Je remercie à nouveau les lecteurs de mes aventures réellement vécues, et leurs appréciations me font plaisir et m’encouragent à continuer
La coupure des vacances a été fatale à nos amours pendant un certain temps encore. Dès la reprise j’essayais de la voir chez elle très discrètement, en vain, et vers octobre je l’aperçois enfin devant un commerce avec sans doute sa mère. J’étais en voiture, mais je la trouvais changée dans sa silhouette, elle avait grossi. Je me gare, m’approche d’elles, les suit et elle finit par me voir, surprise mais n’osant rien faire, sauf à un moment ou elle me fit des signes.
Je compris vaguement qu’il fallait que j’aille chez elle à la boite aux lettres ? J’y allais pour constater qu’il y avait une autre adresse scotchée dessus. Je la notais, repris la voiture, regardant sur un plan et je repérais les lieux, une villa. Mais apparemment elle habitait le rez-de-chaussée.
Une semaine plus tard, j’y revins, ouvrais le petit portail, passais sous un balcon et trouvais la porte.
Je frappe discrètement ayant déjà prévu une parade au cas où ? J’entends enfin sa voix, son charmant accent, mais vite déçu :
– Je ne peux pas t’ouvrir, Bernard, excuse-moi !
– Mais pourquoi ? Qu’est ce qui se passe ?
J’étais inquiet !
– Je ne peux pas te le dire, mais je ne veux pas t’ouvrir, j’ai envie de te voir, mais je ne peux pas !
J’étais très surpris, ne comprenant plus rien, mais notre petit dialogue fit que la propriétaire ouvrit sa fenêtre au-dessus ! Je dis à Odile :
– Au revoir et merci, je repasserais !
Saluant la dame, je m’éclipsais très déçu…
A nouveau, j’errais plusieurs fois dans les parages, les semaines et les mois passèrent, encore en vain et c’est encore le hasard qui me fit la voir (seulement). Moi, en voiture, impossible de m’arrêter, elle sur le trottoir avec devant elle une poussette !
Je réalisais d’un coup : elle avait grossi bien sûr, elle était enceinte et peut-être refusa-t-elle de m’ouvrir pour ne pas se montrer déformée ?
J’arrivais à faire demi-tour, parcourant plusieurs rues sans la trouver, très dépité et puis, peut-être m’avait-elle oublié en devenant mère ?
Des mois encore s’écoulèrent, mais j’étais hanté par cette fille et la cherchais à chaque fois que je revenais dans sa ville, et puis un beau jour, en voiture encore, je la croise sur un solex avec un siège d’enfant derrière et son occupant !
Je fais vite demi-tour, dès que je le peux, la vois s’engager dans un chemin. Quand je peux y arriver, il y a le solex, elle et le petit marchant vers un immeuble. Je me précipite, les rattrape juste comme elle rentrait dans un ascenseur curieusement extérieur au bâtiment, je criais presque :
– Odile, attends-moi !
Elle se retourne très surprise, reste comme paralysée.
– Bernard ? Mais, comment, pourquoi tu es là ?
Je lui explique vite !
– Tu ne peux savoir combien de fois je t’ai cherchée, vers où tu habites, tu y es toujours ?
– Oui ! Là je vais voir ma mère, oh ça me fait plaisir de te voir, tu sais !
– C’est vrai ? Moi aussi, mais pourquoi tu ne m’avais pas ouvert ? Je n’ai plus osé venir à cause des propriétaires !
– Je ne voulais pas que tu me vois enceinte, j’avais honte, tu comprends ?
– Non ! Je t’aurais trouvé encore plus belle !
– Tu es gentil, je voulais pas !
– Je t’aurais fait des photos magnifiques, mais tu es toujours aussi belle et je vais t’en refaire ! Il faut qu’on se revoie, tu le veux ?
– Oui, je veux bien Bernard, mais j’ai le petit maintenant !
Il avait deux ans, deux ans de perdus, à rattraper !
– Il faut y aller, elle habite au sixième !
– Je vais avec toi, je ne te laisse plus partir !
– Tu es toujours aussi fou ! Hein ?
Le temps de monter les six étages, je lui avais ouvert le corsage et sorti un sein du soutien gorge !
– Tu as vu comment ils sont ? Ils sont mous, j’ai allaité mon fils !
– Mais non, il est beau, et puis tu as de gros tétons maintenant !
– Pour ça, oui, avant j’en avais pas, tu te rappelles ?
On arrive, tout heureux de s’être retrouvés et avec un rendez vous et surtout un numéro de téléphone… et un gros bisou avant qu’elle ne disparaisse. Nous étions au printemps et je crois que l’on se revit assez vite d’un commun accord.
Rendez-vous au bord de la route, éloigné de la maison par prudence ver 14 heures. Elle monte derrière avec le petit, la poussette dans le coffre, encore un truc qui ne m’est jamais arrivé.
Je pars pour retrouver « nos » collines, même si le temps est couvert, on est heureux et on se le dit, c’est vraiment partagé malgré le mari, l’enfant, elle ira jusqu’à me dire :
– C’est dommage qu’on ne se soit pas retrouvé avant que je me marie !
Le petit est endormi depuis longtemps quand on s’arrête. Elle avait pris quelques vêtements pour refaire des photos, une robe longue de dentelle blanche, une jupe courte, moi j’avais apporté des bas et porte-jarretelles. Et je découvre tous ses trésors dont ses seins, très différents, c’est vrai, très souples qui ballottent, mais j’aime ça, et aux tétons arrogants !
Elle en a honte, les cache, moi je leur trouve d’autres qualités et elle finit par s’accepter. Je m’en occupe, les caresse, les lèche, ses tétons sont très sensibles, elle réagit très vite en me pressant le visage Nous somme debout appuyés à la voiture et je l’entends encore me dire qu’elle est bien avec moi, que mes caresses lui manquent et qu’elle a toujours gardé en mémoire les instants passés ensemble. Je la sens émue, je me redresse, elle a les larmes aux yeux !
Je lui embrasse le visage, lèche ses larmes, ses lèvres et je glisse ma main entre ses cuisses, sans dire un mot, ému aussi. Je retrouve sa toison épaisse et je m’accroupis face à sa minette que j’embrasse. J’en écarte les poils, respirant cette odeur délicate.
Et soudain, elle qui ne voulait pas ce genre de plaisir écarte les jambes et presse encore mon visage contre son ventre. Ma langue s’insinue dans ses chairs secrètes, c’est mouillé, c’est bon, elle respire fort, montrant qu’elle apprécie.
Fatiguant un peu, car accroupi, je me relève, l’embrasse, puis, je la fais monter sur le capot de la voiture, la renverse.
Ses cuisses s’ouvrent d’elles-mêmes, ses pétales colorées aussi qui ne cachent plus rien, je me penche et plonge ma langue dans un trou béant, et elle pousse un petit cri, me tire par les cheveux en étant secouée de spasmes ! Elle jouissait déjà !
Je me redresse, elle reprend ses esprits pour me dire aussitôt « de lui mettre » tout en ondulant des hanches.
J’étais encore habillé, mais il ne fallut pas longtemps pour que je frotte mon sexe sur sa fente ouverte, son clito que je n’avais jamais aussi bien vu, mais ses jambes repliées derrière moi me tiraient et mon gland disparu dans sa jolie grotte. Quel plaisir de se sentir comme aspiré !
Je lui pris les seins, les pétrissais, roulant les tétons et faisant des va-et-vient ponctués de gros soupirs, de gémissements et encore :
– Bernard, on est fous, mais c’est bon, vas-y fort, prend moi fort !
Elle se redresse, plaque son buste au mien. Je la tiens par les hanches et la « secoue » en rythme avec elle.
– Odile j’ai envie, je vais partir !
– Viens, viens, moi aussi !
Et on explose tous les deux violemment, profondément, je n’arrêtais pas de me vider en elle, on resta comme pétrifié, puis on s’embrassa à pleine bouche avant de se « déboîter ». Prenant mon visage entre ses mains, elle me remercia !
Elle me fit promettre de revenir la voir. Incroyable ! Mais de toutes façons, je le voulais également. Sentiments très curieux d’amour et de pur plaisir charnel, secret merveilleux au-dessus de tout, sa vie personnelle, la mienne. Inexplicable !
On revint aux réalités mais on se retrouva à nouveau dans les mêmes conditions sous la pluie, la poussette, le petit derrière qui par chance dormait beaucoup, comme s’il savait que sa mère avait besoin de tranquillité. Il faut se garder de juger, ce serait trop facile !
C’est la première fois qu’il pleut pour nous dans nos collines, mais cela donne une intimité irréelle, gouttelettes, buée dès les premiers baisers, les premières caresses. Nous sommes sous des arbres, est-ce la pénombre ? Je trouve Odile plus audacieuse, moins réservé, se poussant contre moi, soulevant son tricot pour me montrer un nouveau soutien gorge noir et balconnet ! Tenant le tricot d’une main, le demi-bonnet de l’autre, elle en fit jaillir un téton :
– Ca te plait, Bernard, il est joli ?
– Le soutien ou le téton ? Les deux sont superbes !
– Suce-le Bernard, j’adore quand tu me fais ça !
Je m’en emparais comme un fou, j’aspirais le téton, la moitié du sein. Elle tira sur le bonnet pour le libérer totalement, me prenant contre elle, puis elle sort l’autre et frotte son téton contre ma joue. Je le suce également, puis les deux ensembles car elle presse ses seins l’un contre l’autre dans un geste superbe, une offrande dont la vue m’excite.
Elle prononce plusieurs fois mon prénom en haletant :
– Je sais pas ce que j’ai ! Oh ! Que c’est bon ce que tu me fais, continue !
Je n’en reviens pas de voir cette excitation croissante et elle se met à jouir, je n’avais jamais vu ça à l’époque, j’ignorais même cette possibilité ! On ne s’était même pas caressé « ailleurs » et cette fois, tout juste remise de sa jouissance, elle me repousse, me cale contre la portière en pivotant, sa jambe gauche contre le dossier, repliée pour me montrer son entrecuisse
– Tu vois, j’ai fais ce que tu m’as demandé, je n’ai pas mis de culotte !
Sa jupe plissée forme un écrin à son sexe noir et rose, c’est superbe et je le lui dis.
– Je te fais bander ?Fais moi voir ton sexe, Bernard, toi aussi
Comment refuser ?
J’enlève pantalon et slip, mon sexe jaillit, ça la fait rire !
Elle s’approche, me le touche, me le branle directement, me faisant presque mal, puis à l’oreille, elle me dit :
– L’autre jour, tu m’as fait ce que mon mari ne me fait jamais, aujourd’hui c’est à moi !
Je suis dans un rêve, son visage glisse sur mon buste qu’elle embrasse et ses lèvres se posent sur mon sexe ! Elle ne m’a jamais fait ça, des petits coups de langue, la pression de sa main, puis la chaleur de sa bouche, le paradis ! Elle est à genoux, je contemple « ma » miniature, la jupe à demi relevée, je relève son tricot, caresse son dos, retrousse sa jupe, caresse ses superbes fesses et sa fente si mouillée que ça lui coule sur les cuisses ! Je lui demande d’arrêter ayant trop envie et elle me fait un peu mal. Elle se redresse, visiblement fière de ce qu’elle m’a fait.
– Tu es content, Bernard ? Je te fais ce que je ne fais pas à mon mari, tu vois, parce que tu me l’as jamais demandé, dis-moi si je le fais bien ?
Je lui dis que c’est délicieux mais qu’elle me le retrousse trop et je l’embrasse en la remerciant, et je l’entends encore dire :
– J’ai envie que tu me le mettes
– Oh ! Moi aussi, mais la place est restreinte !
Finalement je passe à sa place, tant bien que mal, en rigolant, je descends le dossier et aussitôt elle se glisse sur moi, encore habillée, jupe à la ceinture, qu’elle enlève. Quel bonheur de sentir sa chaleur ? Passionné, pressé, je lui enlève le tricot, mais laisse le soutien gorge, les seins dehors, elle se tortille sur moi les yeux fermés, frottant son sexe au mien chatouillé par ses poils, elle est déchaînée, m’embrasse, me lèche le visage. Sous elle, je tiens mon sexe contre sa fente, puis elle parvient à se mettre à califourchon sur moi. Vu sa petite taille, elle s’empale sur moi presque d’un coup poussant un cri que j’étouffe de ma main et presque en même temps on dit !
– Que c’est bon !
On ne peut pas être plus l’un dans l’autre, les yeux dans les yeux, on est comme figé. Je lui murmure :
– Quand tu embrassais mon sexe, j’ai eu envie de te partir dans la bouche, c’était trop bon, tu voudrais bien que je te le fasse ?
– Je ne sais pas ce que ça peut faire, j’aime bien sentir quand tu pars dans moi !
A SUIVRE
Première publication sur Vassilia, le 10/03/2001
Ce très beau récit a eu l’honneur d’obtenir le 2ème prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour Mars 2001
L’avantage des seins par rapport aux vraies collines, c’est qu’on eut les lécher