Mémoire d’un couple coquin 3 – Trio coquin un soir d’été par André_d’Ambre

Trio coquin un soir d’été

Le soir du bal approchait et Eric avait de plus en plus de mal à tenir. Agnès non plus d’ailleurs, la révélation qu’elle avait eue en nous observant en 69 moi et Eric l’avait poussé à explorer une facette de ma sexualité jusqu’alors jamais exploré.

Je vivais des instants étranges et magiques en compagnie de ma copine. Le soir de notre balade, elle voulut faire l’amour. Je l’embrassais tendrement, puis lui fis un cunnilingus avec délicatesse. Je remarquais que ce soir là, elle avait bien rasé son sexe, ma langue glissée littéralement sur ces grandes lèvres charnues. Je lui mis deux doigts comme elle aimait que je le fasse et titillais son anus avec un peu de gel tout en agaçant son clitoris avec le bout de ma langue.

Puis elle se redressa pour se pencher sur mon sexe, elle m’allongea position que nous pratiquions que rarement pour la fellation. Elle m’écarta bien les jambes, choses qui me surprirent encore un peu plus. Puis elle enfonça ma verge dans sa gorge pour laisser mon sexe dans sa bouche, une nouveauté. Elle commença alors à me masser les couilles avec un peu de gel, puis descendis vers mon anus, quelle força d’un doigt. Toujours avec mon sexe en bouche. Je goutais ce nouveau plaisir, elle fit aller et venir son doigt dans mon fondement. Apparemment, ça avait l’air de lui plaire. Elle s’arrêta pourtant, je n’osai rien dire, elle allait chercher quelques choses dans son sac, une bougie assez longue. Elle s’en servit comme un genre de gode, qu’elle m’enfonça dans le cul. Puis elle mi du gel et fit quelques aller retour, toujours avec mon sexe dans sa bouche.

Cette stimulation nouvelle m’arracha quelques gémissements de plaisir, elle me traita de cochon et me dit,

– Mets-toi à quatre pattes que je te pénètre comme un homme.

J’obéis donc, et là le cul tendu, elle enfonça la bougie, mon anus me brulait un peu, mais le plaisir ressenti était énorme… Je ne tardais pas à jouir dans ces mains.

Je me retournais ensuite, pour lui redonner du plaisir, mais je découvris bien vite que de m’enculer avec une bougie avait été trop excitant pour elle.

Le matin, vers 5 heures j’entends toquer à la porte. Je me levai en caleçon et je découvris Eric à la porte avec un papier. Je reconnais de suite l’écriture d’Agnès. Le mot disait : « vient nous rejoindre à 5 heures ce matin, pour une surprise. »

Eric rentre dans notre chambre, Agnès c’est réveillé et regarde Eric avec gourmandise. Il est encore en pyjama. Elle est encore nue sous le drap. Elle lui dit :

– Je vous ai vue hier au réservoir et je sais que tu es un cochon. J’ai envie de toi depuis.

Eric est surpris, il me regarde puis regarde Agnès. Il dit :

– Je ne sais pas si on devrait faire ça, nous sommes amis après tout.

Agnès lui dit que cela ne changera rien à notre amitié de toute façon.

Et voilà Eric qui s’assoit sur le lit, je reste interdit, découvrant Agnès mettant la main dans le pantalon d’un autre homme. Elle le fait en me regardant dans les yeux. Je la vois sortir le sexe d’Eric qui est épais et encore endormi. Je ne peux m’empêcher de bander comme un taureau à la vue de ce spectacle. Elle se penche alors, vers sa verge et prend son gland dans la bouche, Eric ne tarde pas à gémir sous les coups de langue de Agnès. Et moi, je suis là, le sexe dur devant ce spectacle.

Je m’approche des fesses de Agnès qui remuent au rythme de sa fellation, je passe ma main dans sa fente, elle est bien humide, je joue donc à l’explorateur, enfonçant un doigt, puis deux puis trois. J’observe son anus, je joue avec ces lèvres, je lui colle un doigt puis deux dans l’anus pour faire bonne mesure.

Elle est parfaitement lubrifiée et mes doigts entrent et sortent sans difficulté. Eric est aux anges, il lui a posé la main sur la tête et accompagne ses mouvements en cadence.

Elle s’arrête pourtant. Elle s’allonge sur le lit, les jambes écartées, nous laissant voir sa vulve d’une manière indécente, provocatrice. Elle désigne Eric et lui dit :

– Lèche-moi.

Pendant ce temps, je la regarde prendre du plaisir avec un autre, je vois dans son regard qu’elle veut que je fasse quelque chose, mais quoi ?

J’approche mon sexe de sa bouche, mais me refuse à moi. Je vois le cul dandinant d’Eric qu’elle matte depuis cinq minutes. Et là, un éclair de génie me traverse. Je comprends ce qu’elle veut… Ce qui me met en émoi. J’enfile alors un préservatif, je badigeonne de gel mon sexe tendu et je me place entre les fesses de Eric, son anus est tendu au départ. Cela semble un peu le surprendre parce qu’il arrête son cunnilingus. Mais, il reprend assez rapidement, en me disant :

– Vas-y si tu veux, j’adore ça.

Je pénètre un cul masculin, j’avais déjà l’expérience de la sodomie avec Agnès, qu’elle aimait sans plus. Mais là, mon sexe s’enfonce centimètre par centimètre, le gel aide bien. Puis une fois bien au fond, j’entreprends un léger va-et-vient. Son cul se détend petit à petit et j’augmente les amplitudes. Je perds le contrôle de ce que je fais, je suis entrain littéralement de le ramoner avec vigueur et puissance, il a arrêté son cunnilingus et il crie de plus en plus fort. Je sente des spasmes, son anus se contracte de plus en plus autour de ma verge. Agnès se positionne sous Eric, gobe son sexe et brutalement, Eric se mette à jouir. Agnès engloutit une partie seulement du sperme, le reste dégouline le long de sa joue. Elle sourit, elle est heureuse… Je ne réalise que après coup que moi aussi j’ai joui dans le cul de Eric en regardant ma copine aspiré son sperme. Nous nous écroulons alors tous les trois dans le lit.

Ce jour-là nous nous sommes levés qu’à midi.