Les loups-garous de Paris – 11 – La Reine des loups par Boris Vasslan

Les loups-garous de Paris – 11 – La Reine des loups par Boris Vasslan

.
– On dit ça, on dit ça… Répond Elizabeth Chinchard en mettant la main sur la braguette de l’inspecteur Bourdalou.

Il se laisse faire, et en même temps Corinne viens le narguer en lui exhibant ses gros seins qu’elle a sorti de ses bonnets.

On devait lui proposer une boisson, mais le moment n’est plus propice, mais il aura forcément soif après,

Et tandis qu’il aspire avec gourmandise les délicieux tétons de la soubrette black, Madame Chinchard lui a sorti sa quéquette bandée comme un arc.

Elle est bien jolie sa bite, je la sucerai volontiers, mais j’hésite. C’est qu’il ne s’agit pas de faire capoter le plan non plus ! Je tente de croiser le regard d’Elizabeth. Elle me fait signe d’attendre, puis de me déshabiller.

Elizabeth a retiré sa nuisette, Corinne s’est complètement débraillée, Bourdalou est resté habillé, mais les deux femmes ont tôt fait de lui enlever tous ses vêtements, Il se laisse d’ailleurs faire comme un brave toutou.

– Regarde cette belle queue, Gérard ! Lui dit Elizabeth en désignant la mienne.
– Hum…
– Suce là ! Tu vas voir, elle est bonne !
– Pas maintenant… Tente de temporiser le poulet.
– Juste un peu, pour me faire plaisir.
– Tu me fais faire de ces trucs !

Et hop, voilà ma bite dans la bouche du représentant de l’ordre et de la loi ! Il ne suce pas terriblement bien, mais on ne va pas lui dire. Corinne passe derrière moi et me pince les tétons afin de maintenir mon érection

– Tu suces bien ! Lui dit Elisabeth ! Oh lala qu’est-ce que ça m’excite. .

Puis elle demande à Corinne de quitter la pièce. Je comprends pourquoi, elle n’a pas besoin d’être témoin de la vampirisation que nous nous apprêtons à effectuer.

– Cette belle bite, tu la prendrais bien dans ton cul, non ?
– Je ne sais pas…
– Moi je sais. On va essayer !

On pensait qu’il hésiterait davantage, mais ce doit être l’excitation, le gars se met en levrette. Il faut maintenant aller vite, Elizabeth lui tartine le cul de gel, je m’encapote.

Pourvu que ça entre, pas évident, il faut que mon érection se maintienne, en plus je ne suis pas dans « mon rôle », mes fantasmes bisexuels sont plutôt de nature passive, là on me demande d’être actif ! Je voudrais vous y voir, vous ?

Elizabeth passe derrière moi pendant que j’essaie de m’introduire et c’est elle qui à son tour me travaille les tétons.

Premier essai, ça ripe.

– Ouvre-toi, ouvre-toi bien mon Gégé, tu vas voir ça va te plaire.

Deuxième essai, ça ripe de nouveau, mais je réessaie dans la foulée, ça passe.. Le gland est entré, un coup de rein et je fais entre la moitié de ma bite.

– Non ! Proteste le fonctionnaire de police.
– Du calme, ça fait un peu mal au début, mais après tu vas voir…
– Non, on arrête !

Elizabeth vient vers son visage et l’embrase goulument, pendant ce temps-là il ne rouspète plus.

– Aaah !
– Tu vois, ça devins bon !
– Aaah !

A cette vitesse là il n’est pas près de nous réciter tout l’alphabet !

Je l’encule en essayant de maintenir un bon rythme.

Sur un signe d’Elizabeth, je me penche jusqu’à sa nuque, elle m’y rejoint. Je mords, mais il ne peut savoir qui l’a mordu.

– Eh ! Doucement !

Je continue mes assauts, Elizabeth casse l’ampoule préparé par Bérault, se la verse en bouche, puis la reverse dans la morsure.

Elle me fait signe que tout est O.K. Je ne sais pas trop ce qu’il faut que je fasse, mais je me dis que plus le monsieur sera content, mieux on pourra gérer la suite.

