Ma vie de dominateur par Cerf35

J’ai connu ce couple il y a maintenant 3 ans et je dois dire que la vie vous
réserve parfois bien des surprises et que l’on peut se montrer sous un
nouveau jour. J’avais trouvé ce nouveau poste par mon entreprise .Une
mission de quelques mois m’avait t’on dit, le temps de mettre les nouveaux
produits au point. En arrivant dans cette petite ville, je m’imaginais déjà
mourir. Pensez : 2000 âmes a tout casser et un semblant d’activité à 12 h
00, heure de sortie de l’usine pour le midi.

Après quelques jours d’hôtel, on m’avait donné l’adresse d’un couple qui
louait un appart. Rendez vous, visite, et l’affaire est conclue. C’était un
couple entre quarante et cinquante ans, dans le commerce, qui louait
l’appartement au dessus de leur magasin, histoire de rentabiliser leur
investissement.

Les relations que j’avais avec eux étaient très bonnes et je n’hésitais pas
à bavarder avec eux en rentrant du travail (Que faire dans une si petite
ville le soir ?)

Après quelque temps, l’habitude était prise qu’il viennent chaque vendredi
soir prendre l’apéro après la fermeture.

Un soir, la femme, (nous l’appellerons Marilyne), me demanda :

 » Que peut bien faire un garçon comme toi tout le week-end, seul ?  »

Nous connaissant depuis quelque temps déjà, je répondis sans ambages.

 » Je regarde des films X à la télé et je me masturbe  »

Eclat de rire général et ils m’invitent a manger chez eux. L’ambiance était
déjà très gaie, aidée en cela par l’alcool. Marilyne, jupe au dessus du genou
et chemisier, s’affairait à nous servir et à débarrasser. Fin de repas et
direction le salon pour le café.

 » On dirait que Marilyne a servi toute sa vie comme femme de chambre  »
 » C’est vrai  » me répondit son mari (Appelons le François). Quand je l’ai
connue, elle travaillait comme bonniche chez les ………..
 » Je vois, dis-je, ça devait y aller, les mains au fesses, chez eux. J’ai
entendu parler du bonhomme, à l’usine …  »

Marilyne, un peut rouge, m’avoua que plusieurs fois, l’homme l’avait coincée
et caressée sans qu’elle ne dise rien.

 » Après tout, nous n’avons rien à cacher à notre ami, Marilyne « , dit
François. Tu peux bien lui dire qu’il te prenait tous les matins quand tu
lui apportais le courrier et que tu es rentrée souvent chez toi avec son
sperme dans la bouche.

Marilyne était rouge de honte.

 » Je vois « , dis-je,  » madame est une véritable soubrette « .

Un peu grisé par l’alcool, je m’enhardis

 » Soubrette, une bière après mon café. Ensuite, direction la douche, et au
lit pour la galipette.

L’habitude était prise et j’appelais souvent Marilyne par ce surnom de
Soubrette sans qu’elle ne s’en offusque. Un jour, François me prit à part et
m’avoua qu’elle avait changé depuis ce fameux repas et qu’elle prenait un
plaisir fou quand il lui faisait l’amour en lui disant que j’étais son
maître et qu’elle n’avait qu’à m’obéir.

 » Tu devrais aller plus loin, dit-il avec des étincelles dans les yeux. Tu
sais, c’est un vieux fantasme pour moi. Je voudrais bien voir jusqu’où elle
pourrait aller.  »

Un samedi soir, tout est allé très vite. En arrivant chez eux, je déclarai à
Marilyne.

 » François m’a dit de ne pas l’attendre. Il sera là vers 22 h 00  »

Je pris alors un ton aussi froid que possible

 » Marilyne, tu es une soubrette, alors va t’habiller en conséquence et pas
de remarque. Tu as dix minutes et pas une de plus « .  » N’oublie pas que tus a
été à l’école chez le plus vicieux de la ville, alors tâche de faire honneur
à celui qui t’a tout appris  »

Marilyne, interdite, passa par toutes les couleurs.

 » File, j’attends. Tu frapperas à la porte quand tu seras prête  »

Quelques instants plus tard, elle frappa timidement. Il ne fallait pas que
je craque mais cette situation était nouvelle pour moi et je commençai à
être très excité.

 » Entre et met toi au milieu de la pièce, que j’inspecte « .  » La jupe est
trop longue et puis je pense que ce ne sont pas des bas que tu portes. Une
soubrette doit avoir une jupe ultra courte, des bas, porte-jarretelles et un
chemisier transparent. Pas de soutien-gorge. Elle est là pour faire plaisir
a son maître et le servir sans discuter. Est-ce compris ? Si oui, demi-tour
et changement complet de tenue. Trois minutes, pas plus et même présentation.
 »

Une fois qu’elle fut partie, je me servis un verre, pris une cigarette et
soufflai un bon coup. Je ne pensai pas être capable de tout cela mais bon,
l’affaire était lancée et plus rien ne devait l’arrêter. Et puis, j’y
prenais un vif plaisir.

La seconde présentation me parut plus facile car elle était plus dans son
personnage. Elle s’excusa de ne pas avoir de porte jarretelle ni bas à sa
disposition, mais simplement des bas auto fixants.

 » Demain matin, première heure, tu iras avec ton mari acheter tout le
nécessaire de la parfaite soubrette. Dorénavant, je veux que tu t’habilles
ainsi quand je serai chez vous « .

Elle acquiesça de la tête et attendit au milieu de la pièce.

 » Nous allons faire une surprise à François . Tu iras lui ouvrir dans cette
tenue et tu me laisseras faire. Mais à partir de maintenant, n’oublie pas
que tu es à moi et que moi seul peux te donner des ordres « .

Quand François entra dans la pièce, il me regarda avec des yeux exorbités.

 » Oui, lui dis-je, c’était ta femme mais c’est devenue Ma soubrette depuis peu. Maintenant, elle n’obéira qu’a moi et toi aussi par la
même occasion. Tu vas devenir mon valet et agir avec la même soumission
qu’elle, c’est à dire totalement. A partir de cet instant, vous m’appartenez et je dispose de votre corps comme bon me semble. Si vous êtes d’accord, embrassez vous et prosternez vous devant moi.  »

Ils échangèrent un regard, s’embrassèrent et s’agenouillèrent devant moi en
signe d’accord.

 » Bon, je vous énoncerai les règles que je vais mettre en place après le
repas. J’ai une fin de loup. Soubrette, tu vas me servir à manger pendant
que vous deux mangerez par terre. On ne mélange pas tout. Allez, l’entrée,
J’ai faim.  »

Une fois parti dans la cuisine, j’interpellais François.

 » Tu voulais voir ce que ta femme pourrait faire…. Et bien tu ne vas pas
être déçu, et tu vas voir que vous deux n’êtes pas au bout de vos surprises
 »

A la fin de l’entrée je demandai à soubrette de venir près de moi. François
me regardait la prendre par la taille, lui caresser le dos et lui parler à
l’oreille. Elle retourna dans la cuisine et revint avec un verre dans la
main qu’elle posa devant François. Elle passa alors ses main sous sa jupe,
retira son string, le mit dans le verre et remplit ce dernier de vin.

 » Soubrette m’a dit qu’elle était mouillée. Tu passeras donc le reste de la
soirée à boire dans ce verre avec les effluves de ta femme. De toute façon,
elle n’a plus besoin de tout cela. A partir d’aujourd’hui, chatte nue pour
soubrette tout le temps. Mais dis moi, j’ai l’impression que tout cela te
fait bander. Soubrette, mets le a poil que je vérifie  »

J’avais changé de ton et mes paroles étaient plus crues. Cela ajoutait à
l’intensité. Soubrette enleva les vêtements de François. Il arborait une
érection digne des grands soirs.

 » Complètement ridicule, cette bite droite. Soubrette, passe lui un tablier
que je ne vois plus ce truc. C’est lui qui va me servir maintenant.  »

Il déambulait ainsi entre la cuisine et le salon, le tablier cachant la
bosse de son érection.

 » Si dans deux minutes, tu bandes encore, je baise soubrette devant toi.  »

L’effet fut plutôt inverse et son sexe ne dégonfla pas d’un pouce.

 » Allez, file dans la cuisine et va faire la vaisselle. Je t’appellerai
quand j’aurai besoin de toi. Pour l’instant, c’est de soubrette dont j’ai
besoin.  »

Je continuai tranquillement mon repas et après un petit temps de repos, je
rappelai François. Il arriva et visiblement, son érection ne s’était pas
calmée. Je le bluffais.

 » Dis donc, tu ne m’avais pas dit que ta femme est une excellente suceuse,
et en plus, pour la première fois de sa vie, elle a tout avalé. Vraiment un
bon coup, cette salope  »

François regarda sa femme et blêmit. Bien sûr il ne pouvait pas savoir que
tout cela était invention. Son sexe, je crois, avait encore pris du volume.

 » Bah, ce n’est pas grave, la prochaine fois, tu la regarderas faire.  »

Le reste du repas se passa sur le même ton et soubrette et valet me
servirent pour mon plus grand plaisir. Je me fis servir un café dans le
salon et leur demandai de venir se mettre devant moi pour écouter les
règles que j’allais instaurer pour leur nouveau mode de vie.

 » Vous me devez une obéissance totale. Vous n’aurez le droit de jouir et de
prendre du plaisir que lorsque je vous le dirai. Demain, vous irez acheter
des vêtements et de la lingerie adaptés a votre condition de soumis. Je vais
vous commander des godes et divers objets pour jouer. Les différentes règles
pourront évoluer selon mon bon plaisir. Seul moi décide de votre sort.
Je vous quitte ce soir parce que je suis fatigué. N’oubliez pas tout ce que
je vous ai dit. Je reviendrai demain pour vérifier que tout est en ordre et
gare à vous si cela ne l’est pas  »

Voilà par quoi tout a commencé. Cette histoire est réelle et dure maintenant
depuis trois ans. Si vous êtes intéressés, je vous raconterai les diverses
aventures de valet et soubrette car il s’en est passé des choses, en trois
ans. Et soubrette et valet sont de parfaits sujets qui m’obéissent au doigt,
à l’œil, et aussi avec mon sexe.

CERF35

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Une réponse à Ma vie de dominateur par Cerf35

  1. Muller dit :

    Je ne voudrais pas être méchant mais je trouve cette entrée en matière un peu neuneu !

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