gode qui lui est
réservé et attend.
» Aujourd’hui va être un grand jour pour soubrette puisque nous allons
acheter un nouveau gode dans un sex-shop. C’est soubrette elle-même qui fera
la démarche auprès du vendeur. Toi, valet, tu ne viens pas avec nous.
Soubrette te raconteras ses aventures. Ainsi, tu vas avoir du temps pour
imaginer ce qui peut lui arriver dans un tel commerce. Soubrette va
t’attacher et tu vas être bien sage. »
Je donnais à Marilyne de la corde pour qu’elle attache François et lui
demandait de le caresser pour que son érection soit parfaite. L’interdiction
de tout rapport sexuel pendant la semaine facilita le travail et en peu de
temps, le sexe de François était tendu vers le ciel.
» Beau travail, soubrette. Maintenant, tu prends la ficelle de cuisine avec
le nœud de pendu et tu le fixes à la base du gland de ton cocu de mari. Tu
passeras ensuite la ficelle sur le dossier de la chaise afin qu’elle pende
de l’autre coté et tu attaches la canette de bière vide au bout »
Pendant que Marilyne s’activait, je partis dans la cuisine et revins avec un
pichet d’eau. François compris tout de suite ou je voulais en venir et sa
respiration s’accéléra.
» Tu as tout à fait compris, pédé. Je vais remplir la canette afin que celle
ci tire sur le bout de ta bite.quand nous reviendrons, tu auras peut être
pris quelques centimètres »
Sans un mot de plus, je versais l’eau et le sexe de François se tendit. Je
contemplai mon œuvre et demandait à Marilyne de se préparer pour partir.
» Je veux que tu mettes ta jupe courte et ta veste sans rien dessous. Pas de
culotte non plus bien sûr mais par contre, tu enlèveras ton collier. Avant
de partir, tu suceras un peu le gland de valet »
Nous quittions la maison, laissant François à ses souffrances. Une fois
passé la sortie de la ville je remontais la jupe de Marilyne pour câliner
son sexe qui déjà, s’humidifiait. Notre lieu de festivité se trouvait à une
soixantaine de kilomètres. De cette façon c’était bien le diable si
quelqu’un nous voyait. En route, je m’arrêtai sur un parking pour qu’elle me
fasse une fellation. Elle le faisait avec ardeur en entendant les voitures
passer à côté et excitée par cette pseudo exhibition.
» Vois-tu, soubrette, depuis que tu es marié avec ton petit pédé, tu n’as
plus touché une autre bite que la sienne et maintenant la mienne. Et bien je
pense qu’aujourd’hui, cela va changer et que tu vas en voir quelques-unes
autres. Si mon projet arrive à son terme, tu auras, ce soir, avalé plusieurs
mètres de bite. Allez, cesse de me sucer et garde tes forces pour tout à
l’heure. Tu vas en avoir besoin »
Arrivé dans la ville de destination, je me garais à quelques centaines de
mètre d’un sex-shop que j’avais repéré lors d’une précédente venue. Je
laissais Marilyne marcher plusieurs mètres devant moi. Elle était très sexy
avec sa jupe, sa veste courte et ses jambes gainées de noir supportées par
des chaussures à talons hauts. Les regards des hommes que nous avons croisés
à ce moment étaient d’ailleurs sans équivoques. Je rattrapais Marilyne avant
la boutique et je l’entraînais à l’intérieur. Il y avait cinq à six
personnes dans la boutique, des hommes, et tous les regards se tournèrent
vers elle. Nous nous dirigeâmes vers la vitrine où était exposés les
godemichés. Marilyne découvrait avec effarement les modèles tandis que je la
prenais par la taille et de temps en temps, égarait ma main vers ses fesses.
Après une dizaine de minutes, le vendeur vint nous rejoindre.
» Puis-je vous vous être d’un quelconque conseil ? »
Je prenais la parole en tournant Marilyne vers le vendeur. J’avais enlevé
deux boutons de la veste et la gorge de sa poitrine apparaissait nettement.
» Oui, nous somme venu pour acheter un gode. Depuis que ma copine et moi
faisons l’amour à trois, elle a l’impression qu’il lui manque quelque chose
lorsque nous sommes tous les deux. En fait, avec un truc de ce genre, nous
pourrions combler » un trou » »
» Pas de problème. Je crois que j’ai tout ce qu’il vous faut.reste
maintenant a savoir quelle doit en être l’usage……Vous savez…… Par rapport au
diamètre…… »
» Ma copine est très polyvalente……En fait, elle s’adapte selon les
circonstances. Je souhaiterais simplement trouver un modèle le plus
ressemblant à un vrai sexe »
» J’ai alors ce qu’il vous faut mais c’est dans la pièce du fond, après les
cassettes gay »
Marilyne étais rouge et baissai la tête, n’osant affronter le regard des
clients et qui ne se gênait pas pour la jauger de haut en bas.
» Voilà, c’est ici. En fait, ce sont des moulages d’acteur porno. Toutes les
tailles et tout les diamètres. Si madame ne trouve pas son bonheur…… »
Je prenais les godes pour les juger, comme un parfait connaisseur et
demandait à Marilyne :
» Prends-les dans ta main et caresse les pour voir si tu retrouves les mêmes
sensations que lorsque nous sommes avec les autres »
Marilyne, honteuse, prenait mécaniquement les objets que je lui tendais et
passai la main dessus, simulant une masturbation sous l’œil du vendeur que
la situation excitait visiblement. Il ne me proposait plus les godes mais
les remettait directement a Marilyne. Pensant être en présence d’un couple
libertin, il proposa alors :
» J’en ai bien un qui fait vrai et d’une taille correcte mais je ne sais pas
si madame en voudrait »
Joignant le geste a la parole, il se caressait le sexe par dessus son
pantalon, faisant découvrir une bosse on ne peut plus évidente.
» Vous savez, ma copine a des goûts très simples et pour elle, rien ne vaut
du réel. Maintenant, il faut voir »
» Attendez quelques instants, le temps que je prévienne mon collègue que je
m’absente. Passez derrière cette porte, nous serons tranquilles »
Je poussai Marilyne dans la pièce qui servait d’entrepôt et la regardai. Ses
yeux étaient hagards et sa respiration haletante. Elle savait qu’il allait
se passer quelque chose de nouveau pour elle et étais partagé entre peur et
excitation. Elle savait également que dans ces moments j’étais capable de
lui demander des choses insensées. D’une caresse sur son sexe, je constatai
que celui ci était inondé, prouvant par la que la situation lui faisait de
l’effet. Le vendeur revint bientôt, ferma la porte et déboutonna son
pantalon, sortant un sexe de bonne taille et a demi en érection.
» Ceci fera t-il l’affaire ? »
Je répondis
» Vous savez, c’est un gode que nous sommes venus chercher. Néanmoins, ma
copine se prêtera de bonne grâce à quelques caresses si vous le souhaitez,
n’est ce pas Marilyne ? »
Elle avait compris ce que j’attendais d’elle. Elle s’avança alors et pris le
sexe qui se redressait sous ses caresses puis, fermant les yeux, elle entama
une lente mais efficace masturbation. Le vendeur n’était pas en reste et
passai sa main sous la jupe, allant des fesses vers le sexe.
» C’est une sacrée salope votre copine. Habillé si court et sans culotte, le
minou rasé. On peut dire que vous avez de la chance. Et en plus, elle branle
bien. Si seulement il en venait plus souvent ici »
» Oui, ses caresses sont très efficaces. Mais elle taille aussi
d’excellentes pipes, n’est ce pas, Marilyne ? Montre lui tes talents de
suceuse »
Marilyne ne réfléchissait plus. Elle obéissait tel un robot. Elle
s’agenouilla devant l’homme, pris le sexe dans sa bouche et se mit à sucer
avec application. Mon sexe était dur et je me régalais de ce spectacle.
J’avais fait franchir à Marilyne une nouvelle étape dans sa soumission.
L’homme gémissait et je sentais que sa jouissance était proche. Marilyne
devait, elle aussi, le sentir car elle accélérai le mouvement.
» Soyez sympa de vous retirer pour jouir »
A peine avais-je dit cela qu’il éjacula en de long jet, maculant le visage
de ma soumise.
» Et ben ça alors, pour une salope, c’est une salope. Elle sait y faire avec
les bites. Si elle baise aussi bien, ce doit être un super coup »
Il essuya le visage de Marilyne puis se rhabilla. Je prenais alors la
parole.
» J’ai vu que vous aviez une salle de projection, nous pourrions y aller
faire un tour ? »
» Je vous l’offre bien volontiers. Ce n’est pas tous les jours que l’on
rencontre des clients comme vous. Prenez la porte du milieu et descendez les
quelques marches. Il doit y avoir une dizaine de personnes »
La salle était petite et il y avait un mélange d’odeurs de cigarette et de
sueur. Bref, tout d’une pièce mal aérée. Le temps de s’habituer à
l’obscurité, nous nous installions au premier rang et immédiatement,
j’écartais les cuisses de Marilyne et me mettais à la caresser. Son sexe
était trempé de sa précédente épreuve. Et elle ne pouvait réprimer les
mouvements de son bassin, chaque fois que je titillais son clitoris. Je
réalisai alors que je ne lui avais plus adressé la parole depuis que nous
avions quitté la voiture. Elle était totalement sous mon emprise. Le film
porno était banal. Un homme, ayant repéré notre manège passa sur notre rang
à côté de Marilyne. Pendant que je continuais mes caresses, il avait sorti
son sexe et se masturbait. Je le faisais remarquer à ma compagne et mon
ordre fusa.
» Branle le ! »
Elle tendit alors sa main vers ce sexe inconnu et se mit au travail. De son
côté, l’homme passait sa main sur les cuisses de Marilyne et atteignis
bientôt son sexe. Des mains attrapèrent ses seins. C’était le voisin de
derrière qui avait vu la situation et comptait bien en profiter. Je me
décalai pour mieux voir la situation et surtout pour que Marilyne sente bien
que je la laissai seule dans les mains de tous ces hommes. J’annonçais alors
aux deux quidams.
» C’est une salope qui aime la bite. Elle peut vous branler et si vous avez
des capotes, elle va vous sucer. Ne vous gênez pas, elle adore cela »
La scène dura bien une heure. Pendant tout ce temps, Marilyne
fut caressée, masturba les hommes qui profitèrent de cette occasion et
quelques-uns uns, équipés de préservatif, eurent le plaisir de la bouche. Le
film n’intéressait plus grand monde et ils n’avaient tous qu’une envie :
Reprendre de la raideur après avoir joui pour revenir à l’assaut. En sortant
de la salle, Marilyne avait les joues en feu et l’état de sa chevelure
prouvait l’ardeur de ses aventures. Nous passions par le vendeur afin de
prendre le godes que nous avions choisi.
» Je vous l’offre en remerciement de ce que vous m’avez offert. Et vous
pouvez revenir quand vous voulez. Vous serez les bienvenues »
Sur le chemin du retour, je m’arrêtais de nouveau sur le parking et
demandais à Marilyne de me faire une fellation. Par contre, je lui intimai
l’ordre de ne pas avaler mon sperme et de le garder dans sa bouche jusqu’à
ce que je lui dise. Elle avala tout devant la maison.
» Tu as été superbe. Je ne pensai pas que tu irais au bout de mes désirs.
François sera content de ta prestation « .
» Tu sais, j’ai vécu une expérience fantastique grâce à toi et je suis prête
a recommencer et même a aller plus loin mais avec toi »
En rentrant dans la maison, nous découvrions François, toujours attaché et
le gland tout bleu qui regardait son épouse, le regard inquisiteur.
» Soubrette a passé une journée d’enfer. Elle va te raconter ce qu’elle a
vécu pendant qu’elle te sucera. Tu jouiras dans cette soucoupe et tu
avaleras ton sperme, comme d’habitude »
Marilyne racontas tout à son mari, n’omettant aucun détail et François
éjacula comme un adolescent en mal de sexe.
Une journée de plus de plus de soumission et la suite allait continuer.
La prochaine fois, Je vous conterai, grâce au carnet de mes soumis,
La suite de mes aventures, et surtout, celles de valet et soumise.