Souvenirs de jeunesse 2 – Trio en chambre et la suite… par Gérald01

Le matin au réveil j’ai de nouveau été obligé de me branler tant ma bite en érection me faisait mal. Le surlendemain je suis allé voir la prostituée, pas pour consommer mais pour lui dire que j’étais d’accord pour la proposition qu’elle m’avait faite l’autre jour. Je lui laissais mon numéro de téléphone pour qu’elle puisse me contacter quand son client serait chez elle. Comme j’habitais le quartier, je pourrais être au rendez-vous en cinq minutes.

Elle me demanda si j’étais bien sûr de moi car c’était un bon client qui venait la voir une fois par semaine et payait bien et elle craignait de le perdre au cas ou je me défile au dernier moment.

Je la rassurais en lui promettant qu’il n’y aurait aucun problème.

Trois jours plus tard, un soir vers 18 heures elle m’appela pour me dire que son client venait d’arriver, je me rendis rapidement au rendez-vous, j’allais pouvoir renouveler mon expérience mais d’une manière encore plus osée.

Quand j’ai frappé à sa porte, elle a vérifié par l’œilleton que c’était bien moi et m’a fait entrer. Elle était nue et un type d’une quarantaine d’année était allongé nu sur le lit. Elle fit une présentation rapide et me dit :

« Déshabilles toi vite et rejoins nous ».

Pendant que je me déshabillait elle lui faisait une pipe, je les rejoignis et l’observais sucer, elle avait une sacré technique, le type était maintenant en pleine érection et sa bite était énorme. Lui aussi était épilé, je trouvais plutôt ça beau mais je me demandais si avec l’âge c’était un phénomène naturel ou bien s’il s’agissait d’une mode, contemplant sa queue qui semblait encore grandir et grossir, je me demandais comment elle pourrait prendre un tel morceau dans le cul.

« Regardes moi bien faire dit elle, pour faire une bonne pipe, il faut 3 choses : faire attention aux dents et bien saliver, respirer lentement par le nez et enfin toujours avaler le sperme, pour le reste, suis ton instinct, de toute façon tous les mecs savent sucer et tout homme qui s’est fait faire une pipe par un de ses congénères te dira que c’est même mieux qu’avec une femme ».

Elle avala alors la bite jusqu’aux couilles puis sans faire de mouvements, elle aspira, ses joues se creusaient et de la salive coulait à la commissure de ses lèvres. Puis elle ressortit la queue de sa bouche, elle était énorme, plus de 20 centimètres de long et d’une grosseur impressionnante. Je lui demandai comment elle faisait pour ne pas vomir en se l’enfonçant entièrement dans la bouche, elle me dit que c’était une question d’habitude et me proposa d’essayer en suivant ses conseils.

J’ouvris la bouche et fis coulisser mes lèvres le long de la tige, sa grosseur était un peu gênante mais en salivant bien cela finissait par rentrer de plus en plus profond.

« Tu te débrouilles plutôt bien me dit-elle, mais va doucement ne le fais pas jouir tout de suite ».

J’alternais les va et vient avec la bouche et les coups de langue sous le gland. De temps en temps le type gémissait et elle me demanda d’arrêter.

« Tu suces bien et tu ne me fera pas croire que c’est la première fois ».

Je lui avouais que c’était en fait la deuxième.

« Eh bien tu es drôlement doué me dit elle, en se mettant à quatre pattes sur le lit et en invitant son client à se mettre en position ».

« Viens vite me défoncer le cul lui dit-elle et toi prends ta place, tu sais ce que tu dois faire, alors mets toi à genoux derrière lui, écartes lui les fesses et lèches lui le trou du cul ».

Je pris position et écartant ses fesses à deux mains je tirais la langue et lui léchais l’anus, le goût était spécial, pas mauvais mais légèrement poivré. Je passais ma langue de son cul à ses couilles, cela avait l ‘air de lui plaire, il lui enfonça alors sa bite dans le cul d’un seul coup ce qui arracha à la femme un cri de douleur ou de plaisir c’était difficile à dire, j’alternais léchage de cul et de couilles tandis qu’il la pistonnait avec vigueur de plus en plus vite.

« Vas y, lèches moi bien le cul dit-il, enfonces bien ta langue ».

Tirant la langue au maximum, je lui fouillais la rondelle profondément, ce qui lui arracha un cri de plaisir. La séance dura environ 10 minutes, puis soudain il se mit à crier :

« Putain, que c’est bon, je sens que ça vient, prépares toi ».

Se retirant rapidement, il présenta devant ma bouche son membre turgescent,

La fille s’était retournée et allongée sur le lit, les mains sous son menton, elle me regardait avec une légère inquiétude. Je la regardais droit dans les yeux et pour la rassurer j’ouvris la bouche et j’avalais la queue de son client au maximum. Elle n’était pas souillée, mais le goût était très fort, mais j’étais prêt à honorer mon contrat et je la suçai avidement. Le fait de sucer une bite devant une femme m’excitait terriblement, c’était encore plus excitant et cela me faisait bander terriblement. La fille me regardait en souriant, visiblement rassurée et amusée.

« Ouvres bien la bouche et tires la langue, je vais décharger hurla le type, j’aime bien voir mon foutre jaillir ».

Le gars se branlait rapidement son gland posé sur ma langue,

« Tiens dit il soudain, bouffes tout, tiens, tiens ».

Au même moment, je reçu sur la langue une giclée de sperme suivie rapidement de cinq autres jets presque aussi abondants, je n’avalais pas tout de suite, mais gardant la bouche ouverte, ma langue jouait avec le foutre pour bien l’exciter, puis je repris le gland en bouche et le ressortis tout gluant, je renouvelais cela 5 à 6 fois puis passait la langue tout autour du gland pour tout récupérer, j’avalais le tout puis comme sa bite commençai déjà à mollir un peu, je l’enfonçai entièrement dans ma bouche en parvenant à maîtriser le réflexe nauséeux dû au contact du gland au fond de ma gorge.

Sous le regard étonné de la fille, je recommençais plusieurs fois en serrant bien les lèvres à chaque fois que je le ressortais.

« Voilà dis je, elle est toute propre ».

« En fin de compte dit la fille, je vois que je n’ai rien à t’apprendre, tu es le roi de la turlutte ».

Elle se leva alors et alla s’agenouiller par terre, la bouche au dessus du bidet, le type la rejoignit en prenant place debout de l’autre côté du bidet puis avançant son gland décalotté à quelques centimètres de la bouche ouverte, il se mit à pisser.

Je n’en revenais pas et restais bouche bée en regardant ce spectacle insolite, au mouvements de déglutition de sa gorge, je vis que la fille en avalait, au moins en partie car le jet continu de pisse lui coulait sur le menton chaque fois qu’elle fermait la bouche pour avaler. Elle tira la langue puis recueillit les dernières gouttes, se tournant vers moi et voyant mon air étonné, elle me dit :

« Ça t’épate hein, tu n’avais jamais vu ça encore je parie, Robert est le seul client à qui j’accorde de genre de truc, mais j’en ai quelques uns qui sont amateurs et qui après m’avoir baisée me demandent de m’accroupir sur leur bouche pour me lécher la chatte pleine de foutre et se faire pisser dessus, ça les rend dingues ».

Robert s’habilla rapidement en pestant qu’il allait être en retard à un rendez-vous, il me félicita pour ma prestation et embrassa la fille sur le front avant de sortir. La fille me dit alors :

« Je suis contente de toi, cette passe m’a rapporté 3 fois plus que d’habitude, je te dois ta petite récompense, que préfères tu, ma chatte, mon cul ou ma bouche ? ».

Un peu gêné, je lui répondis que si elle était d’accord, j’aimerai bien essayer le truc dont elle m’avait parlé tout à l’heure.

« Tu veux que je te pisse dessus ? Ok, mais viens d’abord me baiser car tu dois avoir les couilles prêtes à éclater après cette séance et tu me nettoieras la chatte avant que je t’arrose ».

Elle s’allongea sur le dos, les cuisses écartées et je me mis sur elle et la pénétrais à fond, j’étais hyper excité et je n’avais pas débandé depuis le début de la rencontre, après avoir limé pendant 5 minutes, je ne pu me retenir plus longtemps et mon foutre lui fouetta l’intérieur du vagin tandis que je m’effondrais sur sa poitrine.

« Ça va mieux maintenant dit elle, alors mets toi vite en position, assieds toi par terre la tête à la renverse au dessus du bidet et regardes en l’air ».

Je pris position et elle m’enjamba en écartant largement les cuisses et en fléchissant un peu les genoux pour que sa chatte soit contre ma bouche.

« Ouvres en grand dit elle en s’écartant la chatte avec les doigts ».

J’obéi et aussitôt un gros paquet de foutre gluant et chaud tomba sur ma langue, je l’avalais avec excitation constatant que le goût était meilleur car mélangé à ses secrétions vaginales.

« Attention, tiens toi prêt, ça vient ».

A peine a t elle fini sa phrase qu’un jet chaud et doré m’emplit la bouche, elle stoppa alors sa miction et me dit d’avaler rapidement car elle ne pouvais pas se retenir plus longtemps. J’avalais le liquide chaud qui me piqua un peu la gorge, le goût était spécial, comparable à rien d’autre, je rouvris rapidement la bouche, et un flot de pisse ininterrompu se déversa sur mon visage et dans ma bouche, j’en avalai un peu et recrachais le reste dès que ma bouche était pleine, j’avais le visage trempé et l’urine coulait sur mon menton et dans mon cou.

« Colles ta bouche sur ma chatte dit elle et aspires car il y a encore un peu de sperme dedans ».

J’obéi et plaquant la bouche sur son sexe béant j’aspirai les quelques filets visqueux et léchais les dernières gouttes de pisse.

En se relevant elle se rendit compte que je bandais de nouveau et en riant elle me dit :

« Je ne savais pas que ma pisse était aphrodisiaque à ce point, ça a l’air de t’avoir plu ».

« C’était super, tu as vu l’effet que ça me fait » lui répondis je.
« Tu es un sacré cochon toi, allez laves toi vite et files j’ai encore du boulot ».

Pendant que je me rinçais le sexe et le visage, elle me demanda si, à l’occasion, son client désirait recommencer, j’étais d’accord, je lui répondis qu’il n’y avait pas de problème dans la mesure où je serais libre et que j’ai la même récompense qu’aujourd’hui. Elle m’envoya un baiser avec la main au moment où je sortais de son appartement. Trop excité par ce que je venais de vivre pour rentrer chez moi, je décidai d’aller au cinéma porno, j’avais encore envie de baiser, je passais devant plusieurs avant d’en trouver un dont le titre du film m’inspirait, j’optais pour « les suceuses perverses ».

Je me fis accompagner par l’ouvreuse jusqu’au dernier rang, le film était pas mal, au bout d’un moment, pris par une envie de pisser, je me rendis aux toilettes, là, je découvris une scène terrible, devant les urinoirs, une fille était à genoux en train de sucer un mec tandis qu’un autre type se branlait en les regardant, sans me gêner, je sortis ma bite et pissais tout en les regardant, puis sans remballer mon sexe je me dirigeai vers le wc en faisant un clin d’œil à la fille et baissant complètement mon pantalon et mon slip je m’assis sur le couvercle des wc. Deux secondes après le couple arrivait suivi de l’autre type.

La fille s’agenouilla devant moi et commença une fellation d’enfer tandis que ses deux compagnons se branlaient, passant la langue sur mes lèvres je leur fis signe de se rapprocher, ils ne se firent pas prier, ils prirent position l’un à droite et l’autre à gauche et je les pris en bouche à tour de rôle, la fille suçait vraiment bien et en moins de dix minutes je lui envoyais une première giclée dans la bouche, elle ressortit ma bite et tout en me branlant continua de me faire juter sur son visage, puis elle frotta mon gland sur ses lèvres et passa sa langue tout autour pour lécher le reste de sperme,

« J’adore me faire asperger dit-elle, il paraît que c’est bon pour la peau ».

Un des types, de plus en plus excité dit alors :

« Putain, il t’en a mis partout le salaud, tiens ça vient regardes ce que je vais lui mettre ».

Au même instant, un jet chaud et gluant frappa le fond de ma gorge, j’ouvris alors grand la bouche en tirant la langue pour qu’il finisse de décharger, il n’en finissait pas de gicler et l’autre type, stimulé par le spectacle rapprocha sa queue et éjacula à son tour, j’avais la bouche pleine de sperme et je m’empressais d’avaler pour ne pas en mettre partout.

Puis je les repris en bouche tour à tour pour tout nettoyer, la fille était folle d’excitation,

« Putain, tu as l’air d’aimer ça dit-elle, tu es une vraie petite salope, vas y lèches tout espèce de pompe à foutre »,

Puis passant ses doigts sur son visage pour récupérer mon foutre elle me fit lécher ses doigts. Le calme revenu tout le monde se rhabilla et nous sortîmes, le type seul quitta le cinéma et la fille me fit alors une proposition.

« Tu es tout à fait ce que je cherche dit-elle, si tu es prêt à découvrir des expériences torrides et surtout si tu es prêt à m’obéir donnes moi ton téléphone »,

Je lui communiquais mes coordonnées et elle me tendit sa carte de visite en disant :

«Je recherchais une belle salope de ton espèce et je crois que j’ai trouvé, je t’appellerai un de ces soirs ».

Je les saluais et sortis du cinéma, j’étais un peu crevé et je rentrais chez moi.

Après une bonne douche et un lavage des dents, indispensable, je me couchais. Les trois jours qui suivirent, j’eu beaucoup de travail et j’étais un peu crevé, un soir cependant, pour me changer les idées je décidai d’aller faire un tour, j’étais sur le point de sortir quand le téléphone sonna.

…à suivre

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Une réponse à Souvenirs de jeunesse 2 – Trio en chambre et la suite… par Gérald01

  1. dunlop dit :

    Il ne faudrait pas prendre au pied de la lettre ce récit qui voudrait nous faire croire que l’absoption de sperme est sans risque
    On ne doit faire ça qu’avec des partenaires testés !
    Sinon ce récit n’est pas mal du tout, sans doute le meilleur de son auteur 😉

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