Martinov 22 – Univers parallèles – 11 – Partie carrée par Maud-Anne Amaro

Martinov 22 – Univers parallèles – 11 – Partie carrée par Maud-Anne Amaro

Beautilleux est dépité, cette visite chez Mathilde n’a servi à rien, sinon à l’énerver. Dehors il pleut, il n’a pas de parapluie, il s’en va se réfugier dans un café-brasserie, ruminer sa hargne devant une mousse.

Il réfléchit à ce qu’il pourrait bien faire d’intelligent.

« Je suis bien con, je n’ai pas une mauvaise retraite, je peux vivre peinard avec pourvu que j’arrête de jouer.' »

Et pendant trois jours, il se refait une conduite, enfin presque parce qu’il s’achète quelques jeux à gratter qui évidemment ne lui rapporte rien. Sinon il s’emmerde en regardant la télévision.

« C’est pas une vie, ça ! »

Dimanche 17 Avril

Et le soir du troisième jour il rejoint le club de poker où il a ses habitudes, jure de limiter ses mises, gagne un peu, puis perd et finalement se fait plumer.

Il rentre chez lui très énervé et décide de dénicher un coup fumant.

« Un truc un peu surnaturel présenté sous un angle inédit, mais quoi ? Les extraterrestres, les petits anges, les fées, les grands anciens, les Templiers ? Que faire avec ça ? Finalement les fantômes, ce n’était pas une mauvaise idée. Il y aura toujours des veuves éplorées désireuses de converser avec feu le mari ou feu l’amant ! Mais pas de table tournante, pas de cercle magique ou d’objets qui s’animent. Non du moderne avec un projecteur d’hologrammes qui diffusera un machin flou, je peux en trouver un pas trop cher sur internet. Il me faudrait aussi un cadran de contrôle bidon avec plein de lumières qui clignotent, un compteur, un cadran graphique et un haut-parleur pour diffuser des phrases incompréhensibles qu’on attribuera au macchabé… »

Il se demande néanmoins où il va dégoter pareilles choses.

Lundi 18 avril

« Oh mais j’y pense, Martinov m’avait donné les coordonnées de son bricoleur informatique et le gars ne me connait pas. Allez, on ne perd pas de temps… »

Et il se rend sur le champ à l’atelier de Romain Framboisert

– Bonjour monsieur, on m’a donné vos coordonnées, ce serait pour un petit bricolage électronique…
– Vous devez faire erreur, nous sommes une société d’électronique, mais nous ne prenons pas de commandes de particuliers…
– Je paye bien…
– Je m’en doute bien mais c’est non, n’insistez pas.
– Parfois une commande individuelle peut donner de idées pour un produit à exploiter.
– Bon, c’est quoi votre truc ? Brièvement, parce que j’attends quelqu’un.
– En fait c’est un faux cadran pour intégrer dans une attraction foraine.

Et là ça fait tilt dans la tête de Romain Framboisert.

– Mais qui vous a donné mes coordonnées, monsieur ?
– Alors là, impossible de me souvenir.
– Ce ne serait pas un monsieur Martinov, dés fois ?
– Ce n’est pas un nom qui me parle.

Romain aurait bien voulu creuser cette affaire qui n’en était peut-être pas une mais qui l’intriguait. Mais on lui annonça son visiteur, et celui-là pas question de le faire poireauter.

– Écoutez, puisqu’il s’agit d’une commande privée, pourriez-vous passer chez moi à 18 heures, on pourrait en discuter calmement.
– Vous accepteriez, alors ?
– J’ai pas dit ça, mais je veux bien discuter. Vous êtes monsieur ?
– Picoche, Jean Picoche.

Quand il eut un instant de libre, Romain Framboisert téléphona au professeur Martinov :

– Je te passe juste un petit coup de fil en vitesse. Est-ce que tu aurais filé mes coordonnées à un dénommé Picoche ?.
– Picoche, non ça ne me dis rien ! Pourquoi ?
– Rien, juste comme ça un mec a déboulé à l’atelier et m’a proposé une commande privée, il m’a parlé de fête foraine alors ça m’a fait penser à ton client avec l’affaire de la cabine d’ascenseur, au fait on ne sait pas vu depuis, il était satisfait ton client ?
– Tu parles, c’est un escroc faudra que je te raconte, c’est tout un roman !
– Ben passe chez nous demain soir avec Béatrice, tu nous raconteras tout ça !
– Volontiers !

Puis alors que la conversation allait prendre fin, Martinov demande à brule-pourpoint :

– Ton client tu pourrais me le décrire. ?
– Pourquoi ? 50, 60 ans pas un poil sur le caillou lunette à la Scorsese…
– Ça ressemble à mon escroc, ça fait beaucoup de coïncidences
– Je vais l’envoyer promener alors ?
– Hum, tu dois le revoir ?
– Oui, ce soir !
– Rend-moi un petit service, note tout ce qu’il veut, essaie de percer le bonhomme et bien sûr tu ne t’engages pas… et puis on en parle ensemble.
– On s’en parlera demain.
– Je sens que ça va être chaud !
– Comme d’habitude !

Un peu avant 18 heures, Romain rentre chez lui.

– Je vais recevoir un type dans 10 minutes, ça ne va pas durer longtemps, mais je voudrais que tu t’arranges pour le déstabiliser. Dit-il à l’adresse de sa charmante épouse.
– Et concrètement ?
– Décolleté osé et sourire enjôleur, ça devrait suffire.
– C’est tout ? Tu ne veux pas que je lui fasse une pipe non plus ?
– Sûrement pas ! Il s’agit de le déstabiliser pas de le chauffer.
– Mais, ça me plaît pas trop ton truc mais bon, si ça peut te rendre service…
– Au fait, Martinov et Beatrice passent demain soir…
– Ah ! Voilà qui me plaît mieux.

A 18 heures tapantes, Beautilleux était là, c’est Edith qui lui ouvre, il n’a évidemment que d’yeux que pour le décolleté plongeant de la belle mature.

– Alors, expliquez-moi ce que vous voulez ?

– C’est juste une attraction foraine, ça n’a aucune prétention, mais faudrait que ça en jette, Je vous ai fait un petit schéma avec les cadrans, tout ça… Il me faudrait aussi un machin qui transforme ma voix, il me faudrait une voix caverneuse, une voix d’outre-tombe, en quelques sorte, c’est possible ça ?
– Oui, c’est possible, ça s’appelle un modificateur vocal, mais la finalité de votre attraction…
– Peu importe, mais disons que je vais faire apparaître un fantôme avec un projecteur holographique…
– Oh, mais c’est super génial votre truc !

Beautilleux est ravi de susciter de l’intérêt auprès de son interlocuteur, mais ne peut s’empêcher de bander en regardant le décolleté d’Edith.

« A quoi elle joue, celle-ci ? »

– Mais les gens vont s’apercevoir que c’est bidon !
– A la fête foraine tout est bidon, c’est un jeu !
– Je ne voudrais pas me mêler de ce qui me regarde pas mais vous aller faire l’entrée à combien ?
– Entre 5 et 10 euros je suppose ! Improvise Beautilleux .
– Donc si vous faites entrer, on va dire 20 personnes par séance, ça vous fait 200 euros ?
– Oui.
– Et combien de séances par jour ?
– Disons dix.
– Donc 2000 par jour ! C’est considérable !

Voilà un calcul que Beautilleux n’avait jamais fait. Mais pourquoi pas ? Se dit-il. Voilà qui est moins risqué que d’aller escroquer des veuves. Encore faudrait-il qu’il se fasse accepter par le milieu très fermé des forains. Une autre paire de manches !

– La commande vous intéresse ou pas ?
– A priori oui. Mais accordez-moi un petit délai de réflexion
– Bien sûr
– Vous regardez ma femme. Elle vous plaît. ?
– Vous allez m’embarrasser…

Beautilleux ne sait plus où se foutre.

– Ma femme est un peu exhibitionniste, voyez-vous et moi ça ne me dérange pas. N’est-ce pas Edith ?

Celle-ci ne comprenant pas trop à quel jeu joue son mari, ne répond pas et devient rouge comme une tomate.

– Vous voudriez peut-être voir ses seins ? Edith, montre un peu tes seins au monsieur !
– Non, mais, ça va pas non ?
– Juste un ?

Courroucée, Edith se lève…

– Je plaisantais, voyons.
– Ah bon, j’ai eu peur ! Dit-elle en se rasseyant.

N’empêche que Beautilleux est maintenant complètement déstabilisé.

– Dites-moi, cher monsieur, vous avez toujours travaillé dans le milieu forain ?
– Oui comme ça, des bricoles.
– Moi ce que j’aimais bien, c’était le strip-tease forain, c’était sympa et en plus on pouvait se brancher les filles pour un rendez-vous, les prix étaient raisonnables, ça existe encore ?
– Euh, pratiquement plus, ce n’est pas si rentable que ça, il faut payer les filles, les surveiller… vous comprenez ? Alors qu’avec mon cadran bidon, il y a juste un investissement de départ et après c’est tout bénef !
– Vous devriez érotiser le concept, votre hologramme pourrait montrer une femme à poil, par exemple, ça attirera bien le chaland et vous pourriez monter le prix d’entrée à disons 15 euros. Vous vous rendez compte : ça vous ferait du 3 000 balles par jour !
– Non, non, je veux que ça reste un spectacle familial.
– Vous avez tort, vous pourriez gagner davantage, parce qu’entre-nous les fantômes, les gens s’en foutent.
– Non ils viennent à la fête foraine pour se donner des frissons. Et puis écoutez c’est mon choix.
– Bien sûr ! Et si on s’associait tous les deux ?
– Non, je préfère travailler en solo.
– Vous savez, il y a des types d’associations qui ne sont pas contraignantes, et comme ça je pourrais vous faire tous les réglages au fur et à mesure de vos besoins et puis il y aurait un plus…
– Un plus ?
– Ben oui, ma femme serait à mes côtés, elle est agréable à regarder, non ?

« ‘Il commence à me les gonfler, ce mec ! Ce doit être un gros vicelard. »

– Euh, j’étais juste venu pour un devis…
– Hum, refaite-moi voir votre papelard, voyons une semaine de travail…
– Une semaine ?
– Faut bien ça ! Je n’ai personne à mettre dessus je vais donc le faire moi moi-même, mais je ne dispose pas de trop de temps.
– Et vous me demanderiez combien ?
– Voyons, vous allez gagner environ 2 000 balles par jour, donc on va dire 20 000 !
– D’accord.
– Je vous compte la TVA ou pas ?
– A votre convenance.
– Vous me règlerez comment ?
– Par chèque ?
– Chèque de banque alors et à l’ordre de Madame Framboisert pour que ça ne passe pas dans la comptabilité. Et un acompte de 10% à la commande.
– Pas de problème. Répondit Beautilleux qui avait encore la maquette du faux chèque sur son ordinateur. Quant au chèque d’acompte il lui demanderait de ne pas l’encaisser et de le considérer comme une caution. Trop facile tout ça !

« C’est dingue ! Le mec ne discute même pas, il n’a aucune idée des prix, ses bricolages ça ne coute même pas 200 balles ! »

– J’étudie un peu tout ça mais vous aurez une réponse définitive après-demain, mais bon il y a neuf chances sur dix pour qu’on fasse affaire.
– O.K. !
– Réfléchissez quand même à mes propositions : l’hologramme érotique, et la possibilité d’une association.
– Au revoir, j’attends votre coup de fil, au revoir madame !
– Edith, fait un petit bisou à monsieur, voyons !

Le bisou est pourtant extrêmement chaste, sans les lèvres, mais il en est tout chose, Beautilleux !

Mardi 19 avril

Le professeur Martinov a apporté une bonne bouteille, Beatrice a apporté des fleurs, Edith s’est habillée d’un petit haut en voile noir quasi transparent et sans soutien-gorge en dessous, elle porte une petite jupe en vinyle « au ras de la moule » comme disait Frédéric Dard.

Ça va donc être chaud comme vous vous en doutez bien, mais avant les galipettes ils conviennent de parler ensemble de l’affaire Picoche alias Beautilleux alias Leloup.

– J’ai réussi à le prendre en photo pendant qu’il reluquait les nichons d’Edith.
– Comment t’as fait, je ne me sois aperçue de rien ?
– Parce que je suis très fort ! Voilà la photo, c’est lui ?
– Tout à fait !
– T’as appris quoi ?
– Je vais te dire mais ce serait mieux que tu me racontes d’abord toute l’histoire.

Martinov s’exécuta, quand il le voulait le professeur se révélait un excellent conteur capable de scotcher son auditoire.

– Et bien quelle salade ! Et tu comptes faire quoi maintenant ?
– Ce n’est plus trop mon problème mais je vais prévenir madame Descloseaux. Je peux lui donner tes coordonnées si elle a besoin de toi ?
– Bien sûr, elle est comment cette dame ?
– Une belle mature, pas farouche. Et sinon tu as appris quoi ?
– Pas grand-chose d’intéressant ce mec ment comme il respire, quand je lui ai demandé pourquoi il ne voulait pas faire dans l’érotisme, il m’a sorti qu’il voulait faire dans le familial ! Je lui ai expliqué qu’il allait gagner moins il s’en tape mais il est prêt à me lâcher 20 000 balles sans discuter, ça aucun sens ! En fait son truc je ne crois pas que ce soit une attraction foraine !
– Et d’après toi ?
– Un hologramme qui joue au fantôme, un cadran à la con pour faire style, ça sent l’arnaque a la petite vieille, !
– Ok je préviens Mathilde.
– Mathilde ?
– Madame Descloseaux.
– Je lui fais son bricolage ou pas ?
– Je te dirais, j’irais voir la dame demain
– Parce que si je le fais je vais être marron pour le paiement
– T’inquiète pas pour ça j’en fais mon affaire, tu voudrais combien ?
– 200 balles
– Quand je pense que tu as demandé 20 000 balles à l’autre guignol, t’es vraiment un enfoiré !
– Hi Hi ! Quel langage, Martinov. Bien, plus de question ? On se boit un petit apéro ? Après détente et pour finir un bon gigot, il ne brulera pas on l’a mais en cuisson lente, ça vous va comme programme ?

L’apéro est bu rapidement, sur la table, à côté des inévitables cacahuètes grillées, les Framboisert avaient disposé une soucoupe avec des capotes et du gel intime et à côté un gode-ceinture et un petit martinet.

Tout le monde se connaît bien, on sait pourquoi on est là, donc pas de préambule, ni de mise en scène… Béatrice et Edith se roule un patin en se tripotant, tandis que ces messieurs se débarrassent de leur vêtements.

Martinov et Romain sont debout l’un devant l’autre, spontanément chacun attrape les tétons de son vis-à-vis, les serre et les tortille. L’effet sur les bites est immédiat, ça bande très dur.

Le professeur se baisse et gobe la bite de Romain.

– Regarde-moi ses deux pédés ! Fait semblant de s’offusquer Edith.
– Ça t’excite, hein ? Répond Béa.
– Tu m’étonnes ! Ça faisait un petit moment que je ne les avais pas vu se faire des trucs ensembles, ces deux-là !.

Les deux femmes se déshabillent à leur tour, puis Edith vient narguer Martinov :

– Elle est bonne, la bite de mon mari, hein ?
– Mmm ! Répond le professeur qui ne sait pas parler la bouche pleine.
– Et après il va te la foutre dans le cul !
– Mmm !

Béatrice, elle, ne dit rien trop occupée à lécher les jolis seins d’Edith Framboisert.

– Oh, mais qu’est-ce que fais, toi ! Grosse coquine !
– Je te lèche les nichons, tu n’avais pas remarqué ?
– Si mais ça fait trois heures que tu me lèches le droit, le gauche va être jaloux.
– On y va, on y va ! Et après c’est ta chatte que je vais lécher.
– Et mon trou du cul…
– Bien sûr !
– Allez viens sur le canap’, je suis trop excité.

Et Edith s’y affale, assise sur le bord et les cuisses relevées.

– Allez, viens dire bonjour à mon minou.
– Bonjour minou !
– Je voulais t’offrir mon pipi, mais j’ai pas pu me retenir, mais je me suis pas essuyée.
– Tant mieux !
– Maintenant que j’y pense, je ne me suis pas essuyé derrière non plus.
– Mais vous êtes dégoutante, chère madame ! Fait semblant de s’offusquer Béatrice.
– Que veux-tu, parfois j’oublie de faire des choses.!
– Et tu crois vraiment que je vais te le lécher.
– J’y compte bien ! Sinon c’est dix coups de martinet.
– Eh bien vas-y donne-moi du martinet, on verra bien si ça me fera changer d’avis.
– Mademoiselle est très joueuse, à ce que je vois !
– Très !

Edith s’empare du martinet et demande à Béa de se coucher sur le canapé, puis se met à fouetter.

– Qu’est-ce que c’est que cette vilaine fille qui ne veut pas nettoyer le trou du cul de sa copine ?
– Ouin !
– C’est ça, gueule !

Amusés par ce petit spectacle, Martinov et Romain ont interrompu leur petit dévêtissement pour jouer les voyeurs..

Au bout de dix coups, Edith s’arrête.

– Oh là là ! T’as tapé un peu fort, j’ai les fesses en feu !
– Fallait me le dire, ma bibiche, je n’avais pas l’intention de t’abîmer.
– C’est pas grave, et puis j’aime bien ça de temps en temps !
– Alors, tu vas me le lécher mon trou du cul, maintenant ?
– Mais certainement.

Le trou du cul d’Edith n’était pas si pollué que ça, cependant il ne sentait pas la rose non plus. Mais Béatrice n’en avait cure et léchait d’abondance lui humectant le trou de balle de sa salive

– Hum, qu’elle odeur ! ça sent l’andouillette !
– Comment ça, ça sent l’andouillette ? Tiens la prochaine fois que tu viendras j’achèterai une andouillette je te la fouterai dans le cul et après je te la ferais bouffer.
– Quelle imagination ! Bouge pas, je vais mettre un doigt.

Béatrice se mit alors à pilonner l’anus de la jolie brune à une cadence infernale à ce point que celle-ci ne tarda pas à jouir du cul en braillant comme une mouette…

Les deux hommes ont profité du spectacle en se branlant mutuellement mais en mode escargot.

– J’aimerais bien que tu m’encules ? Demande le professeur à Framboisert.
– Mais avec plaisir mon cher Martinov, mets-toi en position je vais te gâter.

Romain s’encapote et lubrifie le trou du cul du professeur d’une noix de gel. Une petite poussée, ça entre, une autre poussée, ça entre profondément.

– C’est bon ?
– J’adore ça ! Aaaah !
– Dis le que tu aimes te faire enculer ! Ça va exciter ces dames !
– Oui, j’aime me faire enculer ! J’aime avoir une bite dans le trou du cul.
– Et t’as pas honte ? Fait semblant de s’offusquer Edith.
– Ah, non pas du tout ! Aaah c’est trop bon, qu’est-ce que tu m’encules bien.
– Quels cochons !
– Toi la salope, je me passe de tes commentaires ! Lui répond son mari, par pure provocation.
– Dis donc gros pédé, tu m’as bien traité de salope ?
– Oui, pourquoi ?
– Je vais me venger !

Edith passe alors le martinet à Béatrice en lui demandant de cingler le postérieur de Romain, puis elle se débrouille pour se glisser sous Martinov afin de lui sucer la bite.

Voyez donc un peu le tableau : Martinov est sodomisé et sucé, tandis que les fesses de Romain rougissent à vue d’œil.

Tout cela finit par fatiguer notre enculeur qui fait signe à Béa d’arrêter de lui martyriser le cul, et il sort sa bite du cul du professeur sans avoir joui.

– Alors c’était bien ?
– Un petit goût de trop peu, mais c’était délicieux.
– J’ai envie de pisser, je peux me lâcher !
– Vas-y !
– On va aller dans la salle de bain, tu en veux aussi Beatrice.
– Bien sûr.

Notre trio s’installe dans la salle de bain, Béatrice et Martinov, côte à côté à genoux et bouche ouverte. Romain ouvre les vannes et vise alternativement les deux bouches. Béa se régale, Martinov est plus réservé, il a accepté le jeu un peu par politesse et pas mal sous l’effet de l’excitation, il l’a déjà fait, mais il préfère l’urine des femmes à celle des hommes. Quelle différence me direz-vous ? Aucune, c’est purement psychologique !

Ils reviennent dans le séjour. Edith saute au cou du professeur et lui attrape la bite de sa petite main agile.

– Alors, mon petit Martinov, maintenant que tu t’es bien fait enculer, tu vas pouvoir t’occuper un peu de moi ?
– Mais avec plaisir ! Humm qu’est-ce qu’il sont beaux tes seins !
– Ben caresse-les, qu’est-ce que tu attends ?

Il n’attendait rien, il pelote, il caresse, il bisouille, il lèche, il tète les bouts. Ça le rend fou.

Edith se don côté, sous prétexte de lui maintenir son excitation, lui tord ses tétons.

Et on ne sait trop comment mais les voilà tous les deux qui se retrouve en soixante-neuf sur le canapé, Edith avec la bite du professeur dans la bouche et ce dernier gamahuchant sa partenaire à grands coups de langue.

Béatrice redoutait un peu cette tournure, cette dernière est peu portée sur les hommes même si elle fait régulièrement des exceptions, Martinov en étant la principale, mais il se trouve que Romain Framboisert, sans qu’elle ne sache vraiment dire pourquoi ne l’attire pas du tout. Alors tant qu’il s’agit de partouze, ou de se contenter de tâter de la bite, pourquoi pas, mais faire des choses plus rapprochées comme par exemple l’embrasser sur la bouche, la gêne terriblement.

Alors, elle prend les devants et réduit l’homme à l’état de bite sur pattes. Elle commence déjà par le sucer avant de lui demander de l’enculer !

Voilà qui est bizarre, me direz-vous, on refuse d’embrasser le partenaire, mais on accepte de se faire enculer ! Où est la logique ?

La logique, c’est que dans ces circonstances , la sodo n’est que du sexe et rien que du sexe. Et d’ailleurs pour recevoir la bite qui va lui ramoner le cul, c’est en levrette qu’elle se positionne. Ainsi elle ne verra pas le visage de son partenaire.

Une petite souris qui passerait par-là aurait donc vu à ce moment-là, Romain enculer Béatrice et Martinov faire subir le même sort à Edith. Le paradis des enculés, aurait dit notre petite souris..

Edith a demandé au professeur de ne pas jouir dans son cul.

– Ton sperme je le veux dans ma bouche.

Martinov tente de se maîtriser tandis qu’Edith commence à gémir sous les coups de butoir de son adversaire, elle finit par jouir du cul assez bruyamment comme elle en l’habitude. Martinov décule, retire prestement la capote et se branle devant le visage de la belle mature brune, sa bouche ouvert en avale un peu, le reste atterrit sur le nez et le menton, elle récupère tout ça avec ses doigts qu’elle suce vicieusement. Puis les deux amants s’embrassent tendrement.

Voilà une conclusion qui donne des idées à Romain.

– On fait pareil ?
– Non, non, je veux te sentir jouir dans mon cul !
– Tu me nettoieras la bite, après ?
– Ça si tu veux !

On ne peut pas non plus tout refuser…

Romain a beau ne pas être le genre d’homme de Béatrice, n’empêche qu’il encule bien, vous me direz, ça n’a rien à voir, je sais bien. Et il parvient à faire jouir Beatrice.

Encore quelques coups de piston et il décharge et se décapote. Notre petite chimiste n’a plus qu’à effectuer le petit nettoyage de bite qu’elle avait promis à son partenaire.

Tout le monde est exténué, on boit un coup, les fumeurs fument, on hésite à se rhabiller.

Edith propose de passer à table, le gigot étant maintenant cuit comme il convient.

– J’aurais bien aimé qu’on m’encule, moi ! Proteste Romain.
– Ne t’inquiète pas, après le repas, je vais te faire ça bien ! Lui répond le professeur.

A suivre

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Une réponse à Martinov 22 – Univers parallèles – 11 – Partie carrée par Maud-Anne Amaro

  1. Darrigade dit :

    Quelle chance il a ce bon professeur Martinov, non seulement il se débrouille pour baiser avec des femmes superbes, mais en plus il ne déteste pas sucer une bonne bite et se faire enculer !

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