Une soirée pleine d’imprévus par Fétichic et Florence libertine

– Tu es prête, on part dans cinq minutes, lança Marc.

Florence jette un dernier regard dans la glace de la salle de bain afin de
vérifier que rien ne cloche.

– Parfait ! Se dit-elle.

Cette soirée sera une bouffée d’oxygène dans sa vie de couple qui devient un
peu plus monotone de jour en jour. Terminé les petits repas au restaurant,
les virées en amoureux, Marc ne s’occupe plus d’elle comme avant. La
dernière sortie remonte à la nuit des temps et les soirées se passent le
plus souvent devant la télé. Alors quand il lui a proposé de se rendre à la
réception organisée pour le départ de son patron, elle a accepté tout de
suite.

Malheureusement elle connaît déjà quelques collègues de son mari dont les
épouses plus âgées qu’elle ne l’amusent pas beaucoup et le repas risque
d’être un peu ennuyeux, mais tout est bon pour éviter une nouvelle soirée
canapé.

A bientôt 35 ans Florence est une superbe fille, un visage aux traits fins,
de longs cheveux bruns, des yeux bleus, un corps splendide entretenu par une
pratique régulière de la gymnastique, une poitrine pas trop grosse mais bien
ferme, et son meilleur atout, des jambes magnifiques. Enfin une femme qui
attire les regards aussi bien masculins que féminins.
Toujours très féminine, et à la pointe de la mode, elle a revêtu pour cette
soirée une robe simple mais très décolletée qui laisse deviner un adorable
soutien gorge en dentelle. Comme ses jambes sont encore bien bronzées, elle
a décidé de ne pas mettre de bas, par contre elle porte une paire
d’escarpins à hauts talons cachant à peine ses pieds fins, mais forçant la
cambrure du mollet ce qui lui fait une silhouette qui ce soir ne passera pas
inaperçue. C’est ce qu’elle veut car elle a besoin de se sentir désirée,
d’autant que Marc ne lui a fait aucun compliment sur sa tenue, mais ça, elle
s’en doutait un peu.

L’organisateur de la fête a réservé une salle dans un château entouré d’un
immense parc, comme il fait encore chaud en ce mois de septembre, les
invités peuvent déambuler entre l’intérieur, la terrasse et la pelouse. Il y
a déjà beaucoup de monde quand Florence et Marc pénètrent dans la salle, et
après les saluts et les présentations d’usage le couple navigue parmi les
invités. Pas mécontente du tout, Florence constate que beaucoup de regards
se perdent dans son décolleté ou le long de ses jambes, certains hommes
osent un sourire, et elle se dit que si elle n’était pas accompagnée, elle
aurait déjà été courtisée. Cette pensée lui donne une bouffée de chaleur,
c’est vrai qu’au niveau relations sexuelles ce n’est plus l’euphorie des
premiers jours, et les contacts charnels lui manquent énormément, elle s’en
rend compte ce soir.

– Viens, je vais te présenter Jean-Pierre ! S’exclame Marc. Je l’aperçois au
bout du bar.

Florence lui emboîte le pas, ils rejoignent un homme qui doit avoir à peu
prés la quarantaine.
Marc le présente comme son meilleur collègue et s’étonne de ne pas voir sa
jeune épouse.

– Si, elle est là, Christine tu peux venir ma chérie.

Une fille que Florence n’avait pas remarquée se retourne alors. La femme de
Jean-Pierre est très belle et elle dégage une sensualité extraordinaire qui
fait naître chez Florence des sensations qu ‘elle n’a pas ressenti depuis
longtemps.
Les présentations sont faites. Christine tend une main aux longs ongles
parfaitement peints. Le contact est très sensuel d’autant plus qu’en lâchant
la main de Florence elle laisse traîner ses doigts qui lui caressent la
paume, tous en plongeant son regard dans le sien d’une manière très appuyée.
Florence rougis et se dit que cette femme est en train de la charmer. Elle
la détaille un peu mieux et constate qu’elles ont les mêmes mensurations et
que leurs silhouettes sont parfaitement identiques, à la différence que
Christine porte de longs cheveux blonds. Elle est vêtue de ce que l’on
pourrait appeler une micro robe qui cache à peine une poitrine plus
qu’avantageuse, et dévoile de longues jambes nues galbées par des escarpins
à talons vertigineux.

Leur hôte a organisé un énorme buffet et des tables sont dispersées un peu
partout dans la salle. Après avoir remplis leurs assiettes, les deux couples
se dirigent vers une table un peu à l’écart, les deux femmes se retrouvent
assises l’une en face de l’autre.

La conversation file bon train, passant des anecdotes du bureau aux sujets
un peu plus sérieux. Florence y participe vaguement, son attention focalisée
sur Christine avec qui elle échange des regards et des sourires qui
commencent à enflammer son bas ventre.
Tout à coup Florence sursaute, Le pied de sa voisine a touché le sien et le
contact se fait de plus en plus appuyé. Christine lui sourit tout en
participant à la conversation comme s’il ne se passait rien. Florence se
demande jusqu’où va t’elle oser aller et attend la suite avec impatience,
pour une fois qu’il se passe quelque chose d’intéressant. Après un long
moment sans qu’aucune des deux n’aie bougé, Christine retire son pied ce qui
provoque une grande déception chez Florence, mais pas pour longtemps car
maintenant c’est complètement déchaussée que Florence repasse à l’attaque et
avec les orteils, lui caressent la cheville et le dessus du pied. Florence
s’affole et regarde autour si personne ne remarque leur petit manège, mais
là où elles se trouvent le dessous de leur table est assez dissimulé et
elles ne risquent pas d’être vues.

– Nous allons saluer nos collègues de l’informatique, lance Jean-Pierre,
vous venez avec nous ?
– Plus tard, répond Christine, nous avons encore des choses à nous raconter
avec Florence.

Les deux hommes s’éloignent les laissant seules.

– Qu’est ce qui te prends, à quoi joues-tu Christine ?
– Si tu n’aime pas tu peux retirer ton pied, ajoute-elle d’un air malicieux.
– Oui, euh non ! Bredouille Florence, mais on pourrait nous voir.
– Nous sommes assez éloignées, et personne ne s’intéresse à deux femmes
papotant au bout d’une table.
– Oui, mais bon, ça me fait tout bizarre.
– C’est parce que ça te plaît, avoue-le ? Depuis la première minute ou je
t’ai aperçue, j’ai eu envie de toi. Je suis sure que toi aussi, tu dégage
une grande sensualité, mais en même temps une grande frustration, voir un
manque, je me trompe.
– C’est vrai, tu as raison Répond Florence, On ne peut rien te cacher, mais
ici avec tout ce monde…
– Laisse-toi faire, tu ne le regretteras pas ! Lui chuchote Christine.

En disant ces mots, ses orteils tentent de s’infiltrer entre le cuir de
l’escarpin et le pied de Florence forçant celle-ci à se déchausser. Les deux
pieds nus se rejoignent et les orteils de mélangent provoquant chez Florence
de douces sensations.
Des sensations qui la ramènent plusieurs années en arrière, quand elle était
amoureuse de la fille avec qui elle partageait une chambre à l’université.
Elles faisaient souvent l’amour et passaient de longs moments à se lécher
les pieds, ce qui lui donnait toujours des orgasmes puissants.

Ces souvenirs lui rappellent également combien les plaisirs charnels lui ont
manqué ces derniers temps, et qu’elle se sent prête à toutes les folies avec
cette femme délicieuse.

– Je vais faire tomber ma serviette, et tu vas la ramasser, lui propose
Christine.

Florence se penche sous la table et peut enfin voir le pied qui la caresse,
un pied extrêmement fin aux ongles ornés d’un rouge carmin. Les deux jambes
s’écartent un peu plus, et son regard se pose sur un sexe complètement lisse
dont les lèvres gonflées commencent à briller d’humidité.

– Tu te promènes toujours les fesses à l’air ? Demande Florence en reprenant
sa place.
– Oh ! Non, répond Christine, mais ce soir je sentais qu’il allait se passer
quelque chose de sexuel, et j’avais envie d’en profiter librement.
– Et ton mari, il en pense quoi ?
– Le pauvre, il y a longtemps qu’il ne s’intéresse plus à la couleur de mes
sous-vêtements.
– Ah ! , Toi aussi ! Soupire Florence.
– Je suppose que tu porte un string, s’il te plait Florence enlève-le !
– Tu es folle, devant 150 personnes !
– Allez, personne ne fait attention à nous. Fais-le pour moi !

Florence est paniquée, mais la situation commence à l’exciter, elle ne se
sent pas exhibitionniste, mais elle ne peut ignorer le liquide qui commence
à lui tremper le string, donc elle à tout intérêt à l’enlever.
Le plus discrètement possible, elle glisse une main sous sa robe, et d’un
doigt elle écarte l’élastique de sa culotte. En soulevant une fesse et puis
l’autre elle se débarrasse de son sous-vêtement qui glisse le long des ses
jambes.
Pour la deuxième fois elle se plie sous la table, le ramasse prestement et
le glisse dans son sac à mains.
Quand elle reprend sa position bien droite sur sa chaise, elle est rouge de
honte.
Christine la regarde d’un air satisfait et se laisse aller un peu plus en
arrière.
Sous la table le pied de Christine reprend son exploration et écarte les
deux jambes de son amie. Avec une douceur infinie elle caresse l’intérieur
des cuisses en passant de l’une à l’autre. La sensation est extraordinaire,
la plante du pied est si douce que les caresses sont comme du velours. Il ne
faut pas longtemps à Florence pour que ce petit traitement lui fasse monter
des ondes de plaisir. Maintenant elle se moque complètement de ceux qui
l’entourent et n’a qu’une envie, c’est que les orteils qu’elle a pu admirer
tout à l’heure la pénètrent sans plus attendre. Comme si sa douce amie
lisait dans ses pensées, elle avance un peu plus son pied et les orteils
écartent doucement les grandes lèvres du sexe trempé et commence une lente
masturbation. En positionnant son pied de travers, Christine peu faire
pénétrer trois doigts dans le vagin et son amante, et en même temps agacer
le clitoris avec le pouce. La masturbation s’accélère et l’orgasme libère
enfin Florence qui se mord les lèvres pour ne pas hurler de bonheur.

Les deux filles tentent de reprendre une position décente. Florence est
trempée de plaisir et de sueur.

– Cela fait si longtemps que je n’ai pas joui de la sorte, mais je pense que
ça aurait pu être plus intense dans un endroit plus discret.
– Je te promets de réessayer ailleurs. Sourit Christine. Mais tu m’as
tellement excitée qu’il faut que l’on fasse l’amour maintenant. Viens j’ai
une idée.

Elles se lèvent et partent à la recherche de leurs époux. Florence à encore
de mal à tenir sur ses jambes, et elle s’aperçoit que le feu qui la brûle
est loin d’être éteint.

– Dis Florence, tu as quand même du avoir un sacré orgasme, quand j’ai remis
ma chaussure, mon pied a glissé tout seul, je n’ai pas eu besoin de chausse
pied et maintenant je patauge, mais c’est très agréable.
– Toi tu es une sacrée cochonne !
– Tu n’as encore rien vu !

Elles trouvent leurs maris discutant avec quelques collègues de bureau à
l’autre bout de la salle.

– Jean-Pierre, tu me donne les clés de la voiture, je voudrais donner à
Florence un cd qui se trouve dans la boite à gants.

Sans poser de questions, il tend le trousseau à sa femme et reprend la
discussion.
Les deux filles sortent de la demeure et se dirige vers le parking qui par
chance et un peu éloigné du bâtiment et suffisamment dans l’ombre.
Elles atteignent la voiture, une grosse berline que Christine déverrouille
d’une pression sur la télécommande. Elles montent les deux à l’arrière, et
une fois le plafonnier éteint, elles tombent dans les bras l’une de l’autre.
Le premier baiser qui les unit est des plus passionnel, elles se mangent
littéralement la bouche, les langues s’enroulent, les dents s’entrechoquent,
elles s’embrassent comme si leurs vies en dépendaient.
Tout en se léchant les lèvres, elles entreprennent de quitter le peu de
vêtements qui leur reste. Chacune dégrafant le soutien gorge de l’autre,
elles se caressent les seins avec passion.
Christine est enfoncée dans la banquette, ses deux pieds déchaussés en
appuis sur les dossiers des sièges avants. Dans cette position elle est
complètement écartelée, offrant sans aucune pudeur son sexe et son anus à sa
nouvelle copine. Florence sait que son amie attend avec impatiente qu’elle y
plonge sa langue. Mais elle préfère faire durer le plaisir et commence à lui
sucer les seins. Sa poitrine était déjà gonflée par le plaisir et la
sensation de cette langue qui lui tire les tétons transporte Christine sur
une autre planète. Quand la bouche qui la rend folle atteint son ventre et
prend possession de son nombril une vague de plaisir lui perfore les reins.

– Je t’en prie mange-moi le clitoris, fait moi jouir, je n’en peux plus !
Arrive à articuler Christine.
– Attends, je vais te donner autre chose qui te fera hurler.

La poitrine de Florence n’est pas particulièrement imposante. Mais quand
elle est très excitée, comme ce soir, ses tétons prennent une taille
inhabituelle, et deviennent durs comme de la pierre. En prenant en sein dans
une main, elle entreprend de masturber sa compagne en faisant glisser son
mamelon sur le clitoris, en passant par les grandes lèvres, qu’elle écarte
largement, pour finir par forcer son anus déjà bien lubrifié. Les allers
retours se succèdent de plus en plus rapidement, son sexe coule comme une
fontaine, et Christine a l’impression que ce sein va la pénétrer
complètement. Ses cris sont maintenant plus forts. Florence sent sa complice
au bord de la jouissance, et pour la finir en beauté, elle plonge la tête
entre ses cuisses et tout en glissant un doigt dans son anus, son autre main
pénètre son vagin et sa langue gourmande s’enroule autour de son clitoris.
Christine explose dans un orgasme qui la transporte de longues secondes dans
un autre monde.

Elle met plusieurs minutes à reprendre ses esprits tellement la jouissance a
été intense. Elle embrasse Florence passionnément, et sa bouche part à la
rencontre du sein qui lui a donné tant de plaisir. En savourant la poitrine
de son amie, elle y retrouve le goût de son sexe, sa propre odeur la rend
folle et elle déguste les mamelons avec une fougue extraordinaire. La
réaction ne se fait pas attendre et Florence ressent de nouveau le plaisir
l’envahir.
Christine continue la découverte de ce corps délicieux et explore de la
langue et des lèvres chaque centimètre carré.
En arrivant vers les pieds qu’elle trouve admirables, Christine lèche avec
gourmandise la voûte plantaire. Florence adorant ce genre de caresses se
laisse complètement posséder par la bouche qui lui tête les orteils un à un
en même temps qu’une langue agile s’enroule autour de chacun d’eux. Pendant
qu’elle câline amoureusement les pieds de son amante, les mains de Christine
partent en direction du sexe détrempé et déjà bien ouvert de celle-ci. Elle
y rentre facilement trois doigts et avec le pouce lui masse le clitoris.
Avec ce petit traitement Florence ne se maîtrise plus et se laisse submerger
pour la deuxième fois de la soirée par un orgasme qu’elle peut enfin
savourer sans se retenir.
Elles essaient de reprendre leur souffle, tendrement enlacées.

– C’était extraordinaire souffle Florence, je ne me souviens
pas avoir eu des orgasmes aussi forts.
– Et toi, tu m’as fait des trucs de fous, vivement la prochaine fois.
– Oh oui ! On n’a encore tant de chose à découvrir. Mais il faudrait penser
à rejoindre le reste de la troupe, notre absence va finir par se faire
remarquer.
– Ok ! Allons-y ! Laisse tomber Christine avec un air dépité.

Elles se rhabillent et retouchent leur maquillage qui a un peu souffert de
leurs étreintes et se dirigent vers la salle de réception. Heureusement
personne ne s’est aperçu de rien et la soirée se poursuit encore quelques
heures pendant lesquelles les deux nouvelles amies ne se quittent plus. Sur
le chemin du retour Florence est perdue dans ses pensées.

– Tu avais l’air de bien t’entendre avec la femme de Jean-Pierre ? Lance
Marc
– Oui, elle est très sympa, on a décidé de se revoir.
– Ah ! C’est très bien, ça t’occupera.

Le pauvre s’il savait à quoi elles allaient s’occuper, et en songeant à leur
prochaine rencontre elle en salive de bonheur.
Elle somnola le reste du trajet et en repensant au sexe lisse et doux de
Christine, elle décida de prendre rendez-vous dès demain chez son
esthéticienne pour une épilation intégrale.

E-mail: j-louis25@wanadoo.fr

florence895@yahoo.fr

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