Claudine, la secrétaire de mon père par Boris Vasslan

Claudine, la secrétaire de mon père par Boris Vasslan

Cette histoire est une commande de « Pit », un de nos lecteurs qui m’a demandé de lui écrire une histoire sur la base de trois lignes de scénario. Cela m’a formidablement amusé de l’écrire, mais il est vrai qu’on est ici un peu loin de mes préoccupations habituelles

Voilà, je suis Pit, je travaille dans le bâtiment, je suis grand (1 m 80 pour 80 kg) j’ai les cheveux bruns et suis modérément musclé.

Ce jour-là je revenais d’un chantier, je gare mon camion dans la cour, il est près de 18 heures 30, j’ai été retardé, et à cette heure il n’y a normalement plus personne dans les bureaux. J’étais donc très étonné de constater que la lumière du secrétariat était allumée. Du coup j’eu envie d’aller y jeter un coup d’œil, Claudine est là ! Mon dieu qu’elle est belle !

Depuis quelques temps je fantasme pas mal sur la secrétaire de mon père, elle se prénomme Claudine, c’est une très jolie femme souvent en tailleur, les cheveux noirs, assez grande (1,75 m pour 60 kg) la poitrine est plutôt moyenne (du 90 B si je ne me trompe pas) mais le fessier est assez large (j’adore de toute façon)

– Bonjour Claudine !

J’ai soudain conscience que nous sommes seuls tous les deux dans la boite, oh, je ne me fais aucune illusion, mais si elle acceptait de me faire juste un peu la conversation cela suffirait à mon bonheur.

– Bonsoir Pitt ! Vous aussi vous faites des heures sup !
– Oui un truc à finir, et on a eu des petits problèmes.
– Il y a des jours comme, ça, moi c’est pareil, toute ma saisie comptable de la journée s’est envolée, il a fallu que je me retape tout et puis après c’est le disque qui….

Elle me saoule, je n’entends rien de ce qu’elle me raconte, je préfère m’attarder sur son visage, sur ses yeux, sur sa bouche ! Tout en me racontant ses malheurs je la vois fermer son PC… Je comprends qu’elle se prépare à partir !

– Bon c’est pas tout ça, il faut se rentrer !
– Je vais y aller aussi ! Répondis-je un peu contrarié que l’on se sépare déjà.

Et puis soudain, le miracle !

– Au fait Pitt, vous êtes pressé ?

Je ne sais pas si vous vous imaginez ce que ça fait, une femme qui vous demande si vous être pressé, déjà mille idées viennent trotter dans ma pauvre petite tête, que va-t-elle me proposer, un pot au bistrot du coin, mieux peut-être, j’en suis déjà tout chose.

– Non, non j’ai tout mon temps !
– Parce que voilà, je vous demanderais bien un service, j’ai acheté un tableau pour ma chambre, et j’ai mal pris les mesures, il faudrait que je déplace un peu mon armoire, oh, juste cinquante centimètres mais je ne peux pas faire ça toute seule !

Oups !

Me voici partagé, le petit côté qui m’embête c’est que sa proposition se résume à une demande de service… mais d’un autre côté, j’ai oublié d’être idiot, si elle me demande ça à moi, c’est qu’elle n’a pas de petit copain d’attitré, et puis surtout je vais aller chez elle… et qui sait ce qui pourrait arriver.

Affaire conclue, et nous y allons dans nos deux voitures respectives, elle n’habite pas du tout dans mon coin, mais qu’importe. Des tas de questions se précipitent dans ma tête tandis que je suis au volant. A-t-elle été la maîtresse de mon père ? Et en me proposant de venir l’aider à déplacer ce meuble a-t-elle ou non des arrières pensés ? Parce que si je n’étais pas rentré si tard du chantier, qui c’est qui lui aurais déplacé son meuble ? Bref ! On entre dans une petite résidence, et il y a de la place pour nous garer.

On pénètre dans son hall, elle fait comme tout un chacun, et ouvre sa boite aux lettres, d’où elle extrait un petit paquet, elle a l’air contente !

– Une livraison des Trois Cuisses ! Me dit-elle. Pas vraiment pressés ces mecs-là !

Je rigole car j’ai bien cru entendre les trois  » Cuisses « , mais je ne relève pas, parfois on ne sait pas trop quoi dire …
Elle pose le paquet négligemment sur la table basse du salon, puis me fait très rapidement le tour du propriétaire. Du linge sèche sur le balcon, ce ne sont que des vêtements féminins, voici qui me conforte dans ma certitude qu’elle est bien célibataire. Mais arrivé à la chambre, je suis surpris d’apercevoir que le lit fait à la hâte, comporte deux oreillers ! Voici qui est bien mystérieux… Je suppose donc que son copain doit venir de temps en temps sans habiter ici… Mais pourquoi ne lui a-t-elle pas demandé à lui de le pousser ce meuble, voilà que je deviens jaloux à présent ! Ou alors, il a un petit souci, il ne peut peut-être pas faire d’efforts physiques, aller savoir ? Mais alors au lit ça doit poser des problèmes…

– Bon, voilà, il faudrait pousser cette armoire, là !

Et là voilà qui retire sa veste de tailleur et ses chaussures, comme si elle s’apprêtait à m’aider. C’est dommage pour les chaussures, je trouve que les escarpins ça fait des jolies jambes. Allons-y, je pousse l’armoire, assez difficilement. Qu’est-ce qu’elle collectionne là-dedans pour que ce soit aussi lourd ?

– Super ! Du coup, on va peut-être accrocher le tableau, je vais chercher un marteau et la boite à clou !

Me voici seul un court instant, je prends le tableau, le retourne, c’est un nu, superbe, un joli jeu de lumière sur un modèle magnifique avec des formes là où il en faut… Alors, récapitulons une nana, qui vit avec un mec qui n’est pas foutu de déplacer une armoire et qui me demande d’accrocher un tableau de nu féminin dans sa chambre ! J’ai du mal à suivre, vraiment !

– Il est pas mal, hein ? Comment vous le trouvez ?
– Très joli !
– Forcément, vous les mecs, à chaque fois que vous voyez un corps de femme, vous vous imaginez en train de vous la faire, ce n’est pas un peu vrai ?

Elle m’embarrasse avec ses réflexions, si elle trouve que c’est un truc de macho pourquoi l’accroche-t-elle dans sa chambre ? Ah je crois avoir compris, ce doit être pour faire plaisir à son jules ! Mais qu’est-ce que je suis venu foutre ici moi ?

– Vous savez ! Répondis-je. Je suis un homme, alors quand je vois une belle femme, en vrai ou pas, ça me fait une réaction, mais ce n’est pas pour ça que je ne respecte pas les femmes.
– Vous allez pouvoir le mettre là-haut, le clou ? Ou vous avez besoin d’une chaise ?
– Avec une chaise ce sera plus facile, oui.

Quelque part, ça me chagrine qu’elle n’ait pas continué cette discussion sur le sexe… La voici qui revient avec un tabouret, je monte dessus, je plante son clou, je fixe le machin, je redescends, ça rend bien !

– Superbe ! Dit-elle.

Et puis ça m’est venu comme ça d’une traite :

– Vous savez, Mademoiselle Claudine, ce que je trouve dommage, c’est qu’on ne puisse jamais parler de sexe entre homme et femme, je veux dire en parler de façon décontractée, comme on parlerait de restaurant ou de cinéma…

Je n’en reviens pas de ma réplique, du coup je suis un peu confus et je prépare déjà la petite phrase de prélude à mon départ…

– Mais Pit, rien ne nous en empêche ! Voyez-vous il y a deux façons de parler sexe, la première consiste à ne pas en parler et à tout suggérer. C’est le cas par exemple du mec qui m’emmène au restaurant, il me propose un dernier verre, il me fait un cérémonial alors qu’il a envie de me baiser depuis le départ, cette façon-là je n’aime pas trop… Par contre si vous me parlez de vos goûts, je vous peux vous parler des miens, c’est bien plus cool…

Ciel ! Ais-je bien entendu ! C’est de la provocation ou quoi ?

– Vous voulez que je vous parle de mes goûts en matière de sexe ?
– C’est juste une proposition, honnête en plus, à vous de voir, et tiens je vais vous en faire deux autres de propositions, on va se boire un apéritif et on va arrêter de se vouvoyer, d’accord !

Elle me fait asseoir devant la table basse, et s’en va chercher l’apéro. Machinalement je regarde le paquet de la poste qui est resté là, sur la table. Je suis surpris de ne pas retrouver le sigle rouge du célèbre catalogue de vente par correspondance, je regarde mieux, c’est écrit assez petit mais des lettres capitales se détachent néanmoins, et il y a bien indiqué  » les Trois Cuisses  » ! Voilà qui est bizarre ! Claudine me surprend avec le paquet dans les mains.

– Alors, on est intrigué ! Je vais satisfaire ta curiosité, on va l’ouvrir mais avant on va trinquer, je n’ai plus que du Martini, ça ira !

Bien sûr que ça va ! Tchin, tchin et la voici qui défait son paquet, il y une boite rectangulaire et dedans un gode assez réaliste ! Je reste bouche bée !

– Ah ! Je voyais ça un peu plus grand, mais il est pas mal, qu’est-ce que vous en dites ? Pardon, qu’est-ce que tu en dis ?

Comment voulez-vous que je réponde ? Je bégaie, je balbutie, je bafouille.

– Pit, je vais te faire un aveu, je te trouve beaucoup de charme, mais je ne suis pas du genre à tomber comme ça dans les bras d’un homme. Veux-tu-vous jouer avec moi ? Tu ne le regretteras pas !
– Jouer à quel jeu ?
– Au jeu de  » c’est moi qui décide  »
– Et ça consiste en quoi !
– Ça veut dire que c’est moi qui décide de tout et que tu acceptes ce que je décide !
– On peut toujours essayer ! Répondis-je piqué par la curiosité.
– Pit, parle-moi de ce que tu aimes dans le sexe.

Elle m’embête, je ne vais pas tout lui raconter non plus, et puis ce n’est qu’un jeu, je peux très bien ne lui parler que ce que j’ai envie de lui dire.

– Je suis hétéro, j’aime bien les films x à la télé, j’aime bien quand il y a deux filles ensemble.
– C’est tout ? répliqua-t-elle en posant son regard sur le gode

La perche était un peu grosse mais je la saisis.

– J’aime bien aussi quand une femme joue avec un gode !
– Tu aimerais me voir jouer, Pit ?
– Je ne vais pas dire non !

Mais jusqu’à ce moment je ne pensais pas qu’elle parlait sérieusement

– Alors regarde ! Me dit-elle alors

Je n’en reviens pas, ce doit être mon jour de chance, cette secrétaire sur qui j’ai fantasmé des jours et des jours va se goder devant moi ! Mais qu’on me pince, ce n’est pas possible, je dois être en plein rêve !

Claudine se lève, retire sa jupe et se rassoit. Elle est devant moi, comme ça, ses jolies jambes gainées de bas autofixants, mais ce que je regarde surtout fasciné, c’est son string, un petit string de rien du tout, couleur prune, aucun poil n’en dépasse. Je suppose que tout est rasé en dessous, déjà l’érection me gagne !

– Toujours d’accord, pour jouer avec moi, Pit, c’est un jeu spécial, mais puisque tu m’as dit que tu aimais le sexe et que tu respectais les femmes, ça devrait te plaire. Surtout, tu ne bouges pas de ta place, tu regardes et c’est tout, d’accord Pit !
– D’a… d’a… d’accord !

Des gouttelettes de sueur viennent perler mon front !

– Tu préfères que je fasse ça en écartant mon string ou tu préfères que je l’enlève ?
– Je ne sais pas !

Et puis soudain je me ravise, si seulement elle voulait bien…

– Euh ! Enlève-le !
– T’as raison, c’est plus pratique !

Et sans autre cérémonie, la voici qui se soulève les fesses et fait glisser le string jusqu’à ses pieds. J’ose lui réclamer :

– Ça me ferait plaisir de le sentir !
– Petit vicieux !
– S’il te plait !
– Alors juste un coup ! Répondit-elle en me le fourrant sous le nez. Je te le redonnerais si tu es sage !

Odeur délicieuse ! Je bande comme ce n’est pas possible. Jusqu’où m’entraînera-t-elle dans ce délicieux supplice ?

Claudine se saisit du gode, se contente de le regarder en se passant la langue sur les lèvres, puis mime quelques mouvements de masturbation. Ma bouche est toute sèche, je ne peux m’empêcher de passer mes doigts sur le renflement de ma braguette. Elle porte ensuite le gode devant sa bouche, et en embrasse le gland avant de le lécher de brefs coups de langues, puis elle se l’introduit dans la bouche, lui fait une presque vraie fellation.

– Je vais craquer, Claudine !
– Je sais bien, mais pour l’instant essaie de résister, plus tu te retiendras plus ce sera bon !

Pfff ! Facile à dire ! Elle pose un moment le gode sur la table, et s’écarte les lèvres de sa petite chatte ! Que c’est beau ! C’est tout lisse, sans l’ombre d’un poil, c’est tout rose… Une envie folle de sucer tout ça, mais ça viendra peut-être…

– Elle te plait, ma petite chatte ?
– C’est une merveille !
– N’exagérons rien, mais c’est vrai qu’on la trouve mignonne !

Elle reprend le gode, le reporte rapidement sa bouche afin de l’humecter d’un peu de salive, puis se le pénètre dans la chatte, elle l’enfonce encore, puis commence des allers et retour, le spectacle est fabuleux, elle ne me regarde plus. Le gode entame des va-et-vient de plus en plus frénétiques, de la mouille coule de son sexe venant inonder ses cuisses… Encore une fois elle accélère le mouvement, puis s’arrête un moment les yeux hagards.

– Tu peux te masturber, maintenant, mais contrôle-toi, je ne veux pas que tu jouisses !

En d’autres circonstances jamais je n’aurais osé monter ma queue à une personne avec laquelle je ne fais pas l’amour, mais à ce point d’excitation je ne réfléchis même plus, je sors mon sexe et me le masturbe en essayant de me contrôler au maximum

Claudine déboutonne à toute vitesse son chemisier qu’elle envoie valser sur le canapé, elle ne prend même pas la peine d’enlever vraiment son soutien-gorge, elle se contente d’en ôter les bretelles et de faire passer les bonnets par-dessus ses seins. Elle s’attrape un téton de sa main droite et se le pince, se le tortille tandis que sa main gauche conduit les pénétrations effrénées du gode dans son vagin. Elle mouille tellement que l’action finit par produire une sorte de clapotis complètement insolite. Sa respiration devient saccadée, elle pousse des petits cris, entrecoupé de  » c’est bon, c’est bon  » ! Je n’en doute pas un seul instant mais j’ai tendance à penser que ce serait encore meilleur pour elle si je me faisais plus actif. Ce n’est vraiment pas l’envie qui m’en manque, mais je me force à continuer à jouer ce jeu que j’ai choisi d’accepter. Et donc je reste  » sage  »

Elle est de plus en plus bruyante, de plus en plus agitée, un moment elle inverse ses mains, puis reprend la position initiale, elle crie de plus en plus, et finit par jouir dans un hurlement inouï, elle s’affale pantelante ! Soupire, sourie !

– Et ben, dis donc, quel pied !
– Claudine je ne peux pas rester comme ça !
– Ben non, viens t’approcher de moi, on va goûter à ton sucre d’orge !

Alors, là je me précipite, elle caresse ma verge quelques instants, la masturbe un petit peu, puis exactement comme elle l’a fait pour le gode, m’embrasse le gland avant de le chatouiller de sa langue humide, puis tout d’un coup elle engouffre tout, et commence une série d’allers et retours, je pense que je ne vais pas durer longtemps à ce régime-là, c’est dommage je lui aurais bien fait l’amour, mais bon, je ne vais pas être trop exigeant non plus ! Ce qui m’arrive est déjà inespéré !

La voici qui me défait ma ceinture, puis qui me baisse légèrement mon pantalon et mon caleçon. Elle suce trop bien, s’arrêtant de temps en temps pour ne pas que je jouisse trop tôt et s’attardant sur mes couilles qu’elle m’aspire de ses lèvres !

– Dommage que ce soit si poilu ! On devrait raser tout ça ! Tiens ça me donne une idée, tu voudrais que je te rase ?
– Je ne sais pas, je n’ai pas trop envie !
– Si tu ne veux pas que je te rase, je ne te fais pas jouir !

Je n’ai jamais su si à cet instant elle bluffait, mais me souvenant que nous étions toujours en train de jouer, je donnais mon accord en espérant fermement qu’elle oublierait cette proposition incongrue dans quelques instants. Elle reprend sa fellation, elle est vraiment douée, on ne m’a jamais sucé comme ça, sa langue s’agite comme une véritable anguille tandis que ses lèvres maintiennent la pression sur ma verge juste ce qu’il faut, en insistant comme il se doit au passage du prépuce. Ça vient, je le lui dis, elle ne veut peut-être pas de mon sperme, mais elle continue et je décharge dans son palais à grosses giclées, elle en avale un peu et recrache le reste.

– Ça va ?
– Oh, oui ! Ça va, j’ai l’impression de rêver ! Répondis-je.
– On rebois un petit coup ?
– Volontiers !
– Mais avant tu vas te mettre à poil !

Chic, elle n’est pas rassasiée, ça veut dire que dès que j’aurais repris mes forces, on va peut-être pouvoir s’envoyer en l’air. Je vous dis c’est mon jour de chance ! Je me déshabille donc, j’espère ne pas la recevoir !

– Mwais ! Dit-elle ! Déjà un homme à poil ce n’est pas terrible, mais avec tous ces poils…

Déception !

– Bon on trinque ! Propose-t-elle
– Tchin !
– Tu sais, j’ai un autre gode, plus petit, celui-là c’est pour l’anus ! Tu veux le voir ?

Mais ce n’est pas vrai, elle est déchaînée, je lui dis que je veux bien voir, et la voilà qui se dirige vers la chambre et pour la première fois je peux vraiment contempler son magnifique fessier. Elle revient et me tend l’objet !

– Il est joli, hein je l’ai acheté en Hollande ! Tiens, regarde !

Elle me le fout dans les mains, me voilà bien embarrassé !

– Suce-le si tu veux !
– Non merci !
– Pourquoi ? Ça ne va pas te tuer !
– Ça ne me dit rien.
– Je te rappelle que nous sommes toujours en train de jouer, je ne t’ai jamais dit que le jeu était terminé !
– Tu es une sacrée fille, Claudine ! Répondis-je, essayant par-là de détourner la conversation.
– Dis-moi Pit, tu préfères le sucer maintenant, ou après que je me le sois enfoncé dans mon petit trou ?

Par réflexe sans doute, je suçotais quelques instants le bout de ce gode sans que cela ne me procure ni honte ni plaisir…

– Et si je te le mettais dans ton petit cul à toi ? Hein Pit qu’est-ce que tu en dis ?

Je n’ai pas répondu tout de suite, un vieux fantasme… elle a dû s’apercevoir de mon trouble !

– On verra ! Répondis-je simplement, ne fermant ainsi aucune éventualité.
– Tiens, regarde ! Dit-elle, reprenant l’instrument.

Elle se lève alors, s’appuie de sa main droite sur le dossier de sa chaise et de l’autre s’introduit le gode dans le cul. Elle se masturbe ainsi l’anus quelques instants. Cela a pour effet de me faire rebander presque instantanément. Une envie folle de venir lui embrasser les fesses, je me lève pour le faire.

– Stop ! Je t’avais dit de rester à ta place ! Désolé mais j’arrête !

Je le demande si elle bluffe ou pas ! Mais déjà, elle a enlevé le gode, s’amuse de l’état légèrement merdeux dans lequel il ressort et l’introduit dans sa bouche afin de le nettoyer, et tout cela avec un naturel saisissant. Quelle cochonne quand même !

– Bon, alors c’est fini ? Tentais-je !
– Ben, oui ! Mais tu es gentil, je me suis bien amusé, je ne te remercie pas pour le meuble tu as déjà été assez remercié, je crois ! Me dit-elle en souriant.
– Sacrée Claudine !
– Ben, oui ! Sacrée Claudine !

Je vais pour me rhabiller !

– Tout de même, tous ces poils, ce n’est pas terrible !

Je ne réponds pas, je ne sais plus quoi lui dire.

– Tu ne veux vraiment pas que je te les rase ?
– Là tout de suite ?

Je suis trop content, ça veut dire qu’on va pouvoir prolonger ce curieux tête-à-tête…

– Oui ! Tout de suite !

Et nous voici dans la salle de bain, elle me demande de prendre une douche, puis m’enduit le torse de gel de rasage avant de passer le rasoir. Drôle d’impression de voir ma peau devenue glabre apparaître dans le miroir, elle continue par le ventre, les jambes, puis le pubis, les testicules, l’anus.

– Arrête de bander, tu vas me faire bouger, et je vais te couper !
– Ça ne se commande pas, tu as des mains de fée, Claudine !

Elle m’applique ensuite une serviette chaude sur les parties fraîchement dégagées et finit par une lotion très légèrement alcoolisée, ça pique un tout petit peu. Je me regarde, ça fait drôle… Quand je pense qu’au départ j’étais juste venu pour déplacer un meuble, me voici maintenant plus nu que nu ! J’aime l’image que me renvoie le miroir et la situation continue de me faire bander.

– Mets-toi à quatre pattes, j’ai envie de t’enculer avec le gode !
– Non !
– Arrête ! Tu en meurs d’envie !

Je me mets dans la position indiquée tandis que Claudine désinfecte d’abord l’instrument avant de l’enduire de gel. Je sens quelque chose de froid tenter de forcer mon anus !

– Pourquoi le plaisir anal serait-il réservé aux femmes, hein Pit ?

Voilà une question à laquelle je ne sais pas répondre, mais c’est aussi à ce moment que j’entends un bruit de clé dans la serrure !

Horreur !

Des images défilent dans ma tête, son copain qui arrive qui va nous surprendre, ça va être la bagarre, le drame. Vite je me redresse, je vais pour retirer le gode, me rendant compte que toute fuite est de toute façon impossible !

– Pas de panique tu n’as rien à craindre ! Reste comme tu es !
– Ce n’est pas possible, voyons !
– Fais-moi confiance !
– Non, on arrête passe-moi une robe de chambre ! Insistais-je
– Pit, fais-moi plaisir, reste comme tu es, je te répète que tu n’as rien à craindre ! Allez, en position !

J’entends une voix féminine.

– Claudine, c’est moi ! Tu es cachée où ?
– Dans la salle de bain ! Répond cette dernière !

Le flash ! Tout s’explique. Claudine vit donc avec une copine, du coup me voici rassuré et je reprends la position, prêt à exhiber à une inconnue mes fesses rasées, et mon gode dans le cul.

– C’est un collègue ! Me présente Claudine. Il m’a aidé à pousser l’armoire

Elle a eu le tact de ne pas dire  » c’est le fils de mon patron  »

– Et c’est comme ça que tu le remercies ? Rigole la nouvelle venue.
– Original non !
– Et bien bonjour Monsieur, moi c’est Véronique ! Me dit-elle en m’assenant une grande claque sur les fesses.
– Euh, bonjour, enchanté, drôle de situation pour se présenter !

Véronique ne répond pas, je vois son reflet dans le miroir, c’est une blonde très légèrement enrobée, plus de seins que Claudine, le teint pâle, peut-être une vraie blonde, elle a pris le gode à pleines mains et entreprend de me le faire aller et venir dans le rectum. Cette sensation est trop bonne. Un plaisir trouble finit par m’envahir. Véro passe le relais à Claudine afin qu’elle puisse se déshabiller. Imaginez-moi au milieu de la salle de bain à quatre pattes, un gode dans le cul avec une brune et une blonde qui s’occupe de moi, je vous le dis, c’est Noël !

Une fois nue, la blonde reprend le gode et continue de s’occuper de moi, tandis que Claudine en passant derrière elle lui caresse les seins. De temps à autre, leurs visages se rapprochent et elles s’échangent des baisers aussi humides que fougueux. Je n’en peux plus, mon cul est devenu un puits de plaisir, je suis au bout d’un moment assailli par un curieux soubresaut qui me fait jouir de façon intense, la tête me tourne, je suis crevé, ma journée de travail, deux martinis et cette double séance, je suis à moitié dans les vapes. On m’aide à me relever, on m’accompagne au salon, je me retrouve sur un fauteuil, je suis mieux, je ferme les yeux m’abandonnant quelques instants.

– Ça va ?
– Oui, ça va mais j’ai besoin de me reposer cinq minutes !

On me met un linge sur le front, on m’humecte les lèvres, je me laisse faire, finalement j’adore qu’on s’occupe de moi.
J’ai dû dormir juste quelques minutes, j’ai dû rêvé, non je n’ai pas rêvé, sur le canapé, s’ébattent maintenant tête bêche Claudine et Véronique. Je les regarde, elles se caressent, s’embrassent les seins, se font des baisers sur la bouche, il y a infiniment de tendresses entre ces deux femmes, et puis tout d’un coup Claudine change de sens, positionnant son visage entre les cuisses de son amie, les voici en position de 69. Ce n’est pas uniquement la position qui a changé, mais le rythme, elles se déchaînent, s’agitent, leurs corps transpirent faisant jouer des reflets de lumière sous l’halogène du salon. Que c’est beau ! Et les fesses de Claudine, les jolies fesses bien rebondies qui n’arrêtent pas de remuer. Cette fois c’est décidé je vais les embrasser, je me lève pour le faire. Est-ce que ça va mieux ? Est-ce que je tiens debout ? Oui, ça a l’air d’aller !

Je m’approche mais stoppe, Claudine vient de jouir toujours aussi bruyamment que tout à l’heure, elle s’affale sur sa copine mais continue de lui sucer la chatte. Je m’approche pour regarder, elle ne me voit pas, et Véronique prend son pied à son tour. Les voici enlacées, amoureuses. Je réalise que je n’ai rien à espérer de Claudine, elle est prise, même si elle n’est pas exclusive, je ne suis rien d’autre pour elle qu’un jeu, qu’une tocade, mais je ne lui en veux pas, j’ai bien profité de cette soirée et puis il n’y a pas de mal à se faire du bien,

Je m’approche du cul de Claudine et y dépose un chaste baiser, puis vais pour me rhabiller !

– Dis donc coquin !
– Au revoir, Claudine. Merci pour tout !
– Au revoir Pit ! Au fait Véro je ne t’ai pas montré, j’ai reçu le gode que j’avais commandé aux Trois Cuisses !
– Non !
– Si ! Attends ! Ne t’en va pas Pit, on va encore jouer encore un peu…

FIN
Boris Vasslan © 2003
vasslan@hotmail.com

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5 réponses à Claudine, la secrétaire de mon père par Boris Vasslan

  1. Breton dit :

    ça nous laisse un peu sur notre failm mais ce n’est pas si mal

  2. Claire dit :

    Je trouve que sur ce récit là les commentaires de collègues sont un peu injustes. Certes le récit est irréaliste (mais c’est une fiction pas une carte postale souvenir non plus !), mais c’est léger, plaisant, surprenant.

  3. Olive dit :

    Moyen mais la très belle illustration permet de fantasmer un peu

  4. Valentin dit :

    Décidément les récits à deux mains ou les récits sur commande c’est toujours un peu décevant

  5. rochefort dit :

    Peut mieux faire
    Non je devrais dire « a fait tellement mieux »

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