Mélodie était à plat ventre par Tzaima

Elle était à plat ventre, nue, parfaite, exquise. Mélodie était une jeune fille de 20 ans d’origine vietnamienne. Elle n’avait pas les hanches très larges, mais une silhouette longiligne à vous faire, et bien à vous faire bander un saint ! Et elle était avec moi. Rien que ce sentiment de possession, certes temporaire, purement psychologique, mais rien que cela suffisait à entretenir mon érection. Ses cheveux de jais coupés court lui donnaient une allure de garçonne, que renforçaient ses petits seins. Elle avait d’ailleurs de très jolies mamelons, semblables à de petits médaillons de cuivre. C’est évidemment une image, mais ils étaient vraiment très beaux.
Nous venions de faire l’amour assez rudement. Elle avait acceptée de me voir ce jour là, ce qui signifiait combien elle a avait envie de jouir de son corps et du mien. C’était ce que l’on pouvait qualifier une fille sérieuse, toujours boulot-boulot. A priori, avec son air réservé, un peu farouche, on aurait pu croire que c’était une sainte nitouche. Ce qui était l’exacte vérité. Mais elle ne demandait qu’à se découvrir, et à découvrir le sexe. Elle l’avait fort peu pratiqué jusqu’à ce que nous nous rencontrions. Elle avait vite compris que j’entretenais un goût plus que certain pour la luxure, et elle réalisait peu à peu qu’elle n’avait rien contre, bien au contraire. Ce qui rajoutait l’épice indispensable à toute bonne relation sexuelle comme amoureuse. Mélodie n’avouait pas son penchant pour le sexe, ni pour les pratiques que nous avions. Elle s’en défendait même, et c’était ça qui était exquis. Se forcer à faire ce que sa morale lui interdisait, voilà ce qui la faisait mouiller. Un terme plutôt cru, qu’elle rechigna d’abord à prononcer, avant de le faire avec délectation dès que je parlais de sa petite chatte.

Ah, son sexe, aussi une pure merveille. Elle n’entretenait pas particulièrement sa toison, mais j’avais vite obtenu une épilation totale. Non pas que j’en étais un fanatique absolu, mais je savais la honte qu’elle concevait à s’épiler ainsi, à m’offrir l’entière nudité de son sexe. Et cette honte la faisait fondre. Elle aimait avoir honte, et je compris que la domination serait pour elle une grande source de plaisir. Comment je m’en rendis compte ‘ Ce fut lors de sa première fellation. La première qu’elle me fit, pour ne pas dire la toute première qu’elle fit :

– Tu regardes !

Les volets étaient fermés. Mélodie refusait de faire l’amour en pleine lumière. Mais les rayons du soleil lui zébraient le corps à merveille. J’étais sûr le dos, les jambes écartées. Mélodie s’était placée à genoux juste entre mes cuisses. Elle s’était activée doucement sur mon membre, trop doucement à mon goût, j’aime être pompé.

– Oui, j’aime te voir le faire.
– Mais ça me gêne.
– J’aime te voir me sucer Mélodie, et d’ailleurs, tu parles trop.

Elle me jeta un regarda de surprise, et je lui saisis fermement la tête pour la ramener à son travail. Elle accepta docilement ma réprimande et mon désir. Elle recommença à me sucer le gland.

– Un peu plus vite, suce-moi mieux.

Je lui imposais un tempo en lui tenant la tête des deux mains. Elle respirait plus fort et obéit. C’était pas mal, mais je voulais plus. La voir obéissante me faisait bander comme un cerf. J’appuyais sur la tête :

– Plus vite et plus loin, montre-moi que tu aimes ça, que tu veux sucer !

Avec ses mains, elle s’appuya sur mes hanches pour se redresser, me signifiant son refus.

– Alors, tu veux me sucer oui ou non ‘ Si tu le fais, tu le fais bien !

Je maintiens sa tête, prêt à la laisser libre si elle manifestait encore son refus. Mais ses bras fléchirent et ma queue coulissa plus loin dans sa bouche. Je sentis un peu ses dents, mais devant ce plaisir c’était dérisoire.

– C’est bien Mélodie, suce, suce-moi.

Et elle suçait. Je gardais juste une main sur sa tête, pour lui maintenir le rythme. Elle salivait beaucoup, faisait beaucoup d’efforts. Je relevais sa tête, libérant mon sexe. Elle souffla, de la salive tissant un fil de bave jusqu’à mon gland. Elle avait les yeux mi-clos.

– C’est bien, tu vas me reprendre, et quand je vais jouir, tu me boiras.

Aucune protestation. Je lui remis sa tête vers mon sexe, qu’elle engloutit. Elle reprit sa fellation. J’appuyais un peu plus fort sur sa tête, je voulais voir jusqu’où elle pouvait aller. Elle manqua de s’étrangler, mais accepta ma queue au fond de sa gorge. Je relâchai la pression, sûr de bien pouvoir jouir quand j’en aurai envie. Je lui mis un rythme plus soutenu

– C’est bon, petite suceuse, continue, je vais foutre au fond de ta gorge, et tu boiras tout.

Et elle suçait, suçait. La pauvre devait être au supplice, c’était sûrement sa première fellation d’une telle durée, d’une telle profondeur. Je sentais mon désir monter. Je relevai sa tête une dernière fois. Mélodie soufflait, les yeux fermés.

– Dis que tu vas me boire. !

Je lui tirai la tête en arrière, serrant bien ses cheveux malgré leur faible longueur :

– Oui… oui je vais te boire
– Tu vas boire mon sperme, dis-le !
– Je vais boire
– Dis-le, dis que tu vas boire mon sperme !
– Je vais boire ton sperme, je vais boire ton sperme !
– Tu vas tout avaler, hein
– Oui, je vais tout avaler.

Je tirai fort ses cheveux, elle grimaçait un peu, les yeux toujours fermés.

– C’est bien petite suceuse.

Et je la replongeai sur mon sexe. Elle me pompa avec acharnement. Elle voulait mettre fin au supplice en me faisant jouir le plus vite possible. Je savourais sa langue sur mon sexe et ma chance d’avoir trouvé cette fille. Je ne me lassais pas de voir sa petite tête monter et descendre, besogneuse. Je décidais de bien me vider. Je pris sa tête à deux mains, pour qu’elle sente que c’était le moment. Elle se raidit, prête à recevoir sûrement sa première gorgée de sperme. Puis je lui enfonçai mon sexe au fond de la gorge et jouis. Plusieurs giclées. Elle déglutissait, s’efforçait de garder le sperme, de l’avaler.

– Bois salope, bois !

Elle voulut se dégager, mais je la tenais fermement. Elle eut droit à cinq ou six giclées, je ne sais plus. Cela faisait longtemps qu’on ne m’avait pas sucé, il y avait plein de sperme à boire. Finalement je la relâchais et je la vis se redresser. Je savais qu’elle allait cracher le sperme. Avec un doigt je lui fermais la bouche :

– Allez, avale salope, avale tout !

Elle me regarda et elle le fit, comme on avale un sirop amer. Puis elle me sourit semblable à une écolière qui a bien travaillé. Elle était bandante. Mélodie aimait être traitée de salope, et être traitée comme une salope, pendant qu’on faisait l’amour. Elle aimait aussi que je lui décrive ce que j’allais lui faire, ce que je lui faisais, ce que je lui avais même déjà fait. Elle protestait toujours faiblement, puis je la forçai à répéter ce que je disais. Et elle mouillait. Comme la première fois où je l’enculai. J’aime la sodomie et la pratique dès que je peux, c’est la pénétration la plus totale, psychologiquement et physiquement. J’avais essayé à plusieurs reprises d’amener Mélodie à cette pratique, mais je m’étais toujours trouvé face à des refus. Quand je parle de domination, je ne suis un bourreau, et le terme est fort, que lorsque la victime est volontaire ou cherche à se faire bousculer. Je ne l’avais pas encore trouvée prête à être sodomisée. Elle acceptait de se faire doigter, mais pas plus. Mais l’envie me tenaillait. Un après midi, j’étais sur elle. Tout en la prenant, ayant bien écarté ses cuisses, je lui tenais les poignets. Je songeais à son petit trou, ce qui me donnait de l’ardeur. Elle dut sentir que j’étais plutôt en forme.

– Tu me violes, dit-elle, dans un souffle, ses yeux mi-clos.

Mélodie ouvrait rarement les yeux pendant nos rapports, la honte la travaillait alors que je la travaillais. Je m’étais attendu à ce qu’elle dise quelque chose comme « tu me sautes », ainsi que je lui avais demandé souvent de dire. Mais là, je trouvais qu’elle exagérait : je ne l’avais pas encore forcée. J’y vis l’occasion ou jamais :

– Ah je te viole, attend tu vas voir !

Je me dégageai brutalement.

– Mets toi à quatre pattes, allez !

Tête courbée, elle s’exécuta. Elle aimait la levrette, notamment les grands coups de rein.

– Tu vas voir ce que c’est d’être violée, petite salope
– Je ne suis pas une salope
– Comment ça, tu n’es pas une salope !
– Et ça tu n’aimes pas peut-être ‘

Et je lui mis de grands coups de queue dans sa chatte toute fraîche et toute humide. Je la pilonnais.

– Tu vois que tu aimes ça !
– Oui.
– Tu aimes être prise en levrette
– Oui
– Dis-le !
– J’aime être prise en levrette !
– Bien, dis que tu es une salope !
– Je suis une salope, une salope qui aime la levrette !

J’étais sur le point d’exploser.

– Bien, maintenant je vais te montrer comment je te viole !

Je retirai ma queue et admirai Mélodie. J’aime voir une femme installée pour une levrette. Les hanches, les épaules, la nuque et les deux trous. Je me penchai pour lui lécher l’anus. On ne lui avait jamais fait. Elle se raidit, surprise, puis se laissa faire. Elle se doutait peut-être de ce qui allait lui arriver. J’en profitais pour bien rentrer ma langue dans son petit trou. Quand je le trouvai assez lubrifié, je me redressai.

– Alors comme ça je te viole ? Je vais te faire voir comment je viole une jeune fille !

Il n’était pas question de la préparer plus. Je posai mon gland sur sa rondelle. Une de ses mains voulut m’enlever. Je la repoussai :

– Tu parles de viol ‘ Tu vas voir, petite salope !

Et je poussais. Je la tenais fermement par les hanches, car je la sentais qui voulait fuir en avant, éviter la poussée. Cela m’excita et je forçai :

– Allons ! Bouge pas salope !

Elle se fixa.

– Plus tu résisteras, plus je te ferai mal ! Et ça, se sera du viol !

Elle était tétanisée. Je sentais bien son petit anneau tout contracté autour de mon gland. J’attendis un peu qu’elle se calme. Je lui parlais tout en lui caressant son dos magnifique et ses hanches, pour la détendre.

– Tu la sens ?
– Oui
– Ca te fait mal ?
– Oui
– Beaucoup ?
– Oui, non. Je ne sais pas, c’est je ne sais pas
– Le plus dur est fait, le gland est entré. Maintenant, je vais tout mettre.
– Non !
– Oh si !

Je la sentais moins serrée, et poussais. Je dus encore la tenir fermement.

– Voilà, ça y est.

Je lui caressais les fesses, contemplant ma queue dans son petit trou. C’était exquis.

– Tu as tout mis ‘

Sa voix de petit fille inquiète m’excita et d’un dernier coup de rein je rentrai jusqu’aux couilles ;

– Voilà, j’y suis. Je te viole.

Lentement, je commençais à bouger. Elle était bien serrée. Je la sentais résister. Mais j’en avais trop envie, et elle m’avait laissé aller trop loin. Surtout, je sentais qu’elle aimait se faire forcer. Pour le savoir, je mis un doigt dans sa chatte rasée : trempée.

– Pour quelqu’un qui se fait violer, tu as l’air d’aimer ça, petite salope !

Elle ne dit rien et j’accentuais mes allées et venues dans son cul. Elle remuait ses pieds menus, vraisemblablement sous l’effet de la douleur. Mais elle ne protestait pas, se laissait faire. Cela m’excita.

– Qu’est-ce que je suis en train de te faire ?
– Tu me sodomises.

L’entendre le dire me fit donner un coup de rein plus rude. Elle était bien serrée. Je finis par me dire qu’elle l’était naturellement. Cela m’excita encore plus.

– Dis-le encore !
– Tu me sodomises
– Je suis le premier à te sodomiser ?
– Oui.

Je m’en doutais, mais je crois que cela fit encore plus gonfler ma queue, pour le malheur de sa rondelle. Mais elle restait toujours bien à quatre pattes, à me recevoir dans son anus.

– Dis-le !
– Tu es le premier à me sodomiser.
– C’est ta première sodomie ?
– Oui ! c’est ma première sodomie.

J’y allais plus fort. Elle voulut se redresser mais d’une main je l’obligeais à rester à quatre pattes.

– Je te viole, Mélodie ! Je te sodomise !
– Oui, tu me violes, tu me sodomises !

Et je m’enfonçais bien au fond.

– On parle pas que de sodomie. Comment on dit autrement ?
– ?
– Je t’encule, Mélodie.

Et je remis ma main sur son dos, pour qu’elle se sente bien dominée.

– Dis-le ! ‘
– Tu m’encules.
– Encore.
– Tu m’encules, tu m’encules !

Puis prenant ses hanches à deux mains, je tournais bien mon sexe dans son petit trou pour l’élargir, en vain. Mélodie était vraiment une fille bien serrée. Elle tendit une main pour me retirer. Je la repoussai. Sa petite voix me demanda.

– C’est bientôt fini, tu as joui ?
– Tu as mal, hein ?
– Oui, je veux que tu arrêtes
– Tu as mal, mais tu te laisses sodomiser
– Oui
– Tu te laisses enculer
– Oui, je me laisse enculer
– Bon, comme c’est ta première sodomie, je vais jouir vite, petite salope. Mais il faut me laisser prendre mon plaisir, d’accord ?
– Oui, jouis, prends ton plaisir, encule-moi !

Elle voulait vraiment en finir, c’était un dépucelage hardcore. Je mis une claque sur ses petites fesses, puis je commençai à l’enculer rudement. Elle se mit à mordre l’oreiller, je voyais ses petits pieds remuer à chaque coup de rein. Sa souffrance et sa soumission m’excitèrent : je n’avais jamais vue une fille souffrir lors d’une sodomie à ce point, et surtout l’accepter. Je lui donnai de bons coups de rein pour lui défoncer le cul puis, sortant brutalement de son anus, je replongeai pour jouir en quatre coups de queues bien profond. Quatre bons coups de queue bien enfoncés, bien appuyés. Quatre bonnes giclées dans ses entrailles. J’étais en nage, haletant.

– Tu as joui ?
– Oui, tu as senti mon sperme ?
– Oui, j’ai senti quand tu as joui.

Mon sexe fut vite expulsé de l’anus qui reprenait ses droits. Je pus voir, suprême détail, un peu de mon sperme en jaillir Mélodie se mit sur le côté, se recroquevillant pour se tenir le ventre. Je l’avais bien défoncée. Mais elle avait un sourire en coin. Je lui rendis son sourire et l’embrassais. Baisé qu’elle me rendit avec fougue.

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Une réponse à Mélodie était à plat ventre par Tzaima

  1. Pascalou dit :

    Le fantasme du viol existe, mais on est pas obligé de le traiter « façon bourrin » comme dans ce récit

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