Apéritif très spécial par Paul et Julie
Je vais vous raconter une histoire qui m’est arrivée… à moins que ce ne soit qu’un fantasme, allez savoir ?
Je ne m’attarderais pas sur la présentation, je suis Paul et je vis depuis plusieurs semaines avec ma copine, Julie, (une belle rousse aux yeux bleus, très délurée, très branché sexe, un rien allumeuse et exhibitionniste) nous nous entendons plutôt bien, et elle adore parfois me dominer. Etant de nature soumise, j’adore me laisser faire et jouer à ces jeux. Nous avions jusqu’à présent limité ce genre de fantaisie à notre sphère intime sans y mêler d’autres personnes, mais Julie me répétait sans cesse :
– Un jour je te dominerais devant un couple ! Tu voudras bien ? N’est-ce pas ?
– Je ne sais pas !
– Tu le feras pour me faire plaisir, pour m’exciter, et parce que tu m’aimes et que moi aussi je t’aime et puis je suis sûre que tu adoreras !
– Oui, bon, je te fais confiance !
Ce soir-là, nous étions Julie et moi invités chez des amis pour prendre l’apéro.
-Tu verras, ce sont des petits coquins, il se passera peut-être quelque chose ! M’avait prévenu mon amie !
Nos hôtes étaient Virginie, une belle fausse blonde avec un très joli visage, assez mate de peau et son copain Laurent. Ils étaient très sympathiques et très décontractés. La discussion aborda assez vite des sujets coquins et Julie cru pertinent de confier que j’avais le corps entièrement rasé ! Cela avait l’air d’intéresser nos interlocuteurs, et ma copine sans que j’y prenne gare demanda à Virginie s’il elle voulait me voir nue ! Celle-ci sur le ton de la plaisanterie lui répondit : « oui ». Alors d’un ton autoritaire Julie m’ordonna :
– Alors qu’est-ce que tu attends ? Lève-toi et déshabille-toi ! Tu ne vas pas contrarier Virginie tout de même !
L’heure était donc arrivée ! Que faire ? Ne pas m’exécuter l’aurait vexé, et ma nature soumise reprenant le dessus, j’ai donc obéi, et me suis retrouvé nu sous les regards égrillards de Virginie et Laurent.
– Tourne-toi, montre-nous ton cul ! Dit ma copine.
– Ecarte-toi les fesses ! Ho ! Le joli trou de balle ! Mets-toi à quatre pattes et écarte mieux tes fesses ! surenchérit Virginie.
– Tu sais que tu as de belles miches pour un homme ! rigola Laurent.
Nos amis rigolaient vraiment et se moquaient de moi.
– Allez, montre-leur comme tu te branles le cul mon amour !
Les rires de nos amis redoublèrent. Moi, assez excité je l’avoue, je me suis léché un doigt et j’ai commencé à me masser la rondelle. Quand elle fut suffisamment lubrifiée je me la suis pénétrée de l’index, et j’ai commencé à me doigter par de petits mouvements.
– Une vraie salope mon mec hein ? (J’adore quand elle m’insulte)
– Tu l’as dit ! Reprit Virginie
– Tu as déjà enculé un mec, Virginie ?
Et sans attendre de réponse, Julie sorti de son sac notre gode ceinture.
– J’avais apporté ça, au cas où… Précisa-t-elle
– Whoua ! Le super truc ! Nous aussi on a un gode, mais il n’est pas comme ça, j’ai déjà enculé mon homme avec, mais jamais personne d’autre !
– Ça te dit, alors ?
– Hummm ! je crois bien que ça me dit !
Ça m’étonne pas t’es une belle cochonne, tiens tu m’excites…
Julie ne termina pas sa phrase, sa bouche avait collé celle de Virginie et nos deux coquines se roulaient un patin d’enfer avec une telle intensité que la salive dégoulinait sur leurs mentons respectifs.
– Allez, déshabille-toi et passe-toi ce truc ! Et toi grosse chienne prépare-toi à te faire enculer par une belle débutante !
Virginie s’exécuta et se retrouva très vite nue avec ce sexe artificiel. Je la contemplais m’attardant sur ces seins droits comme des obus et terminés par de larges et épais tétons rosés. Cette vue me troubla et me provoqua une vive érection. Aussi je me dis que me faire dominer par cette femme ne pourrait être qu’un plaisir…
– Attends, laisse-moi me régaler un peu ! Intervint encore Julie qui pencha sa bouche sur le bout des seins de la blonde pour les sucer, les lécher, les aspirer.
Virginie poussait des petits cris de plaisirs, puis ma copine entreprit de passer derrière pour lui lécher les fesses. Du coup notre hôtesse m’ordonna d’avancer :
– Tu vas sucer cette queue d’abord ! Ordonna-t-elle
Chose que je fis pendant que Julie prenait mon relais et préparait mon petit trou à cette sodomie. Quand j’englouti le sexe artificiel au plus profond de ma gorge tout le monde applaudi, sauf Laurent qui avait les mains prises. Forcément, il avait sorti sa belle queue et commençait à s’astiquer.
– Bon ça suffit maintenant, tu vas de faire tringler, salope !
Virginie se plaça derrière moi et appuya le gode contre ma rosette. Puis me pénétra de quelques centimètres
– Tu la sens bien, ma queue ? Réponds-moi !
Et sur ces mots elle m’enfonça d’un coup violent le gode entier en moi m’arrachant un cri de douleur et de surprise.
– Oui, tu l’as senti, petite pute !
Elle commence elle aussi à m’insulter, pour mon plus grand plaisir ! Elle n’avait pas menti et n’avait certainement jamais enculé un mec avec un gode ceinture, (la technique étant différente qu’avec un gode ordinaire) ; car elle ne laissa pas le temps à mon petit trou de s’habituer au gode et commença déjà de violents va-et-vient qui me faisaient un peu mal… au début !
– Tu aimes mes coups de queue, hein ?
Et elle ponctuait chaque coup de rein par de petits cris :
– Han ! Han ! Han ! Han !
– Alors mon amour de pétasse tu te fais bien défoncer ? Demanda Julie
– Ho ! Oui ! Répondis-je sous les rires de l’assistance
– Dis donc Laurent, dit ma copine, on dirait que le spectacle te fait l’effet, c’est bien raide tout ça ! Je suis sûre que Paul aimerait bien te faire une petite gâterie n’est-ce pas ? Ça sera une première !
Laurent, pour toute réponse s’empressa de se déshabiller entièrement et se retrouva devant moi, sa jolie bite à dix centimètres de mon visage. J’hésitais un peu, cela était un de mes fantasmes mais il fallait franchir le pas.
– Allez suce-le ! M’encouragea Julie, suce-le comme une salope !
– D’accord, approche toi, Laurent je vais bien te la sucer ta bonne queue !
Et il m’enfonça sa pine au fond de ma gorge et je commençai donc à le sucer. Ça avait un goût et surtout une odeur un peu forte mais pas désagréable
– Quelle poufiasse ! Non content que je lui lime le fion, (et elle avait accéléré le mouvement), il lui faut une queue dans la bouche. Hummm, j’aimerais bien qu’il le suce bien à fond ! Tu crois qu’il va le faire ? Demanda-t-elle à Julie.
– Bien sûr ! C’est une petite salope, et il va tout avaler !
Je crois que ces mots on eut raison de Laurent qui sortit de moi et me balança son sperme en pleine gueule. Chaque giclée atteignit une partie différente de mon visage si bien que j’étais recouvert complètement de foutre
– Maintenant avale ! Pétasse !
Laurent me caressait le visage de sa bite récoltant au passage un peu de cette semence, et m’introduisit sa queue pour que je goutte. C’était un peu amer mais sous les ordres des filles qui me demandèrent d’avaler, je m’exécutai. Laurent renouvela l’opération et me nettoya de cette façon tout le visage
Virginie sortit de mon cul et éclata alors de rire :
– Regarde-moi ça, il est complètement dilaté, il a du mal à se refermer. Tu vas me nettoyer ce gode ! Dit-elle alors, complètement excitée et en se frottant la chatte de ses doigts.
Voilà qui ne me disait pas grand-chose, l’engin était maculé de quelques traces brunes qui ne m’inspiraient pas vraiment. Aussi je commençais à protester. Mais Virginie insista :
– Dis donc pédale, tu ne vas pas nous faire une comédie pour trois traces de merde, après tout c’est la tienne ! Moi quand Laurent m’encule, je lui nettoie la bite, alors je ne vois pas pourquoi tu ne ferais pas pareil !
– Mais…
– Mais quoi ? Tu es une petite salope, et les petites salopes ça nettoie, n’est-ce pas Julie ?
– Absolument ! confirma ma copine.
Que voulez-vous faire devant de tels arguments ? Je respirais un grand coup et introduisit le gode dans ma bouche et entrepris de le nettoyer, heureusement le goût n’était pas très prononcé et je me surpris au bout de quelques courtes minutes à trouver un plaisir très pervers à cette tache bien particulière.
– Mais c’est qu’il aime ça ce gros vicelard ! Commenta Virginie. ! Alors c’était comment ?
– J’en sais trop rien, mais ça m’excite, tout ça !
– T’es qu’un enculé, un suceur de bite, et en plus tu suces la merde, t’es vraiment un gros porc ! Me dit ma copine !
– C’est bien vrai ça ! Répondis-je !
– Bon allez on se fait une petite pause et on va trinquer !
Je pensais bien sûr que cette pause me concernait aussi, mais Virginie assez déchaînée ne l’entendait pas de cette oreille !
– Non toi tu restes là à quatre pattes, et le cul bien ouvert, tu boiras plus tard, t’inquiète pas on te garde ta part !
– Quel pédé ton mec quand même ! dit Laurent !
Il disait cela sans aucun mépris, mais avec amusement et beaucoup de malice, je compris alors que les fantaisies n’étaient pas tout à fait terminées. C’est alors que Julie pris son air le plus vicieux possible pour lui répondre :
– En fait, pas complètement, moi je voudrais bien mais il faudrait qu’il se fasse enculer par un mec ! Ça te branche ?
– Pas de problème, enculer un joli petit cul de pédale, ça me convient tout à fait !
– Nos hommes sont des gros cochons commenta Virginie !
– Et nous on est des belles cochonnes, rétorqua Julie qui se baissa au niveau de son pubis et commença à lui lécher la chatte.
Virginie se laissa faire, mais jugea plus confortable de s’allonger sur le sol, les jambes ouvertes, laissant ma copine s’installer après qu’elle se soit déshabillée à toute vitesse… Celle-ci agitait sa langue en de rapides petits tourbillons au niveau du clitoris. Le spectacle de Virginie les yeux fermés s’abandonnant au plaisir, la peau rougissante et les tétons dressés était d’un érotisme très troublant et quand sa copine hurla sa jouissance la queue de Laurent avait atteint sa raideur maximum. Je compris que j’allais y passer !
Il commença, aidé par Julie à débarrasser la table du salon et m’y fit allonger sur le dos les genoux relevés sur les épaules, puis se saisit d’un préservatif. Je bandais moi aussi comme un fou, la bite dressée, autant que celle de Laurent qui s’approcha de mon intimité, et sous les encouragements des filles, il me pénétra violement. Je me sentis tout à coup envahi par sa queue qui resta quelque temps immobile dans moi.
– Je veux t’entendre dire que tu es une salope ! Tu es une salope, pas vrai ?
– Oui une grosse !
– Et tu aimes de faire enfiler ?
– Oui ! C’est bon une bonne bite dans le cul !
Et il commença des mouvements lents mais de grande amplitude tandis que tout le monde s’amusait à m’insulter.
– Pétasse ! Regardez comme il bouge
– Et sa bite de pute est super dure ! Enculé, va !
– Ho oui, tu es un vrai enculé maintenant ! Et tu aimes ma queue dans ton trou du cul hein ?
– Hum ! Une belle bite dans mon cul de salope oui !
Julie entretenait mon érection et me branlait délicatement, et là je ne sais ce qui passa par la tête de Virginie mais elle se dirigea vers mon visage et commença à me cracher dessus, ce qui m’humilia davantage. Laurent commençait à me faire mal et heureusement il dit aux deux filles qu’il n’en pouvait plus et allait se vider
– Balance tout sur sa bite ! demanda Julie
Alors Laurent s’exécuta, ôta sa capote et me balança sa purée pour la deuxième fois, mais ce coup-ci sur la queue. Les deux filles devant le spectacle applaudirent.
J’étais allongé, la rondelle dilatée, le ventre couvert de sperme, la figure pleine de salive !
Puis Virginie s’accroupit au-dessus de mon visage !
– Suce mon trou du cul ! Nettoie le bien, je suis une vraie cochonne, je n’ai jamais vraiment su m’essuyer à fond, j’ai toujours un peu de merde collée au cul.
Je pensais qu’elle exagérait, mais j’obéissais rencontrant une odeur assez acre mais qui ne me dégoûtait pas, et me livrait à ce très excitant petit nettoyage que l’on me demandait !
Julie proposa à Virginie de me terminer et elle accepta, elle se releva et passant devant mon cul ne put s’empêcher de me le trifouiller du pied, m’introduisant même un orteil. Elle cracha sur ma pine et commença à me branler d’une main tandis que l’autre je vous le donne en mille, me pénétra de deux, trois doigts et je pense même plus. Mon excitation était telle que vingt secondes plus tard mon sperme gicla et Virginie s’amusa à le mélanger à celui de Laurent
– Cette salope de Paul va goûter cette mixture ? demanda une Virginie que je ne reconnaissais plus. Et elle me demanda de lui nettoyer la main je m’exécutai et franchement le goût ne changeais pas vraiment.
Julie m’embrassa
– Je t’aime ma salope ! Tu es couvert de sperme, un vrai vide couille ! Il faut nettoyer maintenant !
Et sur ces mots elle se mit au-dessus moi et me pissa sur le corps. Quand elle eut fini, elle fit signe à nos deux amis qui comprirent et en firent autant. Laurent se mit debout derrière moi et me pissa de grands jets dessus, insistant sur mon trou du cul. Virginie elle vint carrément sur mon visage et m’inonda de son urine.
– Ouvre la bouche ! Bois ma bonne pisse.
J’en avalais une bonne rasade, mais fut quelque peu surpris lorsque je constatai qu’une fois sa miction achevée, Virginie ne quitta pas sa position, avança juste de quelques petits centimètres et se mit à pousser.
– Qui c’est qui va recevoir un joli caca sur la figure ? Me nargua-t-elle.
Au point où j’en étais, j’acceptais le cadeau qui me dégringola sur la tronche. Virginie m’en débarrassa, je trouvais d’abord le geste délicat avant de comprendre que cette diablesse s’étant salie les mains pendant opération m’invita ensuite à les lui lécher.
Ce fut tout pour le sexe ce soir-là, nos amis se livrèrent à un petit ménage tandis que j’allais prendre une douche, puis nous avons retrinqué ensemble en grignotant des petits amuse-gueules, (ça creuse tout ça !)
Un peu plus tard, en partant sur le pas de la porte Julie précisa qu’évidemment elle leur rendrait l’invitation ce qui acceptèrent avec de grands sourires.
Nous sommes donc partis main dans la main et elle me dit :
– Je t’aime Paul !
– Moi aussi ma chérie. Tu sais j’ai bien aimé lécher le cul de Virginie, on n’a jamais fait ça tous les deux.
– Je n’avais jamais osé te le demander, mais maintenant que ça te branche, on va pouvoir incorporer ça à nos petits jeux.
On s’embrassa et l’on se demanda quand on pourrait les inviter, mais nous savions déjà que ce serait le plus rapidement possible
Paul et Julie
(Réédition améliorée et enrichie d’un texte paru anonymement sur Sophiexxx en 2000 sous le titre » un fantasme…
J’avais lu un texte ou des gens prenait l’apéro, en fait une femme s’introduisait des olives dans le cul et les chiait dans une assiette.
Vous pensez que je pourrais retrouver ce texte ?
Serait-ce celui-ci ?
http://wp.vassilia.net/histoires/initiation-speciale-pour-couple-une-aventure-hors-serie-de-maitresse-kriss-par-boris-vasslan
ou celui-ci
http://wp.vassilia.net/histoires/une-decouverte-par-francois_urophile
ou celui-là
http://wp.vassilia.net/histoires/sandrine-ma-soeur-par-makoshark
Merci Eddy, t’es super
Je t’embrasse sur la bite 😉
On va dire que ça manque quelque peu d’élégance
Merci à Vassilia d’avoir le courage de nous permettre de lire de bons récits avec des passages scato.
C’est une pratique que je goute de temps en temps et je ne me suis jamais considéré comme anormal
Bises ♥
Cool !
Tout cela fait un peu artificiel, mais certaines évocations sont néanmoins assez émoustillantes.
En voilà un apéritif que j’aurais bien aimé partager avec ces braves gens