Initiation scato pour couple
une aventure (hors série) de Maîtresse Kriss
par Boris Vasslan
RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DE NOMBREUX PASSAGES SCATOS EXPLICITES
Un lecteur m’avait demandé d’écrire « l’initiation très scato d’un couple ». Il souhaitait aussi que l’initiatrice soit Kriss, la Kriss de la série « Maîtresse Kriss », Pourquoi pas ? Je l’ai donc fait sans pratiquer aucune auto censure et en me laissant aller. Mais j’ai tenu à ce que mes personnages restent humains et respectueux. Ce qui ne me paraît nullement incompatible avec le thème proposé. Bonne lecture.
Je serais la narratrice de cette courte histoire, je suis Angélique, j’ai 25 ans et suis d’origine antillaise, je suis la soubrette particulière de Madame Kriss, enfin soubrette, c’est mon titre officiel, parce qu’en réalité je serais plutôt bonne à tout faire, assistante de plaisir et même papier à chiotte.
Ma maîtresse a hérité d’une riche fortune, elle ne travaille pas, mais passe parfois de forts curieuses petites annonces afin d’agrémenter ses journées.
Sa spécialité ce sont les séances sado-maso, elle aime ainsi diriger de longues séquences où plusieurs soumis vont être fouettés, pincés, ligotés, humiliés… Mais elle ne fait pas que cela, voulant un peu varier son registre, elle a un jour passé une annonce comme ceci :
« Belle jeune femme autoritaire, mais compétente, se propose d’initier couples, femmes, hommes aux fantasmes les plus extrêmes, avec ou sans domination… »
Ces séances étaient souvent très excitantes, surtout quand c’étaient des couples qui répondaient. Certains voulaient s’initier à la bisexualité, d’autre à la domination, à l’uro, les demandes en scato n’étaient pas si rares et je vais ici vous en narrer l’une d’entre elles…
– Ah voici nos invités, Angélique, va donc ouvrir !
Il se présente, Fabrice un grand frisé, moustachu, l’allure sympathique, sa compagne Florence, rousse et joli visage souriant, parait un peu réservée.
– Bonjour, entrez ne soyez pas intimidé, Voilà c’est donc moi Kriss, rassurez-vous on va faire ça en douceur, j’ai l’habitude.
– En douceur, mais il faudra peut-être nous forcer un petit peu ! Intervient l’homme.
– Ne t’inquiète pas ! On va se tutoyer d’accord ? Je suppose que vous avez essayé plein de trucs, vous pouvez m’en parler ?
– On a fait un peu d’échangisme, on est un peu bi tous les deux, j’ai déjà sucé des bites, on a essayé le SM mais faut pas que ça aille trop loin, par contre pour l’uro, on est vraiment accro…
– Et donc vous souhaitez que je vous initie à la scato, c’est ça ?
– Pas. vraiment une initiation, on a déjà fait des trucs, se regarder faire caca par exemple. J’ai déjà léché des traces sur les doigts ou autour de l’anus… Ou aussi un gode qui sortait de mon cul. Mais Florence ne l’a jamais fait… Et quand on a essayé d’aller plus loin, on bloque….
– Et quand tu l’encules, tu ne lui a jamais demandé de te nettoyer la bite ?
– Non, je voudrais bien mais je bloque ! Répond l’intéressée.
– On va essayer de voir ce qu’on peut faire… D’ailleurs vous ne pouviez pas tomber mieux, j’ai un gros caca en préparation. Je vais vous faire un joli boudin rien que pour vous ! Elle n’est pas belle la vie ?
Le couple sourit, mais on sent un peu d’appréhension.
– Bon on va pas se précipiter comme des bêtes non plus, on n’est pas à cinq minutes, je vous propose deux choses on va prendre l’apéro gentiment, et puis on va tous se mettre à poil, ce sera super sympa.
Kriss ôte son kimono, elle est en sous-vêtements en dessous, un bel ensemble rouge. Bien sûr elle aurait pu s’en dispenser, et rester nue sous le vêtement de soie, mais elle sait aussi combien le fait pour une femme de se déshabiller devant un homme peut être excitant.
– Ça va, je vous plais ? S’inquiète-t-elle avec le sourire.
– Bien sûr ! Vous êtes très belle ! Répond Florence avec une spontanéité qui l’étonne elle-même.
– OK ! Allez, on enlève tout ça !
Un petit regard complice entre l’homme et la femme, un petit mouvement de sourcil qui doit signifier quelque chose comme « quand faut y aller, faut y aller… » et ils commencent à se déshabiller.
– Vous retirez tout ! Précise Maîtresse Kriss. Moi, j’enlèverais le reste quand vous serez à poil !
L’homme est déjà nu, rien de spécial une musculature très moyenne, un sexe très moyen, rien de spécial donc hormis le fait que son torse soit entièrement épilé. Le genre de détail que ma maîtresse remarque tout de suite, celui-là doit être un jouisseur prêt à essayer plein de choses. C’est plutôt bon signe. Florence a enlevé sa culotte, il ne lui reste plus que le soutif, elle ne se presse pas rangeant consciencieusement ses affaires sur une chaise. Il faudra qu’on m’explique pourquoi tant de femmes qui se déshabillent finissent par le soutien-gorge et non pas par la culotte comme on le croit généralement. Ça y est, ses seins sont à l’air, plutôt petits, en forme de poire, mais adorables, vraiment adorables.
– Ben dis donc toi, tu ne crois pas que tu vas rester habillée, non ! M’apostrophe-t-elle
Je me déshabille à mon tour tandis que maîtresse Kriss dévoile ses secrets à ses invités. Coquinement elle se pince et se tire les bouts de ses seins,
– Venez les sucer, vous en mourrez d’envie !
C’est Fabrice qui se précipite sur le sein droit et qui gobe le téton comme s’il n’avait pas mangé depuis huit jours. Sa femme, elle, prend son temps, elle avance à pas de chatte, tout sourire, approche doucement sa bouche et enduit de salive le délicieux bourgeon.
J’ai sorti trois flûtes que j’ai disposé sur la table, parfois ma maîtresse me fait trinquer avec ses invités, d’autre fois non, ça dépend…
– Quel champagne boirez-vous ? Demandais-je.
– Le tien ! On se réservera le mien pour la fin !
Nos invités ne sont pas fous et commencent à se douter que ce champagne risque d’être un peu particulier. En effet je prends la première flûte et me la place sous le sexe, j’ai l’habitude désormais, quelques instants de concentration suffisent et le liquide, un beau liquide jaunâtre s’y écoule, je rempli ainsi les trois verres et déverse le trop plein dans une cruche en cristal.
– Dois-je aller chercher des olives, Madame ?
– Non, nous ferons peut-être ça à la fin, si tout se passe bien il est peut-être un peu tôt, apporte-nous plutôt des bretzels.
Tout le monde s’assoit. Maîtresse Kriss lève son verre et trinque avec le couple qui goûte du bout des lèvres.
– C’est la première fois que vous goûtez à un pipi qui n’est pas le vôtre ?
– Non, on l’a fait une fois avec un couple échangiste… Mais je dois dire que celui-ci est vraiment fameux ! Apprécie Florence.
– Trempez un bretzel dedans, vous allez voir comme c’est délicieux.
Ils essaient les bretzels, sans enthousiasme particulier mais sans réticences.
– C’est quoi les olives ? Excusez-moi d’être curieuse ! Demande Florence
– Vous ne préférez pas les surprises ?
– C’est comme vous voulez, mais j’avais envie de savoir.
– Et bien, Angélique va s’introduire une vingtaine d’olives dans le trou du cul, puis les chier une à une. Evidemment il faudra tout manger…
– Ça alors ! Se contente de répondre Florence…
Mais on voit bien que cette perspective ne la rend pas indifférente.
– On peut soit tout mettre dans une assiette, sinon on peut aussi les recueillir à la source, vous collez votre bouche sur son anus, elle vous chie l’olive dedans, et vous n’avez plus qu’à recracher le noyau.
– Il faudra absolument qu’on essaie ! Hein, Fabrice ?
Le Fabrice parait en ce moment beaucoup moins enthousiasme que son épouse.
– Nous allons passer aux choses sérieuses ! Prévient maintenant Maîtresse Kriss. ! On fait ça « décontract », où alors vous préférez que je vous domine. Ce serait peut-être plus facile, non ?
– On va essayer comme ça, et si vous voyez qu’on hésite, vous nous dominerez ! Répond Florence.
– Si je vous domine, ça veut dire que vous acceptez les insultes…
– Oui bien sûr !
– Les coups aussi ? Mais rassurez-vous, on ne va pas vous abîmer !
– S’il le faut : oui !
– Ok ! Angélique, va nous chercher une grande assiette et des pinces.
Maîtresse Kriss se lève alors de son siège et vient se positionner derrière Florence, elle lui attrape les tétons et les serre.
– Tu aimes ?
– Oui !
– Ça t’excite ?
– Oh, oui !
Du coup elle lui fixe une pince sur chaque téton, provoquant chez notre invitée des soupirs assez ambigus où se mélange la douleur et le plaisir. Elle vient ensuite derrière le mari et lui fait connaître le même sort. Elle monte ensuite alors sur la table, tourne le dos au couple, l’assiette est sous ses fesses.
– Regardez-moi bien chier ! Je vais vous pondre une jolie merde !
Elle pousse, ouvre son anus !
– Mais avant, Florence tu vas m’introduire un doigt !
Elle le fait sans discuter.
– Est-ce que tu sens mon caca ?
– Oui !
– OK, tourne alors ton doigt, puis tu vas le ressortir, le sentir, puis le lécher et le sucer.
La femme fait ce qu’on lui dit de faire, elle regarde son doigt maculé de merde de façon dubitative. L’approche de son nez, le hume…
– Alors ?
– Ça sent la merde. Répond-elle d’une voix peu assurée.
– Et elle sent bon, ma merde ?
– Ben… c’est spécial… mais ça me gêne pas trop.
– A la bonne heure, maintenant tu le mets dans ta bouche !
Elle hésite, reprend sa respiration, essaie de nouveau.
– Je… je… je n’y arrive pas !
– Donne ton doigt à Fabrice, alors !
Le Fabrice, lui n’hésite presque pas et lèche tout cela à grands coups de langue.
– Hum c’est bon ! Dira-t-il en conclusion.
– On refait un essai ? Remets-moi ton doigt dans mon cul, Florence ! Propose Kriss.
De nouveau, un doigt fureteur s’introduit dans le fondement de ma maîtresse, de nouveau il ressort. Florence ferme les yeux, son doigt s’approche très vite de sa bouche. Elle va le faire ? Non au dernier moment elle rouvre les paupières.
– Il fait m’aider… j’ai envie de le faire, mais je bloque.
– Bon, on va arranger ça ! Répond Kriss redescendant de la table.
Elle passe alors derrière Florence, lui agrippe les cheveux :
– A genoux pétasse !
Kriss la toise !
– Alors comme ça on ne veut pas goûter à la bonne merde de sa maîtresse !
– Si ! Si ! Mais, il faut m’aider !
– En te punissant ?
– Si vous voulez !
Clac, clac !
Elle ne s’attendait pas à la gifle !
– Tu en veux une autre, ou tu te décides à te foutre ce doigt dans ta bouche ?
Pour la troisième fois, Florence se force, les yeux fermés elle dirige son doigt vers ses lèvres. Nouvel échec, nouvelle paire de gifles. Cette fois Kriss saisit le poignet de la jeune femme.
– Tends ton index et garde la bouche ouverte
Florence obéit, tandis que la dominatrice dirige sa main vers son visage. Ça y est le doigt est entre ses lèvres.
– Maintenant tu suces et tu lèches !
Elle le fait, d’abord timidement puis se prend au jeu, et finalement lèche comme une forcenée.
– Tu as vu, Fabrice, je l’ai fait ! J’en suis pas morte !
– Bravo ma chérie !
– Humm ! Finalement c’est bon, ça a un bon arrière-goût !
– Brave fille ! Ça va, je ne t’ai pas fait trop mal ?
– On va dire que ça fait partie du jeu !
– Bon reprend ta place, on va continuer !
Kriss se repositionne comme avant.
– Je vais pousser, mais avant, Florence, je veux que tu refasses le même geste que tout à l’heure, mais toute seule cette fois-ci.
Quatrième doigtage de la part de cette charmante personne, cette fois elle met le doigt, le ressort, garde les yeux ouverts. Oh ! Elle a bien hésité quelques instants, mais quelques instants seulement, le porte à sa bouche, marque un très léger temps d’arrêt, reprend sa respiration et l’introduit entre ses lèvres pour finir par le lécher goulûment.
– Délicieux ! Qu’est-ce qu’elle est bonne ta merde ! Dira-t-elle.
– Ben tu vois… Bon, le spectacle commence…
Effectivement, le rectum s’ouvre de nouveau et l’extrémité d’un bel étron brun ne tarde pas à apparaître, puis il grossit, se faufile en tortillant, et finit pas chuter dans l’assiette !
– Que c’est beau une femme qui chie ! S’exclame Fabrice.
– N’est-ce pas ?! Et toi Florence qu’est ce tu en penses ?
Florence ne répond pas, prise d’une envie irrésistible elle se met à embrasser les fesses de la chieuse avec tendresse. Elle semble vouloir aller plus loin, mais se reprend.
Voilà ! Ça vous a plus j’espère, mais maintenant j’ai le trou du cul dégueulasse, vous allez me le lécher, tous les deux !
C’est Fabrice qui s’approche le premier et qui commence à donner de grands coups de langue sur les endroits pollués. Florence le rejoint quelques secondes plus tard !
– Allez ! Et que ça soit bien nettoyé, sinon je vous fous le nez dans la merde.
Mais il n’y avait finalement pas grand-chose à nettoyer et l’opération lèche-cul se termine rapidement. Kriss revient à sa place, mais avant de s’asseoir elle demande au couple :
– Embrassez-vous sur la bouche, maintenant, vous allez voir comme c’est très excitant avec ce petit arrière-goût qui persiste.
Après que les deux invités se soient roulés cette surprenante pelle, Kriss s’assoit entre eux. Etrange spectacle que ces trois-là assis l’un à côté de l’autre, trois flûtes de pisse entamées, et une assiette contenant un étron enroulé sur la table… Ma maîtresse lève son verre !
– A la vôtre, on va reprendre un petit coup !
Tout le monde lève son verre, puis Kriss se saisit d’un bretzel et le plonge dans l’étron qu’elle vient de chier.
– Faites comme-moi, vous allez voir, c’est super, mais il faut faire doucement, il ne faut pas que le bretzel se casse, sinon vous avez un gage !
Fabrice essaie, il tournoie un peu son bretzel, afin de le polluer d’un peu de matière, il goûte tout cela sous le regard amusé de son épouse.
– Ça n’a pas beaucoup de goût, on ne sent que le bretzel.
– C’est normal, répond, Kriss, le goût de la merde est assez neutre sauf pour la partie de la langue qui repère l’âcreté. Comme le bretzel est très salé, c’est son goût qui domine…
– Par contre l’arrière-goût reste dans la gorge ! Précise Florence
– C’est normal ! Mais franchement est-ce que c’est désagréable ? Demande Kriss
– Non pas du tout, on s’y habitue très bien je crois, et puis c’est si excitant, Répond Florence enthousiaste.
