C’était au mois d’août, durant les accablantes chaleurs de la fin de l’été, mon cousin, sa copine, ma blonde et moi nous étions prévus une soirée dans un petit site dans le bois. Enfin, c’est moi et mon cousin qui avions préparé cette sortie, nos compagnes n’étaient pas au courant des détails comme à quoi cela ressemblait, y avait-il l’électricité et tout et tout.
J’arrivai donc avec ma copine à l’endroit voulu, un beau petit chalet sur le bord d’une rivière au fin fond des bois, pas d’électricité, pas d’eau courante, la vie sauvage quoi.
Nous étions autour du feu, il était environ neuf heures, les filles s’étaient plaintes toute l’après-midi et toute la soirée :
» Il y a trop de mouches ! Où est-ce qu’on va pisser ? Qu’est-ce qu’on va prendre pour
s’éclairer ? »
Vous voyez le genre. Si bien que mon cousin, d’attitude plus à pic que moi s’est fâché, leurs à dit qu’il y avait deux voitures et qu’elles n’avaient qu’à s’en aller ! Ce qu’elles ont fait !
Nous sommes restés autour du feu un moment, nous buvions une bonne bière, parlions de tout et de rien, à un moment donné la conversation, je ne me souviens plus pourquoi, c’est tourné sur mon ancienne » carrière » de life-guard à la piscine. J’ai fait ce travail je devais avoir 18-19 ans, c’était un travail d’été, entre mon cégep et mon université. ( système
scolaire québécois : 6 ans primaire, 5 ans secondaire, 2 ans cégep (collège) et ensuite, université ) [il y a aussi des diplômes d’études professionnelles (au niveau secondaire) et des techniques (au niveau collégial (cégep)] mais enfin] Il laissa glisser entre deux phrases:
« Tu étais très sexy, tu l’es encore. »
D’entendre ça de la part de mon cousin, c’était un compliment fort troublant. D’ailleurs que lui-même était fort appréciable, cheveux blonds, yeux bleu, 6’0 », 175 lbs, musclé. (1,80 m, 80 kg)
Je détournai donc la conversation vers les temps où lui faisait de la natation, (à la piscine où je surveillais de plus), je glissai donc subtilement que dans son petit costume de bain type speedo, moi sur ma chaise, j’étais bandé sec en le « surveillant pour sa sécurité ». –
– Vraiment ? Me demanda-t-il.
– Oui.
– Je t’excite ?
– Oui un peu, (beaucoup, vachement beaucoup ! ! ! )
– Mais tu es mon cousin.
– Alors ? Qu’est-ce que ça fout ?
– Eh bien on ne peut pas.
C’est alors à ce moment qu’il m’interrompit, il m’embrassa, amoureusement, je ne protestai point, même que je me surpris à me coller contre lui afin de pouvoir le serrer et lui mettre la main au cul.
Nous étions assis un à côté de l’autre, sur une grosse bûche dans le sable, sur la rive d’une rivière, à la lumière d’un feu ardant, s’embrassant et se déshabillant sous l’effet de la pression.
Il saisit mon chandail et me le retira, je lui ai dégrafé son pantalon et je lui ai enlevé, lui embrassant le bas du ventre, et descendant, il retira son gilet, et j’enlevai mes culottes, nous étions maintenant nus, dans le sable, se caressant, se léchant, s’embrassant à la tonne. Quand je saisis son pénis une fois bien dur, je ne pus que saliver pour cette belle masse de chair, avec ce cône rouge.
Je le lèche, un petit goût salé, pas mauvais, je me mets à genoux, il prend ma tête dans sa main et me guide, son engin me frappe le fond de la gorge, je me dégage, me relève, et me penche au-dessus de la bûche, les fesses bien écartées. Tout d’un coup, son membre force les parois de mon anus, ha ! Que c’est bon, il débute son va et vient, il est si puissant. Il esquive quelques saccades, quelques coups secs, je sens son sperme s’étendre en moi,
il ne s’arrête pas, le plaisir est trop fort, ça me fait tellement jouir que j’en éjacule à mon tour, n’ayant même pas touché à pénis encore.
Puis, il me dit de m’étendre dans le sable, je m’exécute, il me dit de fermer les yeux, chose que je fais. Je sens le vent frisquet caresser ma peau pendant un moment quand tout à-coup un liquide me tombe dessus, sur le torse, c’est chaud, la source remonte à mon visage, il me dit d’ouvrir la bouche, je sais très bien que c’est de l’urine, mais j’ouvre tout de même.
Je n’avais jamais, avant ce moment, aimé l’uro, je ne trouvais pas ça dégoûtant, mais seulement, je ne sais pas. Tout ça pour dire que quand ce chaud liquide a atterri sur ma langue à ce moment là, j’ai tout de suite adoré le petit goût salé, la chaleur, l’odeur, j’ai ouvert les yeux, et même la couleur (celle que je pouvais apercevoir grâce à la lumière du feu) m’attrayait.
Quand il eut fini sa pissette, il se penchât sur moi et se plaça et position de 69, je lui dis que j’avais envie aussi, il me dit qu’il avalerait tout ! ! J’étais couché sur le sable, un pénis dans la bouche et urinant dans la gorge de mon cousin, moment délectable. Nous nous sommes levés, après avoir éjaculé et j’ai dit :
– Y a pas l’eau courante, viens, on va aller se nettoyer dans la rivière.
– D’accord, répondit-il, m’embrassant dans le cou.
Nous étions dans l’eau jusqu’au nombril environs, l’eau était étonnamment chaude pour une rivière, il faut dire que nous étions en pleine
canicule, mais enfin.
- – Viens, je vais te laver le dos, me dit-il.
Il se mit derrière moi, je sentais son pénis encore dur frotter contre le haut de mes fesses, Il m’embrassait dans le cou, me frottant le dos de sa main pour m’enlever le sable qui était collé et pratiquant une branlette grecque. Je lui ai dis :
– Allez, vas-y, remets-moi le encore.
Chose qu’il fit, je tournai la tête afin de pouvoir l’embrasser, puis j’ai lâché :
– Prends ta main à plusieurs doigts.
Il se retira, je sentis sa main droite qui caressant mon mamelon descendre et s’aventurer entre mes fesses, il introduisit un doigt, je fermai les yeux, accotant ma tête par derrière sur son épaule, la première chose dont je m’aperçu ensuite, c’est qu’il y avait quatre doigts dans mon sanctuaire. Cela faisait mal, mais c’était si bon, Je lui dis de mettre le pouce, il me demanda si j’étais sûr, j’avais l’air d’avoir mal, je lui dis qu’oui, il l’introduisit. Il en était au poignet, je gémissais, j’étais penché en avant, pour aider la pénétration, je criais
presque, c’était drôlement bon, mon cousin semblait aimer aussi car il y mettait vigueur, je ne m’inquiétais pas de jouir avec bruit car il n’y avait personne dans les 3 km à la ronde. j’éjaculai violemment. Nous nous sommes lavés, nous avons dormi, avons remis ça un peu le matin, (merde que mon cul me faisait mal.) Et puis nous sommes repartis, exténués.
Mathieu, Québec
Pas fan du fist
On va dire que la petite touche uro ajoute quelque chose à ce récit en le sauvant de la banalité