Alors j’ai continué à l’enculer jusqu’à ce que je décharge dans la capote, tandis que l’homme ne cessait d’ânonner son plaisir.

J’ai déculé, Elizabeth s’est précipitée sur sa bite pour le « finir ». Ça a été fulgurant.

– Putain, quel pied ! Mais t’es dangereuse toi, tu m’as mordu, regarde je saigne.

Il dit ça mais n’est pas du tout en colère.

– Oh, mon pauvre biquet, je suis désolée je vais te chercher de quoi te désinfecter et un petit pansement.

Quand il a pris congé, il m’a dit aurevoir, comme s’il était un peu gêné. Pas bien grave !

Bourdalou ne fût pas long à ressentir les premiers symptômes de sa transformation. Sa surabondance pileuse l’inquiéta, et inquiéta aussi son épouse, car l’homme était marié.

– Mais qu’est-ce qu’il t’arrive, mon doudou ?
– J’en sais rien !
– Tu devrais consulter.

Il consulta, et l’homme de l’art diagnostiqua un dérèglement hormonal et lui prescrit de la progestérone laquelle se révéla évidemment totalement inefficace.

Bien sûr ses lectures lycanthropiques lui revinrent en mémoire, mais il mit ça dans un premier temps sur le compte des coïncidences, avant de creuser l’affaire et de se souvenir qu’il avait été mordu.

Il s’en alla donc retrouver Elizabeth en lui expliquant qu’il avait des poils partout.

– T’es peut-être devenu loup garou ! S’amusa-t-elle
– Ça n’existe pas !
– Si moi je suis une louve-garou !
– Non ?
– Mais si je t’assure ! Et je le vis très bien !
– Mais enfin, c’est quoi ce cirque ?
– C’est une simple mutation génétique. Ce n’est pas dramatique et ça te rend immortel, évidemment il y a l’inconvénient des poils, là tu es au début de ta transformation, après la pleine lune tu seras un peu plus poilu que d’habitude deux semaines par mois.
– Ça se soigne ?
– Pas que je sache !
– Mais ma femme…
– Parce que t’es marié ?
– Ben oui.
– C’est pas un problème, soit tu la quittes, soit je te rends service et on la transforme en louve-garou.
– Je rêve !
– Mais non. Et puis il y a un autre avantage : assimile déjà ta nouvelle condition et après je te montrerai comment les loups-garous jouissent. Une extase extraordinaire !
– Pauvre cinglée !
– A bientôt mon biquet !

Assimiler sa nouvelle condition n’avait rien de simple. Et Bourdalou dû prendre énormément sur lui pour ne pas sombrer dans la folie.

Il tenta de trouver refuge dans son travail, mais la situation devenait surréaliste. Persuadé désormais que le meurtre de Maître Gondard était l’œuvre d’un de ses rivaux au sein de sa secte, il renonça à enquêter plus avant et chargea Millet en clôturant le dossier.

La situation devient vite intenable pour l’inspecteur, qui devenait irascible, il consulta un autre spécialiste qui ne comprit rien, se rendit aux urgences qui lui prescrivirent des placebos et rencontra un marabout qui l’envoya promener. Il se mit en arrêt de travail et décida de retourner une nouvelle fois visiter Elizabeth.

– Je ne peux pas rester comme ça !
-Mords quelqu’un !
– N’importe quoi !
– Ça ne va pas te soigner, mais je t’assure que tu verras les choses autrement. Faudra mordre un homme, avec une femme je ne suis pas sûre que ça va le faire.
– Je viens ici pour chercher un peu de réconfort et tout ce que tu trouves à me raconter, c’est des conneries.
– Ce ne sont pas des conneries, essaie, ça ne t’engage à rien et tu m’en diras des nouvelles, sinon pour le réconfort, je peux te faire une pipe.
– T’es vraiment une pute !
– Tu ne t’en es pas trop plains de ta pute.
– Bon je me casse, mais je reviendrai.
– J’y compte bien mon biquet.

Dépité, il s’en alla vider une mousse dans un rade.

« Mordre un mec ? Mais pourquoi me sortir une telle énormité ? Quoi qu’au point où j’en suis, je peux toujours essayer, mais je fais ça où? »

Il revient au commissariat.

– On vous croyait malade, chef !
– Ça va un peu mieux.

Puis avisant un quidam menotté après un radiateur et en instance d’interrogatoire, il demande :

– J’ai déjà vu cette tête-là quelque part, il a fait quoi ?
– Vol de bouteilles de rhum.
– Amenez-le moi dans mon bureau !

« Comment je vais justifier ce que je vais faire ? Mais après tout j’en ai plus rien à cirer ! »

– Dis donc toi connard, t’as rien d’autre à foutre que se piquer des litrons ?
– Un moment de faiblesse !
– Je vais t’en foutre, moi des moments de faiblesse !

Et Bourdalou passe derrière la chaise où le type est assis, se penche sur son cou, et sans crier gare, le mord profondément.

– Mais vous êtes complètement malade ! Au secours !

Evidemment personne n’intervient.

Bourdalou est alors saisi d’une sorte de vertige, il s’écroule sur son bureau, mais il plane rayonnant de bonheur tandis que son sexe bandé libère dans son caleçon une forte quantité de sperme, ses yeux se révulsent, il gémit de plaisir intense, il n’a jamais connu un tel orgasme.

Le voleur effrayé, et le cou en sang tambourine à la porte. Deux flics finissent par venir ils ne regardent même pas le voleur mais sont stupéfaits par l’état de Bourdalou :

– Ça ne va pas, chef ?

D’autres poulets entrent.

– Qu’est-ce qui t’arrive ?
– Quel pied ! Je n’avais jamais joui comme ça !
– Mais qu’est-ce que tu racontes ?
– Quel pied mais quel pied !
– Il m’a mordu ce con ! Intervient le voleur de bouteilles.

Mais celui-là, personne ne l’écoute, toute la maréchaussée entourant Bourdalou avec des visages perplexes.

– T’es en arrêt maladie, faut rester chez toi et te reposer mon vieux, tu veux qu’on te raccompagne ?
– Non, ça va aller, mais quel pied !

Deux flics font lever Bourdalou de son siège et l’accompagnent jusqu’à la porte.

– Qu’est-ce qu’il a l’autre pingouin, il est plein de sang ?
– Il a dû se faire ça tout seul…

Bourdalou prend à pied le chemin de son domicile puis se ravise, il demande par téléphone à Elizabeth s’il peut passer chez elle.

– Mais bien sûr, mon biquet

Sur place, il lui raconte ce qu’il vient de faire…

– C’était super, extraordinaire. Mais je n’aurais pas de séquelle au moins ?
– Mais non, mon biquet, tu veux une pipe maintenant.
– Ça ne va pas le faire, j’ai juté comme un malade.
– Dommage.
– Le problème c’est ma femme j’ai pas envie de la quitter…
– Tu me l’as déjà dit, tu veux qu’on la transforme en loup-garou.
– Si ça ne pose pas de problèmes…
– Mais non; je m’en occupe.

Elizabeth demanda donc à Bérault de préparer une ampoule de sang prélevé sur Hélène afin de réaliser l’opération, c’est cette dernière qui se chargera de la morsure fatidique.

Maryse Bourdalou est une jolie femme qui a maintenant dépassé la quarantaine, bien entretenue, souriante avec un joli nez aquilin, de longs cheveux blond cendrés lui descendent en cascade sur les épaules. Son mari sait qu’elle le fait cocu, mais il s’en fiche, du moment qu’elle reste avec lui…

– On a une stagiaire de province, elle a des problèmes avec sa réservation d’hôtel… On peut l’héberger une nuit dans la chambre d’amis ?
– Ben voyons, faut que je prépare le lit tout ça… Bougonne Maryse, sa femme
– Ça ne va pas te tuer et puis je t’aiderai pour la bouffe.
– Parce qu’elle va manger avec nous en plus ?
– Ben oui.
– C’est la joie ! Qu’est-ce que je vais faire à manger ?
– Tu verras, c’est une très belle femme, très douce…
– Tu te l’ai envoyé, je parie ?
– Pas du tout, d’ailleurs elle est davantage portée sur les femmes. Elle va te plaire tu verras !
– Je ne suis pas gouine.
– Non mais t’as déjà couché avec des femmes.
– C’était y’a longtemps.
– Je disais ça comme ça, elle vient juste pour une nuit.
– Hum
– Remarque je veux être franc, si par le plus grand des hasards vous vous faisiez des trucs, ça me plairait bien de voir ça !
– Obsédé !
– Je lui ai montré ta photo, elle m’a dit que si tu n’étais pas contre, elle aimerait bien…
– Mais t’es complètement malade !

