Martinov 16 – Professeur Martinov et le Fidélitas – 15 – Réveillon porno par Maud-Anne Amaro

Martinov 16 – Professeur Martinov et le Fidélitas

15 – Réveillon porno par Maud-Anne Amaro

 

En ressortant de la douche l’agressivité que Parma avait manifestée en se présentant au domicile de Martinov semblait avoir complètement disparue.

– Bon alors si j’ai bien compris vous n’êtes pas les vrais inventeurs de ce « Fidélitas » à la con.
– Je vous dis, on a juste réalisé l’étui, on ne savait pas trop à quoi servirait ce machin !
– Et l’inventeur vous savez qui c’est ?
– L’inventeur a travaillé sous la menace. Le véritable instigateur de ce produit est un dénommé Perronoux, on peut vous donner ses coordonnées, mais c’est quelqu’un de très dangereux. A votre place je laisserais tomber.
– Bon, ben tant pis pour moi, je vais vous laisser… Vous êtes inventeur alors ?
– En quelque sorte !
– C’est bien, ça comme métier ! Moi je suis dans le spectacle, mais personne veut de moi, je ne suis pas assez bonne comédienne. C’est n’importe quoi, qu’il parait. Bien sûr pour des rôles de composition, j’aurais peut-être un peu de mal, mais pour jouer les femmes fatales, les vamps, j’ai tout ce qu’il faut, non ? Enfin bref… Vous ne connaissez personne dans le spectacle par hasard.
– Je peux vous donner un nom, mais c’est sans garanti.

Martinov griffonna les cordonnées d’Oscar Lichtenberg sur un bout de papier.

– Ah ! Il s’appelle Oscar, votre gars ! Je suis sûre que ça va me porter chance.

Mercredi 31 Décembre

Ce sera sans chichis avait précisé Edith qui reçut ses visiteurs vêtue d’un simple jeans, et d’un débardeur grenat mettant en valeurs ses jolies épaules. Quant au soutien-gorge, elle l’avait volontairement oublié, ce qui faisait que ses tétons dardaient sous le tissu.

Martinov qui de toute sa vie n’était jamais parvenu à décontracté sa tenue, avait sortie de la naphtaline un costard trois pièces qui devait être à la pointe de la mode… il y a trente ans. Le tout étant ponctué d’un nœud papillon rouge d’une absolue désuétude.

On sonna à la porte :

– Romain, je suppose ? Je suis Oscar, et je vous présente Maria Baule, productrice de télévision.
– Entrez, entrez, installez-vous.

Si Oscar était venu en jeans et chemise rose, Maria, elle se fit remarquer quand elle enleva son manteau de fourrure, non pas par son pantalon noir chic et classique, mais par le haut en voile transparent qui ne pouvait rien cacher de sa poitrine puisqu’à l’instar d’Edith, elle n’avait rien mit pour la soutenir.

Les nouveaux venus embrassent tout le monde, font mettre où il convient les bouteilles qu’ils ont apportés et jaugèrent la petite assemblée (que voulez-vous, c’est instinctif). La seule inquiétude de Maria Baule concernait le vieux professeur :

« Pas trop sexy, celui-là ! Mais bon, on verra bien ! »

Quant aux autres, si la première impression en voyant débarquer Maria fut une certaine déception eu égard à son âge, la transparence de son haut contribua à les rassurer.

– Donnez-moi vos manteaux. Installez-vous, asseyez-vous ! Réitéra Edith. On va commencer par boire un petit apéro, ça nous permettra de faire connaissance.

Tout était déjà prêt sur la table basse et Edith n’eut plus qu’à remplir les verres.

– Vous travaillez à la télé, alors ? Demanda Edith.

Question idiote puisqu’elle le savait déjà, mais ça permettait de lancer la conversation.

– Je produits des émissions à la con, ce n’est pas très valorisant, mais ça paye plutôt bien.

Maria remarqua alors que si tous les regards convergeaient vers elle, ce n’était pas pour ce qu’elle répondait, mais pour son haut provocant.

– Euh, c’est peut-être un peu trop transparent. Demanda-t-elle avec malice !
– C’est très sexy, moi j’aime beaucoup ! Intervint Edith, tandis que Romain approuvait ses propos en opinant du chef.

Maria croisa alors le regard de Martinov et de Béa, qui d’un léger sourire qui se voulait complice semblait signifier qu’ils n’y voyaient pas problème.

– J’en profite pendant que je peux encore, ajouta Maria, dans dix ans je ne pourrais plus, il sera trop tard. Evidemment, ils ont été refaits, mais c’est du bon boulot !
– Ils m’excitent ! Intervint Edith.
– Je prends ça comme un compliment. Si tu veux toucher…
– Maintenant ?
– Quand tu veux !

Alors Edith se leva de son siège, attendit une éventuelle réflexion de la part de l’assistance, mais celle-ci se contentait d’attendre la tournure des événements.

Ses mains se posèrent sur le fin tissu du top de Maria, puis saisie d’une irrésistible pulsion, elle passa ses mains au-dessus et se mit à caresser la peau nue de ses gros nénés.

Maria attira alors le visage d’Edith contre le sien et les deux femmes se roulèrent un patin.

– Ça commence fort ! Commenta Oscar en se tripotant la braguette, non pas parce qu’il bandait (il en avait vu tellement d’autres), mais parce il lui semblait que ce geste était de nature à « lancer la conversation ». Effectivement, Romain Framboisert qui était à ses côtés commença par lui adresser un petit sourire complice avant de lui poser sa main sur la braguette accompagné d’une demande de permission gentiment hypocrite :

– Vous permettez ?
– Avec plaisir !

L’endroit se mit à gonfler à force de manipulations. Romain mit la main sur l’ardillon de la fermeture-éclair, et après avoir recueilli une mimique approbative d’Oscar dézippa la chose, enfouit sa main dans le calfouette et en fit sortir un joli cylindre de chair en pleine bandaison, qu’il commença à masturber doucement.

– Vous avez une bien belle bite, cher Monsieur !
– Profitez-en, elle est à votre disposition.

Oscar en homme poli qu’il était tint à rendre la réciproque à son voisin et bientôt les deux hommes se livrèrent à une jolie branlette mutuelle, tandis que devant eux Edith et Maria se pelotaient à qui-mieux-mieux.

– Ils ne perdent pas de temps ! Bougonna Martinov.
– Humm t’as goûté aux toasts aux œufs de saumon ? C’est divin ! Répondit Béatrice, la bouche pleine.
– On est largué comme deux andouilles !
– Pas bien grave, la soirée ne fait que commencer, et puis j’aime bien regarder, pas toi ? Prend un toast, je te dis.
– Je peux te caresser un peu les nichons ?
– Mais bien sûr mon petit professeur.

Sa main se balade alors sous le tissu du haut de la jeune chimiste…

– Tiens tu n’as pas mis de soutif ?
– Non, je ne savais pas lequel mettre, alors je n’en ai pas mis…. Hum, j’aime bien quand tu me pinces les tétons. Hum, ça te fait bander, hein ?
– Tu me fais toujours bander !
– Tu me connais pourtant par cœur !
– Mais je ne m’en lasse pas.
– T’es un amour !

Romain s’était à présent baissé et engloutissait la bite d’Oscar en de larges mouvements de bouche.

– Hummm, tu suces bien, toi, tu es un bon suceur de queues !
– Humpf, humpf !

Un moment Romain qui avait quelques douleurs dans le dos se releva.

– Si on se mettait à l’aise ? Proposa-t-il.

Oscar n’avait rien contre et bientôt nos deux joyeux libertins se retrouvèrent à poil, l’un devant l’autre.

– Humm t’as des beaux tétons, toi ! Constata Romain en découvrant le torse épilé d’Oscar.
– Tu peux t’amuser avec, si tu veux, j’adore qu’on me les tripote.

Les deux hommes s’amusèrent donc pendant quelques instants à se tirer les bouts de seins. Très proche l’un de l’autre, leurs bites bandées se frôlaient et se chevauchaient dans un insolite ballet au pouvoir érotique fulgurant. N’y tenant plus les deux hommes se roulèrent un patin d’enfer au terme duquel chacun se demanda comment il allait gérer la suite.

C’est alors qu’Oscar, apercevant le professeur faisant banquette, une banquette active, mais une banquette tout de même), l’interpella.

– Mais, Dédé, viens donc nous rejoindre ! On peut vous l’enlever cinq minutes, Béatrice ?

Cette dernière n’allait quand même pas jouer les rabat-joie et ne protesta pas. Elle jeta un coup d’œil vers ces dames, mais leur duo n’offrait pour l’instant aucune ouverture : Edith et Maria débraillées à l’extrême étaient, collées l’une à l’autre sur le canapé, se pelotant chattes et nichons en se roulant des pelles à répétition.

« Je fais quoi, je prends un magazine ? » Marmonna-t-elle.

Le professeur qui venait de se déshabiller prestement s’approcha du duo, et bientôt les trois hommes se plotèrent réciproquement, la bite, les tétons, les culs. Tout était bon pour la caresse.

Bien sûr, tout ce petit monde bandait un maximum et notre vert professeur commençait à saliver à voir et à tripoter les jolies bites de ses joyeux compagnons de débauche.

Aussi se baissa-t-il pour satisfaire ses lèvres, il convoita celle de Romain, mais elle n’était pas disponible, Oscar l’ayant bien en main. Qu’importe il sucerait donc Oscar.

Il prit la bite en bouche et la fit coulisser quelques instants pour s’imprégner de sa texture et de son goût, puis se mit à donner de brefs petits coups de langue sur le gland d’où une goutte de liquide spermatique ne tarda pas à darder.

Romain passa derrière le professeur et commença par lui peloter… le derrière.

– Qu’est-ce qu’il est beau ton cul ! Le flatta-t-il.

Le couple Framboisert qui se douterait bien que la soirée serait chaude avait prévu sur la table basse entre les noisettes et les cacahuètes, une jolie coupelle remplie de préservatifs et de dosettes de gel intime. Romain en serait donc le premier utilisateur, la capote pour sa bite et le gel pour le trou du cul convoité. Mais avant, il tint à lécher l’endroit dont il adorait la texture particulière et son parfum légèrement âcre. Et puis c’est tellement « pervers !

Le cul fut tellement bien humecté qu’il s’entrouvrait, Romain ajouta néanmoins une noisette de gel pour que l’introduction soit parfaite. Elle le fut et bientôt notre vert professeur fut honoré par deux belle bites, une dans le cul, une autre dans la bouche. Inutile de vous dire qu’il jubilait. Le seul inconvénient c’est que les coups de boutoir à l’arrière l’empêchaient de se concentrer comme il aurait voulu sur sa fellation. Mais Oscar ne s’en plaignait pas. Ce dernier était d’ailleurs au bord de l’extase, le visage levé en arrière et rougi par l’excitation. Il n’eut même pas le temps de se reculer et éjacula dans la bouche de son fellateur.

Si la bite d’Oscar se mit alors à débander, l’homme restait néanmoins en forme et il vint admirer le charmant tableau que formaient ses deux compagnons.

– Hummm. Tu l’encules bien ! C’est bon, hein Dédé !
– Super !
– C’est la fête, hein ! Deux bites pour toi tout seul !
– Et des belles !

Oscar se mit à branler le professeur, tandis que Romain qui aurait voulu se retenir de jouir pour ménager la suite, en fut incapable tant son excitation était grande et déchargea dans un râle avant de déculer avec un curieux bruit de goulot qui se débouche.

Le professeur un peu groggy laissa Oscar continuer à le masturber tandis que Romain vint lui rouler une pelle tout en lui pinçant les tétons. Il ne tarda pas à jouir à son tour.

C »est à ce moment que d’un mouvement spontané, nos trois coquins se dirigèrent vers la salle de bain et pour se faire ils passèrent devant Edith et Maria dont les effusions avaient quelque peu baissées d’intensité.

– Messieurs, si vous voulez que je vous nettoie la bite, j’adore faire ce genre de chose ! Proposa Maria Baule.

Ils furent bientôt tous les quatre dans la salle de bain.

– Par qui je commence ? Demanda Maria, qui déjà approchait sa bouche de la bite de Romain. Mais celui protesta (plutôt mollement d’ailleurs)

– Attends, faut que je fasse pipi !
– Pisse-moi dessus, j’adore ça ! Attend j’enlève mes bas.

Romain n’avait rien contre, le problème, c’est qu’il avait beau essayer, ça ne venait pas.

– Je crois que moi, je vais pouvoir, dit alors Oscar qui visa le ventre de Maria de son jet d’urine.

La coquine se baissa alors et ouvrit une large bouche. Le spectacle dut débloquer Romain qui se mit à pisser à son tour. Martinov regardait fasciné, il n’avait pas très envie et soudain saisi d’une incontrôlable pulsion, il alla se placer aux côté de Maria et profita ainsi du jet dru d’Oscar.

C’était la deuxième fois que Martinov se faisait pisser dessus par un homme ! Il y a toujours une deuxième fois. Et tandis que Maria nettoyait de sa bouche la bite de Romain imbibée de sperme et d’urine, le professeur faisait exactement la même chose avec celle d’Oscar.

– J’ai aussi une petite envie, ça intéresse quelqu’un ? Demanda Maria.

L’instant d’après elle pissait d’abondance sur Martinov et Oscar qui s’étaient couchés sur le carrelage et qui avalaient ce qu’ils pouvaient. Pendant ce temps Romain lui léchait les tétons, mais quand Martinov se proposa afin de lécher sur sa chatte les dernières gouttes de pipi, elle s’y opposa.

– Ce sera pour ces dames, si ça les intéresse !

Et elle sortit de la salle de bain sans se rincer.

Dans le living, Edith et Béatrice, restées seules ne pouvaient faire autrement que de se rapprocher et cette dernière était en train de butiner l’extrémité des nénés de son hôtesse. Maria arriva comme un cheveu sur la soupe :

– Ça va, les filles ? J’ai fait un gros pipi, mais j’ai complétement oublié de m’essuyer ! Où ais-je la tête en ce moment ?

Il vint un moment à Béatrice l’idée d’envoyer promener cette emmerdeuse ou du moins la snober, mais ne souhaitait pas « plomber » la soirée, et comme Edith n’était que très moyennement intéressée par cette proposition indirecte, elle se dévoua.

Ce ne fut d’ailleurs pas une corvée, les jeux de pipi, c’était vraiment son truc à Béatrice et elle ne s’en lassait pas, Elle laissa donc sa langue se frayer un chemin dans la chatte poilue de Maria Baule, puis une fois l’urine convenablement lapée, se dit qu’elle aurait mauvaise grâce à ne pas continuer à profiter de l’endroit. Le clito de Maria plutôt gros et en pleine forme n’attendait que l’on s’occupe de lui, Béatrice l’attaqua provoquant une jouissance fulgurante à sa partenaire.

Après cet intermède, Béatrice et Edith reprirent leurs ébats, tendres câlins, douces caresses, baisers audacieux qui se terminèrent par un soixante-neuf d’enfer.

Les hommes revinrent, personne ne se rhabilla, mais le sexe fut mis provisoirement de côté et on trinqua joyeusement, tandis que l’horloge se mit à signaler qu’on venait de changer d’année.

– Tout le monde se souhaite une bonne année, on s’embrasse, on s’enlace, on se bisouille, on vide les verres et on les remplit de nouveau.

Evidemment, pendant le repas fut évoqué l’affaire du « Fidélitas » et les mésaventures de Michael Dereine.

– Quand je pense que c’est moi qui l’ai lancé ! Se lamenta Maria.
– Il a vraiment du talent ? Figure-toi que je ne l’ai jamais entendu chanter ! Demanda Edith.
– Du talent ? Pas plus qu’un autre, mais il se débrouille et puis surtout il est beau, alors je lui ai donné un petit « coup de pouce ». C’est grâce à moi que ce petit con a gagné le concours, uniquement grâce à moi, pas grâce à son talent. Et pour me remercier, cet abruti ne trouve rien de mieux à faire que de se laisser entortiller par un impresario véreux.

L’auditoire qui ignorait cette partie de l’histoire est passionné, à l’exception toutefois du professeur Martinov qui s’en fout un peu.

– Mais on ne me fait pas des coups comme ça à moi ! J’ai un peu manœuvré pour le rendre jaloux, avec l’aide d’Oscar…
– Tu parles ! Ce jour-là j’ai failli prendre un pain dans la tronche…

Il raconte l’anecdote.

– Et comme je lui avais parlé du « Fidélitas », il a cavalé en acheté un ! Je pensais lui faire une vacherie, mais je ne pensais pas que ça irait aussi loin ! Il est complètement cramé maintenant. Pour lui ça doit être terrible, mais bon, je ne pouvais pas ne pas réagir. Enfin bref, tout cela n’est pas fondamental.
– Moi ce qui m’embête… commença, Romain
– …Enfin, j’étais loin de me douter qu’un jour, je me ferais bouffer la chatte par l’inventeur du « Fidélitas ». Continue Maria.

Eclat de rire général.

– Ben justement… Tente une nouvelle fois Romain.
– Quelle idée d’aller inventer un truc pareil, aussi !
– Ce n’était pas mon idée, c’est bien plus compliqué que ça. Mais justement…
– Ben raconte nous ! Intervient Maria le coupant pour la troisième fois.

Et Romain Framboisert raconte alors à l’attention de ceux qui ne connaissent pas l’histoire ses démêlés avec Perronoux. En fait il la raconta à sa façon remplaçant l’affaire du casse de la bijouterie Brougnard par une anodine affaire de faux en écritures comptables.

– Alors, OK, c’est une invention débile, mais là où j’ai les boules…
– Oui dis-nous où t’aurais les boules, plaisante Maria.

Rires de l’assemblée.

– Maria, laisse-le donc continuer, s’irrita Oscar.
– Je disais donc que cette affaire ne m’a pas rapporté un rond, et qu’en ce moment un petit malin se fait probablement du fric avec ça en ayant changé le nom du produit.
– T’as appris ça comment ? Demande Oscar.
– C’est notre ami Martinov qui m’a informé…

Et comme personne n’est au courant à part Romain, quatre paires d’yeux se tournent vers Martinov qui se trouve « obligé » de raconter.

– Quand Dereine est venu nous casser les pieds, il a oublié un porte-cartes… dedans il y avait un bon pour un massage gratuit…
– Ah ! Oh !
– Ben quoi ?
– Un massage érotique ?
– Oui, un massage érotique…
– Ah ! Oh ! Faut nous raconter…
– J’y reviendrais, si vous êtes sage, mais ce que je voulais dire c’est que dans une pièce mitoyenne il y avait au moins un carton plein de faux « Fidélitas ».
– En voilà une coïncidence !
– Ce n’en ai pas vraiment une. Dereine a dû aller raller au magasin où il avait acheté son truc, il se trouve que le magasin devait être aussi l’importateur. Après on peut supposer n’importe quoi, par exemple des menaces de Dereine ou de Perronoux qui les ont incité par prudence à modifier le nom du produit.
– Mais pour être sûr, il faut s’en procurer un ! Ajouta Framboisert
– Ben, il est où est le problème ? Demanda Maria
– Si j’y vais, je suis grillé, ils vont me dire qu’ils n’en ont pas…
– Ben un autre d’entre vous, André, peut-être.
– Je veux bien essayer pour rendre service, mais franchement, à mon âge, est-ce que j’ai une tête à aller acheter un « Fidélitas ?
– Donnez-moi l’adresse, j’irais vendredi, proposa alors Oscar.
– Super !

La température ambiante et le vin firent que personne n’eut froid, la joyeuse assemblée était donc restée à poil pendant tout ce temps. Après le diner, ils passèrent au salon pour le café.

– Bon Dédé, intervint alors Maria, qui s’était mise près du professeur, tu nous le racontes ton massage ?
– En fait, il s’agit d’un bordel clandestin, quand je suis arrivé on m’a demandé de choisir deux filles, j’ai choisi la plus belles des chinoises et la tenancière m’a dit à ce moment-là qu’il avait aussi un travesti, j’ai demandé à voir. Il est venu et m’a exhibé son sexe de suite.
– Oh ! Et il était comment ? Demande Maria.
– Très joli ! Plus sombre que le reste de son corps, avec un très beau gland.
– Humm, c’est quand même fabuleux, ça, un homme qui nous décrit la bite d’un autre homme. Qu’est-ce que ça m’excite ! Tu l’as sucé je suppose ? Tu as dû te régaler ?
– Oui, et ma foi, ce n’était pas désagréable !
– T’aimes ça, sucer des bites, hein ?
– En fait je ne cherche pas, mais quand j’en ai l’occasion, pourquoi pas ?
– Et toi, il t’a sucé ?
– Non, c’est vrai, ça maintenant que j’y pense, personne ne m’a sucé !
– Et ça s’est terminé comment ?
– La fille m’a demandé si je voulais me faire prendre par le travesti, je n’avais rien contre, mais lui ne bandait pas assez. Elle a donc été chercher un charmant jeune homme qui s’est chargé de la tâche !
– Il t’a bien enculé, alors !
– Ce n’était pas mal, je dois dire
– Une bonne expérience alors ?
– Oui, je ne vais pas dire le contraire, sauf que tout cela était très impersonnel, mécanique, sans chaleur….
– N’empêche que de raconter tout ça, ça te fait bander.

Et Maria prend alors dans sa main la bite du professeur et lui imprime quelques lents mouvements de masturbation.

– En voilà une chose ravissante ! Je crois que je vais la sucer. Objection ?
– Aucune objection.

La partie était donc repartie et tandis que Maria Baule se régalait la bouche avec la bite du professeur Martinov. Béatrice se leva et alla provoquer Oscar. Il y avait dans son attitude une part de stratégie, elle n’avait rien contre Romain Framboisert qui était par ailleurs un homme charmant, mais que voulez-vous ce n’était pas trop son genre, alors quand on peut choisir…

– Tu veux que je m’occupe de toi ?
– Bien sûr !
– Reste assis, je vais te faire un truc ! Peut-être faudrait-il un peu de musique disco…

Edith s’occupa de la musique et Béatrice s’assit à califourchon sur les cuisses d’Oscar et lui faisant face et commença à se tortiller au rythme de la musique tout en lui agaçant les tétons du bout de ses doigts.

– Une laps dance ? Tu as appris ça où ?
– J’étais stripteaseuse dans une vie antérieure ! Plaisanta Béatrice !
– Non, sérieusement !
– On n’est pas là pour être sérieux, hummm, tu bandes bien on dirait ! Tu sais ce que t’es toi ?
– Qu’est-ce que tu vas me dire ?
– Que tu es un suceur de bites !
– Tout à fait occasionnel !
– Et mon cul, il est occasionnel ? Occasionnel ou pas tu n’es qu’un suceur de bites, et moi j’adore sucer les suceurs de bites.
– Dans ce cas, on est fait pour s’entendre.

Et trente seconde plus tard, Béatrice faisait coulisser la bite d’Oscar dans sa bouche.

Edith et Romain Framboisert se sentent largués. Edith se demande quel couple elle va rejoindre. Elle aime bien Martinov, mais préfère Oscar, elle s’approche donc de la chaise où ce dernier se fait sucer. Du coup Romain décide d’aller rejoindre l’autre couple.

Et là, dilemme : parce que arrivé au niveau de Martinov qui se fait sucer par Maria, il ne sait quelle attitude adopter, Sucer ou se faire sucer ? Certes l’un n’empêche pas l’autre, mais on commence par quoi ? Mais Maria prit la décision à sa place en lui attrapant la bite et en commençant à la lui branler d’autorité. Elle passait de l’une à l’autre avec une joyeuse gloutonnerie et un moment s’amusa à les mettre l’une sur l’autre en position horizontale de façon à ce qu’elles se frottent mutuellement. Nos deux larrons apprécièrent cette petite fantaisie.

– Ah, vous êtes bien des pervers ! Vous aimez ça que je vous frotte vos bites ? Vous n’êtes que des suceurs de bites !
– En fait nous ne sommes pas que cela ! Ironise Romain.
– Oui, je sais vous êtes des enculés aussi !
– Tout de suite les grands mots…
– Oh ! Ça me donne une idée, on va faire un truc, mettez-vous à genoux sur le canapé, l’un a côté de l’autre, là comme ça… et maintenant relevez bien vos fesses…Mieux que ça…

Alors Maria se mouille les deux index et les enfonce simultanément, le gauche pour Romain, le droit pour Martinov et se met à les faire aller et venir. Le spectacle de ses deux hommes se faisant doigter en cadence à quelque chose de fascinant.

– Voua aimez ça, hein mes salauds ?
– Oui, oui ! Répond timidement Romain
– Plus fort je veux vous entendre !
– Oui, encore ! Reprend Romain.

Martinov se contente de grogner, il a l’air satisfait mais sa réponse est inaudible.

– Bon puisque vous ne parlez pas assez fort, je vais vous faire crier un peu ! Dit alors Maria en retirant ses doigts.

Et la voilà qui se met à taper du plat de ses mains sur les fesses des deux hommes qui semblent trouver le jeu à leurs gouts.

A quelques mètres de là se jouait un étrange concerto pour deux langues et une bite, Béatrice et Edith gratifie Oscar d’une fellation à deux bouches fort bien menée. Les deux femmes se passent et se repassent la bite comme deux collégiennes qui se partageraient un esquimau phallique. Parfois, elles sucent ensemble, multipliant les variations, une sur le gland, l’autre sur la verge, ou encore une sur les couilles, une ailleurs, mais le top du top, c’est deux sur le gland, un plaisir rare pour l’homme, de ceux qu’il faut avoir gouté au moins une fois dans sa vie car il est impossible d’y résister.

Oscar se tend, il sent le plaisir proche. Edith s’en aperçoit la première et referme ses lèvres sur l’extrémité de sa queue pendant que celle-ci crache son sperme.

– Quel festival ! C’était super ! commente Oscar.

Mais les deux femmes ne l’entendent pas, Edith offre sa bouche pleine de sperme à Béatrice, quoique peu fervente de cette pratique s’en amuse néanmoins.

La suite va très vite, les deux femmes se caressent et se pelotent avec frénésie. Béatrice se baisse un moment pour rendre visite au minou de sa partenaire, mais celle-ci se baisse à son tour. Voilà nos deux coquines sur la moquette. Edith, elle aussi veut bouffer de la chatte et les deux femmes se retrouvent bientôt en soixante-neuf.

Romain Framboisert et le professeur ont à présent le cul bien rouge. Maria complétement déchainée et les cuisses en nage continue de taper. Mais « trop c’est trop, et trop ce n’est pas bien » comme disait Lao Tseu. (il a tout dit, Lao Tseu !)

– C’est bon, là ! Dit Romain en se retournant. Ça suffit comme ça !

Du coup le professeur l’imite.

– Mauvais joueurs ! Bougonne Maria. Vous n’êtes que des enculés. Tu sais ce que j’aimerais bien ? Demande-t-elle à Martinov.
– Non, mais je sens que qu’on ne va pas tarder à le savoir !
– Tu vas me lécher la minette :
– Mais avec grand plaisir !
– Et pendant ce temps-là, Romain va t’enculer !
– Ce sera également avec grand plaisir.

Quelques préparatifs, le gel, la capote… et le trio se met en place. Voici donc notre cher professeur Martinov qui se fait sodomiser par Romain Framboisert pour la seconde fois de la soirée, tandis qu’il se régale de la chatte baveuse de la mature délurée.

Bientôt l’appartement s’emplit de cris de jouissance, Béatrice, Edith, Maria, tout cela dans le désordre mais en un laps de temps assez rapproché tout de même. Romain, lui n’a pas crié, il a juste grogné.

Seul notre gentil professeur reste en plan, mais Edith s’approche de lui.

– Permettez professeur !

Et son expérience de la pratique de la pipe fit venir Martinov en quelques cinq minutes.

Quand elle le sentit prêt, elle se débrouilla pour recevoir le sperme sur ses seins et se l’étala vicieusement. Martinov trouva que l’effet produit était fort joli et en complimenta sa partenaire.

– Il paraît que c’est bon pour la peau, plaisanta-t-elle.

A suivre

 

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

4 réponses à Martinov 16 – Professeur Martinov et le Fidélitas – 15 – Réveillon porno par Maud-Anne Amaro

  1. Jack dit :

    Ce soir réveillon à poil avec un couple rencontré cet été au cap d’Agde
    Madame à une très joli poitrine et monsieur a une jolie bite
    On va tous se sucer et s’enculer
    Mais avant il y aura des huitres, un canard laqué et des profiteroles,

    Bon réveillon à tous le monde !

  2. Muller dit :

    J’adore ces partouzes géantes où tout le monde se suce et s’enfile

  3. Ivanov dit :

    Moi, je veux passer un réveillon comme celui-ci !

  4. sapristi dit :

    Il y a de ces scènes dans ce récit, je vous dit pas… J’ai adoré l’illustration du bas, quelle belle femme mature !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *