Une fiesta chez des potes (Somnambulisme) par Mondoi

Une fiesta chez des potes
Somnambulisme
par Mondoi

Cela m’est arrivé une fois, une fiesta entre potes chez des amis, nous sommes restés dormir car trop bourrés pour conduire, il n’y avait pas assez de lits donc on s’est retrouvé par deux au pieu mais nous avons dormis de suite car bien crevés.

En pleine nuit, je rêvais que j’étais avec ma copine, un rêve érotique où je la prenais par derrière, la sensation physique était trop vraie et je me suis réveillé.

Là, j’ai pris conscience que j’étais au lit avec un homme et que je me masturbais contre ses fesses, la honte m’a fais m’écarter de lui, je me disais qu’il allait me coller un pain, mais il ne disait rien, il semblait endormit profondément.

Moi, j’avais une super gaule et une grosse envie de tirer, je me suis branlé discrètement pendant 5 bonnes minutes, il ne se réveillait toujours pas, en soulevant les draps, je vis ses fesses tendues vers moi, des fesses bien rondes, lisses, avec une légère toison dans la raie. Cette vision m’excita encore plus et j’avançais la main pour les toucher en me disant que si je le réveillais, je pourrais prétexter une erreur de somnambulisme.

Ma main glissa dans sa raie et comme il dormait sans broncher, je lui caressais l’anus, dans son sommeil, il poussa un soupir et écarta les jambes, ce qui me permit de lui toucher les testicules et son sexe qui était en érection, il devait faire un rêve érotique lui aussi, pour avoir la queue aussi raide où alors, dans son sommeil, il appréciait mes caresses, ce qui m’encouragea à continuer.

Je le décalotte, il ne dit rien, je le masturbe doucement, il soupire, j’approche mon visage de ses fesses et lui glisse la langue dans la raie, il tend son cul vers moi, son anus est humide, pas contracté, je me dis que c’est l’effet de mon branle dans sa raie quand je dormais, il a aimé ça, autant continuer à lui faire plaisir. Je lui lèche le petit trou en lui massant les couilles, je le masturbe, son gland est humide aussi , je tire sa bite en arrière, une belle bite, et je le prend en bouche en lui rentrant mon index dans les fesses, sa glisse bien, je lui masse la rondelle en cercle pour le préparer car maintenant, j’ai trop envie de le sodomiser, il faut que je me vide les couilles, son silence et les vapeurs d’alcool qui me paralysent le cerveau, font que j’ai envie de me taper un mec alors que je suis hétéro.

Dans son sommeil, il murmure alors des mots qui me font comprendre bien des choses.

– Oh ouiii Christian, encore, fais le moi.

Christian, c’est son meilleur copain, toujours ensemble à faire la teuf, bossant dans la même boîte, en vacance ensemble avec leurs copines et jamais je ne me suis douté qu’ils avaient des relations sexuelles particulières, les p’tits cochons, je les imagine en train de le faire devant leurs nanas, elles doivent aimer regarder ça et participer, elles le font peut être entre elles aussi, ouah, j’ai une trique d’enfer, il faut que je le fourre de suite.

Je positionne mon gland contre sa rosette, un peu de salive et j’appuis, le passage est déjà fait, ma queue est aspirée par son sphincter, il pousse un râle, j’arrête de bouger, il ne se réveille pas. Je commence à lui limer le cul, mon cœur bat à 90 pulsations-minute, je suis en train de baiser un homme, dans son anus accueillant je me sens bien, je lui rentre ma queue en entier, la ressort, la réentre, je le défonce, le fourre, l’encule, lui pousse la crotte et il se laisse faire, il aime mon sexe dans son ventre, il gémit en dormant, ça me rend dingue et je jouis cinq minutes après l’avoir pénétré. J’éjacule dans ses intestins, le sperme ressort sur les côtés de mon dard en faisant des gargouillis, je me retire de son orifice et regarde mon jus s’écouler, je suis bien, je me rendors.

Le lendemain, après le p’tit dèj à midi, je me rase en slip dans la salle de bain, j’ai à moitié la gaule, en repensant à la nuit sodomite que j’ai passé, mon pote de lit vient se raser aussi, j’attends qu’il me dise quelque chose, il se lave sans rien dire, je me rince le visage en me penchant dans le lavabo et là, je sent une main sur mes fesses.

– Tu as aimé me sodomiser cette nuit ?, me demande t’il, en me caressant le joufflu.
– Ecoute, je suis désolé de t’avoir fais ça, mais je dormais et je t’ai pris pour ma copine, comme du somnambulisme tu vois ?
– Moi, j’ai aimé mais tu aurais pu penser à mon plaisir aussi, j’ai du me finir à la main quand tu t’es rendormis.

Tout en parlant, il se colle à moi, je sens qu’il bande, sa tige frotte ma raie, il passe une main devant et la rentre dans mon slip, il saisit mon sexe, le redresse en le caressant et me dit :

– Beau morceau, je l’ai bien senti passer et tout ce sperme que tu m’as mis dedans, je suis allé aux toilettes pour me vider complètement.

Il me serre contre lui, il bande dur, moi aussi car il m’a décalotté et caresse mon gland du bout des doigts, il ajoute de la salive et me branle doucement.

– Tu aimes ça, demande t’il ?
– Oui, c’est bon, tu le fais bien, il glisse son autre main derrière, dans ma raie, touche mon anus
– Et ca, tu aimes aussi ?
– Oui, mais je ne suis pas homo tu sais, c’est que ma copine qui me touche là
– Tu es peut-être bisexuel, sans le savoir, tu es quand même venu prendre du plaisir dans mes fesses cette nuit, non ?

Il a humidifié ses doigts avec sa salive et insiste autour de mon petit trou, il le masse, essaye de le pénétrer, c’est agréable, surtout qu’il me masturbe en même temps.

– Alors tu es vierge des fesses ?
– Oui
– Ta copine ne t’a jamais mis quelque chose dans l’anus ?
– Si, une fois, elle m’a mis son vibro
– Et tu as aimé te faire prendre par derrière ?
– Oui
– Fais voir ton orifice, le chemin doit être à moitié fait ?

Je me penche en avant lui offrant une vue sur ma croupe, il m’écarte les fesses pour bien regarder ma raie et commente son inspection :

– Oh le beau sillon velu et ce petit trou de puceau qui ne demande qu’à être défloré, je vais le préparer

Il se met alors à me lécher, à me sucer l’anus en me caressant les bourses, je sens qu’il salive sur mon orifice, je me détends et m’ouvre à ses caresses, un doigt essaye de me pénétrer, je pousse comme quand c’est ma copine qui me doigte et me voila avec l’index de mon pote dans le cul et lui, qui me prend le sexe et le branle.

– Tu aimes, ce que je te fais, demande t’il ?
– Hummmmoui
– Tu m’offres tes fesses comme tu as eu les miennes cette nuit ?
– Vas y doucement, j’ai pas l’habitude.

Il se relève, me cambre les hanches, pose son gland contre ma rosette et pousse pour me pénétrer en me disant :

– Donnes, donnes moi ton trou, je vais te faire du bien sans te faire mal, laisse toi faire, tu vas aimer.

Je pousse sur mon muscle anal pour l’ouvrir et de suite, le gland me pénètre, m’élargissant en force ma petite porte presque vierge, je pousse un crie de surprise et un râle de douleur pendant que sa verge continue son chemin dans mon conduit rectal, c’est gros et c’est chaud mais plus souple qu’un gode, il avance jusqu’à me toucher les fesses et s’arrête un moment.

– Tu as mal, tu veux que j’arrête ?
– Non, ça va, elle est grosse, elle me remplie, j’ai l’impression d’avoir un étron énorme en attente de sortie
– Ca va passer, détends- toi, pousse encore un peu, je vais commencer à te ramoner le cul.

Et il se met en mouvement dans mes fesses, doucement il recule, je sens que je me vide, la sensation est agréable, il ressort complètement de mon anus, je l’entends me cracher sur la rondelle et il repose son gland dessus.

– Maintenant, tu vas ramasser, je vais te défoncer, ça t’apprendra à m’enculer quand je dors.

Et là, il me sodomise d’un coup et tout le morceau me remplit de nouveau, il se met à me besogner avec de grands vas et viens, ça me déchire l’anneau mais je trouve cela moins douloureux et tends mes fesses vers lui en totale acceptation, il me malaxe le joufflus, lui donne des claques en me disant des mots tendres.

– Tu es bonne, je suis bien dans ton fion, donnes toi que je te remplisse, c’est bon un cul de puceau.

Je suis courbé sur le lavabo, je le vois dans le miroir en train de me fourrer, il me regarde, savourant mes crispations de visage chaque fois qu’il se renfonce en moi, par moment, je sens qu’il joue avec mon anus, le branlant avec son gland turgescent, je passe une main sous moi pour me masturber, j’ai recommencé à bander et mes caresses augmentent le plaisir rectal qui monte de ma prostate.

– Je vais te faire dedans, me dit-il, je vais t’arroser les intestins, je viens….
– Ha non, dit une voie féminine, c’est pour moi la giclée.

Nous regardons vers la porte, c’est Sandrine, sa copine, qui viens de débarquer à l’improviste, je suis surpris et me relève vers elle, la queue à la main, son mec est sortit de mes fesses et n’a pas l’air gêné du tout, il lui tend sa bite à sucer, elle, pas dégoutée par les petites salissures qui la recouvre, se jette sur le dard et l’embouche en le branlant, je m’active sur ma verge en voyant ce spectacle scatophile et je décharge sur ses vêtements.

Mon pote se vide les couilles dans sa bouche en la tenant par les cheveux, elle lui malaxe les bourses pour tout avoir, je l’entends déglutir bruyamment, elle a du s’en prendre un paquet dans le gosier.

– Ben mes salauds, on s’embête pas quand je ne suis pas là et toi, je ne savais pas que tu aimais te faire reluire la boîte à chocolat, me dit-elle.
– C’est sa première fois avec un mec, précise mon copain, super serré du petit.
– Oui je vois, ça explique qu’il n’a pas eu le temps de se vider avant, il ta bagué le cigare, le puceau.
– C’est le risque de l’imprévu, c’est trop bon un anus de vierge, j’ai pris un pied terrible à lui casser le cul.
– Et lui, il a aimé, me demande-elle ?
– Oui, mais je l’ai sentie passer.
– Pfff, ce n’est rien, tu verras quand il te limera les fesses pendant une heure ou qu’il te prendra à sec comme moi, ça te fera des souvenirs, en attendant, faut que je me vide, ça fait deux heures que je me retiens.

Elle trousse sa robe, enlève sa culotte et se positionne au dessus du WC mais penchée en avant, nous tournant le dos, elle plie un peu les jambes et se cambre, ses fesses s’écartent un peu, dévoilant sa raie épilée, seul son orifice anal est cerclé de poils, elle pousse car les plis de l’anus rose se déroulent et la tête d’un étron marron clair fait son apparition, je regarde le visage de la fille, il est rouge et crispé par l’effort et la concentration.

Il y a bien dix centimètres de matière en dehors quand elle se met à uriner fortement, le boudin de gros diamètre continu à lui sortir des fesses, elle se vide sans pudeur devant nous, mon pote a l’air habitué et se branlotte, moi je suis fasciné par cette vision défécatoire à laquelle je ne m’attendais pas.

– Dis donc, lance t’elle, y a un mec que je ne connais pas en bas, un black, il a l’air d’être monté comme un âne, je me le ferais bien ?
– Vas-y, te prive pas, lui dit son copain, il vat te déchirer le cul avec le braquemart qu’il a.
– Je vous raconterai, peut être qu’il pourrait vous mettre un coup dans le cul à vous aussi, surtout au puceau, faut savoir élargir le cercle de ses amis, hihihi.

Son pote lui lava les fesses quand elle eu finie ses mictions, elle avait coulée un bronze de belle taille et il lui fit un lavement par sécurité, elle nous quitta pour aller se faire enfiler en nous recommandant de nous laver le cul en profondeur, au cas où le black aurait des envies sodomite envers nous.

Voila où peut mener le somnambulisme quand on en abuse, mais bon, je découvre des plaisirs nouveaux.

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Une réponse à Une fiesta chez des potes (Somnambulisme) par Mondoi

  1. leonmorin dit :

    On sent que l’auteur s’est bien excité en lisant ce texte qui fini en scato, mais je dois dire que je me suis laisser entrainer par ce délire

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *