Martinov 31 – Les visions mystérieuses – 10 – Martinov s’excite et Baudoin farfouille par Maud-Anne Amaro

Martinov 31 – Les visions mystérieuses – 10 – Martinov s’excite et Baudoin farfouille

Baudoin attendit une semaine pendant laquelle ni Lopez ni sa copine ne tentèrent quoi que ce soit et se décida à téléphoner au professeur Martinov.

– Bonjour professeur, je ne vous dérange pas ?
– Non, non ! Mentit Martinov occupé à caresser les douces cuisses de Béatrice.
– C’est juste pour un conseil… Je me disais que s’il y avait un trésor dans le domaine, ce devrait faire longtemps qu’il a disparu… mais on ne sait jamais, comment je pourrais vérifier ?
– Achetez-vous un détecteur de métaux. Le problème c’est qu’avec un appareil bas de gamme il va vous détecter de la ferraille, des vieilles casseroles, des outils cassés. Vous avez maintenant sur le marché des détecteurs qui sont spécialisés dans les métaux précieux. C’est pas donné, mais à vous de savoir ce que vous voulez.
– Merci professeur ! Vous embrasserez Mademoiselle Béatrice pour moi !
– Je n’y manquerais pas.

Et ce fut d’ailleurs la première chose qu’effectua notre coquin de Martinov en raccrochant.

– C’était le fils Bayeul, il croit qu’il y a toujours un trésor quelque part.
– C’est toujours difficile de se débarrasser de ses illusions.
– Ben oui, c’est la nature humaine ! Tiens, moi aussi je vais aller à la chasse au trésor

Et tout en parlant, le professeur a glissé sa main dans le pantalon de Béatrice et lui tripote la chatte.

– Tu vois j’ai trouvé un trésor !
– C’est pas un trésor c’est une foufoune !
– Ah bon ? Alors si c’est une foufoune, je la lécherais bien.
– Ça peut se faire ! On monte là-haut ?
– Ben oui parce que monter en bas, on ne sait pas faire !

Parvenue dans la chambre du professeur, Béatrice se déshabille et s’affale sur lit en écartant les cuisses.

– Allez, mon petit professeur, viens me brouter la figue !
– Attends !
– Mais tu fais quoi ?
– J’ai perdu une chaussette !
– On s’en fout, tu la chercheras après !
– Ça m’embête quand même !
– Bon, tu te pointes, ou je redescends !

Martinov se décide à venir gouter les lèvres gonflées de désir de sa collaboratrice.

– Hum, c’est si bon, je ne m’en lasserais jamais.
– Encore, encore ! Oui comme ça !

Béatrice est atteinte de spasme, sa respiration se saccade. Martinov comprend ce qui lui reste à faire et entoure le clitoris de sa langue. La jouissance de Béatrice devient fulgurante.

– Eh ben dis donc !
– Ben oui !
– T’avais les yeux fermés, tu pensais à qui ?
– Et qu’est-ce que ça peut te foutre, mon petit professeur ? Passe-moi donc une clope que je fasse une petite pause.
– Elles sont restées en bas tes clopes !
– Alors à défaut de clopes, on va faire dans la pipe !

Voilà une suggestion qui ravit notre vert professeur, mais au lieu d’offrir sa bite aux lèvres gourmandes de sa collaboratrice, il la coince entre ses nibards et s’agite comme un garnement.

– Gros coquin !
– Hi Hi !
– Allez, laisse mes nénés tranquilles, je vais de sucer

Le professeur approche sa bite de la bouche de sa chimiste préférée. Laquelle lui joue une turlutte de compétition avant de déclarer

– Après la pipe, la bite au cul !

Et elle relève ses cuisses afin de lui laisser l’accès.

– Tu ne préfères pas te mettre en levrette ?
– Non, j’ai mal aux genoux.

Qu’à cela ne tienne, le professeur sodomisa Béatrice dans cette position avant de finir complétement extenué.

– Reste un peu, juste un peu ! Implore-t-elle

Martinov prend sur lui d’effectuer quelques coups de piston juste ce qu’il fallait pour permettre à Béatrice de jouir à son tour.

Martinov se débarrasse de la capote et propose sa bite maculée de sperme aux bons soins de langue de sa collaboratrice.

Baudoin consulta les prix des détecteurs sur Internet ! Il failli s’étouffer en constatant qu’il fallait débourser 8 000 euros pour un détecteur d’or. Il failli laisser tomber mais après réflexion commanda un modèle moins cher mais moins performant (250 euros tout de même).

Et quelques jours plus tard en entrant déjeuner sa mère l’avertit que le livreur avait déposé un paquet. Fébrile il le déballe…

– C’est quoi ce truc ?
– Un détecteur de métaux !
– Et tu vas faire quoi avec ?
– On ne sait jamais, si l’histoire du trésor était vraie…
– Au lieu de rêver tu ferais mieux de chercher du travail.
– Ce n’est pas incompatible.
– Ben vouons… Puisque tu le dis !

Comme un gamin avec un nouveau jouet, Baudoin voulu l’essayer de suite. Il voulut donc sauter le déjeuner mais sa mère protesta du fait qu’elle n’avait pas cuisiné pour des prunes…

Il mangea donc le plus vite possible…

Dehors il pleuvait des cordes. Mais qu’importe, puisqu’il lui faudrait passer l’intégralité du domaine au détecteur y compris la construction, c’est par les caves qu’il entreprit de commencer la détection.

L’une des caves était occupée par une quantité incroyable de casiers à bouteilles contenant des crus millésimés. Une autre s’avérait être un véritable capharnaüm d’objets abandonnés, fauteuils cassés, caisses de bouquins, piles de journaux moisis, vieux rideaux… Un troisième avait été un dépôt à charbon, des boulets s’y entassaient devenus inutiles depuis que la mère André avait opté pour le chauffage au fioul. Et justement la quatrième cave était occupée par la chaudière.

– Par où commencer ? S’il y a un truc là-dessous comment je vais faire, je vais tout même pas déplacer la chaudière ou le pinard surtout pour trouver de la ferraille.

De dépit il ne fit pas fonctionner son joujou et se mit à réfléchir. Autant dire qu’il ne tenait pas en place…

Vingt minutes plus tard il retournait aux caves…

– Je ne vois pas pourquoi je m’énerve, si ça se trouve il n’y a rien par-là !

Dans les caves il fait fonctionner le détecteur dans les endroits où le sol est directement accessible, mais il ne se passe rien.

– Il faudrait que je déblaye, mais c’est pratiquement « mission impossible »… A moins que la cave à charbon…

Effectivement, c’est faisable, il se saisit d’une pelle et entreprit de déplacer les boulets de charbon créant par la même un nuage de poussière noire qui le fit bientôt ressembler à un ramoneur.

Peu habitués aux efforts physiques, plus le temps avançait, plus il se fatiguait et la cadence ralentissait considérablement.

Et puis alors qu’il suait à grosses gouttes, sa pelle rencontre quelque chose qui n’est pas du charbon… Intrigué il déblaye autour. Apparait alors une sorte de coffret en bois de la taille d’une valise, cerclé de métal et recouvert de suie.

– Putain, c’est quoi ?

Evidemment, la chose est fermée à clé. Qu’à cela ne tienne, il trouve dans la cave mitoyenne un grand ciseau à bois qui de suite à raison de l’ouverture.

Et devant ses yeux ébahis il découvre le contenu du coffret : un crucifix d’une cinquantaine de centimètres serti de brillants, deux objets qu’il n’identifie pas (en fait un calice et un ciboire) quatre boitiers vides, quatre chandeliers … Et tout cela brille.

Baudoin se pose mille questions.

– Est-ce que c’est de l’or ?
– Est-ce que c’est le trésor ?
– Et quand je pense que j’ai acheté un putain de détecteur pour rien…

Il remonte, croise sa mère.

– Mais qu’est-ce que t’as foutu ?
– J’ai peut-être trouvé le trésor, mais là je vais prendre une douche. Si tu veux regarder, c’est dans un coffret, je l’ai laissé à l’entrée de la cave à charbon.

Vous pensez bien que la Henriette en découvrant tout cela n’en peut plus…

– Reste à savoir si c’est ce n’est pas du toc ! Qui pourrait bien nous renseigner ?

Ils font alors appel à Garance.

– Ces objets devaient appartenir aux bonnes-sœurs du couvent des Founettes. Elles ont dû le planquer quelque part au moment de la Révolution. Puis quelqu’un est tombé dessus et l’a enfoui sous le charbon, on ne saura jamais les détails mais la mère André n’était pas au courant, elle n’aurait pas laissé ça ici.
– C’est ça le trésor de Templiers ?
– Je ne crois pas non, Si vous voulez je vais faire estimer ça à Paris…

Et deux jours plus tard.

– Allo, Baudoin, ça y est j’ai fait estimer ça, ce n’est pas du toc, au poids il y en a pour 50 000 euros, mais comme ce sont des objets d’art, en fait ça vaut bien plus. Est-ce que tu veux que je les vende pour ton compte ?
– Fais pour le mieux, ma biche !

A suivre

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Une réponse à Martinov 31 – Les visions mystérieuses – 10 – Martinov s’excite et Baudoin farfouille par Maud-Anne Amaro

  1. Sorenza dit :

    Décidemment Martinov et Béa ne ratent jamais une occasion de s’envoyer en l’air

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