L’institutrice par Mondoi

L’institutrice
par Mondoi

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

J’avais à cette époque, à Paris, une amie institutrice dans une école privée pour enfants de personnes haut placées.

Je l’avais rencontrée dans une soirée à la salle des fêtes de l’arrondissement, nous avions un peu parlé du pays car nous étions du même coin et la soirée finie, nous nous étions quittés sans promesse de retrouvaille. Il faut dire que nous n’étions pas du même milieu, elle, d’éducation bourgeoise et stricte, moi d’un milieu de travailleurs. Jeanne était habillée façon collège, jupe plissée bleu marine, cardigan bleu marine, chemisier blanc à col Claudine, bas blanc opaques et ses cheveux blonds toujours tirés en arrière avec un serre tête, jamais d’excès, toujours posée, la petite croix autour du cou, elle tranchait beaucoup avec moi. Moi, j’étais toujours en jean, bottes de moto ou santiag, teeshirt, blouson noir, cheveux sur les épaules, vraiment à l’opposé de son look de sainte vierge.

Rien ne nous destinait à nous revoir et je continuais ma vie de jeune mec, boulot, java, les potes, et une nana de temps en temps.

Un jour, en revenant à pied du boulot, crevé par ma journée, la chaleur de fin juin, la nouba qui ne m’avait laissée dormir que deux heures et partir travailler sans me changer, je me pose à une terrasse de bistrot, prend une bière, décidé à ne rien faire pendant un moment avant de rentrer me prendre une douche.

Je feignantais, repensant à ma soirée de la veille quand une voie féminine me fait émerger.

– Bonjour, on prend le soleil ?

C’était la petite bourge coincée de l’autre soir, toujours habillée en sainte nitouche, elle me regardait avec un sourire sympathique et je la trouvais mignonne et fraîche par rapport à moi.

– Asseyez vous avec moi, je vous offre quelque chose de rafraichissant ?
– Volontiers, je suis revenue à pied du travail pour profiter du soleil et cela m’a donné soif.

Je hèle le garçon, commande sa boisson et nous restons là en silence à contempler le spectacle de la rue, je la regarde à la dérobée, elle me donne envie de choses cochonnes, hier soir, on était entre hommes, pas de femme pour les plaisirs de la chair.

– Vous n’êtes pas bavard, vous avez l’air épuisé.
– Oui, un peu à plat, dure journée, et cette chaleur.
– Moi, je finis mon verre et rentre me prendre une douche, dit-elle
– Je ferais bien la même chose, mais il faut que je prenne le métro, je n’habite pas à côté et le métro, avec cette chaleur, j’ai la flemme.
– J’habite dans le quartier me dit-elle, je suis presque rendue, je vais apprécier ma douche.
– Vous en avez de la chance, moi j’en ai pour au moins un quart d’heure de métro, avec toute cette foule qui transpire.
– Beurk, je ne voudrais pas être à votre place
– Surtout que j’ai un rendez-vous dans le coin ce soir et qu’il faudra que je reprenne le métro, je me demande si je ne vais pas rester ici à attendre, tant pis pour la douche.
– Ne dites pas ça, vous ne pouvez pas aller à un rendez-vous dans cette état.

Je la fais marcher depuis un moment, elle m’a donné des idées, je suis en manque de sexe, j’ai besoin d’une douche, c’est sûr, mais je la prendrais bien chez elle.
Je pousse un soupir et joue le mec abattu.

– Ecoutez, si cela vous rend service, venez la prendre chez moi votre douche.
– Je ne veux pas m’imposer ni vous déranger
– Ça ne me dérange pas
– Bien, alors d’accord, vous êtes gentille, vous m’évitez la corvée du métro.
– Allons-y, dit Jeanne, c’est à cinq minutes.

Youpi, c’est gagné, maintenant, il faut que je passe à une autre idée qui me fait bander. Je règle les consos et lui emboite le pas, je ne l’avais pas encore détaillée de dos mais elle semble avoir un beau fessier sous sa jupe plissé bleu marine, ni trop gros, ni petit, il bouge bien, à la terrasse, j’ai eu l’occasion de regarder sa poitrine sous le chemisier stricte, de ce côté-là aussi, ça semble intéressant.

Nous arrivons chez elle rapidement, elle me fait rentrer dans sa chambre, au rez-de-chaussée, une ancienne loge de concierge avec les sanitaires sur le palier, elle prépare ses affaires de toilette et me propose un gant et une serviette.

– Allez-y en premier, comme vous avez un rendez-vous, me dit-elle
– Jamais de la vie, vous êtes chez vous, je m’approche d’elle à presque la toucher, elle rougit un peu, je crois qu’elle a vu la bosse sous ma braguette.
– Mais il faut que je me déshabille avant, que je mette un peignoir pour aller là-bas
– Ça ne me gêne pas, je peux vous savonner aussi ?

Elle est écarlate, elle vient de comprendre ce que je désire, elle se colle à moi.

– Prenons la douche ensemble si vous le voulez, je vous laverais, vous me laverez !
– Vous êtes fou, je n’ai jamais fais ça

Je l’ai prise par les hanches, nos lèvres se touchent, elle se laisse aller, ouvre la bouche, je lui roule une pelle d’enfer, j’appuis ma queue durcie contre son bas ventre, elle comprend qu’elle n’a pas rêvé, j’ai envie d’elle et la salle de douche vas être le lieu de quelque chose de très érotique.

Elle est à la fois troublée par cette proposition qui entre de force dans son intimité et excitée par ce rapport entre elle, une petite bourgeoise de bonne éducation et un loubard dévoyé qui sent la sueur et qui lui a fait comprendre qu’il allait s’occuper d’elle sérieusement, elle tourne sa langue dans ma bouche, se colle encore plus à moi, mon sexe devient douloureux enfermé dans le pantalon.

– Allons-y, dit-elle en prenant son peignoir sous le bras, nous nous déshabillerons là-bas.

Je la suis à travers le pallier et nous rentrons dans la salle de douche, c’est une salle comme je les aime, pas de bac, du carrelage partout, juste un dalot d’évacuation, une pièce agréable avec une fenêtre aux carreaux en verre dépolis qui laissent passer la lumière chaude de juin, un banc le long du mur, des patères pour accrocher les vêtements.

Elle me regarde sans bouger, comme si elle attendait que je me déshabille en premier ou que je fasse le premier pas, je le fais.

– Je vous déshabille, vous me déshabillez, d’accord ? Elle acquiesce

Nous nous effeuillons l’un l’autre, chacun à son tour, enlève un vêtement de l’autre, nous nous retrouvons vite en sous-vêtements et nous marquons un temps d’arrêt en nous embrassant et nous caressant le corps. Nos pubis se frottent puis je glisse une jambe entre les siennes, sur ma cuisse, je sens l’humidité de sa culotte de coton blanc, elle frotte la sienne sur mon paquet qui ne demande qu’à être ouvert, elle reproduit les mêmes gestes que moi, quand je caresse ses fesses, elle caresse les miennes. Quand je touche ses seins, elle masse mes pectoraux, quand je caresse sa motte, elle me masse la verge et les testicules, je défais son soutif, une poitrine généreuse apparaît, blanche, des seins fermes aux pointes turgescentes, je les prends à pleines mains, ils sont lourds, tellement gros que je ne peux les prendre ensemble dans les mains, elle ferme les yeux et apprécie mon massage en soupirant.

Je passe mes mains sous l’élastique de la culotte. Quelles belles fesses elle a ! Aussi fermes que sa poitrine, je les palpe, les soupèse, les écarte mais sans toucher à la raie pour l’instant, elle me fait la même chose, je baisse la culotte, elle baisse mon slip. Tout de suite, j’ai sentis ses parfums intimes me monter au nez, un mélange d’odeurs de désir et de vulve, pour ma part, ma verge a fait un bon en sortant du slip tellement elle était tendue et compressée par le tissus, Jeanne a vu l’objet se tendre et a aussi senti mes parfums de négligence, elle a l’air gênée.

– Excusez-moi pour l’odeur, mais je ne suis pas rentré chez moi depuis hier pour me faire propre et me changer.
– Ce n’est pas grave, c’est pour cela que nous prenons une douche, d’ailleurs, je ne suis pas très fraîche non plus, avec cette chaleur, vous sentez ?
– Vous sentez bon, j’aime votre parfum, je me baisse pour lui sentir la motte que je hume, le nez dans les poils pubien.
– Quand même, je sens un peu le pipi non ?
– Si peu, c’est très féminin, ça ne me dérange pas, au contraire.

Je me relève, le dard bandé, elle le regarde et le prend en main.

– Je n’ai jamais lavé un homme, surtout à cet endroit, elle s’agenouille et me renifle le sexe
– C’est vrai qu’il sent fort, vous vous êtes laissé aller depuis hier, et dessous, c’est comment ?

Elle me décalotte le gland, tirant le prépuce jusqu’en bas.

– La aussi faudra laver ?
– Oui, partout, allons sous la douche.

Elle se relève et nous filons sous la paume, le jet d’eau, un peu froid au début, nous surprend, puis l’eau devient chaude et nous nous arrosons le corps de savon liquide. Je commence par lui étaler le savon partout sur elle, Jeanne fait de même mais évite mes parties sexuelles, je l’encourage en lui passant une main entre les jambes et en lui savonnant les grandes lèvres, mon autre main part entre ses fesses, je savonne la raie puis j’effleure sa rosette, elle sert les fesses.

– Il faut que je lave partout, lui dis-je, laissez vous faire.
– J’ai honte, je n’ai jamais fais ça, vous êtes un cochon
– Mais non, vous allez aimer vous faire laver.

Je vois qu’elle hésite à me faire pareil, elle me frotte partout sauf sur les parties et dans les fesses.

– Pour moi, c’est pareil, n’hésitez pas à nettoyer les recoins

Je lui prends la main et la pose sur mon sexe en érection, elle reprend du savon et me l’étale sur la verge, elle savonne du bout des doigts, le prépuce et la hampe de chair puis descend sur les testicules, qu’elle masse de la paume de la main, ça devient bien. De mon côté, j’ai rentré mes doigts entre ses nymphes, je doigte l’entré du vagin et frotte le clitoris avec le pouce, mes doigts derrière, massent le muscle anal, elle s’est détendue et même son petit orifice semble pénétrable digitalement.

– Ouvrez vous un peu plus que je savonne en profondeur et faite comme moi.

Elle écarte les cuisses pour favoriser mon doigtage vaginal, je lui rentre deux doigts et la branle doucement, derrière, j’appuis mon majeur contre l’anus, il est tellement savonné que ça rentre tout seul et je lui enfile mon doigt en entier, elle a un hoquet de surprise.

– Je vous ai fais mal ?
– Non, mais vous m’avez eu par surprise, que diriez vous si je vous faisais pareil ?
– Ne vous privez pas, il faut bien laver partout et je lui tends mes fesses.

Elle savonne mon petit trou et sans prévenir, me rentre un doigt dans l’anus et fais quelques va-et-vient.

– Alors, surpris ?
– Oui, mais vous faites ça bien, c’est agréable.

Nous sommes corps contre corps, les mains affairées à masturber et pénétrer les orifices, je prend la pointe d’un sein entre mes lèvres et le suce puis je passe à l’autre. Elle m’astique la queue en descendant la peau jusqu’en bas, elle branle gland entre ses doigts puis me masse les couilles, je suis au bord de l’éjaculation.

Jeanne pousse des petits râles de plaisir à chaque pénétration de mes doigts, quand je rentre devant, je ressors derrière, puis enfonce l’anus à nouveau, j’ai rajouté mon index et je la fouille à fond. Elle halète, me mord la poitrine, serre ma tige de plus en plus fort, elle aussi a du rajouter un doigt car je sens ma rondelle écartelée. Nous jouissons ensemble, un super orgasme commun, je décharge sur elle et Jeanne dégouline dans ma main en couinant de plaisir.

Nous restons comme ça un moment sans rien dire puis je sens qu’elle frissonne.

– Vous avez froid ?
– Non, j’ai une envie pressante, je vais aller aux toilettes, mais il faut que je me rhabille, quelle barbe.
– Faites ici, ne vous gênez pas pour moi
– Ici, dans la douche, devant vous ? Vous me faites faire des bêtises
– Moi aussi j’ai envie, faisons ensemble ?
– Vous êtes un cochon dit-elle en me tendant ses lèvres et nous nous embrassons à pleine bouche.

