Christine et Muriel par Vibescu

L’histoire qui suit est tout à fait authentique à l’exception des prénoms
et de quelques menus détails qui auraient pu permettre de reconnaître les
protagonistes.

PREMIERE PARTIE
Sans préciser l’année, j’ai commencé mes études de médecine à Marseille au
milieu des années soixante-dix, et ce récit se situe lors de ma deuxième
année. Outre les études, je passais mon temps à chercher des partenaires
pour assouvir une obsession sexuelle qui ne s’est guère calmée depuis.
J’avais jeté mon dévolu sur une charmante Christine, grande, mince et brune,
étudiante en pharmacie, connue par des copains communs.

Un vendredi soir, elle accepta d’aller au ciné après un sandwiche, la séance
était très tôt, mais ne me demandez pas le titre du film parce qu’à peine la
lumière éteinte nous nous embrassions à perdre haleine. Sa langue
s’enroulait autour de la mienne, cherchait mes lèvres qu’elle léchait
doucement avant de s’enfoncer le plus profond possible dans ma bouche. En
même temps, une de ses mains me caressait et me griffait la nuque. De mon
côté je n’étais pas en reste et tout en répondant à ses baisers ma main
parcourait son corps : D’abord le visage, juste effleuré du bout des doigts,
le cou, puis les seins, nus sous son tee-shirt. Ils étaient petits mais très
durs et je les massai doucement du plat de la main avant de les englober
dans ma paume. Tout son corps s’arque bouta sur le fauteuil quand je me mis
à triturer ses tétons durcis entre mon pouce et mon index replié. Elle se
mit à sucer ma bouche comme si elle voulait aspirer toute ma salive. Je
poursuivis mon exploration par ses cuisses, mais hélas à travers l’épais
tissu d’un jeans, constatant la chaleur que dégageait son entre jambe, il me
sembla même percevoir une certaine humidité.

Ma queue prisonnière aurait bien voulu si elle l’avait pu percer la toile de
mon caleçon et de mon propre jeans. Christine, un peu plus lucide que moi,
m’empêcha quand même de soulever son tee-shirt et de déboutonner son
pantalon pour y glisser une main exploratrice. J’avais oublié que nous
n’étions pas seuls dans la salle.

Nous sortîmes un peu plus tard dans la rue en état d’urgence, je tins mon
léger blouson devant moi en sortant du ciné pour ne pas exhiber mon pantalon
transformé en chapiteau par une érection irréductible. Elle me proposa
d’aller chez elle, c’était plus près, et sa collocatrice était partie en
week-end chez ses parents. Je connaissais Muriel, une jolie blonde avec des
gros seins, fiancée avec un type pâlichon à lunettes étudiant en pharmacie
comme elle.

Elles partageaient un vieil appartement typiquement marseillais, des
tomettes rouges au sol, une grande pièce transformée en salle d’études avec
des livres et des cahiers qui encombraient une grande table, deux chambres
contiguës ainsi qu’une cuisine et une salle de bain minuscules.

Nous allâmes dans la chambre de Christine qui fila dans la salle de bain, me
laissant découvrir le décor : Un matelas posé directement au sol avec un
dessus de lit mauve, un poster du Ché au mur, des disques des Stones et de
Janis Joplin. Typique de l’époque…

Christine réapparut, entièrement nue. Ses seins menus et ronds s’ornaient de
mamelons très sombres sur des aréoles assez petites. Un triangle de poils
noirs qui la ferait qualifier de nos jours de broussailleuse dissimulait sa
fente, mais à l’époque aucune nana ne se souciait se s’épiler au-delà du
maillot de bain. Je me débarrassai en vitesse de mes vêtements en admirant
le cul de Christine qui se penchait pour allumer une grosse bougie et
basculait sur le matelas.

La queue plaquée sur le ventre, je me couchai à coté d’elle, et nos langues
reprirent leur jeu, nos mains découvrant un nouveau corps, une peau
inconnue. J’eu à peine le temps de caresser ses seins, de triturer ses
tétons, de m’apercevoir que sa fente était trempée qu’elle m’attira entre
ses cuisses ouvertes.

– Viens ! m’ordonna-t-elle.

Tant pis pour les préliminaires, je n’en pouvais plus, je laissai sa main
enserrer ma queue et guider mon gland décalotté dans sa grotte accueillante.
En un seul coup de rein j’étais au fond d’elle.

Rien ne m’avait préparé à ce qui suivit. Comme si on avait ouvert une écluse
un jour de grande marée, ou réveillé un volcan endormi.

Christine scandait chaque aller retour de ma queue dans le fourreau soyeux
de son sexe avec des oui ! oui ! oui ! aigus qui s’accélérèrent sur le
rythme des coups de bite que je lui assénais.

J’avais glissé les mains sous ses fesses que je malaxais, ma bouche allait
de sa bouche à ses seins, de ses seins à sa bouche, je la besognais de plus
en plus vite, ses oui ! s’intensifièrent pour s’achever par un long cri
accompagné de contractions de son vagin qui comprimèrent mon copain Popaul
comme une main puissante. En même temps je sentis un flot de liquide couler
le long de mon membre et ruisseler sur mes couilles.

Je n’avais jamais été témoin d’un orgasme pareil, et je ne pouvais pas me
dire qu’elle avait fait semblant ! Un peu désorienté parce que j’étais au
bord de jouir aussi, je regardai la jeune fille inerte sous moi sans savoir
quoi faire. Un coup de bite la fit réagir :

-Viens, viens fort ! me dit- elle d’une voix rauque en plantant ses ongles
dans mes fesses.

Je n’avais pas besoin de ça pour m’aiguillonner et je recommençai à la
baiser, cette fois ci pour jouir. Ses cris reprirent de plus belle et elle
eu un nouvel orgasme de la même intensité sauvage pendant que je me
soulageais enfin en éjaculant de longs jets de sperme dans le fond de sa
chatte qui se contractait de la même surprenante façon.

Quand nous eûmes récupéré d’une sorte de demi coma, je basculai sur le coté.
Ma queue, mes couilles, le haut de mes cuisses étaient trempés. Un coup
d’œil discret me fit constater qu’elle était dans le même état, mouillée par
un liquide parfaitement transparent.

Je ne connaissais pas à l’époque l’expression de femme fontaine, des copains
frimeurs se vantaient bien de faire  » décharger  » les filles, mais pour moi
c’était une nouveauté.

Christine me proposa une cigarette, nous fumâmes sans parler, elle semblait
trouver normal d’avoir joui comme ça. Les clopes terminées, je me penchais
sur elle pour reprendre sa bouche et caresser à nouveau son corps mince et
ferme. Je suçai ses seins, léchai ses aisselles, mais elle m’arrêta quand je
voulus descendre lécher sa chatte dont je sentais l’odeur marine.

Je pense que son excès de mouille la gênait. Popaul qui s’était calmé
redressa la tête d’autant plus vite que Christine s’en était emparée, le
branlait doucement, griffait doucement mes couilles puis se mit à genoux
pour lécher mon gland comme une gamine qui mange une glace.

J’étais sur le dos, un sein dans une main, ses fesses dans l’autre, la bite
à nouveau bandée à bloc, j’attendais qu’elle me suce à fond, mais elle se
contenta de quelques coups de langue avant de m’enfourcher pour se planter
sur moi avec un long gémissement.

Elle ondula doucement un moment en suçant ma bouche, puis se mit en appui
sur les genoux pour entreprendre une chevauchée ponctuée des mêmes cris qui
s’acheva par une nouvelle jouissance dont les contractions vaginales et les
flots de mouille accompagnèrent la venue.

J’espérais que les murs étaient épais, sinon ses voisins risquaient de la
regarder d’un drôle d’air les jours suivants.

Pas plus d’une minute de repos, puis elle plaça ses pieds de part et d’autre
de mes cuisses et reprit sa cavalcade. Une de mes mains sous ses fesses
trempées se glissa entre elles et mon majeur pénétra tout seul dans son
petit trou, tandis que je tordais sans plus de retenue ses mamelons. Nous
avons joui ensemble et je crois avoir alors crié aussi fort qu’elle.

Nous avons du tomber au même moment dans un profond sommeil parce que la
bougie s’était consumée toute seule quand je m’éveillai. Les chiffres rouges
d’un radio réveil marquaient deux heures. Christine dormait en chien de
fusil en me tournant le dos, ma queue bandée contre ses fesses. C’est un
bruit de chasse d’eau qui m’avait réveillé, sans doute un voisin ?

Je me frottais doucement contre son petit cul, en faisant aller et venir mon
gland devenu hypersensible dans la raie de ses fesses. Un peu plus bas le
sillon devint plus humide, Popaul durcit encore en se promenant entre les
lèvres intimes.

Ma compagne de la nuit s’éveilla.

– Tu as encore envie ? Vas-y, baise moi ! Enfile-moi ta queue !

La crudité des termes m’excita un peu plus, et je l’enfilai comme elle le
demandait. Elle bascula sur le ventre, écartelée comme une tendre victime
offerte à ma lubricité. Ses paroles me permirent de me lâcher et je
découvris ce soir là le pouvoir des mots crus.

– Mets-toi à quatre pattes ! oui comme ça, comme une chienne ! Je vais te
baiser à mort, t’éclater la chatte comme une figue trop mûre, te remplir de
foutre !

Ses Oui ! Oui ! Oui ! et ses orgasmes à répétition montraient qu’elle
appréciait autant mes mots que mes coups de bite. Je voulais comme je
l’avais dit la remplir de sperme, mais je n’arrivais pas à en finir, ma
queue était agitée de soubresauts qui me faisaient jouir, mais je
n’éjaculais pas.

Combien de fois a-t-elle joui avant que je ne me vide enfin en elle avec des
grognements de plaisir ? Six, sept fois ? Je n’en sais rien, mais elle
dormait profondément sur le ventre quand je ressortis Popaul qui bandait
encore, dégoulinant de mon foutre et de sa mouille.

Trois heures et quart au réveil ! Il fallait que je pisse. Je me levai et me
dirigeai dans le noir vers la salle de bain puisque le WC n’était pas
indépendant.

Là, surprise, La lumière filtrait sous la porte de sa colloc ! Christine
m’avait pourtant dit que Muriel était en week-end ! Avec le peu d’épaisseur
des cloisons, je comprenais qu’elle ne dorme pas. Je pissai dans le lavabo
pour ne pas à avoir à tirer la chasse. Ma queue et mes poils étaient englués
par un liquide visqueux. Je me lavais consciencieusement non sans avoir
longuement humé mes doigts. Ca sentait l’amour, la femme, la marée.

Quelques minutes après, je m’endormais auprès de Christine en pensant à la
charmante Muriel à coté, était elle nue ou en chemise de nuit ? S’était elle
branlée en nous entendant ?

Plusieurs années plus tard, en faisant un module de sexologie à la fac, j’ai
pensé à Christine quand l’orateur dit doctement que  » les femmes vaginales
étaient plus fréquemment pluri orgasmiques que les clitoridiennes.  » C’est
vrai que je n’avais ni caressé ni sucé son clitoris. Je ne crois pas trop
aux classifications rigides, ni aux sexologues, mais les qualificatifs de
vaginale et pluri orgasmique lui allaient bien.

DEUXIEME PARTIE
Il faisait grand jour quand j’ouvris les yeux : Huit heures moins le quart,
Christine devait être levée depuis un moment, douchée, elle finissait de
s’habiller. Je lui dis bonjour et je rabattis le drap pour lui montrer une
solide érection matinale. Ça ne la fit pas rigoler.

– J’ai un TP à huit heures, je suis à la bourre, j’ai fait du café. Tire la
porte en partant, je n’ai qu’une clé ! Elle effleura mes lèvres d’un baiser
rapide et partit.

Je paressai un peu au lit, me tripotai un peu la queue, en pleine forme
après cette nuit.  » Tire la porte !  » Ca voulait donc dire qu’elle ne savait
pas que Muriel était là… J’entendis à coté les volets s’ouvrir, des bruits d
porte. J’ouvris aussi les volets, un beau soleil envahit la chambre et je
regardai avec curiosité le drap de dessous. Il était sec mais auréolé et
cartonné. Je n’avais pas rêvé cette fontaine d’amour. J’enfilai mon caleçon
et mon tee-shirt et sortis de la chambre. Celle de Muriel était ouverte,
vide, la salle de bain munie d’une vitre en verre dépoli éclairée,
j’entendais le bruit de la douche, mais on ne voyait pas à travers…Dommage,
j’aurais volontiers vérifié si c’était une vraie blonde. Je me servis un
café bien chaud dans la cafetière électrique et allumai avec délice ma
première cigarette.

Muriel fit son entrée peu après, en peignoir, ses cheveux blonds relevés par
une barrette. Je la trouvai adorable. On se connaissait un peu, elle se
pencha pour me faire la bise. Elle sentait le lait de toilette. Pendant
qu’elle se préparait un thé, je regardai avec intérêt son cul, plus rebondi
que celui de sa copine. Le tissu du peignoir pénétrait profondément entre
ses fesses, mon érection matinale avait disparu, mais Popaul tendit derechef
mon caleçon. Je bandais pour elle, appréciant le contraste : Elle était
aussi blonde que Christine était brune, aussi ronde que l’autre était fine.
Je m’excusai de la déranger, on était sûrs qu’elle ne serait pas là, etc.…
Elle répondit sur le même mode : Elle était tombée en panne, s’était faite
remorquée, revenue à Marseille. A quelle heure ? Oh, vers dix heures. Putain
! Si mes calculs étaient bons on baisait pour la première fois !

Elle vint s’asseoir en face de moi avec son bol de thé. Ses seins tendaient
le tissu du peignoir, elle évitait mon regard, mes yeux étaient fixés sur
leurs pointes dressées bien visibles.

Tant pis pour elle si elle avait levé les yeux sur mon bas ventre, je me
levai pour me resservir en café. Je le bus les fesses appuyées à l’évier,
même pas à deux mètres d’elle. Je lui demandai :

– On ne t’a pas empêchée de dormir ?

Elle répondit sans lever la tête.

– Qu’est-ce que tu lui as fait ?

Je fis mine de ne pas comprendre, mais elle insista, elle me regardait
maintenant, ses yeux bleus allaient de ma queue dressée à mon visage, le
sien avait rougi, elle respirait plus vite. Pourquoi elle a crié comme ça ?

Il y a un aphorisme qui court chez les étudiants en médecine : Un homme n’a
pas assez de sang pour irriguer en même temps sa queue et son cerveau. Un
mec bande, ou réfléchit, pas les deux en même temps. Je m’en rendis compte
en me dirigeant vers Muriel. J’étais debout derrière elle, si près que si
elle avait renversé la tête, elle aurait reposé sur mon ventre.

– C’est difficile à expliquer, il vaudrait mieux que je te montre ! Je posai
les mains sur ses épaules, elle poussa un petit cri, se leva en renversant à
moitié son bol, elle me faisait face, mes mains glissèrent vers ses seins,
elle plaqua les siennes sur sa poitrine pour se protéger. J’essayai de
l’embrasser en m’attendant à tout moment à recevoir la baffe que je
méritais.

Elle se contenta de tourner la tête, mes lèvres effleurèrent sa joue, elle
souffla à mon oreille :

– Tu es fou, on ne peut pas faire ça !

Le ton de sa voix démentait ses paroles. Je tirai sur la ceinture de son
peignoir, elle me laissa l’écarter, découvrir sa peau laiteuse, son ventre,
ses cuisses un peu ouvertes, son triangle pubien blond doré qui me fit
perdre toute raison.

Je fis jaillir ma bite par l’ouverture de mon caleçon, juste pour la mettre
entre ses cuisses, pour achever de la convaincre. Je me souviens comme si
c’était hier de la tête qu’elle fit quand Popaul la pénétra d’un coup sur la
moitié de sa longueur. Elle était merveilleusement prête, sans doute pas
depuis ce matin, elle devait avoir attendu ça la moitié de la nuit.

Elle ôta les mains de sa poitrine, m’enserra le cou, je baisai ses lèvres
pulpeuses.

– Elle est grosse ! Sa voix tremblait. Puis : – Je ne prends pas la pilule.

Je m’enfonçai avec délice un peu plus, je lui dis qu’on ferait attention et
me retirai d’elle avec regrets pour l’emmener dans sa chambre. La suite est
au présent, je ne peux l’écrire que comme ça, comme elle est dans ma
mémoire.

A coté de celle où j’ai dormi, elle fait chambre de jeune fille modèle avec
un vrai lit, le couvre lit rabattu est à fleurs. J’ôte mes vêtements, la
débarrasse de son peignoir pour enfin l’admirer nue. J’ai vu par la suite
des seins plus gros, mais jamais d’aussi beaux. Je les prends en mains en
embrassant ma jolie Muriel, ses lèvres sont tièdes et douces, j’adore le
goût de sa bouche. Mes mains soupèsent ses deux globes, ma bouche les baise,
les lèche, mordille ses mamelons, les suce. Elle respire de plus en plus
vite, je caresse ses fesses, l’intérieur de ses cuisses, je remonte jusqu’à
sa fente je trouve son clitoris, je le masse doucement avec des petits
mouvements circulaires.

Elle aime, elle me le dit, elle soupèse mes bourses, s’empare de ma queue,
la serre dans sa main, elle regarde le gland violet qui émerge de sa main,
une goutte translucide sort du méat.

– Elle est grosse, dit-elle à nouveau.

J’ai un bon standard européen, j’en conclus que son fiancé doit être
modestement pourvu. Je n’en peux plus de mon envie d’elle, c’est la première
fois que je baise autant. Je la renverse sur son lit, la pénètre, tout son
corps tremble, elle me regarde dans les yeux, ça me trouble, je dois me
retenir pour ne pas jouir tout de suite. Du coup, je bouge doucement, de
longs allers et retour dans son étroit fourreau. Quand je sens l’envie de
jouir trop pressante, j’arrête, je suce ses seins, caresse ses fesses, ou
son clito qui a doublé de volume. Elle adore, je branle plus fort, ça me
donne envie de lui manger la chatte. Je me retire, la fait pivoter au bord
du lit, et à genoux par terre j’admire le spectacle qu’elle m’offre. Le
soleil du matin éclaire ses poils fins de blonde, sa fente est d’un rose
nacré, ses petites lèvres sont entrouvertes, son clitoris en dépasse à
peine. Je la hume, j’y plonge la langue, sa saveur est presque sucrée. Plus
haut, son petit bouton a une saveur presque acidulée.

Je le lèche, je le tète, je l’aspire, Muriel a pris ma tête dans ses mains,
elle me plaque contre son bas-ventre me dit qu’elle va jouir, elle le dit,
le redit, le gémit, puis se libère. Son corps s’arque boute, elle se mord
une main pour ne pas crier. Je veux continuer mais elle me repousse, c’est
trop fort me dit elle. Je me relève, la pénètre, elle écarquille les yeux et
me dit :

– Oh oui, je continue à jouir !

Je ne me retiens plus, je la baise maintenant à mon rythme. Juste avant de
jouir, je la chevauche, je place mon ami Popaul qui l’a bien mérité entre
les deux beaux seins de la blonde. Elle les serre elle-même, nous regardons
tous les deux mon gland aller et venir. Elle regarde tellement bien que
quand je décharge, le premier jet lui jaillit sur le visage, elle bascule la
tête en arrière, le reste frappe le dessous de son menton et s’écoule dans
le petit creux au dessus du sternum.

Je reste au dessus d’elle, je regarde la giclée blanche qui va de son menton
à sa pommette.

Un petit bout de langue vient lécher ses lèvres, juste là où il y a du
sperme. Elle me dit :

-Pas mauvais, puis elle me sourit, je me penche, je lèche mon sperme, je
l’embrasse avec.
– Tu n’avais jamais goûté ?
– Non. Je poursuis :
-Tu aimes ?
– Moui….

Elle me repousse d’un coup, se lève précipitamment. Mon foutre est en train
de couler dans son cou, menaçant les draps.

Je la rejoins dans la salle de bains, elle se lave penchée au dessus du
lavabo. Oh ! Ses seins qui se balancent ! Je les caresse à nouveau en
frottant ma bite pendante mais encore grosse sur ses fesses. Elle me laisse
la place. Je remarque qu’elle se tortille. Elle me dit ce qui se passe :

– J’ai envie de faire pipi, et ça me gène.

Je me lave avec un air détaché.

– Vas-y, je ne regarde pas ! Je ferai après toi. Elle s’assied et je me
précipite entre ses cuisses ouvertes pour regarder un jet très clair jaillir
de sa jolie chatte. Elle ne referme pas les jambes.

– Tu ne serais pas un peu vicieux ?

Elle se marre, la situation lui plait.

– Encore plus que tu crois ! Je vais t’essuyer, je n’ai jamais fait ça, mais
j’en ai envie.

Je lèche ses poils humides, le goût est amer. Elle tend le bassin, j’essuie
sa fente, sa saveur sucrée que je connais déjà remplace l’amertume. Popaul
apprécie, il s’est encore dressé, je ne lui connaissais pas ces ressources.
Bon, tant pis pour ma propre envie de pisser, je me relève et fourre ma
queue dans la bouche de Muriel qui l’accepte, la suce et la lèche avec un
plaisir évident, a tel point qu’elle proteste quand je lui retire dans le
but d’aller dans sa chambre.

– Tu aimes tant ça ?

Elle semble hésiter puis me raconte : Avec son fiancé, ils ne font l’amour
que depuis six mois, rarement, il la respecte… Elle aimerait que leur
relation soit un peu plus…euh, chaude, elle aimerait le sucer, qu’il la
lèche, ça viendra, ils ont 19 ans.

Je m’assieds au bord du lit et je courbe sa tête. Elle me suce à nouveau,
j’ai décidé de jouir dans sa bouche, d’être le premier. Je lui dis, elle
opine, si j’ose dire, la bouche pleine.

Puis j’ai envie d’un 69, elle ne connaît pas encore. A quatre pattes au
dessus de moi, elle m’offre le spectacle émouvant de sa vulve encadrée de
quelques poils blonds. Je la dévore du regard, puis avec la bouche. Je lape,
elle suce, nous gémissons tous les deux. Sa position écarte ses fesses
rebondies je vois son petit trou du cul brun clair qui palpite. Je ne
connaissais pas à l’époque le délicat plaisir de la feuille de rose, aussi
c’est mon doigt humecté de salive qui vient l’effleurer, le caresser, puis
le pénétrer doucement.

Elle pousse un gémissement sauvage, se tortille pour s’enfoncer elle-même
sur mon doigt. Elle n’arrive même plus à me sucer en même temps. Et bien !
Je découvre en moins de 24 heures une jolie brune qui jouit sans arrêt en
déversant des flots de mouille, une adorable blonde clitoridienne qui se
révèle avoir une sensibilité anale exacerbée… En plus mon copain Popaul a
l’air de pouvoir assurer ! Peut-être que ? Je me dégage de sous elle, je
braque mon sexe enduit de salive vers l’œil plissé de ses fesses et je
pousse. Je n’ai jamais sodomisé de nana, j’apprendrai plus tard à être doux,
patient, à dilater le délicat orifice. Mais avec mon inexpérience, le désir
que Muriel a, ça rentre d’un coup, sans douleur, mes mains sont sous son
bassin, je la prends avec le plaisir de découvrir la sensation nouvelle
d’avoir la bite serrée en un seul endroit par l’anneau de son sphincter. Sa
main est venue sur sa chatte, elle se masturbe, ses ongles griffent un peu
la base de ma queue et mes couilles, elle murmure :

– Continue, je viens ! oh oui, je viens, continue !

C’est trop, je décharge, elle crie toujours : Continue ! Continue ! Elle n’a
rien senti, je continue à limer avec ma queue moins raide mais encore ferme.
Muriel se caresse de plus en plus vite, mon envie de pisser est trop forte,
j’ouvre les vannes et sans l’avoir prévu, je lui pisse dans le cul ! Elle
jouit, longuement, elle ne crie plus, elle tremble de tout son corps. A sa
demande je me retire en regardant avec curiosité son petit trou dilaté se
refermer doucement.

Je l’ai laissée aller seule aux toilettes, et c’est plus tard, en prenant la
douche que j’ai été le premier à lui jouir dans la bouche comme je l’avais
dit. Que voulez-vous, nous étions jeunes et le savonnage réciproque, ça
donne des idées !

vibescu@wanadoo.fr

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3 réponses à Christine et Muriel par Vibescu

  1. Arkansas dit :

    J’ai toujours eu un faible pour les femmes poilues, j’aime lécher une chatte odorante et poilue où se mélangent de bonne odeurs de femelles

  2. Mathilda Stenberg dit :

    Un joli texte qui n’a rien à faire dans les oubliettes du site

  3. Anthony SIRET dit :

    J’ai adoré, je suis fou de çà, même si le terme dé brouissalleuse ne me semble pas très élégant.
    J’aime les femmes brunes à forte pilosité et non rasées (sexe et aisselles). Ce goût, beaucoup d’hommes l’ont aussi, seulement peu osent l’avouer, parce que depuis si longtemps on nous serine que les poils chez une femme c’est disgracieux, horrible, voire sale… Les femmes elles-mêmes en sont convaincues, aidées en cela par la mode et les marchands de cosmétiques en tous genres. Je trouve cela d’un triste…
    Une femme poilue et non rasée, je trouve ça supérieurement beau, érotique en diable La pilosité complète et assumée donne à une femme un cachet très particulier, surtout si elle est jeune et jolie.
    Que le naturel intégral reprenne ses droits! Que les femmes renoncent à subir les diktats de la mode, qui les contraignent à sacrifier leurs poils où qu’ils poussent, et d’abord aux endroits visibles : aisselles, jambes! Pour certaines, c’est une véritable guerre contre le poil : comme si ce n’était pas des poils qu’elles avaient, mais des points noirs.
    Je voudrais rassurer les femmes de forte pilosité : n’ayez pas honte de cela, tranformez votre cauchemar en atout et vous séduirez plus d’un mâle, et ceux-là, vous les retiendrez, car des pareilles à vous, elles ne sont pas légion, on y tient. Si je vous avais en face de moi, nues, je vous dirais combien vous êtes belles, belles, belles, non pas malgré, mais grâce à vos poils.
    Si le poil était par nature disgracieux, horrible ou sale, les hommes auraient honte des leurs. Or, ils en sont plutôt fiers. Pourquoi les femmes ne pourraient pas l’être aussi et pour les mêmes raisons ? Il est temps peut-être que les femmes se réapproprient leurs corps, qu’elles puissent choisir et non subir comme c’est le cas depuis des siècles. Il y a la très fameuse chanson de Léo Ferré qui s’appelle « C’est extra » et qui mentionne « cette touffe de noir Jésus ».
    Pour moi les poils à cet endroit sont une partie importante de ce qui constitue l’excitante intimité. Une femme avec tous ses poils a bien plus de sex-appeal qu’une femme rasée, de mon point de vue en tout cas, et de tant d’autres hommes. Beucoup de femmes commencent d’ailleurs à se demander si elles ne sont pas victimes des affreux marchands de cosmétiques et autres instituts dits de beauté, où ce n’est pas de la beauté des femmes qu’on se soucie, mais de l’épaisseur de leur porte-monnaie.
    La pilosité axillaire (des aisselles) est un rappel de la toison pubienne celle-ci, et donc une promesse de plaisir, en tout cas un indicateur visuel, un signal érotique fort. De plus, les poils à cet endroit ne sont pas là par hasard : ils jouent leur rôle de régulateur thermique. Raser les poils des aisselles n’empêche pas de transpirer.
    Je me répète, mais si les poils étaient sales par nature ou faisaient négligé, les hommes raseraient les leurs depuis la nuit des temps. Or les hommes sont fiers de leur pilosité. Pourquoi les femmes ne pourraient-elles pas l’être, au nom de quoi ? Parce que, du point de vue machiste, les femmes doivent rester des petites filles, des êtres immatures à la merci des diktats masculins.
    Anthony

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