j’ai découvert votre site il y a peu de temps et je l’ai trouvé très ouvert
et très diversifié.
Je voudrais apporter mon témoignage sur la ‘bitophilie’ car elle existe bien
et j’en suis un exemple.
En effet je suis avant tout attiré par les femmes qui m’excitent et que je
respecte. Je les aime et je suis marié et heureux dans ma vie
hétérosexuelle.
Toutefois, je dois l’avouer, j’ai une attirance illimitée pour les bites et
uniquement cet attribut masculin que j’adore.
La vue d’une sexe d’homme peut me provoquer une érection ce qui ne sera pas
le cas avec une femme. Ceci dit, si je suis attiré par toutes les bites, la
personne qui en ai le propriétaire ne m’intéresse absolument pas.
J’ai 39 ans et mes aventures avec des bites ont été rares et ont eu lieu
durant les quelques années après ma majorité ce qui remonte à loin.
Ma première aventure je l’ai eu au lycée dans le vestiaire du
gymnase. J’étais rentré en premier dans le vestiaire pour me changer alors
que le reste de la classe était resté en salle pour regarder la fin d’une
partie de Hand. J’étais assis sur le banc en train de défaire mes lacets
quand Antoine, un camarade de classe m’a rejoint. De nature surexcité,
Antoine gesticulait et chantait ‘on a gagné, on a gagné, il va me sucer …’
etc.
Je le connaissais et n’étais pas étonné de ses propos mais j n’envisageais
pas qu’il vienne se poster devant moi et baisser le devant de son short
libérant son sexe épais, mou et décalotté.
La vue de cette masse de chair pendante au bout cramoisi eut sur moi un
effet qui me mit dans un état second.
Je pense qu’Antoine s’en était aperçu, et c’est pour cela qu’il est allé
plus loin en collant son gland contre ma joue cherchant la bouche.
Allez savoir pourquoi, mais ce jour là je n’ai pu le repousser et j’ai
englouti son membre. Je ne l’ai sucé que quelques secondes, juste assez pour
sentir son sexe grossir et le goûter car nous avons entendu du bruit et nous
nous sommes arrêtés.
Ma seconde aventure je l’ai eu dans un cinéma porno vers l’age de 20
ans.
Je suis arrivé dans la salle sombre car le film avait déjà commencé et je me
suis assis à coté d’un homme que je ne voyais pas.
Après quelques instants, avec les lueurs du film, j’ai compris qu’il se
branlait ce qui m’excita en un quart de tour et je crois même m’être caressé
au travers de mon jeans. Je n’avais pas l’intention d’aller plus loin,
j’étais bien trop poltron pour cela mais au bout de quelques minutes j’ai
senti le genou de mon voisin toucher le mien et sa main s’en rapprocher.
Paralysé je n’ai pas bougé, ce qui, je crois, à tout déclenché.
Il a alors placé lentement sa main sur ma jambe puis est remonté lentement
sur ma cuisse.
Je pensais qu’il allait chercher ma braguette sous laquelle mon sexe était
tendu, brûlant et au bord de l’éclatement. Mais non, il prit ma main et la
mit sur son sexe.
C’était la première fois que je prenais la queue d’un autre homme. Je me
souviens vaguement de cette chaleur que j’ai ressentie dans ma paume au
contact de ce membre pas très long mais épais.
Il m’a incité à le branler ce que j’ai fais jusqu’à sentir quelque chose de
brûlant couler le long de ma main. J’ai compris qu’il avait joui et , pour
la première fois depuis mes pollutions nocturnes, j’ai éjaculé dans mon slip
presque instantanément sans même me toucher.
Je me suis alors levé et je me suis empressé de sortir. Je suis rentré chez
moi, pas fier, le slip collant de sperme et dégageant, dans le bus, une
odeur caractéristique de foutre.
Ma troisième aventure et la dernière c’est passée dans
les urinoirs d’une grande galerie marchande.
Je suis entré dans ce lieu que je ne connaissais pas et je suis allé
chercher une place au fond. Au fond c’était dans un recoin, une sorte de
petite pièce annexe où il y avait 4 urinoirs dont 2 occupés.
Je me suis installé face au mon urinoir et j’ai sorti ma queue pour uriner.
Là un des gars est parti et je suis resté avec mon voisin. A nouveau, comme
au cinéma, j’ai constaté qu’il se masturbait et qu’il tournait son visage
vers ma bite. Excité je me suis retrouvé bloqué à ne plus pouvoir uriner et
j’ai commencé à sentir mon sexe grossir.
Mon voisin s’en est vite aperçu je crois car il passa, sans gène, sa main
devant moi et attrapa ma queue sans ménagement. Il me dit d’un ton sec de
prendre la sienne et de le branler. Soumis je me suis mis à le masturber.
Cela a duré quelques minutes qui furent une éternité. Il m’a branlé
violemment jusqu’à me faire jouir. Hélas il ne fut pas satisfait de ma
prestation car je n’avais pas atteint le même résultat avec lui. Il me
demanda alors de le rejoindre dans une cabine.
J’ai attendu qu’il y rentre et je me suis sauvé.
Depuis je m’arrange toujours pour mâter les mecs dans les urinoirs
lorsqu’ils urinent car j’aime plus que tout les bites et … les femmes.
Pour me satisfaire, je pratique l’auto-fellation. J’en profite pour dire
qu’il est dommage que votre site ne parle pas de cette pratique.
Merci et continuez, votre site est génial et innovant.
Nono
qui me concernent.
Pour ma part, comme je l’ai déjà dit, j’ai découvert, grâce à vous, que
j’étais bitophile et cela m’a donné du courage pour en parler à ma femme.
Elle l’a très bien accepté et, à mon grand étonnement, m’a incité à aller
dans ce sens si j’en éprouvais le besoin. Il faut dire que Chouchou, c’est
son petit nom, aime regarder plus qu’être vue et qu’elle m’a avoué qu’elle
apprécierait de me voir avec un autre homme. Pour l’instant nous entrevoyons
peut être quelque chose avec nos voisins Gaëlle et Eric que nous fréquentons
intimement, mais, comme dit ma femme, il semblerait que je fasse plus
d’effet, et réciproquement, à Gaëlle qu’à son mari un peu plus coincé. Mais
rien n’est perdu car maintenant que ma femme est consentante nous allons
certainement essayer d’aller plus loin dans nos soirées strip délurées.
Voici quelques expériences vécues dans le domaine de la masturbation et de
l’exhibitionnisme (rien à voir avec le mec qui se branle dans la rue devant
les petites filles) qui sont parmi mes activités favorites.
Il y a 2 ans mon neveu Thomas, 20 ans à l’époque, est venu passer quelques
jours de vacances chez nous.
Un après midi alors qu’il faisait beau j’ai décidé de quitter le boulot plus
tôt pour prendre le temps de tondre le gazon et préparer un barbecue.
Lorsque je suis arrivé à la maison celle ci était ouverte. Je m’étonnais car
je savais ma femme encore à son travail et mon neveu était censé être en
ville. Aussi, quelque peu méfiant, je suis entré sans faire de bruit et je
me suis mit à visiter chaque pièce. Discrètement j’ai parcouru la maison
apparemment déserte, jusqu’à ce que je m’arrête devant la porte fermée de la
salle de bain. Là, plutôt que d’entrer, j’ai préféré regarder par le trou de
la serrure dans lequel il n’y a jamais de clé.
Ma surprise fût totale car j’ai découvert mon neveu face au lavabo, le
bermuda et le slip baissés, la queue à la main en train de se branler. Je
n’aurais jamais espéré le voir faire ça un jour et cela m’arrivait
aujourd’hui sous mes yeux à 2 mètres de moi.
La chance était de mon coté car en se tenant face au lavabo, Thomas était
ainsi de profil par rapport à la porte ce qui me donnait une vue parfaite
sur la scène et surtout sur son anatomie.
Grand et filiforme, les yeux verts et une petite queue de cheval, Thomas
était plutôt mignon et devait certainement beaucoup plaire aux filles.
Mais pour ma part il me laissait indifférent, seule sa queue m’excitait. Une
belle bite longue et fine, proportionnelle à son gabarit et dont j’avoue
être, aujourd’hui encore, jaloux à en crever en pensant à ce braquemart plus
long que le mien que ce jeune garçon frêle trimballe entre ses jambes. Je me
souviens parfaitement de son membre mate, qui contrastait avec la blancheur
de son corps, effilé et lisse sous lequel pendaient une paire de couilles
recouvertes de quelques poils châtains. On aurait dit une queue en latex,
c’est l’image que j’en garde aujourd’hui.
Sa main allait et venait plus ou moins rapidement le long de son sexe
faisant remonter la peau du prépuce sur le gland puis le découvrant étirant
le frein au maximum au point de courber de façon impressionnante le bout de
sa queue vers l’avant. De l’autre il se caressait les testicules les tirant
par moment fortement vers le bas comme pour les arracher. Je n’y ai pas fait
attention de suite mais au bout d’un moment j’ai réalisé que sa queue bien
que dressée était courbée vers l’avant et non vers l’arrière comme la
majorité des hommes. C’était bizarre, je pensais d’abord qu’il ne bandait
pas à fond mais non, c’était sa queue qui avait une forme de cou de cygne.
Cette forme originale que je n’avais jamais vu à ce jour m’a excité
davantage et j’ai dû me retenir pour ne pas me branler moi même au risque de
jouir devant la porte. J’aurais été dans une mauvaise posture.
Après quelques minutes, trop courtes à mon goût, Thomas fût prit de
tremblements convulsifs et cracha son venin accompagné d’un discret (trop à
mon goût) gémissement de plaisir. Il éjacula 4 ou 5 fois de longues giclées
épaisses qui n’en finissaient plus. C’était impressionnant, on aurait dit
qu’il urinait du sperme tant les giclées étaient consistantes et
rapprochées. Pour avoir une telle quantité dans les burnes c’est qu’il
n’avait pas dû se branler depuis un bon bout de temps contrairement à moi
qui me masturbe ou me fait masturber par madame pratiquement
quotidiennement. Il faut dire que depuis son arrivée nous avions été presque
tout le temps ensemble, c’était aujourd’hui, notre premier jour de boulot et
son premier jour de ‘liberté’.
J’attendis jusqu’à la dernière goutte histoire de ne rien manquer de la
débandade de cette queue arrogante qui se mit à pendouiller comme une longue
saucisse flasque sur ses couilles gonflées. J’aurais aimé entrer et mettre
ce morceau de chair bizarre dans ma bouche pour le goûter et avaler son
foutre, mais bien sûr il n’en était pas question.
Il entreprit ensuite de nettoyer les traces de son sperme et je me suis
éloigné. Je suis allé à la porte d’entrée, j’ai sonné pour m’annoncer et
faire croire que j’arrivais.
Depuis, lorsque je le rencontre, je ne peux m’empêcher de penser à cette
scène et imaginer sa longue queue courbée dans son pantalon. J’envie sa
petite amie bien que je me demande si sa forme particulière n’est pas un
handicap lors des rapports.
Je suis moi-même à 39 ans et marié, un adepte de la branlette. C’est
pratiquement un besoin quotidien.
En fait, le matin au réveil j’ai une érection, certainement ce qu’on appelle
l’érection matinale, qui m’incite à me toucher et à me caresser. Quand ma
femme est disposée, je prends sa main et lui fait comprendre ce que je veux.
Depuis le temps elle s’est habituée et s’exécute. Elle me connaît bien et
sait ce qui me fait jouir rapidement.
Elle se place entre mes cuisses m’attrape la queue et me branle
énergiquement en étirant mes couilles comme on trait une vache. Quand elle
sent que je suis bien excité, elle m’introduit un doigt dans l’anus et me
caresse la prostate en faisant des petits mouvements circulaires. 9 fois sur
10 je jouis immédiatement parfois jusque sur mon visage.
Quand nous avons le temps, le week end par exemple, et qu’elle est bien
excitée, elle cherche notre vibro, se l’introduit dans le vagin pour le
lubrifier puis me sodomise longuement en m’astiquant le membre. Je jouis
moins vite de cette manière ce qui m’inquiète car je souhaite me faire
sodomiser par une vraie bite dès que j’en aurai l’occasion et j’appréhende
d’être déçu et de ne pas jouir. (J’ai l’impression que tout se passe dans la
tête et que c’est la branlette qui accompagne l’acte qui fait
l’essentiel..)
Quand madame est fatiguée ou si elle se lève avant moi, je me branle seul et
jouis dans mon mouchoir.
Ainsi la journée commence bien.
Lorsque je suis en déplacement je me branle le soir à l’hôtel. Quand il est
très tard (pour ne pas risquer d’être vu par des gamins et pour cibler un
public de voyeurs), il m’arrive de laisser les rideaux ouverts et la lumière
allumée quand il y a un immeuble en face. C’est comme cela qu’un soir j’ai
constaté qu’une femme m’avait remarqué et que j’en ai profité pour lui jouer
le grand jeu et pratiquer sur moi une auto fellation qui l’a certainement
intéressée car elle est restée jusqu’au bout
Souvent j’attends que les voisins soient rentrés et je me masturbe en
gémissant sans discrétion pour qu’ils m’entendent. Je jouis ensuite dans les
draps pour que la femme de ménage découvre les tâches et se doute de ce que
j’ai fait ce qui m’excite d’avantage. Un jour j’ai laissé traîner mon
caleçon souillé sur le lit défait pour être sûr qu’elle le manipule pour
faire le lit. Je l’ai retrouvé plié sur mon oreiller, la tâche en évidence.
Deux fois il m’est arrivé d’entendre juste après, le mec d’à côté se branler
à son tour en gémissant. J’ai même eu droit aux ébats d’un couple que
j’avais dû émoustiller.
J’aime également me branler dans les cabines d’essayage ou les photos matons
laissant une coulée de sperme en signature. C’est risqué, et pas très
‘propre’ je sais, mais tellement excitant surtout quand il y a un risque
d’être découvert
En fait, il existe mille façons de se faire plaisir tout en excitant autrui
et j’espère que mes expériences aideront les internautes coincés à ne pas
culpabiliser et à se libérer.
Nono
adolescence comme beaucoup de jeunes vers l’âge de 17/18 ans.
En fait le groupe était plutôt restreint puisque je n’ai pratiqué ce
‘loisir’ qu’avec deux copains. Le premier et le plus régulier était un
voisin, Pascal. Ca a commencé un après midi alors que nous étions seuls dans
ma chambre et que ma mère était partie en ville. J’ai sorti des revues
pornos que m’avait prêtées un copain et je les ai mises sous le nez de
Pascal qui n’en avait jamais vues. Là, sa réaction fût spontanée. Il passa
d’un état de pâleur à un rouge fiévreux tremblant d’excitation. C’était
marrant car il n’arrivait pas à dominer son émoi, on aurait dit un gosse
découvrant des jouets. Cela m’a marqué car j’ai franchement eu peur de son
changement subit d’état ‘normal’ en un état quasi second. Ainsi excité,
Pascal ne s’apercevait même pas qu’il se touchait devant moi, me laissant
tout loisir de deviner son érection au travers de son pantalon de jogging.
Son état eut les mêmes conséquences sur moi et j’entrepris moi aussi, sous
l’effet de l’excitation, de me frotter au niveau de la braguette. Les gestes
de Pascal furent de plus en plus insistant au point de m’allumer à mort (je
réalise en décrivant mon expérience que mes tendances bitophiles étaient
déjà bien marquées).
Je ne me souviens plus exactement qui a fait le premier pas mais toujours
est il que nous avons fini le pantalon sur les chevilles et la queue à la
main. J’avoue, hélas, ne plus avoir de description correcte de sa bite car
cela remonte à 20 ans mais ce que je peux dire c’est que nous avons rejoué
la scène plusieurs fois par la suite assis sur le lit, tantôt le sien tantôt
le mien, nous finissant dans nos mouchoirs ou du PQ.
La pire des situations inoubliables fut la fois où nous avons fait cela dans
sa chambre et que sa mère est entrée sans prévenir. Nous étions tous les
deux sur le lit, impossible de bouger, le pantalon baissé et la queue raide
dans la main. Elle est restée figée quelques secondes qui m’ont paru une
éternité, aussi surprise que nous… puis est ressortie, en s’excusant. Bien
sûr nous avons arrêté là pour cette fois et fait en sorte d’être plus
prudent les fois d’après. Je crois que la mère de Pascal ne lui a jamais
reparlé de cet incident qui l’a certainement gêné tout autant que nous.
Nous ne nous sommes jamais branlés mutuellement, à cette époque nous
n’aurions pas osé. Je me souviens juste qu’il nous est arrivé une fois de
nous tenir debout face à face et de caresser nos glands l’un contre l’autre
pour déconner mais sans vraiment aller plus loin. Ces moments furent
intenses pour moi et m’ont marqué.
La deuxième personne avec qui j’ai pratiqué la branlette est
mon meilleur pote de lycée. Là j’étais plus âgé, environ 19/20 ans et nous
avons fait cela en regardant un film porno ensemble.
Je me souviens que nous étions seuls chez lui et que nous nous sommes
branlés assis l’un à côté de l’autre sur le canapé. Je m’en souviens
d’autant plus que nous avons mesuré nos queues et que la sienne était plus
longue de 1 cm. Mais un comble, ses parents ont débarqué eux aussi sans
prévenir mais cette fois ci nous avons eu le temps de nous rhabiller, sortir
la cassette et de tout remettre en place en quelques secondes. Nous avions
été à deux doigts de nous faire prendre la main dans le sac, ou plutôt sur
la queue si je puis dire, et ça marque aussi. Par contre nous n’en sommes
pas restés là car nous sommes ensuite descendus dans la cave où il avait
aménagé une pièce bricolage et nous nous sommes soulagés en bas dans des
serviettes papier.
Voilà c’est court mais c’est du vécu un peu lointain.
Mes expériences de masturbations seules sont, elles par contre bien plus
nombreuses et encore d’actualité car je me suis branlé dans divers lieux au
gré de mon excitation : urinoirs, cinémas, WC du lycée avec ma copine de
l’époque, cabines d’essayage, photo maton et même dans un train, au travers
de mon pantalon, en caressant mon gland (le frein, qui est un endroit très
sensible du gland) avec une main dans la poche en fantasmant sur les cuisses
d’une femme d’une quarantaine d’années le genre cadre supérieur assise non
loin de moi dont les longues jambes étaient croisées et gainées d’un léger
collant vert qui me faisaient bander. Ce jour là je crois que j’ai dû me
caresser pendant près d’une heure et j’ai joui dans mon slip. Quand elle
s’est levée pour descendre du train j’ai soulevé légèrement mon pull que
j’avais étiré pour cacher la tâche qui naissait. Elle a fixé ma braguette un
instant puis ma regardé en souriant avant de partir. Elle avait tout
deviné.
Aujourd’hui je me branle toujours régulièrement dans divers endroits,
parfois avec ma femme qui a eu l’idée d’y rajouter un peu de piquent en me
faisant acheter un vibro.
Il faut que je trouve le temps de rassembler sur papier mes expériences
solitaires pour vous en faire profiter mais en attendant je vous propose
quelques photos.
Nono (N+C)
Il y a vraiment plein de choses intéressantes dans ces confessions