Partie de cartes 2 – Fin de partie par Lolofc26

Le lendemain, nous avons pris notre petit déjeuner sans faire d’allusion à notre partie de carte de la veille, et nous sommes repartis rapidement. Nous avions prévu de bivouaquer dans la clairière encore un jour ou deux, et donc, il n’y avait pas besoin de replier la tente. Nous avons marché pendant une bonne partie de la journée, sans presque parler. Chacun de nous réfléchissait dans son coin. J’étais certain que Nicolas pensait à la même chose que moi : à la série de gages que nous avions fait.

Est-ce que je regrettais ce qui c’était passé ? Si cela devait nuire à notre amitié, instaurer une gêne entre nous, oui, certainement, je le regretterais. Mais je ne regrettais certainement pas de m’être exhibé devant Nicolas, et encore moins qu’il se soit exhibé devant moi. Depuis le temps que j’espérais cela ! Et le fait de m’être branlé devant lui, quand j’y repensais, me faisait rebander. Voilà qui ne facilitait pas ma marche. Je fus obligé de prétexter un besoin urgent pour me soulager, pendant la matinée.

Après tout, tout les ados se branlent, et tout le monde le sait. Je l’avais juste fait devant quelqu’un d’autre.

Avant tout, ce qui faisait que je ne regrettais rien, c’est que Nicolas avait eu la même excitation que moi pendant ces jeux. Il ne pourrait pas le nier. Notre amitié ne devrait pas en souffrir, elle ne devrait ressortir que renforcée de cette soirée. En tout cas, je l’espérais…

La randonnée ne fut pas très longue, et nous retournâmes à la clairière en milieu d’après-midi.

C’était une journée de canicule, nous étions en nage, en arrivant.

– On va se baigner, ça nous rafraîchira ?
– En voilà une bonne idée, je suis comme un ruisselant comme un poisson. Un petit plouf dans la rivière, ça va nous faire du bien.

Je me glissai sous la tente pour me changer.

– Qu’est-ce que tu fais ?
– Ben, je vais mettre mon maillot de bain.
– Est-ce qu’on en a encore besoin ? On va pas se remettre à jouer les pères la pudeur. On n’a plus rien à cacher.
– Ben, bon, d’accord, si tu veux. Mais si quelqu’un passe ?
– Mais c’est le désert ici ! Et si quelqu’un passe, hé bien il aura une occasion de se rincer l’œil.

Je ne voulais surtout pas le contrarier. J’étais trop content. Rien n’était cassé entre nous. Et si je craignais de ne plus avoir d’occasion de voir Nicolas nu, j’étais maintenant rassuré.

Deux minutes après, nous étions dans la rivière, à jouer, s’éclabousser, et se chamailler, comme des gamins. L’eau était glacée, et nos sexes n’avaient pas la belle prestance de la veille. Mais je m’en foutais, j’étais heureux. Nous étions seuls, loin de tout, au milieu des montagnes, libérés de toutes les servitudes qui nous oppressaient toute l’année. Je me sentais débarrassée de cette hypocrisie que j’haïssais.

Nous nous séchâmes sur l’herbe au bord de la rivière. Je jetai un œil sur les fesses bronzées de Nicolas.

– Ce n’est pas la première fois que tu fais du naturisme, j’ai l’impression ?
– Non, je vais souvent sur des plages, avec mes parents. En fait, je ne mets presque jamais de maillot de bain.
– Alors, pourquoi hier ?
– Pour ne pas te choquer. Hier, je ne te connaissais pas comme aujourd’hui. Toi, par contre, tu ne m’as pas l’air de pratiquer beaucoup le naturisme.
– Je tournai la tête, pour regarder mes fesses toutes blanches.
– Non, je n’en ai jamais fait. Mais si on se baigne souvent ensemble, j’espère bien finir par perdre la marque tu maillot.
– Tu aurais intérêt. Quand on a un beau cul comme toi, ce serait dommage de ne pas le mettre en valeur.
– Merci du compliment. Je vais y penser.

Nous restâmes jusqu’à la fin de l’après-midi, à bronzer dans l’herbe, en discutant de tout et de rien.

Le soir venu, nous nous retrouvâmes sous la tente, après le repas. Un petit silence gêné suivi. Nous nous retrouvions au même point qu’hier, lorsque tout avait commencé. Je savais que nous pensions tout les deux à la même chose. Je me décidai à prendre l’initiative.

– Nous pourrions refaire une partie de carte.
– Comme hier ? Tu veux faire une partie avec des gages ?

Je rougis.

– Ben oui, si cela ne te gêne pas.
– Non, non, ça ne me gène pas. Mais on ne va pas refaire tout le temps les mêmes épreuves. C’est bon, on s’est vu à poil. Ca y est. Je veux bien refaire des gages, mais il faudrait les corser un peu.

Moi je trouvais que ceux d’hier étaient déjà pas mal corsés. Mais bon, pourquoi pas. J’étais ouvert à la nouveauté. Nicolas se déshabilla.

– Comme ça, voilà un gage qu’on ne mettra pas. On se fout à poil dès le début de la partie, comme ça, c’est réglé. Je propose une variante au jeu d’hier. On classe nos gages par ordre croissant de difficulté, et on les effectuera par ordre croissant.

Je l’imitai, et me mis nu. Nous prîmes chacun un feuille de papier, pour inscrire nos gages. A mesure que je réfléchissais à mes épreuves, je sentais mon sexe se durcir. Déjà ? Mais on n’a pas encore commencé ! Après réflexion, j’inscrivis.

– Embrasser les fesses du partenaire. (Comme dans un film de Jacques Brel).
– Lécher les pieds du partenaire. (Comme dans un film de Fernandel).
– Caresser l’autre deux minutes. (Comme dans les films qui passent tard le soir).
– Renifler le partenaire. (Après le bain que nous avions pris, ça ne devrait pas sentir trop fort).
– Embrasser le sexe du partenaire (il n’y avait pas de raison que seules les fesses y aient droit).

J’étais content de mes gages. Ils étaient plus « corsés » que ceux d’hier, mais il n’y en avait aucun que je ne voudrais par effectuer. Au contraire.

Nicolas avait fini aussi. Nous fîmes 5 groupes de 2 papiers, pour chaque niveau de difficulté, un gage de la liste de Nicolas, un gage de la mienne.

Nicolas perdit la première partie. Le papier qu’il tira fut mon gage.

– Embrasser les fesses du partenaire.
– Ce n’est pas un gage, c’est une récompense !

Je m’allongeai à plat ventre, le cul en l’air, et j’attendis. Je sentis bientôt les lèvres de Nicolas se poser sur ma fesse gauche, et l’embrasser tendrement. Puis, elles se posèrent sur la fesse droite.

Je restais sans bouger. C’était trop bon.

Nicolas refit une paire de bisous, puis il se mit à me caresser les fesses doucement. Ses mains suivaient le galbe des mes lobes, d’abord vers l’extérieur, puis elles se glissèrent vers la partie interne de la fesse, pour finir par écarter la raie culière, et venir s’y immiscer. Quand il se mit à me caresser l’anus, je réagis enfin.

– Bon, le gage est terminé. On reprend la partie.

Je me relevai vivement, et distribuai les cartes sans les battre. Mal m’en prit, car je perdis la donne.

– Se laisser dessiner sur le corps.

Pourquoi pas. Ca, je pouvais le faire sans flancher. Il me suffirait de me laver après dans la rivière. Quoi que… Où allait-il vouloir dessiner ? Un doute me vint.

– J’hésite entre les fesses et le sexe. Les deux me tentent. Attend, je vais tirer à pile ou face pour choisir.

Il lança une pièce.

– Pile ! C’est donc le sexe. Allez. Allonge-toi !
– Attend ! Tu ne vas pas me dessiner sur la bite ! Choisis un autre endroit, n’importe quoi !
– Ce n’est pas moi, c’est la pièce qui a choisi.

Hypocrite ! Si il croyait que je ne l’avais pas vu tricher ! Mais je n’allais pas craquer dès le premier gage.

Je m’allongeais donc. Les bises sur la partie face de mon anatomie n’avaient pas été sans effet sur la partie pile. Et à présent, mon sexe se dressait dur, devant moi, il en était presque douloureux. Nicolas le saisit.

Je sursautai. Mes nerfs paraissaient tout aussi tendus que ma verge. Il me fallait absolument rester impassible. D’accord, mon meilleur ami me tenait la bite en érection. Mais après tout, ce sont des choses qui arrivent. Je me forçai à feindre le détachement, tandis que je sentais la caresse du stylo sur ma hampe. Tant que je parvenais à ne pas éjaculer, tout le reste était sans importance.

Lorsqu’il eut fini, je regardai le résultat. Il avait écrit : « Une merveille, on en mangerait ».

– Ah ben toi alors !
– C’est vrai, je dis ce que je pense.

Je rougis jusqu’aux oreilles. Ces gages étaient-ils vraiment une bonne idée ?

– Bon, on reprend. Il faut qu’on attaque la deuxième série.

Je perdis encore une fois. Nicolas tira un papier :

– Lécher les pieds du partenaire.

Nicolas s’allongea sur le dos, et je me penchai sur ses pieds. Je fis quelques va et vient avec la langue sur la plante de ses pieds. Et je me tournai vers Nicolas. Il restait impassible.

Je me mis à califourchon sur son ventre. Puisqu’il aimait voir mes fesses, il allait être servi.

Je pris successivement chacun de ses orteils dans la bouche, et les suçai délicatement. Je m’appliquais pour passer la langue entre les orteils. Je sentis que tout cela s’agitait. Nicolas avait du mal à rester impassible.

– Arrêtes, c’est infernal.

Sans l’écouter, je passai à l’autre pied. Et suçai de même les autres orteils. Nicolas ne parvenait plus à se retenir de rire.

– C’est pas juste, c’est toi qui a le gage, et c’est moi qu’on torture.
– Ce monde est sans pitié !

Il n’avait que deux pieds, et dix orteils au total. Il me fallut bien terminer.

On se redressa, Nicolas reprit ces esprits, après ses fous rires, et il distribua les cartes. J’eus un jeu très moyen, mais lui avait un jeu nul. J’étais vainqueur.

– Se laisser prendre en photos. Voilà un gage auquel je ne m’attendais pas. Et je suppose qu’il faut que tu restes à poil, pendant que je te photographie.
– Evidemment, sinon, ça perd tout son charme. Profitons-en, il reste un peu de soleil.

Il sortit son appareil photo de son sac à dos, et s’extirpa de la tente. Je le suivis dehors. Le soleil venait de se coucher, il restait encore quelques minutes de jour.

Je fis une première photo de Nicolas debout, de dos. Puis, le fis mettre de profil, regardant de l’autre côté de la rivière, afin qu’on ne voit pas son visage. Petit à petit, je me prenais au jeu.

– Bon, maintenant, on en fait une de face. Arrêtes de faire des grimaces, tu es ridicule.
– C’est un gage en deux parties. La deuxième partie, ce sera quand j’irai faire développer les photos (on ne parlait pas d’appareils photos numériques, à cette époque).
– Tu les feras tirer en deux exemplaires, pour que j’aie un souvenir de ce moment. Bon, maintenant, allonges-toi sur l’herbe, oui, à plat ventre. Regardes-moi. Clic clac. Sur le côté, appuyé sur un bras. Hop, c’est dans la boite. Allez, j’en fais une dernière de la bite en gros plan. Et voilà.
– Tu sais, j’ai un appareil évolué. Il y a un retardateur.

Je compris où il venait en venir.

– Pourquoi pas, après tout. Attend, je cale l’appareil sur ce rocher.

Nicolas s’était remis debout. Je le visai, puis courut le rejoindre. La photo nous prit, alors que nous étions debout côte à côte, sa main sur mon épaule.

– Une autre !

Nous en refîmes une, ou nous étions tous les deux penchés en avant, montrant nos fesses à l’objectif. Et puis une où nous étions face à face, nous serrant la bite, comme deux hommes se serrent la main.

– Bon, on arrête, sinon, ça va dégénérer.

De toute façon, la nuit tombait. Nous avions fait nos dernières photos sous la lumière de l’étoile du berger, de Vénus pour être précis. Nous rejoignîmes la tente.

– Maintenant, tu as de beaux souvenirs de vacances ! Le seul problème, c’est qu’il va falloir aller chercher les tirages chez le photographe.
– Arrêtes de jaser, et fais attention au jeu. Regardes, tu as perdu. Bon, je te tire ton gage. Recevoir une fessée de deux minutes !
– Deux minutes ! C’est vrai que les gages sont plus corsés qu’hier. Hier, il n’y avait que dix claques. Et c’est sur moi que ça tombe. Moi qui n’ai jamais été fessé avant.
– Si tu veux, on change. Je te donne juste dix claques. Pour une première fois, ce sera pas mal.
– Et tes ailes de géant, elles ne t’empêchent pas de marcher ? (J’appréciais tout autant, le film « Un éléphant, ça trompe énormément », que les poésies de Baudelaire).
– C’était pour toi, que je disais ça.
– Quoi que, à la réflexion, je suis d’accord. Tu me donnes d’abord dix claques, et si ça ne fait pas trop mal, alors d’accord pour deux minutes.

Je m’allongeai sur le ventre avec un peu d’appréhension, et j’attendis un peu la fessée. Nicolas commença par caresser un peu les fesses, pour les détendre, puis il se mit à me claquer.

En fait, ça faisait à peine mal. La fessée, c’était une punition pour gamin. A mon âge, je pouvais supporter ça quand même ! C’était même presque agréable, sentir cette main aller et venir sur son cul, attendre les fesses à l’air, sans savoir ce qui allait se passer.

Lorsqu’il eut terminé, je me tournai vers Nicolas.

– Bon, ça va. Tu peux y aller pour deux minutes.
– Tu es sûr ?
– Mais oui ! Je ne suis pas si douillet quand même.

Je compris vite que je m’étais fait piéger. Nicolas avait modéré la puissance de ses coups sur la première série pour m’amadouer. Mais sitôt que j’eus donné mon accord, je reçus une grande claque sur les fesses.

– Aie, mais c’est que ça fait mal !

Pour toute réponse, Nicolas se jucha sur mon dos, pour m’empêcher de bouger. Puis il se mit à me frapper les fesses en cadence, du plat de la main. Il répartissait les coups sur toute la surface de mon cul. Fesse droite, fesse gauche, extérieur, partie interne, partie inférieure, partie supérieure. J’essayais de supporter sans crier, mais j’avais du mal à retenir quelques gémissements. Je m’étais fait avoir J’étais à la merci de Nicolas, il ne me restait plus qu’à attendre que les deux minutes se passent. Mais deux minutes, ça fait 120 secondes, et le temps d’avoir le cul tout rouge.

– Une deux trois fesse droite. Une deux trois fesse gauche. Une deux trois fesse droite fesse gauche et une deux trois les deux.

Il me semblait que les paroles de la comptine de mon enfance étaient un peu différentes, mais elles se prêtaient bien au contexte. Malgré ma douleur, je ne pus m’empêcher de sourire.

– Bon, les deux minutes sont passées. Attend encore un instant.

J’entendis Nicolas farfouiller. J’avais beau essayer de me tortiller, je ne voyais pas ce qu’il faisait. Soudain, la tente fut illuminée par un flash.

– Un beau cul écarlate comme le tien. C’aurait été dommage de ne pas immortaliser cela !

Je me redressais, en me frottant les fesses. Elles étaient brûlantes.

– Pour un baptême de fessée, c’était réussi !
– Alors, pas trop dur ? Tu voudras recommencer ?
– Oui, mais pas tout de suite, peut-être. On va laisser un peu reposer.
– C’est ce qui s’appelle avoir le feu au cul ! En tout cas, ça ne t’a pas laissé indifférent, on dirait !

En effet, mon sexe se dressait devant moi, l’extrémité luisante d’humidité.

– Tu viens de découvrir le grand mystère. Ca fait mal, et en même temps, c’est excitant.
– Ben en attendant, je suis peut-être excité, mais je peux à peine m’asseoir pour jouer aux cartes.
– Ca passe vite, tu verras.

Je me concentrai sur mes cartes, pour ne plus penser à la douleur de mon arrière-train. Le gage qui venait était mon gage numéro trois. Pour moi, il n’y avait pas de suspens. Je me retrouvai avec un brelan de roi d’entrée, un valet, et un dix.

– trois cartes.
– Deux.
– Deux paires aux dames.
– Paire de valet.

J’avais gagné ! Heu non, j’avais perdu. En fait, j’avais rejeté deux rois. Je n’en avais gardé qu’un, avec le valet et le dix.

– Caresser l’autre deux minutes.

J’aimais bien mes gages. Ils étaient plus faciles que ceux de Nicolas.

Nicolas se mit à plat ventre, et je mis à le caresser doucement. Le cou et les épaules, puis le dos, le long des reins, pour arriver jusqu’à la naissance des fesses. Je m’y attardai un peu, mais ne fit que les effleurer. Je savais que ça pouvait faire beaucoup plus d’effet qu’une caresse appuyée. Nicolas ne put d’ailleurs retenir un gémissement. Je continuai ma descente le long des cuisses (l’intérieur), pour arriver jusqu’aux pieds, que je négligeai. Je les avais suffisamment léchés tout à l’heure. Ils avaient eu leur part.

– Bon, maintenant, retourne-toi.

Nicolas se mit sur le dos. Je jetai un coup d’œil sur son sexe. Il était à mi-parcourt, entre l’état repos et la bandaison. J’allais faire en sorte de forcer la décision.

Je me mis à remonter, les mollets, l’intérieur des cuises de nouveau, pour arriver au niveau des couilles. Avant même que je les effleure de deux doigts, je vis le membre de Nicolas se redresser. Je continuai mon parcours, en évitant le sexe. Je pouvais deviner, malgré son silence, la frustration de Nicolas. Mes mains se rejoignirent au niveau du bas ventre, farfouillèrent le pubis, puis s’écartèrent à niveau pour remonter au niveau du ventre. J’atteignis la poitrine, et pinçai les tétons. Ca, c’était ma vengeance pour hier.

Puis, mes mains redescendirent sur le torse de Nicolas. Les poils de sa peau se hérissaient. J’atteignis le bas-ventre, manquai encore le sexe pour caresser l’intérieur de la cuisse, le creux qui les sépare des bourses, et enfin, un doigt s’égara sur la verge. Il fut vite rejoint par ses camarades, et se fut bientôt une main entière qui se mit à caresser cette hampe qui en mourait d’envie. Inutile de dire que la bite de Nicolas avait fini ses atermoiements. Elle se dressait vigoureusement, et tressautait dès qu’une caresse se faisait plus appuyée. J’atteignis le gland, le pinçai un coup entre mes doigts, puis fit tourner doucement une phalange sur le bord du prépuce. L’autre main s’occupait des couilles.

– Bon, je crois que les deux minutes sont largement écoulées.
– Tu crois ? Fis-je, prenant un air innocent. Je n’ai pas vu le temps passer.

Les meilleures choses ont une fin. Je serrai le sexe de Nicolas dans ma main, et exécutai un mouvement de va et vient, en guise d’adieu. Cette séance de caresses m’avait fait oublier le feu qui embrasait mon derrière. Et de fait, le feu s’était tout à fait éteint. J’aurais presque été à même de supporter une nouvelle fessée. Mais je ne savais pas ce que les gages de Nicolas pouvaient encore réserver comme surprise.

Cette fois-ci, je ne trichai pas, et Nicolas perdit la donne suivante.

– Renifler le partenaire !
– Heureusement qu’on s’est baigné ! Sinon, après une journée de marche, c’aurait pas été un gage très agréable.

Suivant les consignes de Nicolas, je m’allongeai sur le ventre. Je sentis bientôt son nez se glisser entre mes orteils, et renifler avidement.

– On peut goûter ?
– Si tu veux, mais il ne faut pas abuser !

Je sentis quelque chose d’humide me chatouiller. Nicolas s’était mis à me lécher les orteils, comme je le lui avais fait tout à l’heure. Je résistais tant bien que mal à l’envie de rire, mais la sensation était plutôt excitante. Il cessa bientôt, et se mit à remonter le long des jambes, jusqu’à parvenir à l’entrejambe.

– Ecarte les jambes.

J’hésitai un instant, puis obéit. Je sentis son nez se glisser dans le creux de mes fesses, et renifler. J’étais rouge de honte. En fait, le gage se retournait contre moi. Et se que je craignais arriva. Il écarta mes fesses de ses deux mains, et je sentis sa langue lécher en remontant toute la raie culière. Puis il passa aux aisselles.

– Retourne-toi.

J’obéis, docile. Il me prit le sexe entre les doigts, et renifla longuement le gland.

– C’est dur de résister à l’inscription dessus !

Je l’avais oubliée, celle-là !

– Bon, le gage est fini. On continue la partie.

Le prochain gage était forcément un des gages de Nicolas. Au vu des précédents, je redoutais ce que cela pouvait être. Je me concentrai sur mes cartes, mais les lois du poker sont dures. Je perdis la donne.

– Sucer une minute le sexe du partenaire.

Bon, voilà. On y était. Et ce n’était pas son gage le plus dur !

– T’es chié, quand même !
– Ce n’est qu’une minute à passer. Et si je l’ai marqué, c’est que j’étais prêt à le faire.

J’hésitais. Fasciné, je regardai son sexe, qui se dressait, tout frémissant. C’est vrai qu’il faisait envie, finalement. Au point où on en était, je n’allais pas me dégonfler !

– Bon, allonges-toi sur le dos. Et prépare ta montre. Une minute, pas plus !

Il se mit sur le dos, en écartant les cuisses. Je m’immisçai au milieu, et m’approchai de cette bite, convoitée et redoutée à la fois. Je posai mes lèvres sur le gland. Engaillardi, je passai la langue sur ce gland violacé. Je pris un coup ma respiration, fermai les yeux, et enfournai ce gland dans ma bouche.

– Top départ !

Je commençai un timide mouvement de va et vient. Finalement, ce n’était pas si désagréable que ça, bien au contraire. Je rouvris les yeux, et me mis à donner plus d’amplitude à mes mouvements.

– Oh putain ! Tu suces bien pour quelqu’un qui ne l’a jamais fait ! Encore trente seconde.

Je me mis à le pomper avec vigueur. Une de mes mains se mit à lui pétrir la cuisse, et puis les fesses.

– Quinze secondes.

Je redoublai d’énergie. Je voyais son pubis se rapprocher et s’éloigner de moi à mesure que je le pompai.

– Cinq secondes.

Non, pas déjà ? Je venais à peine de commencer !

– Trois, deux, une top !

A regret, je détachai mes lèvres de son sexe. Je léchai une dernière fois le gland, en guise d’adieu.

– Il était temps que ça s’arrête, je n’aurais pas tenu beaucoup plus longtemps. Alors, ce n’était pas trop dur ?
– A part ta bite, non, ça va. Ca m’a même plutôt plu. Je ne pensais pas que je pouvais aimer sucer une bite. Mais depuis hier, je découvre plein de nouvelles choses.
– J’aurais bien aimé avoir ce gage, je crois.
– Si tu veux, on peut le remettre en jeu…

Ma réponse était venue toute seule. J’en fus le premier surpris.

– Tu crois vraiment ?
– Ben pourquoi pas ? Ca prolongera un peu la partie.

Nicolas me regarda.

– D’accord. On le met en dernier gage.

Après ces émotions, j’eux beaucoup de mal à me concentrer sur mes cartes. Mais Nicolas dut avoir encore plus de difficulté, car il perdit les deux donnes suivantes.

– Embrasser le sexe du partenaire.

Mon gage paraissait dérisoire, en comparaison de celui que je venais de subir. Nicolas s’en acquitta volontiers, en profitant pour y passer la langue.

Puis donc, il perdit la donne suivante.

– Se faire mettre un doigt dans le cul ! Ben toi alors !

Nicolas s’allongea sur le ventre. A cause de son érection, il eut quelques difficulté pour caler son sexe contre le matelas, mais il y parvint finalement, et il écarta les cuisses en grand. Je mouillai mon majeur, et de l’autre main, j’écartais ses fesses, révélant son anus. Je posai le doigt, écartai au maximum, et m’enfonçai doucement jusqu’à aller au plus profond possible. Puis je me mis à farfouiller à l’intérieur de son cul, explorant son anatomie de façon tactile. N’était-ce pas ce qu’on appelle la prostate que je sentais là ? Je ne m’y connaissais pas bien, dans tous ces organes. Nicolas se mit à gémir.

– Arrêtes, c’est intolérable !

Je sortis le doigt, mais c’était un piège, ce fut pour le rentrer aussitôt. Je me mis à exécuter des mouvements de va et vient dans son cul. Nicolas gémissait de plus belle, et se tortillait, essayant d’échapper à son supplice. Mais j’étais sans pitié. Enfin, il me fallut finir.

– C’est terrible comme gage. Tu as de la chance d’y avoir échappé.

Dernière, donne. Il ne restait plus qu’un gage. La pipe. Qu’est-ce qui m’avait pris de proposer qu’on remette le gage en jeu ?

J’eus deux rois.

– Trois cartes.
– Une carte.

Selon toute probabilité, Nicola avait une double paire. La partie s’annonçait mal pour moi. Je regardai, mes trois cartes, anxieux. J’avais tiré un troisième roi. J’avais un brelan, meilleur que ses deux paires.

Nicolas prit sa carte, et sourit.

– Bon, j’ai un super jeu. Meilleur que le tien. Si tu veux, on ne regarde pas les cartes, et on annule.
– Moi je pense surtout que tu bluffes. Tu dis ça parce que tu ne veux pas faire ton gage.
– Comme tu veux. C’était une proposition honnête que je te faisais. Mais au poker, tu sais, il faut payer pour voir.
– Qu’entends-tu par là ?
– Qu’il faut augmenter les mises. On n’a qu’à dire que si on regarde les cartes, on double la durée du gage.
– 2 minutes de pipe ? D’accord.

Avec mon brelan, j’étais sûr de gagner. J’étais certain que Nicolas bluffait, et qu’il avait voulu éviter son gage.

Il avait une couleur.

– Je t’avais dit, on pouvait annuler le gage…

Je m’étais bien fait avoir, sur ce coup là !

Nicolas reprit sa position, allongé sur le dos. Il n’avait pas débandé depuis tout à l’heure. Je me mis sur le côté. J’avais perdu toute timidité face à ce sexe qui se dressait devant mes yeux. C’était maintenant une vieille connaissance. Je léchai longuement la hampe, avant d’en venir à ce gland distendu qui me narguait. Je l’avalai d’un seul coup. Et je me mis à le sucer, lentement d’abord, puis en accélérant le rythme peu à peu.

Tandis que je m’affairais, je sentis une main qui me caressait les fesses. Nicolas m’encourageait de la sorte. Je me tournai un peu pour lui faciliter le travail, et redoublai de vigueur. La main se faisait plus indiscrète, s’immisçait dans la raie. Je sentis un doigt qui me titillait l’anus. Je laissais faire. De toute façon, on ne parle pas la bouche pleine. Le doigt, toujours plus indiscret, se mit à pénétrer mon intimité. Ca me faisait deux gages d’un coup. Et moi, tel un Shadock, je pompais toujours !
Je pompais même de plus belle. Je m’activais sur ce membre, en suivant le rythme marqué par le doigt qui m’explorait le fondement. J’avais perdu toute notion de la réalité. Est-ce que j’entendis les avertissements de Nicolas, me prévenant qu’il allait venir ? Est-ce que cela ne fit que me donner plus de cœur à l’ouvrage ? Tout à coup, je sentis un liquide chaud me remplir la bouche. En même temps, le doigt cessa son va et vient. Je continuai à sucer encore quelques instants, le temps que Nicolas se vide de son sperme. Je m’arrêtai enfin, et me laissai aller, ma tête posée sur son ventre, son doigt toujours dans mon cul. Nous restâmes ainsi quelques temps, avant de nous extirper l’un de l’autre.

Nous n’avons plus rejoué au poker de toutes les vacances. Mais nos soirées furent cependant loin d’être inoccupées. Nous n’avions plus besoin de jeux, ni de gages.

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Une réponse à Partie de cartes 2 – Fin de partie par Lolofc26

  1. Jugan dit :

    Très excitant ! C’est dommage qu’ils ne s’enculent pas

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