Que cela fait du bien de se confesser par Laurent01

Je m’appelle Laurent et je me marie à une superbe femme en juin 1988.
Géniale…
Fin Août 1988, un regard pertinent sur un trottoir, une créature de rêve me
toise, elle a au moins une tête de plus que moi, de superbes seins, des
formes irréalistes, des yeux d’un bleu… j’en frissonne encore, des jambes
à n’en plus finir, enfin je soutiens son regard et là ma vie d’hétero a
basculé. Elle m’invite à la suivre chez elle, je la suis sans rien pouvoir
lui dire, hypnotisé. Dans l’escalier elle me fait passer devant, elle me
caresse les fesses sans aucune retenue je ne dis rien, je ne peux rien dire,
je n’ai plus de volonté

Chez elle, un appartement coquet dans le 18éme, sa chambre confortable, elle
me déshabille, je me retrouve nu comme un vers, elle me caresse, me dit que
mon corps la fait bander, je ne cherche même pas à comprendre, elle me
bascule sur le lit, me suce d’une manière que les femmes ne savent pas
faire, me masse mon anus en même temps. Et là les choses se font de plus en
plus précises. Elle me met à quatre pattes, me lèche goulûment mon petit
trou vierge, longuement en douceur, me caresse les seins en même temps, je
n’en peux plus et bizarrement je ne bande pas. Si ma femme m’en avait fait
la moitié, mon sexe aurait déjà explosé mais là non, je suis bien et je
comprend ce qu’est être passif. D’une main elle me maltraite mes tétons, et
de l’autre elle me masse mon petit trou qui commence sérieusement à
s’assouplir, je suis une poupée dans ses mains, mon corps ne m’appartient
plus. Une sensation de froid sur mon anus et hop un doigt qui me pénètre, et
deux puis trois je ne peux rien faire et ne comprend ce qui m’arrive et veux
surtout ne rien changer, je suis bien, jamais je n’ai ressenti cela. Sandra
(son prénom) me fait l’amour tout simplement avec autant de passion que j’en
prodigue à ma femme quand je suis actif.

Elle m’enfonce un petit plug pour me maintenir ouvert me dit-elle. Elle me retourne et là sur le dos je la découvre nue, une
beauté surprenante, un corps parfait, des seins splendides une taille fine
et une bite d’au moins 20 cm qui pend entre ses magnifiques jambes. Elle me
demande de la sucer, ce que je ne peux refuser, mais je lui dis que c’est la
première fois, elle me répond de la sucer comme j’aimerai l’être, je
m’applique et le mandrin commence sérieusement à changer de proportion et au
bout de cinq dix minutes (le temps ne compte plus) elle m’offre sa liqueur,
je veux la cracher mais elle m’en empêche et me force à l’avaler. Je me sens
encore plus soumis, elle m’embrasse à pleine bouche, dans le cou me dit des
mots d’amour, me caresse le corps et je comprend que mon coup de foudre est
réciproque. On parle, je caresse son corps splendide, l’embrasse partout.
Chose bizarre, je suis attiré par son sexe et sans qu’elle me demande
quoique se soit, je la suce de nouveau car je sais intérieurement que je
veux aller plus loin. J’ai une réelle satisfaction quand son sexe atteint sa
taille optimum, mais je suis quand même impressionné et inquiet. Je lui fais
part de mon angoisse et je suis persuadé que je vais souffrir malgré le plug
qui est en place depuis le début. Elle me rassure me détend en me massant
tout en me positionnant sur le dos, les jambes relevées, elle me retire le
plug sans aucune douleur et le remplace avec douceur par son gland
uniquement (après l’avoir encapuchonné bien entendu). Il est sérieusement
plus épais mais presque pas de douleur, juste une gène. Là elle me dit tout
en m’embrassant que je vais m’élargir tout seul et que nos deux corps vont
faire qu’un. Effectivement je m’ouvre, une chaleur m’envahi et me tourne la
tête. Sandra m’embrasse tout en continuant à me transpercer, elle me
retravaille sérieusement les tétons. Elle commence ses va-et-vient, les
sensations sont indéfinissables mais ô combien délicieuses, elle commence à
me branler et je sens que je ne vais pas tenir longtemps, elle me demande de
me retenir uniquement pour me prouver que je lui appartient corps et âme, et
malgré d’immenses efforts je me lâche dans ses mains de diablesse. Je me
sens un tout petit garçon et je la serre très fort et me trouve en sécurité
dans ses bras. Elle m’embrasse à pleine bouche avec beaucoup d’obscénité,
mais c’est beau et je suis bien je ne veux pas repartir, je lui dis et elle
m’embrasse à nouveau.

Elle me propose de manger avec elle mais à condition des rester nu.
J’accepte sans comprendre pourquoi. Au préalable elle me masse mon anus avec
une crème qui me fera du bien dit-elle. Effectivement c’est frais et la
petite douleur après notre rapport part peu à peu. Nous mangeons donc dans
la kitchenette, enfin elle me fait manger, je n’ai pas le droit de toucher
aux aliments car à chaque fois je doit lui lécher les doigts et elle me
masturbe de son autre main. Tout à coup un bruit de serrure, des voix dans
le couloir, je veux me lever pour retourner dans la chambre et me rhabiller,
mais Sandra m’en empêche et me rassois avec autorité sur ma chaise en me
tenant toujours par ma bite bien qu’elle a débander vitesse grand V. Les
deux personnes parlent en espagnol mais j’ai du mal à comprendre avec mon
niveau scolaire, et se mettent à rire en me voyant. Elles parlent entre
elles, elles sont vraiment superbes. Apparemment elles discutent de moi, je
dois me lever, m’exhiber, je suis jugé peloté, une m’écarte les fesses et
juge du dégât de nos récents ébats. Je dois marcher de long en large. Une
des deux arrivantes s’en prend à mes tétons et me les pinces jusqu’a me
faire gémir, Sandra n’est pas d’accord apparemment et leur fait savoir
vertement. Elles sortent de la cuisine en riant pour s’enfermer dans une
autre pièce et en repartent quelque instants après en me disant au revoir et
en m’envoyant un baiser. Sandra rigole une nouvelle fois sur une de leurs
réflexions et la porte claque. Elle m’explique ensuite qu’elles sont
colocataires de l’appartement et qu’elles voulaient aussi me partager, mais
à mon grand soulagement, Sandra n’est pas d’accord. Nous sommes retournés
dans sa chambre et j’ai du subir encore d’autres tourments jusqu’à la nuit.

Nous nous sommes séparés à 22 heures; alors que nous nous étions rencontrés
vers 15 h

Journée inoubliable, dupucelage magique, rencontre d’un autre monde et
surtout d’un autre sexe, car je vous aimes toutes et chaque rencontre est
différente mais toujours surprenante

Laurent, un admirateur et consommateur inconditionnel

P. S: Ce récit est authentique du début jusqu’à la fin. S’il vous a plu,
depuis 1988, j’ai eu bien d’autre aventures toutes aussi intéressantes, mais
la première est toujours la plus grisante…

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Une réponse à Que cela fait du bien de se confesser par Laurent01

  1. TransMonique dit :

    Je ne peux que répéter mon commentaire à une autre histoire il y a quelques jours :
    « N’importe quoi ! Dans la vraie vie, les transsexuelles n’attendent jamais le dernier moment pour dire qu’elles le sont. Je ne vois pas pourquoi on irait prendre ce genre de risque, ? »

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