Je jette un coup d’œil sur Fabrice, il bande comme ce n’est pas possible. Je lui sucerais volontiers sa bite. Maîtresse Kriss rapproche l’assiette où elle a déposé son étron tout à l’heure et entreprend d’en découper de la main un petit morceau d’environ dix centimètres. Elle le dépose ensuite dans le creux de sa main, l’approche de sa bouche et le lèche de son bout de langue. Pendant qu’elle le fait son regard va de l’homme à la femme. Ils sourient, ils ont compris qu’il leur faudra faire pareil. Kriss tend la main vers Florence. Celle-ci n’hésite plus, sa langue lape l’étron comme un chat qui se régalerait d’une écuelle de lait. Elle parait complètement excitée par cette action, son visage vire au rose bonbon. Quant à son mari c’est avec la même fougue qu’il l’imite, n’y tenant plus il en profite pour simultanément se toucher la bite ce qui provoque un ordre sec de la part de maîtresse Kriss :
– On ne se branle pas tant que je ne l’ai pas autorisé !
Fabrice stoppe immédiatement sans un mot.
– Je n’ai rien entendu, tu as perdu ta langue ?
– Oh ! Pardon Maîtresse, balbutie l’homme se rendant compte alors qu’il est l’objet d’un jeu.
– Et tu crois que tu vas t’en tirer comme ça ?
– Je, je…
– Angélique, donne donc vingt coups de fouet à cet enculé !
Voilà tout à fait le genre d’ordre que j’aime bien exécuter. Sa masturbation n’est qu’un prétexte, il fallait bien une diversion, pour ne pas faire que de la scato… Je demande à l’homme de s’arc-bouter sur un fauteuil et de me tendre son cul. Il le fait sans problèmes. C’est qu’il a des belles fesses, l’animal, et je frappe. J’aime fouetter. Un jour sans doute je serais une dominatrice comme ma maîtresse, il serait dommage que je ne me serve pas de tout ce qu’elle m’a enseigné. J’aime taper fort, j’aime faire mal, mais en me mesurant, en frappant de tel façon que le puni puisse recevoir et continuer à recevoir. Et là je me régale, le type n’est pas vraiment habitué et manifestement il se force à ne pas protester, s’il savait que je peux frapper encore plus fort… Maîtresse m’a demandé de lui administrer vingt coups, je lui en donne deux de plus, comme ça par pure gratuité et parce que c’est un habitude de la maison…
– Et ben dis donc ! Dit-il en regagnant sa place. Elle ne m’a pas loupé !
– Mon pauvre chéri ! Fait semblant de consentir son épouse ! J’espère que tu vas pouvoir t’asseoir !
Kriss a repris son léchage d’étron, elle tend de nouveau la main aux deux invités qui en lèchent de nouveau le contenu. Elle coupe encore un morceau de l’étron, en conserve une partie et le porte à ses lèvres, le maintenant à la façon d’un gros cigare. Florence la regarde d’un air trouble. La maîtresse lui tend l’autre morceau, elle le prend dans ses mains, l’approche de sa bouche, hésite un instant, recule, puis se décide, elle nargue maintenant son mari, son étron entre les lèvres, puis lui tend l’objet afin qu’il fasse de même. Et puis Kriss regarde ses deux élèves leur fait un clin d’œil et soudain engouffre l’étron à l’intérieur de sa bouche !
– Mon dieu ! Chuchote Florence soudain affolée !
Sans doute cette dernière s’inquiétait-elle, croyant que ma maîtresse entreprenait de dévorer l’étron, aussi fut elle rassurée quand elle la vit se contenter de le lécher à pleine bouche à la façon d’un gros bonbon, pour le ressortir après.
– On essaie ? Propose Florence à son compagnon.
Mais il ne l’a pas attendu, Fabrice balade à son tour son étron dans son palais !
– Passe le à Florence, sans mettre les mains ! Ordonne à présent Kriss.
Fabrice ressort le morceau, le maintien entre ses lèvres et s’approche du visage de Florence. Cette dernière s’en empare avec ses lèvres. Elle semble faire un effort pour tout mettre dans sa bouche, mais y parvient, suce un peu le petit étron puis le ressort avec un large sourire.
Kriss a repris de nouveau de la merde dans le plat elle en a dans chaque main, elle se lève passe derrière Florence, et lui en badigeonne la poitrine. Cette dernière se laisse faire sans rien dire. La matière est assez sèche et adhère assez mal, elle rajoute donc un peu du contenu de son verre d’urine pour la fluidifier, elle barbouille aussi le visage, le ventre, les épaules, les cuisses, puis c’est au tour de Fabrice, elle lui enduit le torse, mais aussi le sexe tendu de façon dramatique. Ma maîtresse me fait un signal, j’ai compris et vais chercher une bâche plastique.
– Allez-y ! Installez-vous sur la bâche, léchez-vous partout et faites-vous jouir !
Ils s’y précipitent tous les deux. Fabrice commence à lécher les seins pollués de sa compagne. Puis de façon quasi instinctive ils se positionnent en soixante-neuf, la femme engobant la bite pleine de merde de son mari. L’affaire ne dure pas longtemps. Fabrice finit par éclater de son excitation trop longtemps contenu, mais continue néanmoins à lécher le clitoris de Florence qui explose à son tour quelques minutes après.
Ils se relèvent pantelants.
– C’était super ! Dira Florence. On va prendre une douche maintenant, euh la salle de bain… ?
– Je ne suis pas à cinq minutes, cela a été un vrai plaisir de faire votre connaissance, je vous propose de reprendre un peu de champagne, ce sera le mien cette fois-ci.
Florence regarde alors Kriss d’un air mutin :
– Euh ! On va peut-être boire un grand verre d’eau avant, de la vraie flotte, sinon d’accord pour votre champagne… Surtout s’il y a des olives…
– Mais c’était prévu mon cher !
J’ai donc été cherché le bocal d’olives et après m’être entièrement déshabillée je suis montée sur la table et en position accroupie me suis introduit une bonne dizaine d’olives dans mon petit cul. Au bout d’un moment je n’en pouvais plus, tout cela ne demandait qu’à être évacué, mon regard croise celui de Kriss.
– Encore une ! M’ordonne-t-elle
– Je ne sais pas si je vais pouvoir…
– Mais si !
Cette fois il faut que je me soulage, j’ouvre mon anus, les premières olives dégringolent, puis les autres bien crasseuses et accompagnée de matière.
Maîtresse Kriss tend l’assiette à Florence.
– Je vous en prie, prenez la plus merdeuse !
– Merci beaucoup.
Et Florence introduisit l’olive dans sa bouche pour n’en ressortir que le noyau.
Fin
Alençon – (c) Boris Vasslan
Première publication sur Vassilia, en 8/2003 revue en 3/2017
vasslan@hotmail.fr
Le coup des olives, je vais essayer
A reserver à ceux pour qui ce fantasme parle. Il se trouve que c’est mon cas et que j’ai bien apprécie, c’est très scato sans être morgue ni dégueu, le style est léger, décontracté, bref c’est ludique comme le veut ce site si sympathique.
Complétement farfelu et assez dégueulasse, mais ça m’a bien fait bander. Je retiens les coup des olives, le jour où…
Après avoir lu ce texte, j’ai expérimenté le « coup des olives », c’est effectivement pas mal du tout, enfin moi ça m’a beaucoup amusé et ma camarade de jeu également !
J’ai essayé aussi avec des cerises puisque c’est la saison, ce petit côté sucré/salé est pas mal du tout
Effectivement le coup des olives est génial.
J’y ai joué avec un et une amie.
10 olives chacun(e). Certaines étaient quelques peu goûteuses.