Transformé par sa femme Initiation – le cadeau de mariage par Kalogero

C’était une semaine avant son anniversaire, je demandais à ma femme Véronique ce qu’elle désirait pour ses 30 ans, belle date. Elle me dit alors :

« Ce qui me ferait le plus plaisir comme cadeau c’est toi mon amour »

Bêtement, étonné, je lui répondis simplement

« Ah ? Mais tu m’as déjà, je suis là. »
« Tu es si rarement présent, avec ton travail, j’aimerais t’avoir rien que pour moi. J’aimerais que ce soit toi mon cadeau, à moi pendant une semaine. »

C’était vrai que depuis notre mariage, mon travail me prenait beaucoup de temps, je ne voyais pas souvent les enfants et ma femme non plus, j’avais des horaires irréguliers et je sentais que c’était pénible pour elle.

« Alors, si tu veux, je prends une semaine de congé et je serais libre pour une semaine, tout à toi. »

Ma femme sourit, me pris dans les bras et me dit tendrement :

« Génial, mon cadeau ce sera toi, je t’aurais une semaine et ferai de toi ce que je voudrai, ça te va ? »

Ne comprenant pas vraiment le sens de cette phrase, je lui souris et lui dis oui tendrement. Nous nous embrassâmes. La soirée passa et avant que je parte travailler (je travailles souvent la nuit), elle vint vers moi avec une feuille tapée à la machine. Elle me dit :

« Voilà, pour que j’ais mon cadeau, remplis cette feuille, signe-là et donne-la-moi à mon anniversaire. »

Je pris la lettre et parti. Ce n’est que quelques heures plus tard que je pris le temps de la lire. Il était noté :

« Moi, Patrick Durand, m’offre à ma femme Véronique Durand durant la semaine du .. au .. pour ses 30 ans. J’appartiendrai à ma femme pour une semaine et elle pourra faire de moi ce qu’elle voudra, j’accepterai tout pour lui faire plaisir. »

Je commençais à avoir un peu peur, me demandant ce qu’elle comptait me faire. Je lui demandais alors une fois rentré ce qu’elle avait prévu, mais elle ne voulut rien me dire. Simplement un :

« Tu seras mon plus beau cadeau, pendant une petite semaine nous ferons ce que nous n’avons jamais fait auparavant, par manque de temps. »

Le petit sourire si charmant qu’elle me tint me fit signer, je remplis les dates que j’avais prévues pour mes vacances et referma la feuille. J’étais tout de même un peu soucieux, mais je me dis qu’elle avait mérité cela et que je ferai volontiers ce qu’elle voudrait pendant une semaine et que cela serait sûrement agréable. L’inconnu me plaisait également.

Le jour de son anniversaire, je lui donnais son cadeau. Nous fêtâmes cela ensemble, au champagne et je n’eus aucune révélation sur la semaine prévue, elle préparait ça en cachette.

Le soir avant nos fameuses vacances, je rentrais à la maison très tard. Ma femme dormait déjà, je voulais lui demander ce qu’elle avait prévu pour le lendemain, mais c’était trop tard, je m’endormis auprès d’elle.

Le lendemain matin, lorsque je me réveillai, elle n’était pas là. Je me levai et la vis dans la cuisine. Elle me prit dans ses bras, m’embrassa en me disant « Bonjour », puis elle m’invita à venir dans la chambre. Elle commença quelques caresses sur mon corps, assez vite incisives et je ne tardais pas à devenir très excité. Elle prit alors un bandeau derrière elle et me le passa sur les yeux. Je voulus dire quelque chose, un peu surpris, mais elle me posa le doigt sur la bouche en disant tendrement « chut ! »

Elle me déshabilla complètement et je crus entendre qu’elle faisait de même. Elle se frotta contre moi avec son ventre, mon pénis frétilla pleinement. C’est alors qu’elle le prit par la main, le caressa, ce qui commença à vraiment m’exciter. Elle tira alors dessus et me dit : « viens ! »

Je la suivis, tiré par mon pénis, à travers l’appartement, je ne voyais rien. Elle commença à me mettre quelque chose par les pieds, me faisant les lever, comme si elle voulait me faire enfiler un habit. C’était doux. Je lui dis alors, d’un ton étonné :

« Que fais-tu ? Tu me rhabilles ? »

Elle me dit alors gaiement, presque coquine :

« Sais-tu quel jour on est ? »
« Heu… »

Je ne savais plus trop. Elle m’avait eu au réveil.

« Nous sommes le premier jour de la semaine choisie et je veux mon cadeau, c’est toi ! Dès maintenant tu dois m’obéir, alors ne dit plus rien et laisse-toi faire ! C’est compris ? »

C’était vrai, j’avais signé et accepté, ne pas savoir ce qui allait m’arriver commençait à m’exciter, j’acceptais, je l’avais choisi. Je lui répondis :

« C’est d’accord. Puis-je savoir ce qui m’attend ? »

Je reçus alors une violente claque sur les fesses.

« Aie ! »
« Je t’ai dit que tu dois m’obéir et je t’ai demandé de te taire et de te laisser faire, ne me demande plus rien et laisse-toi faire, c’est compris ? »

« Oui. » dis-je, ayant compris le principe.

Ce n’était pas de la tarte ! J’étais plutôt amusé de voir ma femme si ferme.

« Bien, tu es obéissant, cela vaut mieux ! Car tu dois faire tout ce que je te fais faire cette semaine et tu vas voir, tu ne vas pas être déçu. »

Elle continua à monter la culotte (car je sentis que c’en étais une) et me la mis. J’étais toujours très excité et elle ne pu me cacher mon sexe.

Tout en continuant quelques caresses buccales sur mon pénis de temps à autre, juste assez pour que je n’éjacule pas, elle continua mon habillage. Je sentis alors mes bras aller en avant et elle me mis un soutien-gorge (je ne m’étais pas vraiment rendu compte sur le moment, trop étonné de la situation, je ne comprenais plus grand-chose). Ensuite, elle m’enfila par les pieds, tout en me caressant le corps, une tenue plutôt froide, du latex ou quelque chose de ce style. Elle passa par-dessus mon sexe et monta la robe (car c’en était une !) jusqu’en haut. Ma femme était en train de jouer à la poupée avec moi, me mettant des habits de femme ! Je ne comprenais pas vraiment, je voulus dire quelques petites choses, mais elle me mit plusieurs fois le doigt dans la bouche, me disant « Tais-toi et obéis ! » d’un ton coquin et amusé. Aussi, avec ses caresses, j’étais dans un état euphorique et je ne pouvais pas tellement penser à ce qui m’arrivait. Mon pénis, coincé dans la robe (elle était assez serrée) sorti tout à coup. Elle le tira par une ouverture devant, qu’une fermeture éclair laissait voir, comme dans une braguette de pantalon, étrange pour une robe. Pendant un temps un peu plus long, elle me délaissa et s’occupa à me mettre des bas, qu’elle accrocha au porte jarretelles qu’elle m’avais également mis sans que je m’en aperçoive et elle me mis également des chaussures à talons, très hauts d’ailleurs.

Je reprenais un peu mes esprits, et comprenant que ma femme me travestissait, je m’écriai, stupéfait et perdu :

« Mais, Véronique, qu’est-ce que tu fais ? »

C’était une question idiote il est vrai, mais ce qu’on peut dire dans ces événements inattendus ! Elle n’eut pour seule réponse que de me mettre sur la bouche une boule de plastique reliée à une sangle en cuir qu’elle accrocha derrière ma tête. Elle me dit :

« Je t’avais dit de te taire !! Tu es insupportable, petite peste ! »

C’est qu’elle utilisait maintenant le féminin pour me parler, cela me fit tout drôle ! Elle ne me laissa pas beaucoup de temps, alors que je commençais à gigoter avec mes mains, elle les prit, me les mit devant moi et me mit des menottes. Je sentis rapidement le métal et entendis le clac ! Si terrifiant. Elle serra alors derrière mon dos la robe, tirant une longue fermeture éclair, ce qui me fit sentir que la robe était vraiment moulante et étroite ! Elle me mit une perruque sur la tête et m’enleva mon bandeau. Je pus me voir dans la glace (elle m’avait amenée exprès devant). Je portais une robe en latex noire, des bas noirs également tenus par mes porte-jarretelles, des escarpins en cuir avec des talons extrêmement haut, un petit tablier à dentelles autour de la taille, juste au-dessous de mon pénis en érection qui dépassait d’un petit trou de la robe. J’avais également une perruque rousse sur la tête, cheveux courts. Je ressemblais à une servante, ou une femme de ménage dans les films, mais en latex, un peu plus sexy. Cette vision fut un choc ! À la fois la personne dans le miroir était très attirante, bien qu’un peu bizarre (mon corps n’est pas non plus celui d’une femme, surtout avec le pénis qui ressortais), à la fois je sentais bien que c’était moi et je me sentais terriblement honteux (ou honteuse… je ne savais plus trop !) Je voulus me défaire, ce fut mon premier réflexe. Cependant, j’avais les menottes aux mains et je portais aux pieds des talons avec lesquels je n’étais pas tellement à l’aise, je devais lutter pour ne pas tomber.

Ma femme, qui elle était toujours nue, me montrait ses atouts dans la glace. Elle se mis dans mon dos et pris alors mon sexe dans ses mains, le caressa soigneusement, comme elle sais si bien le faire. Je ne tardai pas à être à nouveau très excité. Elle me pris les mains, les mis sur mon pénis et continua à me masturber ainsi.

« Vois comme tu es belle et sexy, vas-y branle-toi, je sais que tu aimes ça ! »

Elle continua, ce fut vraiment bon, puis lâcha juste avant que j’éjacule et me laissa finir. Je ne pus me retenir et continuais machinalement à me masturber ainsi. Elle se délectait de me voir ainsi habillée, comme elle l’avait voulue et en me masturbant, en y prenant du plaisir. Elle me disait, d’une voix très coquine :

« C’est bien petite coquine, je vois que tu aimes ta nouvelle condition, vas-y, fais-toi plaisir ! »

Je me rendis alors compte de ce qu’elle faisait, me masturber ainsi se voyait de l’extérieur comme quelqu’un qui prend son pied à être habillé en soubrette, cela me fit tout drôle et je m’arrêtai sur le champ. C’est alors qu’elle prit un fouet sorti de je ne sais où et, en colère, me fouetta les fesses.

« Allons, petite garce ! Masturbe-toi ! Vas-y ! »

Cela me faisait plutôt mal, la douleur et la gêne m’envahit, mais pourtant l’excitation (qui ne grandissait pas) ne tomba pas, elle resta au même stade.

Elle vint alors devant moi, pris mon sexe dans ses mains et le caressa à nouveau, rapidement, je ne pouvais qu’apprécier. Là, elle continua encore et encore plus, me lâchant à nouveau juste avant la fin. Je ne pus arrêter, je pris alors mon sexe et finit le tout, c’était trop dur de ne pas le faire, je me balançai, serrai avec mes mains et je finis par éjaculer, dans un grand soupir de soulagement.

Lorsque je repris mes esprits, ma femme avait récolté le sperme dans un petit récipient en plastique, j’étais toujours devant la glace, menottée, bâillonnée et habillée en soubrette. Elle m’avait remis le sexe sous la robe et refermé la fermeture éclair. Elle m’enleva mon bâillon et me demanda alors « Ça t’a plu ? »

Toujours un peu sous le choc, je ne savais pas trop quoi répondre. J’étais à la fois en colère qu’elle m’ait ainsi utilisé, tout choisi et d’un autre côté, j’avais apprécié les caresses et je ne pouvais pas tellement dire que le moment passé soit si terrible. Après un long silence, je lui demandai :

« C’est ça que tu voulais faire en me demandant une semaine où je serai à ton service ? Me déguiser ainsi ? »

« Non, pas seulement, je voulais qu’on prenne un peu de plaisir et j’ai eu vent de femmes qui féminisent leur mari pendant l’acte sexuel, ça m’intéressait et je dois dire que tu es assez sexy ainsi. Mais ne t’en fais pas, on va faire plein d’autres choses. Maintenant, réponds à ma question, est-ce que tu as aimé ? Réponds sincèrement ! »
« Eh bien, je dois dire que je me sens un peu con ainsi habillé ! Je ne crois pas que cela m’ait si bien… »

Je souris en terminant la phrase, convaincu évidemment que l’habit ainsi n’était bien sûr pas naturel et qu’il « m’aille » ou pas ne se posait pas vraiment, c’était juste pour dire que ce n’était pas une position normale. Je repris

« Tout de même, je dois avouer que tu as le chic pour bien m’exciter. Tu es experte en caresses.»

Elle sourit également et me répondit alors :

« C’est gentil, merci mon chou. Cependant ce n’est pas vrai que cette tenue ne te va pas, je te trouve vraiment sexy, sincèrement. Tu es injuste envers tes qualités de pin-up. Je vais d’ailleurs prendre quelques photos de toi maintenant, avant de te laisser reprendre les habits que tu aimes tant. »

Elle partit dans notre chambre, pour se changer et chercher l’appareil photo. Elle resta un long moment loin. Pendant ce temps, j’étais toujours habillé en soubrette, devant le miroir du salon, menottes aux mains. Les pensées se croisaient dans ma tête. J’étais soulagé de voir que ma femme voulait me laisser remettre mes habits « normaux » dans lesquels j’étais nettement plus à l’aise. J’avais honte ainsi vêtu, je pensais à ce qui pouvais arriver si quelqu’un entrait dans la maison à ce moment ou qu’on me voit à travers la fenêtre (qui était entrouverte). Je pensais également à son idée de me vêtir ainsi, je cherchais à comprendre son envie. C’est vrai que de pouvoir dominer ainsi son homme devait lui procurer du plaisir, mais me trouvait-elle vraiment si sexy ? Je me contemplais dans le miroir, regardant les aspects de mon corps sous toutes les coutures.

C’est alors qu’elle me dit :


« Ah ! Tu vois que tu te contemples, petite coquine, tu aimes te regarder. »

Je ne l’avais pas vu entrer. Elle s’était habillée d’une belle robe rouge que je connaissais bien et que j’aimais beaucoup et tenait à la main son appareil photo numérique.

Je bafouillai, voulant expliquer pourquoi je m’étais mis à me regarder : « Mais, non, c’est que… je me demandais… »

Elle me coupa aussitôt :

« Allons, ne fais pas l’enfant, je sais que tu aimes te voir ainsi, c’est normal, c’est nouveau pour toi. Je t’ai prise en photo quand tu t’admirais, tu n’as pas remarqué. Retourne-toi et fais-toi belle, je continue à mitrailler. »

J’étais à nouveau mal à l’aise, je tentai de me tourner, péniblement je lui fis un sourire.

« Si tu veux que je te laisse aller, il va falloir faire mieux ma grande. Joue le jeu, fais la soubrette ! Prends le balai et vas-y, nettoie! »
« Je n’ai pas envie Véronique, laisse-moi. »
« Tu n’as pas le choix, je te laisserai ainsi tant que tu ne m’auras pas laissé finir mes photos. Et aussi, dois-je te rappeler que tu m’as fait un cadeau pour mes 30 ans ? »
« Je ne pensais pas que j’allais devoir faire cela. »
« C’est trop tard maintenant, tu le fais où je te laisse ainsi. »

Je sentais qu’elle n’allait pas me laisser m’en tirer comme ça. Je ne bougeai pas pendant quelques instants, sans rien dire. J’avais honte.

« Allons, fais la soubrette, pour la photo. Mets-toi à genoux ! »

Je me dis que finalement ce n’était pas si dur, je pris le balai (qu’elle avait amené tout à l’heure) et me mis à nettoyer, telle une vraie servante. Elle mitrailla avec son appareil, puis, en souriant, me dit :

« C’est bien, maintenant souris et regarde l’objectif ! »

Je continuai, faisant ce qu’elle disait, je voulais arrêter cela, c’est tout.

Finalement, elle vint vers moi et me dit tendrement : « C’est bon, c’est dans la boite, tu es chou. » Elle me donna un baiser sur la joue, m’enleva mes menottes et me dit :

« Tu peux te changer, nous allons aller nous promener. »

Je pus enfin me libérer de mes liens, j’enlevai mes habits. J’eus quelques peines avec la robe, attachée dans le dos. Je me sentis tout de suite plus à l’aise avec mes habits. Véronique revint alors rapidement et m’amena dehors, nous prîmes la voiture et partîmes. C’est moi qui conduisais et elle me guidait petits bouts par petits bouts. Dans la voiture, nous n’avons rien dit pendant un moment. Elle me demanda, cassant le silence :

« À quoi tu penses mon chou ? »
« À ce matin. » dis-je sans grande intonation.
« Ah ? Et alors, qu’en as-tu pensé ? » Me demanda-t-elle avec un sourire coquin.
« Eh bien, je ne te connaissais pas ainsi. Tu caches bien ton jeu. »
« Ah ! Ah ! » Elle ria très fort, comme j’aimais beaucoup. « Oui, c’est vrai, je me suis lâchée, je te l’avoue. Mais toi aussi t’es lâchée. Je dirai même plus, tu t’es déchaînée. » Elle utilisait intentionnellement le féminin.
« Oui , » dis-je un peu bougon. « Mais c’est bien toi qui m’a obligé. »
« Allons, mon petit chou, » reprit-elle en me caressant tendrement les joues « tu ne vas pas m’en vouloir, tu m’as dit avoir pris du plaisir. »
« C’est vrai que tes caresses furent sympathiques, mais je préférerai reprendre cela dans d’autres conditions, sans forcément que je sois habillé en soubrette. »
« C’est promis mon chou, nous allons refaire cela et cette fois, pas de soubrette ! »

Je souris alors, j’étais heureux de pouvoir espérer quelques nouvelles pratiques sans travestissement.

Elle me dit alors, de son air si tendre : « C’est bon de te voir sourire. »

Nous continuâmes la route ainsi, plutôt gaiement. Je ne lui en voulais pas trop pour le matin. Elle avait un fantasme particulier, mais ça n’était pas allé si loin finalement. Je continuais à rêver à ce qu’on allait bien pouvoir faire…

Nous arrivâmes alors au bord d’un lac, très romantique. Elle me fit aller me garer au bord d’un grand hôtel luxueux où elle avait réservé une chambre, me demanda ensuite de monter les valises à la chambre, puis d’aller garer la voiture. Elle était assez autoritaire dans les « ordres » qu’elle me donnait, me signifiant bien que cette semaine je devrai lui obéir. Je me chargeais volontiers de ces petites tâches.

Elle me dit alors, toujours de la même manière autoritaire :

« Viens, nous allons nous baigner, prends ma serviette. »

Elle continua ainsi toute l’après-midi. Tout le temps, elle m’imposait certaines petites tâches, sans pour autant perdre sa gentillesse et son charme. Nous passâmes finalement une belle après-midi, à nous baigner, nous promener ensuite sur les collines bordant le lac et à nous embrasser tendrement, sans aller tellement plus loin. Vers les 18h, nous arrivâmes au bord d’un autre lac, tout petit et perdu au milieu de la montagne. Elle me dit alors

« Viens, allons nous baigner ! »

Nous étions rentrés à l’hôtel nous changer après nous être baignés dans le grand lac et nous n’avions pas repris les costumes de bain, juste un gros sac à dos qu’elle m’avait fait porter et dont je ne connaissais pas le contenu, sauf qu’il était plutôt lourd. Elle se lança dans l’eau en jetant ses habits autour d’elle, toute nue. Je fis alors de même, la suivant, étant tout excité de voir Véronique si belle, nue, entrer dans l’eau.

Nous nous embrassâmes, nous primes dans les bras et nous nous caressâmes, le désir montant. Elle stoppa d’un coup, me disant qu’elle voulait sortir de l’eau, ce qu’elle fit en courant: « J’ai froid, je sors ! »

Je sortis doucement de l’eau et la vis toute changée. Elle portait une petite jupe blanche légère, ainsi qu’une chemise rouge bien habillée.

Je ne trouvais pas mes habits sur le sol, alors que je les avais amenés tout à l’heure. Je lui demandai :

« Où sont mes habits, chérie ? »

Elle me répondit d’un air grondant :

« Mais, enfin, tu ne vas pas mettre tes anciens habits tous sales, regarde-moi, je me suis faite toute belle. Change-toi ! »

Moi, bêtement :

« Ben, je n’ai pas pris d’habits de rechange. »

Elle fit sa tête des mauvais jours et repris :

« Tu es incorrigible. Heureusement que j’ai pris des habits. »

Elle sortit du sac quelques vêtements, me les lança et me dis :

« Vas-y, mets ça vite ! »

Je ramassai les vêtements et m’aperçu que c’était une robe en coton, blanche, avec des dentelles. Je lui dis alors, souriant :

« Mais, ce sont des habits de filles, tu t’es trompée… »

Elle me sourit également et me dit :

« Et alors ? Tu n’as pas d’habits, mets ça. Et vite, on nous attend pour le repas ! »

Je commençai à avoir peur. Ma femme m’avait déjà travesti une fois, elle avait l’air d’aimer ça. Je me voyais déjà habillé avec cette robe, allant manger à l’hôtel, je tremblais déjà de honte. J’étais encore dans mes pensées lorsqu’elle m’en tira :

« Patrick, vas-y ! Dépêche-toi ! »

Je repris en bégayant :

« Mais, euh… Je ne vais pas encore une fois me travestir, je… l’ai déjà fait. »

Véronique pris alors la robe qui était par terre, ainsi que le sac à dos, et partit en direction de l’hôtel, me disant:

« Tu es terrible, tu oublies des vêtements propres, je t’en passe et tu ne veux pas. Maintenant, nous sommes en retard pour le dîner. Je vais donc y aller, et toi tu m’accompagneras avec ou sans habits ! »

Elle se mit à marcher rapidement. J’étais toujours nu au milieu de nulle part. Je commençai à trembler vraiment, pensant à ce qui allait arriver si elle disparaissait ainsi. Je me voyais aller mon chemin nu, rencontrant des gens.

Je me mis alors à courir, la rattrapant, lui criant :

« Donne-moi mes habits ! »

Elle s’arrêta, m’attendis, me lança la robe et me dis : « Voilà, si tu mets cette robe, arrivés à l’hôtel je te passerai de quoi passer inaperçu. Sinon, je te laisse ainsi ! »

Elle partit alors, courant à nouveau.

Je me mis à réfléchir, pesant le pour et le contre. Je n’avais pas trop envie de me travestir à nouveau, mais je ne voulais surtout pas être nu au milieu de nulle part. Véronique avait l’air décidée, je ne pouvais pas la raisonner.

Elle était déjà loin en plus. Je me dis alors que j’allais essayer au moins la robe, voir ce que ça donnait. J’enfilai alors cette robe, qui était assez serrée, moins évidemment que la robe de la veille. Je me rendis compte que je devenais maintenant plus à l’aise en robe, quel comble !

J’avais déjà moins froid et je me sentais plus habillé, moins vulnérable. Pourtant si quelqu’un me voyait ainsi, je me serais senti vraiment idiot.

Je me mis à marcher en direction de l’hôtel, espérant que Véronique m’attendait.

Les premières habitations se voyaient au loin, je commençais à paniquer, quand soudain je sentis une présence. Je n’eus pas le temps de me retourner que j’avais déjà les mains dans le dos, dans des menottes ! C’était Véronique, elle me tira derrière un arbre.

Elle me mit alors un manteau au-dessus de la robe, me donna mes chaussures et me dis :

« Ainsi, ça ira mieux ! »

Elle disparut aussi vite qu’elle était arrivée.

Je me mis alors en marche pour l’hôtel, espérant qu’on ne remarque rien. Quelques personnes me lancèrent un coup d’œil intrigué, ce qui me mis très mal à l’aise, mais je pus continuer.

Je tressaillais au moindre bruit, redoutant tout contact avec quelqu’un.

Je pus tout de même arriver à la chambre, je ne vis personne, juste mes habits posés sur le sol. Je ne pus me retenir, j’enlevai de suite le manteau pour pouvoir reprendre mes habits. Mais Véronique m’attendait derrière la porte. À peine mon manteau fut enlevé que je pus sentir des menottes se cliquer à mes poignets. J’étais à nouveau prisonnier !

Je n’eus pas le temps de réagir qu’elle m’avait déjà passé une laisse au cou. C’était une laisse de chien, en cuir. Elle serra bien, ras du cou, sans m’étrangler toutefois, et passa l’autre bout aux barreaux du lit, auxquels elle fit un nœud. Elle me poussa en avant, ce qui eut pour effet de me faire tomber à genoux, puis pris alors de la distance, s’assit sur une chaise et me regarda. Elle commença de suite, d’un ton très sec :

« Bon, je ne vais pas y aller par quatre chemins, tu as choisi d’être cette semaine à moi, rien qu’à moi. Je peux donc faire de toi ce que je veux, y compris t’habiller de robes quelconques et te demander de m’obéir. Jusqu’à présent ce fut très laborieux. Alors, dès maintenant nous allons reprendre de bonnes bases où ça va mal se terminer. Tu as signé un contrat, à toi de le tenir ! »

Elle avait raison, j’avais signé et je n’avais pas vraiment tenu ma parole. J’avais honte de moi après ces paroles. D’un autre côté, ce qu’elle m’avait demandé était tout de même un peu gros et c’était plutôt normal que je m’y sois opposé. Je me trouvais à ce moment entre deux feux. Ma position à genoux devant elle aidant, je me sentais vraiment inférieur à ce moment et je tremblais. Je pu sortir quelques mots timides :

« Je suis vraiment désolé ma chérie, mais ce que tu me demandes est gros quand même. J’ai de la peine à être habillé ainsi, je suis très mal à l’aise. »

À chaque mot, je voyais qu’elle était de plus en plus en colère et je baissais alors la voix. Elle répliqua, d’un ton très autoritaire :

« Oui, c’est vrai, ce n’est pas facile, mais tu as signé ! Maintenant tu dois accepter ton engagement ! Dès cet instant, tu devras m’obéir au doigt et à l’œil. Es-tu prêt ? »

J’étais très mal à ce moment. Je voyais sa suprématie devant moi, moi attaché, habillé de manière humiliante à mon goût et tout penaud et elle très fière, autoritaire devant moi.

Alors que j’hésitais, Véronique repris, de manière pressante : « Allons, j’attends !! Ma patience a des limites !! »

J’osai un timide : « Je … je suis prêt.»

Elle continua d’un ton sec, ne laissant aucune place à la discussion :

« Es-tu bien prêt à m’obéir au doigt et à l’œil, sans rechigner ? »

« Oui. » dis-je timidement, pour confirmer mon choix.

« Plus fort, dis-moi « je serai ton esclave et t’obéirai » d’un ton clair et précis. »

« Oui. Je,.. Je serai ton esclave et t’obéirai. » Dis-je encore hésitant.

« Allons ! Mieux que ça ! »

« Oui, je serai ton esclave et t’obéirai. » repris-je cette fois d’un ton plus assuré.

Je ne réfléchissais plus, j’obéissais froidement, acceptant d’honorer ma parole, de lui offrir ce cadeau en guise d’anniversaire. À ce moment, je trouvais cela presque normal d’obéir ainsi à ma femme, suivant le papier que j’avais signé. Et puis, inconsciemment, je commençais à aimer un peu cela.

Elle s’avança vers moi, me présenta ses jambes nues sous sa jupe, au bout desquelles elle portait des talons en cuir blanc et m’ordonna de les lécher en guise de soumission. Le mot était lâché ! J’acceptai cet état, je me soumis et lui léchai ses pieds. Ce qui aurait été d’habitude impensable me paraissait ici presque normal.

Elle fut heureuse de me voir ainsi soumis et me dis, triomphante :

« Très bien ! Je vais maintenant voir si tu es vraiment soumise ! »

Elle me détacha totalement et pris la laisse dans sa main. J’étais à genoux, devant elle, toujours vêtu de la robe blanche à dentelles. Elle me mit un bandeau sur les yeux, tira sur la corde et me dit :

« Avance, suis-moi ! »

A suivre…

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3 réponses à Transformé par sa femme Initiation – le cadeau de mariage par Kalogero

  1. Transmonique dit :

    C’est effectivement assez lourd (et je suis gentille)

  2. Lucien dit :

    Très belle histoire.
    Je m’identifie au mari.
    Je suis un grand blond de 26 ans bisexuel avec une belle croupe, genre de celle des femmes africaines. Je suis marié à une belle arabe.
    Pareil, elle aime jouer avec mon visage? A u début elle me mettait du rouge à lèvres et porter sa culotte très sexy, des bas noirs avec porte jarretelles avant de faire l’amour.
    Et ainsi de suite je me suis retrouvé complètement féminisé présenté à ses amants qui n’ont pa hésité à ma baiser chacun son tour.

  3. modesma dit :

    Au bout d’un moment c’est lourd !

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