J’entends l’urine qui fuse de son orifice et sens la chaleur du liquide sur ma jambe, je me baisse pour regarder en lui ouvrant les jambes, elle les fléchies et j’en profite pour mettre ma bouche sur sa vulve, je la bois, elle s’appuie dos au mur et se vide sur moi. Une fois sa miction terminée, je me relève, la queue à la main.

– A mon tour maintenant, comment préférez-vous être arrosée ?
– Faites-moi partout dit-elle les yeux fermés

Elle tend même son bas ventre vers moi, je commence à pisser et je dirige le jet sur sa motte puis la retourne et lui fais dans les fesses, elle me surprend en s’agenouillant à mes pieds, elle tend son visage vers le jet d’urine et ouvre la bouche, je lui donne mon liquide à boire, elle aussi est une sacrée cochonne, derrière ses airs de BCBG, elle m’a quand même surprise.

Nous nous douchons encore une fois et partons dans sa chambre, là couchés en travers du lit, nous fumons une cigarette, puis elle me caresse et entame une fellation, elle suce bien, je rebande rapidement, pour qu’elle ne soit pas en reste, je la bascule, fesses vers moi et nous nous mettons en 69.

J’ai ses fesses devant mes yeux, elle est épilée de la raie, chose rare pour une sainte, je lui bouffe la chatte et le cul pendant qu’elle me pompe le dard en me caressant la raie, quand je lui rentre la langue dans la fente, mon nez lui rentre dans l’anus, elle a l’air d’apprécier car son anus s’ouvre comme si elle poussait et elle agite son cul, pourtant à un moment elle me dit d’arrêter.

– Attend, me dit-elle et elle se lève pour fouiller dans sa commode, elle revient sur le lit et me dit en me tendant un tube de vaseline.
– Tiens, comme tu en a envie, et elle se met à quatre pattes, la tête dans l’oreiller, écartant ses fesses avec ses mains, me présentant son anus brun- plissé légèrement entre-ouvert.

Je suis scié, elle me demande de la sodomiser en prétextant que c’est moi qui veux, ça doit être ça l’éducation stricte, « tu offres tes fesses mais c’est l’autre qui veux ». Je regarde son cul tendu vers moi, son petit trou qui m’appelle, j’ai une barre d’enfer rien qu’avec cette vision et cette nana qui me demande de l’enculer.

Je me mets derrière elle et lui vaseline l’orifice, je le masse en cercle, il devient souple, je vois bien qu’elle pousse car bientôt, les bords de son anus forment comme un cratère de volcan palpitant, mon index glisse dedans, elle soupire d’aises.

– Doucement me dit t’elle, je n’ai pas l’habitude.

Quelle menteuse, je vois bien que son petit trou n’est pas vierge, il est souple, s’ouvre facilement, elle connaît les poussées à effectuer pour le détendre et le rendre accueillant, je rajoute un doigt et lui fouille le conduis en profondeur, vrillant mes doigts lubrifiés à l’intérieur.

– Hooo, c’est gros, qu’est ce que tu as mis ?
– Deux doigts seulement, tu veux que j’arrête ?
– Non non, continue, tu le fais bien, prends moi maintenant.

Je lui masse la rondelle en lui caressant la vulve, elle mouille bien, son clitoris est dur sous mes doigts, je me recouvre le gland de vaseline et le place contre son anus impatient. Je me demande pendant quelques secondes si je vais rentrer doucement dans son cul ou si je l’encule d’une traite ? Son orifice m’appelle comme une bouche sans dent prête à m’avaler, cette petite bourgeoise qui cache bien sa nature sodomite, offerte devant moi, la croupe tendue attendant la pénétration rectale, je le revoie dans ses vêtements strictes jouant la prude bien élevée et je prend ma décision. D’un coup de rein, je lui rentre mon dard dans les fesses, sans m’arrêter, toute la longueur, l’anus fait un bruit de goulot de bouteille au passage de mon gland, elle pousse un cri de surprise suivit d’un râle d’acceptation.

– Salaud, tu ne m’a pas prévenue, tu me déchire le cul, hummm.
– Tu veux que j’arrête ?
– Salaud, salaud, non continue, baise moi maintenant que tu es dedans, défonce moi.
– Tu vas ramasser, je vais t’éclater le fion, ça te laissera un souvenir pour la semaine

Je me mets en mouvements dans son tuyau à caca, je ressors ma tige et aperçois des traces marron, elle n’est pas très propre du conduit pour une « Bourge », je lui replante ma queue dans le cul et je lui lime la boîte à chocolat avec vigueur, la vision de ses salissures sur moi enlève les derniers barrages de classe sociale.

– Tu es une sale des fesses, tu m’as sali la bite, salope.
– Ouiii, je suis une salope sale du cul, pousse moi la crotte au fond
– Je vais te la faire remonter dans les intestins, pouffiasse sodomite
– Hooo, encore, dis moi des mots méchants, salaud
– Enculée, tu es une grosse enculée
– Hummm…….
– Tu as un cul à bites, prends ça, et la ramone en férocité.

Je sens une main sur mes couilles, elle me les masse et se branle la vulve en même temps.

– Branle toi, salope, dommage que je n’ai pas deux queues à te fourrer.
– Attends, dit-elle, et elle fouille sous son matelas, en ressortant un gode de latex de bonne taille, elle se l’enfourne dans le vagin et s’astique avec force, je sens l’objet me frotter la verge, ça en rajoute aux sensations de plaisir, je ne vais plus tenir longtemps.
– Je viens crie t’elle, je viens, baise moi fort, encore, encore……….hummm

Je lui bourre le cul en ressortant ma queue à chaque fois, la jouissance me monte des couilles, Jeanne est agitée de spasmes, je passe une main entre ses cuisses, elle pisse de plaisir, par saccades, elle pète sur ma queue en jouissant, je lui lâche ma purée dans les intestins, en le limant, son cul produit des bruits de succion et de clapotis, je me vide en elle puis je m’écroule sur elle.

Nous restons avachis un moment puis elle se relève d’un bon et part ouvrir son armoire, elle en ressort un pot de chambre en faïence qu’elle pose au sol et me tournant le dos, elle positionne son fessier au dessus, elle lâche un pet bruyant et un gros étron recouvert de mon sperme lui glisse hors du sphincter, elle pisse encore un peu, s’essuie la fente et la raie et me rejoint sur le lit.

– Alors, fait voir ça, je t’ai sali ton instrument à plaisirs ?

Elle saisit ma queue à moitié raide et me décalotte, un anneau de matières encercle la base de mon gland, elle se penche pour regarder, le renifle et le prend dans sa bouche, je suis sidéré, une scatophage, elle me nettoie le sexe entièrement, avalant tout ce qu’il y a dessus.

– Voila, c’est propre, excuse moi encore mais je n’avais pas prévue de me faire prendre par derrière aujourd’hui, sinon j’aurais fais ce qu’il faut avant et à toi aussi, je suis certaine que tu n’es pas vide derrière

Pour illustrer son propos, elle m’enfonce son index salivé dans l’anus, elle le rentre le plus profond qu’elle peut et le bouge dedans, cherchant une preuve de son affirmation, elle le ressort et, victorieuse, me le montre, il est souillé.

– Regardez moi ça, Monsieur a la crotte aux fesses, hummm, tu en veux, me dit-elle en me tendant le doigt.
– C’est pas mon truc, donner, regarder, ça va mais pas manger, je peux pas.
– Et bien c’est pour moi, et elle se le met entre les lèvres comme on fait avec un sucre d’orge et le nettoie entièrement en salivant dessus, Moi j’aime bien, d’ailleurs si tu avais un cadeau pour moi, je l’accepterais volontiers
– Ben heu là, j’ai pas d’envie à part faire pipi.
– Donne moi la, j’ai soif, elle m’emmène à son lavabo, me saisit la verge et je lui fais sur le visage, elle ouvre la bouche pour me boire et dirige le jet dedans. Quelle cochonne !

La miction finie, nous retournons sur le lit, elle me retourne sur le ventre pour me lécher les fesses, sa langue tente de me pénétrer, elle salive dessus.

– Tu t’es déjà fais sodomiser ? dit-elle en me mettant un doigt
– Tu veux dire par un homme ?
– Oui, bien sur, j’ai bien vu que tu aimes les caresses des femmes à cet endroit
– Non pas par un homme, je suis hétéro
– Et ça, t’y a goutté ? en me montrant son gode
– Un plus petit avec une copine, pas un gros comme ça
– Ca te dirait que je te fasse le cul, j’aime bien enculer les mecs.
– Ben, c’est un peu épais pour moi
– T’inquiète, je sais y faire, je peux t’ouvrir les fesses sans te faire mal, aller, donne moi ton petit cul, je vais te faire connaître le bonheur, et elle me fait mettre à quatre pattes.

Elle me vaseline l’anus en massant en cercle, son touché est doux et expérimenté, maintenant, c’est deux doigts qu’elle m’enfile.

– Tu prends bien mes doigts, tu n’es pas contracté, je vais pouvoir t’enculer sans douleur

Elle pose le gode contre ma rondelle, elle le lubrifie, avec tout ce qu’il y a comme vaseline, ça va glisser tout seul.

– Pousse quand ça rentrera, ça t’ouvrira l’oignon et tu n’auras pas mal
– Vas doucement quand même, c’est ma première fois avec un truc pareil
– Comme tu me l’a fais, je vais aller aussi doucement, au début….

Elle m’enfonce le gode d’un coup, je hurle de douleur, le morceau m’arrache le cul.

– Salope, tu avais dis doucement
– Oui, doucement comme tu me l’a fais, t’as oublié ?
– Prend ça, dit-elle en me l’enfonçant complètement, tu le sens passer, hein ?
– Ouaaa la vache, tu me déchires, c’est trop gros
– Mais non, pousse, tu vas aimer, je vais bien te baiser, tu en redemanderas

Elle commence des va-et-vient, je suis ramoné du sphincter, elle fait comme je lui ai fais, elle le ressort et le renfonce, avec des commentaires.

– Ho le petit dégueulasse, il m’a fait dessus le gode, il est sale des fesses, je vais lui pousser la crotte.

La douleur disparaît peu à peu, je recommence à bander, Jeanne m’a saisi la verge et me masturbe tendrement, dans mes fesses, le sexe de latex continue à me procurer des caresses profondes et jouissives.

– Alors, t’aimes ça petite pédale, t’aimes ça te faire ramoner le boyau ?
– Je ne suis pas homo
– D’accord, tu es juste un enculé qui donne son cul à une femme et qui a le conduit encombré
– T’aime ça non ?
– Oui, et je vais te la sortir du cul ta crotte.

Maintenant elle me bourre à grandes vitesses, le gode me fait du bien et sa main sur mon dard aussi, je sens que je vais éjaculer.

– Haaa, je viens, c’est bon dans mes fesses

Elle se glisse sous moi pour me prendre en bouche tout en continuant à m’enculer, je balance mes giclées au fond de sa gorge, elle avale tout en me pompant, se délecte de la profusion de liquide, savoure la crème d’homme, je prends un pied de folie, c’est vraiment bon de se faire sucer avec un truc dans le cul.

Après un moment de passage à vide, je reprends pied et sens que j’ai le cigare au bord des lèvres, Jeanne doit s’en douter car, de suite, elle me demande si j’ai un cadeau pour elle.

– Viens sur moi dit-elle en se mettant en soixante neuf sous moi, donne moi tout.

Je suis accroupie en position défécatoire, son souffle me chauffe la rondelle, je n’ai pas besoin de pousser, le cadeau odorant me sort du sphincter tout seul, je ne sais pas la taille qu’il fit tellement mon anus est distendue mais je me vide sur elle, je me mets à pisser, le lit est immonde de nos frasques. Jeanne, sous moi, suce l’étron que je viens de lui pondre dans la bouche, une scatophage véritable, je n’avais jamais fait cela avant, il faut qu’une petite bourgeoise croise mon chemin pour que je découvre cette perversion et que je me fasse sodomiser par elle en plus, je ne regrette pas ma soirée, riche en découvertes.

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2 réponses à L’institutrice par Mondoi

  1. Gino dit :

    Du « très cochon » raconté avec style

  2. Claire dit :

    Moi j’aime bien les ambiances scato, mais je n’aime pas trop ce récit invraisemblable où tout se déroule de façon trop mécanique

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