Solo par Karamel

Solo par Karamel

Attention : Texte scato explicite

Les décennies passent sans pour autant atténuer mon désir. L’âge pervertit mes fantasmes et l’envie d’extrême est tous les jours plus prégnant.

Il est 3 heures de l’après-midi en ce jeudi du mois de Mai. Je viens d’expédier le rendez-vous avec mon fournisseur et personne ne s’attend à me voir au bureau avant demain. J’ai bien planifié mon coup : depuis hier soir, je suis excité rien qu’à l’idée de ce que je vais faire. Même si le plan global reste encore un peu vague, il commence pourtant maintenant et tout de suite, sur ce parking à demi désert. J’ouvre la porte côté passager, jette ma sacoche sur la banquette arrière et m’assoie sur le siège en cuir chauffé par le soleil printanier qui perce à travers les nuages. Après quelques regards inquiets aux environs, je me lance. J’enlève chaussures et chaussettes et d’un mouvement rapide, je retire pantalon et caleçon. Me voilà cul à l’air, à cinquante mètres à peine d’un de mes plus gros sous-traitant. Mon sexe est à demi mou, mais il frétille d’impatience. Vite, je remonte mon pantalon et envoi valdinguer le caleçon qui retrouve ma sacoche sur la banquette arrière. L’opération a duré une minute, tout au plus…

Je m’installe au volant et démarre. Tout en conduisant, je me caresse et me branle doucement, la lèvre pincée entre mes dents. Ma main glisse sous ma chemise et trouve mes tétons que j’adore torturer. Les voitures défilent de droite et de gauche pendant que je poursuis mon manège… Finalement, je me décide. J’ose réaliser le début de fantasme qui m’a tenu éveillé une bonne partie de la nuit. Doucement, je fais glisser mon pantalon sur mes chevilles, puis l’enlève complétement. Aussitôt, mon sexe se dresse. Je suis la bite à l’air, en train de conduire ! Si je croise un camion – ou une camionnette- il y a toutes les chances qu’il me grille. Mais pour l’instant, pas de problème. Je sors de la voie rapide pour emprunter les petites routes de campagne et bientôt, je me perds dans un dédale de bleds qui survivent entre les bois et les champs. Si j’osais, je retirerais aussi ma chemise pour être complétement à poil… Je ne croise quasiment plus de voitures, d’ailleurs, ici. Alors, un à un, je défais les boutons. Ça y est, ma chemise est complétement ouverte et ma main libre court comme une folle de mon sexe à mon ventre. Je fais couler un gros filet de bave qui tombe sur mon téton et un autre qui descends directe entre mes jambes. J’étale tout ça en regardant d’un œil de plus en plus lointain la route qui serpente à travers une petite forêt.

Je soulève mon bassin et passe deux doigts sous mon cul. Ma respiration s’accélère lorsque je force mon trou. Ça rentre, doucement. Je sens du bout de l’index l’étron que je garde depuis ce matin. Hummm… Je fouille lentement les contours gluants et ressort mes doigts sales que je m’empresse de lécher. Là, il faut que je m’arrête avant de prendre un platane… Sur ma gauche, un chemin pour tracteur longe la lisière des bois. Sans hésiter, je fonce et me retrouve à faire du gimcana dans les ornières. Heureusement, j’aperçois rapidement une aire de retournement et décide de m’y arrêter. Je coupe le contact ; l’endroit semble désert. Avec un peu d’appréhension, je retire ma chemise pour me retrouver entièrement nu, comme dans mes rêves de cette nuit. L’excitation ne fait que grandir lorsque je me mets à quatre pattes sur le siège passager et entreprends de lécher le levier de vitesse. Trop envie de m’empaler dessus ! Je m’astique le cul avec plusieurs doigts et, n’y tenant plus, je me positionne. Le pommeau est large, mais mon sphincter se dilate facilement et l’englouti d’un coup. Je pousse un cri et commence quelques va-et-vient, la bouche grande ouverte pour respirer. Je n’en reviens pas de ce que je suis en train de faire ! Je suis à poil dans ma voiture avec le levier de vitesse calé dans l’arrière-train, en pleine journée ! Je regarde autour de moi, effrayé à l’idée d’un randonneur sortant du bois ou du paysan passant sur son tracteur… Mais l’excitation emporte allègrement toutes mes craintes ! A cheval entre les deux sièges, je m’encule et me branle en gémissant. Des filets de baves inondent mon sexe tendu : ça glisse et ça coulisse et je perds la tête, mais quel bonheur ! quelle perversion ! Je sens mon jus monter ; si je n’arrête pas maintenant, je vais jouir ! En nage – il fait chaud dans cette voiture ! – je me relève et contemple mon œuvre. Le pommeau est maculé de merde. La nuit dernière, alors que mon esprit divaguait à la frontière des rêves, je m’empressais de lécher tout ça. Mais là, dans la réalité, c’était bien plus de quelques petites traces qui se sont déposées. Fasciné ou dégouté, je ne sais plus trop bien. Je m’approche. J’approche ma bouche. Je sors la langue et donne un petit coup sur la matière collée.

Dehors, un bruit me fait sursauter et je me redresse en hâte. Un oiseau s’envole. Je n’ose plus faire le moindre mouvement pendant un instant, les sens aux aguets. Mais rien ne bouge. Je regarde à nouveau le levier sali. Une force obscène et lubrique me pousse inexorablement. Bientôt, les barrières de mon éducation cèdent et, sans réfléchir, ma tête fonce vers son objectif. La bouche grande ouverte, j’englobe le pommeau. C’est chaud, gros, bon ! et je suce comme un fou, les yeux révulsés, la tête en feu. De la merde et de la salive mélangés coulent à la commissure de mes lèvres. J’avale, je lèche, je glisse des doigts dans mon cul dégoutant et encore bien rempli. Puis la folie redescend doucement et je finis enfin par me relever ; le monde tourne autour de moi ; je prends un instant pour retrouver mes esprits. Dehors, le ciel s’est couvert. Il ne fait pas froid, mais quelques gouttes de pluie s’écrasent sur le pare-brise. Je me lèche les lèvres et me branle doucement en pensant à la suite. Dans mon rêve, je ne sais pas comment, je me retrouvais au milieu de la forêt, couvert de boue. Alors, je décide d’ouvrir la portière et, le cœur à cent cinquante, je m’aventure à l’extérieur. La forêt est toute proche et je m’enfonce nu entre les fougères et les arbustes. La pluie tombe un peu plus fort et je m’allonge sur la mousse, à l’abris d’un grand chêne. Tout est calme autour de moi. Le bruit du vent léger et de la pluie. L’odeur des bois, le craquement des arbres. Je reprends ma masturbation, tranquillement, en fermant les yeux.

Et le démon réapparait. Il me souffle de finir de chier ici, maintenant, dans mes mains. Alors, impuissant face au désir impérieux, je m’accroupis et pousse. La pluie redouble alors que j’expulse une longue masse molle et odorante. Mon sexe turgescent est si tendu qu’il me fait mal ; pourtant, je ralentis pour ne pas jouir tout de suite. D’abord écouter le démon. J’attrape à pleine main la merde et l’étale fébrilement sur le corps. J’en ai partout ; sur le visage, sur le ventre, sur la queue, et même dans la bouche. Ha, c’est aussi bon et vicieux que dans mon rêve ! Je n’en peux plus, mes sens sont en ébullition ! Je pénètre mon cul, lèche mes doigts, branle ma queue, pince mes seins violemment, mais combien ai-je de mains ? Enfin, une explosion de sperme me délivre de cet enfer. Je me raidis, mes jambes se tendent et je gémis alors que gicle sur mon ventre souillé une quantité hallucinante de foutre. Je suis anéanti et voudrais rester là à savourer le temps qui passe. Pourtant, deux lumières rouges s’allument dans ce qu’il me reste d’esprit cohérent : premièrement, je suis en lisière de forêt et je pourrais me faire surprendre n’importe quand. Et secondement, je suis dégueulasse, à poil, couvert de sperme et d’excréments. Vite, je trace dans la forêt et m’engouffre dans la voiture… J’attrape mes vêtements et les enfilent comme ça, sur mon corps souillé.

Dans le rétro, j’aperçois de longues trainés brunes sur mon visage. Il faut que je rentre prendre une bonne douche, en priant pour ne pas me faire repérer par ma voisine… Mais ceci est une autre histoire !

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2 réponses à Solo par Karamel

  1. Briard dit :

    Amateurs de dentelles , ce texte n’est pas pour vous

  2. Boupy dit :

    Hummm très excitant

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