Une sortie en mer 2 – Eveil des sens par Lovelace

Une sortie en mer
2 – Eveil des sens
par Lovelace

Après cette première heure de folie, repus, nous décidons de faire une pause apéro. La conversation ne peut tourner qu’autour du sexe, vaste programme où nous exposons nos goûts, penchants, fantasmes, etc.

Pierre nous raconte comment les mensurations de son sexe font des envieux dans les douches de son club de tennis, mais par contre qu’elles sont un handicap avec les femmes qui ont souvent peur devant un tel engin. Nous découvrons ainsi, que nous avons des goûts communs, comme nous faire engoder par nos femmes ; par contre c’est la première fois que nous goûtons à un sexe d’homme. Alice quant à elle, bien qu’elle ait déjà eu une expérience à trois, c’est la première fois qu’elle essaye une double vaginale, qui l’a d’ailleurs comblée; Elle a la chance d’avoir des ouvertures très «élastiques», mais ne le pensait pas à ce point.

Pour ma part, j’ai la chance que mon cul aussi s’ouvre assez bien, peut-être du fait qu’à la maison, elle m’encule souvent et quand nous sommes bien chauds, avec, des fois, des gros calibres!

Cette conversation a tendance à nous remettre en forme et nos sexes se dilatent doucement à l’évocation de nos souvenirs respectifs ; Alice ne manque pas de le remarquer et prend nos sexes, l’un dans chaque main.

– Je vous remets en forme et on remet çà, OK ? Nous lance-t-elle
– Si tu veux, mais la journée est loin d’être finie, on a le temps
– Justement, puisqu’on a du temps, alors ne le perdons pas ! – Des actes pas des bavardages !

Pierre, lui ne dit rien, mais agit ; Il suce consciencieusement les bouts de seins d’Alice et la fouille de sa main droite en branlant son clitoris au passage. Elle commence à gémir sérieusement au bout de quelques minutes et je sens que nous n’allons pas tarder à remettre le couvert !

Alice comme tout à l’heure, organise la mise en place :

– Bernard vient sur moi en soixante neuf, et comme tu n’y as pas encore goûté, Pierre va te prendre mon chéri ; Tu vas voir, il est vraiment bon !
– OK, mais Pierre, tu y vas doucement hein ! Vas-pas me déchirer la rondelle !
– Ne t’inquiète pas si tu es aussi souple que tu le disais, çà rentrera tout seul, comme pour moi tout à l’heure

Pierre se place derrière moi et s’active à me dilater l’œillet ; Il bande un peu moins que tout à l’heure, mais suffisamment pour que je sente bien la chaleur de sa pénétration, quand sa hampe disparaît dans mon anus. Ses couilles claquent sur les miennes et Alice a une vision féerique de ces deux paires de balloches qui lui frottent le front dans leurs allers-retours frénétiques, alors qu’elle gobe goulûment ma bite gonflée par l’excitation.

Je me concentre sur son clitoris, gonflé, le lèche, le titille, le mordille, par moments j’ai du mal à respirer, me retrouvant le nez dans sa chatte dégoulinante, de plus son excitation lui fait serrer les jambes et je me retrouve la tête coincée dans cet étau charnel. Ce que c’est bon ! Déguster son sexe à pleine bouche, sentir son plaisir monter et en même temps me faire ramoner par Pierre qui se comporte en vrai soudard et y va à fond ! Que c’est bon !

Alice, voyant les couilles de Pierre se durcir et donc approcher de l’extase, nous sépare avant que Pierre ne lâche sa semence, souhaitant, comme tout à l’heure, prolonger nos ébats.

Je suis aux anges et mon cul bée de plaisir. La légère brise marine caresse agréablement mon anus dilaté.

Je continue encore quelques instants à brouter ma belle Alice, sentant qu’elle est proche de l’orgasme et, en effet, elle explose très vite, parcourue de soubresauts, dans un long gémissement. Souriante, elle se lève et se dirige vers la plage arrière, s’assied sur le balcon, les fesses au-dessus de l’eau et pisse longuement, avec un air de grande satisfaction.

Nous profitons des quelques instants de répit que nous octroie Alice, pour décongestionner nos vits, mais elle se trouve être dans une telle transe, qu’elle ne tarde pas à nous remettre en scène. Décidément, elle est déchaînée et rien ne peux plus l’arrêter.

– Bernard, allonges-toi, m’ordonne-t-elle. Je m’exécute, elle m’enjambe et se plante mon vit dans l’anus qui, déjà bien travaillé par Pierre tout à l’heure, ne résiste pas et l’avale en entier.
– Pierre, viens devant, je vous veux tous les deux ensemble.

Nous voilà partis dans une double anale/vaginale, tout de suite bien coordonnée, maintenant que nous nous connaissons mieux. Alice attrape les poignées d’amour de Pierre et lui imprime le rythme qu’elle souhaite, me limitant pour ma part à quelques mouvements du bassin. Nos sueurs se mêlent, nos parfums corporels aussi ce qui exacerbe nos sens. Alice se lâche totalement et, dans un long râle, laisse sa jouissance l’envahir.

Nous restons un moment sans bouger, rompus, mais ni Pierre, ni moi, n’avons lâché notre foutre.

Se retenir de jouir est tout aussi merveilleux que d’éjaculer. Nos corps sont parcourus de milliers de micro décharges électriques, des pieds à la tête. Ma bite ramollit lentement et je décule avec un petit chuintement, Pierre se retire également et nous restons un moment allongés, en silence, profitant du soleil, du vent, du bruit de l’eau sur la coque, jouissant de cette béatitude dans laquelle nous plonge le plaisir extrême.

Ma queue est totalement ramollie, maintenant, mais mon gland est resté totalement gonflé à cause de la pression des sphincters du cul d’Alice, ce qui la fait ressembler à un champignon.

– Il est beau ton champignon, me dit Alice, espérons qu’il n’est pas vénéneux !
– Hallucinogène çà serait super, renchérit Pierre, déjà qu’on baigne dans l’extase !

Et il est vrai qu’aucun de nous n’a jamais vécu aussi intensément une séance de sexe comme celle que nous menons depuis le début de la journée, comme si c’était la dernière fois que nous devions baiser sur cette terre !

– Je ne vais plus pouvoir m’asseoir normalement pendant une semaine, s’exclame Alice, vous m’avez totalement défoncée, regardez !

Elle ouvre ses jambes et les relève pour nous montrer ses orifices béants et juteux. Les lèvres épaisses et généreuses rougies par les frottements incessants malgré son excellente lubrification de femme fontaine qui les font luire, le clito gonflé dont le bout ressort légèrement de son capuchon, ressemble à une micro bite, son périnée détrempé par son foutre qui coule jusqu’à son œillet bien malmené depuis le début de l’aventure et qui reste ouvert, distendu par le «concombre» de Pierre.

Je ne peux m’empêcher de le lui lécher et je l’introduis avec ma langue et lui prodigue quelques allers-retours qui lui arrachent un gémissement de plaisir. Je m’arrête aussitôt pour ne pas faire repartir la machine tout de suite, je pense que ni Pierre, ni Moi, ne pourrions la suivre.

Nous décidons donc de nous rafraîchir avec la douche de pont, ce qui a pour effet de bien calmer nos esprits et adoucir les brûlures, notamment nos glands irrités, devenus très sensibles.

Après cette douche tonique, nous décidons de manger un morceau et de nous reposer quelque peu. Mais une fois à table, la conversation rebondit une fois de plus vers le sexe, le saucisson posé sur une assiette en est le déclencheur :

– Il semble être plus gros que le mien, suggère Pierre le regard lubrique, il faudrait tenter une comparaison pour voir.
– Comment on pratique ? – Je suggère qu’on bande les Yeux d’Alice et qu’elle fasse une «dégustation à l’aveugle».
– OK, je ferme les yeux et je vous dis lequel je sens le mieux, répond Alice
– La texture n’est pas la même, avec ta sensibilité tu vas les reconnaître tout de suite. Je vais peler le saucisson qui une fois mis à nu sera plus lisse et, pour assurer, je lui mets une capote. Reste à ce que Pierre atteigne son volume maximum et surtout qu’il soit bien dur.

Je me charge de cette mission. Je saisi sa queue et commence à le branler en douceur, puis je le prends dans ma bouche et je le pompe jusqu’à ce qu’il soit raide. Là je me rends compte que c’est vraiment un sacré morceau !

Son érection ne tarde pas à être totale et je me demande si Alice saura faire la différence. Il s’encapote également, Alice est allongée sur la table du carré ; Je me mets à califourchon au-dessus de sa tête et lui prend les jambes pour bien les écarter afin qu’elle n’ait aucun contact corporel autrement qu’avec sa chatte.

Pierre approche la vulve déjà détrempée à l’idée de ce nouveau jeu, sa bite d’une main, le saucisson de l’autre et pénètre alternativement la chatte béante et dégoulinante de ma femme.

Elle profite de ce que je sois au-dessus d’elle pour me choper par les couilles avec sa bouche et resserre légèrement la mâchoire pour me mordre à la base du pénis, la bouche pleine. C’est une sensation bizarre et agréable.

Les pénétrations alternatives de Pierre et du saucisson s’enchaînent et lui déclenchent un violent orgasme accompagné d’un jet de foutre qui inonde totalement le saucisson planté dans sa chatte. Elle mouille vraiment beaucoup, mais c’est la première fois que je la vois éjaculer !

Pierre arrête le jeu et lui demande :

– Alors lequel t’as fait jouir ?
– J’en sais foutrement rien, mais je me suis éclatée comme une malade, réponds-t-elle avec un sourire béat. Je suis tellement large et mouillée après tous ces orgasmes à répétition que je crois que je ne sentirai plus rien. J’ai l’impression d’être aussi large qu’un tunnel.

Une idée perverse me vient immédiatement :

– Tu veux être remplie et le sentir, attend, j’ai une idée, lui dis-je.

Je me mets entre ses jambes et commence par lui mettre trois, puis quatre doigts dans la chatte. Je rentre mon pouce sous ma paume, resserre mes doigts et pousse légèrement et voilà que ma main entre lentement.

Encore une petite poussée et les dernières phalanges sont avalées par cette gourmande. Ma main est entièrement à l’intérieur et je commence un va et vient lent que j’allonge progressivement, jusqu’à introduire le poignet.

Je referme mes doigts et c’est le poing serré que je continue cette séance de fisting. Le tiers de mon avant bras est à l’intérieur :

– Et là, tu sens quelque chose ?
– Ho Ouiiiiii, c’est énorme, c’est monstrueux, mais c’est bon, vas-y coulisse bien, viens vite, je vais jouiiiiiiiiiiir !!!!!

J’ai accéléré le mouvement et c’est un orgasme violent qui la secoue de la tête aux pieds. Les yeux révulsés, pantelante, elle en perd à moitié conscience.

– Je pense qu’on la baisera plus avant ce soir, dis-je à Pierre.
– Je pense aussi, il faut que ses sphincters se resserrent, sinon c’est avec le mât qu’il faudra la mettre !

Cela dit, nous sommes en reste, nous n’avons éjaculé qu’une fois depuis le début de cette journée et toutes ces excitations successives, pénétrations diverses, nous laissent légèrement frustrés. J’aimerai vraiment me vider les couilles maintenant, mais bon, on verra plus tard.

Nous la laissons reprendre ses esprits et, en attendant, je vais à la table à cartes faire un point de route.

Nous ne sommes plus très loin de notre destination, aussi, nous remontons sur le pont nous rafraîchir à la douche et quitter provisoirement notre peau de bête…de sexe !

Au bout d’une demi-heure, environ, nous voyons la tête d’Alice apparaître par le panneau de descente du carré, l’air un peu hagard, mais les yeux bordés de reconnaissance !

Un peu chancelante, elle prend une bonne goulée d’air et prenant appui sur les côtés du panneau sort totalement pour traverser le cockpit et venir sur la plage arrière du Ketch. Nous en profitons pour admirer ses formes généreuses et bien proportionnées. Elle a les formes épanouies dues à ses trente cinq ans. Ses jambes, longues aux cuisses fuselées, son ventre légèrement bombé et ses superbes melons qui lui servent de seins, lourds ronds et fermes, on croirait des faux tant ils sont beaux! Ses cheveux courts dégagent sa nuque longue et fine. De dos, nous admirons sa chute de reins, et les deux fossettes très sexy posées au-dessus de ses fesses rondes, soulignées par un petit pli délicat. Son bronzage intégral ne masque pas la rougeur autour du sexe et sur ses fesses due à ses orgasmes à répétition – elle à dû jouir une bonne dizaine de fois depuis ce matin – et son pas est chancelant !

Décidément, me dis-je, j’ai vraiment une belle femme. Elle aussi prend une douche pour se redynamiser et s’éclaircir les idées.

A suivre

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Une réponse à Une sortie en mer 2 – Eveil des sens par Lovelace

  1. Forestier dit :

    Pas mal, mais c’est un brin répétitif par rapport au premier chapitre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *