C’est dans les vieux pots…. par Eric_2
J’ai toujours eu une attirance pour les femmes plus âgées que moi. Il m’était arrivé lorsque j’étais étudiant de rencontrer des femmes mariées, délaissées, dans la quarantaine, qui cherchaient à revivre une seconde jeunesse surtout au pieu avec un jeune branleur de 19 ans, dans l’espoir de se faire défoncer une grande partie de la nuit et de rentrer chez elle le con et le cul brûlant non plus de désir, mais d’overdose de baise.
J’ai rencontré ma femme il y a quatre ans, tout se passait bien au début et à tous les niveaux ! Puis vint le moment où je fus présenté à sa famille. Sa mère était divorcée et dès notre première rencontre je sentis le désir monter dans ses yeux mais pour moi, à cette époque, c’était une femme inaccessible. Claudette mesure 1,70 m pèse 95 kg et est dotée d’une poitrine généreuse de 115 F, elle avait 46 ans et moi 21. J’étais ravi de m’entendre aussi bien avec ma belle-mère tellement bien qu’un matin en passant prendre un café, chez elle comme je le faisais parfois, j’entre, je la salue, quatre bises sur les joues mais comme à chaque fois elle cherchait le coin de mes lèvres je n’en fais rien, elle prenait son thé. Puis elle me dit :
– Mon petit gendre, tu veux bien me donner du lait s’il te plaît ?
Je m’approche du frigo et sort un pack de lait que je ramène sur la table près d’elle. Elle me regarde avec des yeux de braise et ajoute :
– Je t’ai dit du lait mais, c’est ton lait que je veux, t’as pas compris jeune baiseur, tu me rends folle depuis le premier jour, petit con, quand Henri (son ami et qui l’est encore aujourd’hui) me baise c’est à toi que je pense ! Je n’en peux plus !
Sur ces dires, je sors ma bite et lui montre en lui disant :
– Je suppose que c’est de ceci dont vous voulez voir couler le jus ?
Elle m’attrape la pine et se met à sucer comme une pompe, elle ouvre son peignoir, je vois enfin sa chatte épilée, toute luisante d’où dépassait une intrigante ficelle. Je lui demande :
– Le proverbe est-il exact ? Est-ce dans les vieux pots que l’on fait la meilleure soupe avec des carottes nouvelles, vieille salope ?
– Pardon, qu’ais-je entendu ?
– Oh, pardon, je m’excuse, je ne voulais pas !
Elle me lâche un instant la bite pour me dire :
– Oui mon chéri, et tu ne seras pas déçu de la vieille salope ! Tu peux me traiter de tous les noms, ça m’excite.
Elle me suçait en me doigtant le cul ce qui me fît juter et elle s’arrangea pour que tout tombe dans son thé. Heureux de m’être fait sucer par Claudette, je la regardais boire son thé au jus de burnes, elle termina son bol et me dit :
– T’as bien une heure à me consacrer ? J’ai les trous en feu ! ! Ce petit déjeuner m’a fait oublier ma ménopause, viens au salon !
On arrive dans le salon, elle se met à quatre pattes sur la table basse, et me supplie de lui prendre le cul comme ça. Le spectacle de ce gros cul, me rendit fou et cette ficelle qui lui sortait du fion m’intriguait, je lui demande alors :
– T’as quoi dans la chatte avec une ficelle de rappel ?
– Des boules de geishas chéri, trois grosses boules pour que je sois toujours prête à emmancher n’importe où !
Je tire sur la ficelle d’un coup sec et je vois effectivement trois boules attachées les unes aux autres, des boules de six ou sept centimètres de diamètre. Elle crie et jouit en se titillant le clito en me demandant de l’enculer, bandant comme un âne je m’exécute, je rentre dans ce trou du cul aussi facilement que dans une chatte, elle serre un peu et me dit :
– Jouis moi dans le cul j’adore ça.
Je lui limais la figue, mes couilles tapaient sur sa chatte dégoulinante de mouille je ne pus me retenir et lâchais ma purée, elle se retourna me suça pour me nettoyer ma bite pleine de foutre et d’autre chose aussi, et me demande de la branler.
Je commence à lui caresser le clito et ses bouts de ses seins énormes, elle frissonne de désir et me dit :
– Pinces moi les bouts, pinces moi le clito, mords-moi les bouts de seins je jouis aussi par ici ! Elle te plaît la vieille salope ?
– Oh oui tu me plais, dis-je en continuant de lui trifouiller la chatte enfonçant les doigts sans aucun effort (quatre doigts étaient entrés)
– Rentre ta main et fouille moi, je jouis comme une dingue comme ça !
Je n ‘en croyais pas mes yeux j’avais mis ma main entière jusqu’au poignet dans ma belle-mère et elle jouissait, la cochonne ! Elle me dit :
– Continue salaud ! Fais la jouir ta vieille pouffiasse, je ne pense qu’à baiser et j’aime me faire fouiller je vais pisser tellement c’est bon !
En effet elle lâcha un jet de pisse énorme et cria de plaisir pour me dire ensuite :
– Viens dans ma chambre j’ai des outils !
– Quels outils demandais-je ?
– Des gros godes et de la vaseline tu vas me baiser avant de partir quand même non ?
– Oui Claudette j’ai envie de gouter à ton trou de pisseuse ! »
Arrivé dans sa piaule, elle sortit cinq godes dont trois énormes elle se mit les plus gros dans le cul sans forcer, j’ai compris pourquoi j’étais rentré tout à l’heure sans forcer et sans élan ! Elle s’allonge sur le dos et me dit :
– Bourre moi ! Défonce-moi, fais jouir ta vieille pute !
Sa chatte béante m’excitait et je commençais à l’enfourner. Les godes dans son cul ne me gênaient même pas. Elle se prit quatre ou cinq pieds et je lui déchargeai mon foutre au fond de sa conasse trempée. L’ayant vu pisser et aimé ça peu avant, je me laissais débander et je lui écartais la chatte en lui disant :
– T’aimes la pisse ? En voilà grosse morue !
Je lui remplis le con de ma pisse chaude elle se remet à jouir et se baratte le fion plein d’urine. L’heure tournant je la laissais au pieu le con et le cul plein.
Voilà la première fois que Claudette s’est offerte à son gendre
La prochaine fois je vous raconterai comment j’ai baisé sa meilleure copine avec qui elle partageait des pines évidemment ! En plus ça rime !)
Eric
à suivre
J’ai toujours aimé me faire sucer la bite par des vieilles salopes. J’aime bien aussi leur bouffer leur vielle chatte et respirer l’odeur de leur gros cul. Il faudra qu’un jour j’écrive tout ça pour que ce soit publié sous forme de récit, c’est que j’en ai des choses à dire.
« – Je suppose que c’est de ceci dont vous voulez voir couler le jus ? »
L’auteur s’imagine-t-il vraiment qu’il ya des gens qui parles de cette façon ?
Jolie texte bien illustré