Mamie déprime – 3- par mlle_heleneD
– Je te plais alors ? minauda Michelle, tout sourire
– Beaucoup, Belle-Maman.
Michelle retrouva rapidement ses réflexes, même si cela faisait quelques années qu’elle n’avait plus fait l’amour. Elle croisa ses bras autour du cou de son gendre et l’embrassa, poussant directement sa langue dans sa bouche.
– Vous attaquez fort.
– Pour vérifier que toi et ma fille ne me racontez pas du flan.
– On est très sérieux, répliqua Eric en reprenant sa bouche et plaquant ses mains sur ses fesses.
Michelle poussa un petit cri de surprise.
Il délaissa son postérieur pour déboutonner le chemisier. Si Valérie avait beaucoup de points communs avec sa mère, elle n’avait pas hérité de sa poitrine. Valérie se contentait d’un bonnet B tandis que Michelle remplissait allègrement une taille, voire deux, de plus.
– Ah les hommes et les seins, s’amusa Michelle tandis qu’Eric en prenait possession.
– Vous n’imaginez même pas !
Il joua avec un long moment, les caressant, les pétrissant, les tétant. Michelle était aux anges. Les sensations habituelles revenaient. Elle attendait fébrilement la suite.
– Assez, dit-elle en se relevant. A mon tout de jouer. Tu aimes les nichons, moi, c’est les bites. J’espère que la nature a été généreuse et surtout, que tu sais t’en servir.
Eric, peu habitué à un tel langage de sa part, ne reconnaissait plus sa belle-mère.
– Valérie ne se plaint pas, dit-il, pris au dépourvu.
– Prometteur, constata Michelle en tâtant le paquet
– Elle est toute à vous pour l’après-midi
Michelle se mit à l’aise en enlevant sa jupe. Eric admira le luxueux serre-taille à six jarretelles et la culotte assortie. L’empiècement de dentelle laissait deviner une toison grisonnante mais entretenue. Son sexe prit un peu plus de volume.
Elle déboutonna le pantalon. Le sexe s’affichait en mode poutre apparentes en travers du boxer près du corps.
Michelle le caressa comme un objet précieux. Elle le libéra et le goba sans la moindre hésitation.
Elle s’activa sur le membre désormais bien dur pendant un long moment, le dégustant avec gourmandise, sans en perdre la moindre miette.
– Vous êtes douée, commenta Eric qui se retenait, non sans mal, pour ne pas jouir
– Merci. Il faut dire que c’est un morceau de choix. Je ne suis pas déçue.
– Vous m’en voyez ravi. Je suis heureux de vous faire plaisir.
– Eric, je pense que maintenant on est assez intime pour qu’on se tutoie.
– C’est vrai, tu as raison.
– Prends-moi !
– Tes désirs sont des ordres.
Michelle repoussa la couette et s’allongea sur le lit, sur le côté occupé par sa fille.
Eric vint entre ses cuisses mais Michelle l’arrêta.
– Tu brouteras le gazon plus tard. Baise-moi ! Mais vas-y mollo.
Eric obéit. Il retira délicatement la culotte dont le fond était bien humide, ne put s’empêche de gouter à l’abricot.
Michelle feula. Il donna quelques coups de langue, apprécia le jus salé et se releva. Il plaça sa queue devant l’entrée et la pénétra par à-coups.
– Oh putain que c’est bon ! Oh putain que c’est bon, s’exclama Michelle. Ça me manquait trop !
– Ça va ? demanda Eric qui était enfoncé en elle jusqu’à la garde
– Oui, oui. Arrête de parler !
– Dans ce cas.
Il attrapa sa belle-mère par les cuisses et la besogna virilement. Michelle criait à chaque coup de rein, l’exhortant à aller plus vite, plus profond.
– Tu caches bien ton jeu, dis-moi.
– Je suis une salope et j’assume, réussit à répondre Michelle. Oui, oui, Han, han, han ! Ton beau-père me le disait tout le temps. Oh oui, encore comme ça ! C’est bon.
Eric continua. Les seins lourds s’agitaient sur le buste de Michelle comme un deux flans de Jelly laiteuse.
– Oui, Oui, Oui, oh putain, Je jouis, je jouiiiiiiss !
Son corps se mit à trembler sous la puissance d’un orgasme rester trop longtemps en sommeil. Eric, surpris par l’effet qu’il faisait à sa belle-mère éjacula à son tour et fut tout autant surpris de la quantité de sperme qui se déversait dans la matrice.
Ils restèrent ainsi sa bouger un long moment. Michelle respirait fort, comme si elle avait couru un marathon. Eric s’inquiéta, craignant que son cœur ne s’en remette pas.
– Oh putain que c’était bon. Il y avait longtemps que je n’avais pas joui autant. Merci. Ma fille a de la chance de t’avoir.
– Merci Michelle. Le plaisir est partagé.
Il se pencha et l’embrassa. Michelle le retint pour faire durer le baiser.
– Ça va mieux maintenant ? demanda Eric
– Oui beaucoup mieux. Merci. Prêt pour la deuxième manche
Puis elle ajouta en voyant son air ahuri :
– Sérieux ? Tu n’imaginais quand même pas que j’allais me contenter d’un seul coup ? Maintenant que je te tiens, je vais te pomper jusqu’à ce que tu cries assez. Je ne sais pas si Val te l’a dit, mais jamais une vie sexuelle très, très active. Et j’ai du retard à rattraper. Et puisque tu voulais tant me bouffer la chatte, vas-y, profites !
Elle se rallongea, écartant les cuisses d’une façon obscène. Eric contempla son sexe, encadré par les jarretelles noires. Même si elle avait passé la soixantaine, Michelle n’en restait pas moins désirable. Il avait souvent fantasmé sur elle sans imaginer qu’un jour ce fantasme deviendrait réalité. Son pubis était recouvert d’une toison bien entretenue mais sa vulve était totalement lisse. Il se pencha, passa ses mains sous les fesses, couvrit de baiser les cuisses blanches puis posa ses lèvres sur celles, plus intimes, de Michelle. Elle se cambra au contact.
– Tu es capable de me faire jouir juste avec ta langue ? défia Michelle
– Je vais essayer.
Eric se mit à l’œuvre, lapant la cyprine où se mêlait son propre sperme. Il en avait l’habitude car il n’était pas rare qu’avec Valérie, ils terminaient par un soixante-neuf. Il la lécha longtemps, explorant chaque repli de son sexe, jouant avec le clitoris particulièrement développé. Michelle gémissait, se tortillait, insultait Eric lorsqu’il abandonnait le clitoris aux portes de la jouissance. Après avoir joué au chat et à la souris, Eric laissa l’orgasme de Michelle s’exprimer pleinement. Bruyamment aussi.
– Toujours heureuse ? demanda Eric en remontant vers le visage de Michelle pour l’embrasser
– Mais quel prétentieux ! s’indigna faussement Michelle. Mais oui, toujours heureuse. Merci.
Comme la fois précédente, elle le retint pour un échanger un baiser aussi profond qu’interminable. Eric bandait. Il tâtonna du bout de son sexe l’entrée de sa chatte.
– Pas comme ça, l’interrompit-elle
Elle se mit à quatre pattes. Eric guida sa queue vers sa chatte, agrippa ses hanches et la pénétra d’un coup de rein puissant.
– Salaud ! grogna Michelle
– Mais tu aimes ça, non ?
– Tu parles trop.
Eric comprit qu’elle acquiesçait. Aussi la besogna-t-il sauvagement, la faisant de nouveau crier.
A suivre
Pour l’instant ça se passe entre la belle mère et le beau-fils. La fille va-t-elle intervenir ? Suspense