Mais le ver était dans le fruit. Et quand ils prirent l’apéro tous les trois, Maryse ne put s’empêcher de regarder Hélène d’une drôle de façon. Elle essaya de se calmer, mais rien n’y fit, elle imaginait cette femme lui embrasser les seins, lui lécher la chatte. Et plus les minutes passaient plus son entrejambe s’humidifiait.

Alors, au moment où on allait passer à table, elle s’approcha d’Hélène.

– Je peux vous poser une question indiscrète ?
– Posez toujours, mais je ne sais pas si je répondrais.
– Mon mari m’a dit que vous étiez un peu portée sur les femmes…
– Pourquoi ? Ça te dirait ?

Maryse fit un espèce de signe bizarre qui devait signifier « pourquoi pas ». Du coup Hélène sauta sur l’occasion (c’est le cas de le dire). Et approcha ses lèvres de son hôtesse et lui délivra un baiser profond.

Ses mains ne restèrent pas en rade et se mirent à peloter tant les fesses que les seins de Maryse à travers le tissu. Le pelotage devient bien sûr réciproque et elles commencèrent à se dégager de leurs vêtements.

Gérard n’en revient pas, maintenant les deux nanas sont complètement dépoitraillées et Madame Bourdalou suce le sein de la belle Hélène. Il sort fièrement son chibre bandé et se masturbe

Hélène s’arrange pour s’approcher avec sa partenaire du canapé, et dans un geste parfaitement maîtrisé, l’y fait basculer. Maryse se retrouve sur le dos, les quatre fers en l’air. Mais bientôt une bouche sensuelle vient rencontrer sa chatte et elle se laisse aller.

La jolie blonde à maintenant le choix, ou bien précipiter les choses et profiter de l’orgasme de sa future victime pour la mordre et lui injecter le contenu de l’ampoule du professeur Bérault, ou alors faire durer le plaisir, car après tout elle est loin de trouver désagréable le contact avec cette Maryse !

Vous aurez deviné qu’Hélène opte pour la seconde solution, et comme elle est très souple, elle effectue une manouvre de retournement à 180° qui la propulse sa chatte sur le visage de Maryse.

Un soixante-neuf, alors me direz-vous ? Absolument, sauf qu’en prime, Maryse qui se révèle une petite vicieuse (pardon une petite coquine) vient doigter le trou du cul d’Hélène qui ne refuse pas cette intromission et même qui en redemande et qui lui rend la pareille (il n’y a pas de raison)

Dans ce contact infernal les deux femmes transpirent, halètent, gémissent et ça va crescendo. Un premier cri fulgurant, un autre quelques instants plus tard, Les deux femmes se jettent au cou l’un de l’autre et se roule une pelle débordant de passion et de salive.

D’un geste calculé, Hélène bascule son visage derrière celui de Maryse et la mord, tandis que Gérard lui passe l’ampoule, très vite elle la casse, la vide dans sa bouche et transvase le liquide dans la plaie saignante.

– Tu m’as un peu mordue, on dirait. Oh, oui je saigne !
– Excuse-moi ma biche, Gérard tu devrais désinfecter Maryse, je l’ai un peu mordue
– Dans l’armoire à pharmacie, à gauche… Répond l’homme ! Aaaah !

Eh, oui, le Gérard finissait de se masturber, on ne peut pas tout faire à la fois.

Et de nouveau ce fût la pleine lune…

Poussés par une force incontrôlable Maryse et Gérard Bourdalou prirent avec leur voiture la direction de la forêt de Saint-Germain et sur place, se mêlèrent à la meute.

Une certaine agitation règne au centre de la meute, Chabraut grogne et se pavane afin de confirmer son autorité, mais en fait attend la louve qui est censé le défier.

Elizabeth s’approche à pas de loup (c’est le cas de le dire) et vient faire face au chef de meute. Grognements, crocs menaçants, intimidation, bave aux babines. En fait pour des raisons différentes ils ne sont guère rassurés, ni l’un, ni l’autre. Je suis très près d’Elizabeth prêt à intervenir en cas de besoin, Hélène et Andréa sont là aussi, la garde rapprochée de Chabraut me parait bien faible. Quant aux époux Bourdalou qu’on n’a pas mis au courant de la guerre des chefs, j’apprendrai par la suite que madame se fait sauter à la chaine tandis que monsieur profite des croupes accueillantes des louves coquines.

Et soudain c’est l’assaut, alors que la masse imposante du chef de meute aurait pu avoir facilement raison de la frêle louve c’est cette dernière qui se jette au cou de son adversaire et le terrasse en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire. Rapidement vaincu, Chabraut présente sa jugulaire à Elizabeth qui n’en veut pas et qui hurle sa victoire.

Donc jusque-là tout va bien…

Chabraut attend la suite prévue par le plan initial de Sandy, mais rien ne se passe comme prévu. La victoire de la louve est saluée par les hurlements de la meute. Il ne comprend pas, attend un signe, se dit que sans doute une subtilité du plan lui a échappé et d’un bond rageur de jette sur la louve.

D’instinct Hélène, Andréa et moi, nous nous jetons sur Chabraut, un seul loup vient à sa rescousse mais renonce vite, le rapport de force n’étant pas favorable, et Elizabeth peut se dégager. Chabraut qui aurait pu avoir la vie sauve, s’il était resté tranquille est déchiqueté et décapité par la meute.

Je n’ai pas aimé ce spectacle.

Nouveau cri de victoire d’Elizabeth, tous les loups l’adoubent en hurlant.

C’est fini, Elizabeth est devenue la reine des loups. Personne ne conteste sa victoire, je me demande où est Sandy que j’ai du mal à reconnaître en louve.

La fête animale continue jusqu’à l’aube, on baise, on communie avec Dame Nature, on est bien.

Épilogue

Je suis devenu l’amant d’Andréa mais nous n’habitons pas ensemble. Dans mes rêves j’aurais aimé être celui de la douce et belle Elizabeth, mais il faut rester raisonnable, la différence de classe sociale est énorme, mais je n’ai pas compris que sa relation avec Bérault perdure, il en a peut-être une grosse, je ne l’ai jamais vu à poil ! Sandy a repris en main le dossier de contentieux opposant les frères Ladrome à Elizabeth et a fait gagner cette dernière qui n’y croyait plus, pour la remercier, elle la mise dans son lit et lui a offert un poste de secrétaire de rédaction au sein de sa société. Corinne est devenue louve-garou à son tour, Elizabeth lui ayant vanté le côté pratique de la chose. Les époux Bourdalou vivent une nouvelle lune de miel et invitent parfois Hélène à s’amuser avec eux dans une sorte de ménage à trois qui n’oserait dire son nom.

J’ignore si nous sommes vraiment immortels, on verra bien, en attendant je vais manger un morceau. J’ai une faim… de loup !

Fin

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

5 réponses à Les loups-garous de Paris – 11 – La Reine des loups par Boris Vasslan

  1. Jean-Seb dit :

    Merveilleuse histoire, bandaison assurée ! Bravo Boris

  2. Voisin dit :

    Il fallait bien que ça finisse… Je me suis bien éclaté à la lecture de cette saga passionnante et excitante, Dommage qu’elle soit terminée !

  3. Marylu dit :

    Une belle histoire et si je peux emmètre une petite critique c’est que les scènes avec Elizabeth Chinchard sont sur-représentées, alors que celles avec André sont rares. Mais je chipote, c’est une bonne saga !

  4. Baruchel dit :

    superbe histoire, voilà qui nous ferait un bon scenario de film érotico fantastique

  5. Forestier dit :

    C’est donc la fin de cette histoire ! Une réussite avec un bon scenario et des passages très chaud. Bravo à l’auteur !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *