Martine par Allan_1

Je n’ai vraiment su que j’étais  » bitophile  » qu’après avoir accompagné
Serge à un de ses rendez-vous. Serge était un  » copain de régiment  » qui
avait la chance d’habiter près de la base où nous nous trouvions. Ce jour là
il avait rendez-vous avec Martine et sa copine Julie dans le  » parking  » du
bois de X. J’étais là pour m’occuper de Julie pendant que Serge baisait
Martine dans la voiture de Serge, j’ai bien fait quelques tentatives avec
Julie mais elle n’était guère coopérative et après quelques minutes,
apercevant Serge se redressant et Martine en faire de même, elle s’est
dirigée vers la voiture, me laissant seul assis adossé à un arbre. Martine
est sortie de la voiture, aussitôt remplacée par Julie, et est venue me
rejoindre. Elle en avait après Serge qui baisait sa copine après avoir pris
son plaisir avec elle. Regardant le couple s’agiter :

–  » Ca t’excite ?  »

Je la regarde sans répondre. Elle insiste :

–  » Tu bandes ?  »
–  » Ouais, ça t’excite pas de les regarder faire l’amour ?  »
–  » Si ça peut te soulager, branles-toi …  »

Je suis un peu surpris.

–  » Vas-y, tu crois qu’ils se gênent pour nous ? sors ta bite et vas-y.  »

Je m’exécute en hésitant. Elle se penche vers moi.

–  » Je peux ?  » et sans attendre la réponse elle m’enlève les chaussures, le
pantalon et entreprend de me caresser les couilles pendant que je me branle.

Nous sommes ainsi occupés lorsque j’entends des pas dans l’herbe. Je lève la
tête. Julie et Serge sont de retour. Serge sourit en voyant ma position et
ma gêne. Il se dirige vers moi et approche sa bite molle et gluante de ma
bouche. Martine m’encourage :

–  » Vas-y, suce lui la bite. Après les filles, c’est ton tour.  »

Sans trop réfléchir je tends la main, saisis la queue et la lèche, la
débarrassant des sécrétions vaginales et du sperme la recouvrant. Je
m’applique. La queue de mon ami est bien raide maintenant. Elle est un peu
plus longue que la mienne, 18 peut-être 19 cm, bien grosse avec des veines
bleues. J’aspire doucement son sexe dans ma bouche et essaye de le prendre
entièrement. Le gland touche la luette. Serge me caresse la tête et me
demande d’ouvrir grand la bouche. Je le fais, il pousse, la queue entre dans
la gorge et Serge commence un mouvement de va-et-vient. Assise sur ses
talons, Julie qui a suivi la progression du sexe dans ma bouche, recueille
avec ses doigts la salive qui coule de mes lèvres et fait glisser les doigts
gluants sur le sexe qui me baise la bouche. Je sens une douce chaleur
atteindre le méat. Martine branle énergiquement ma queue gonflée en
haletant. Je suis agité de soubresauts, sur le point de non-retour. Ma
langue tourne autour du gland, j’agrippe les fesses de Serge, m’enfonce la
bite goulûment et fait osciller ma tête autour. Je souffle, bave, aspire
mêlant grognements, sifflements et bruits de succion. La main de Martine
accélère le mouvement et je décharge trois ou quatre giclées brûlantes.

–  » Quelle explosion, tu as l’air d’aimer ça !  » dit Martine en riant.

Serge m’encourage :

–  » Ne bouge pas, j’arrive, ouvre la bouche comme si tu baillais, ferme les
yeux et respire profondément.  »

Et il saisit ma tête et amplifie son mouvement de va-et-vient. Le gland
rentre et sort de ma gorge au rythme de Serge. Je ne sens pas venir la
première giclée qui tape droit dans mon gosier. Serge retire le gland de ma
gorge. Je saisis la bite, la branle dans ma bouche ouverte et le fait gicler
dans mon palais. Du sperme mêlé à de la bave coule sur mon menton.

– « En tout cas « , Ajoute Julie,  » c’est sûrement pas la première fois
qu’Allan le fait, mais c’est la première fois que je vois un homme sucer une
bite ! »

J’
ai la bizarre impression que tout cela était préparé mais je ne dis rien, me
rhabille et nous nous quittons bons amis.

Je n’ai jamais revu Julie. J’ai revu Serge au début des années 80 par hasard
dans un café près de la Gare du Nord. Nous avons pris un verre ensemble et
échangé nos numéros de téléphone. Serge m’a rappelé quelques mois après.

–  » Tu te rappelle Martine. Elle vit avec un homme qui a inventé un truc pas
possible, une ‘planche d’amour’. Elle sera chez moi demain soir. Viens vers
20h, Marc apporte un film pour montrer ce qu’on peut faire avec.  »

Je me rappelle de Martine et suis plutôt ravi de cette invitation, j’accepte
sans hésiter.

Lorsque j’arrive, Martine et Marc sont déjà là et en fait de film, regardent
un montage de diapositives. L’invention consiste en une planche de 70 cm de
long sur 30 de large sur 2 pieds dont l’un est réglable en hauteur. De
chaque coté, cinq poignées permettent de prendre appui. Du coté pied fixe la
planche est a environ 70 cm du sol, du coté pied réglable, elle varie de 55
à 90 cm. Rien de bien révolutionnaire.

La présentation, plutôt courte, dévoile Martine et Marc montrant les
possibilités du matériel. En position haute, Martine est allongée sur la
planche, la tête dans le vide du coté le plus bas, Marc est debout, la tête
de Martine entre ses jambes. La queue dans la bouche de Martine, penché en
avant, il fait un cunnilingus à sa partenaire.

Les poignées permettent à chacun de se maintenir en position idéale.

En position médiane, la table est horizontale, Martine est allongée sur la
planche, les jambes sont relevées, les pieds reposent sur les poignées à
mi-hauteur du pied. Marc debout entre les jambes relevées, baise Martine.
En position basse, Marc est allongé sur la planche la tête du coté le plus
haut, les jambes relevées, ses pieds sur les poignées à mi-hauteur du pied.
Martine s’empale sur le sexe de Marc.

C’est tout. Martine nous montre la planche, la met en position basse et me
demande :

–  » Tu veux essayer ?  »

Je la regarde, à peine surpris.

–  » Tu veux que je mette sur la planche ?  »
–  » Oui. tu as l’air plutôt doué pour sucer.  »

J’imagine immédiatement la situation. Marc me baise la bouche, Martine
s’empale sur ma queue et Serge m’encule.

–  » D’accord, mais personne ne m’encule  »
–  » Pourquoi ? t’as déjà essayé ?  »
–  » Non  »
–  » Tu devrais. Moi non plus je n’aime pas mais je l’ai déjà fait. Je
comprends qu’on puisse aimer. T’inquiète pas, de toutes façon, il ne peut
rien t’arriver la planche est en position basse. Et puis, Marc adore se
faire enculer. Alors, installe-toi « .

Nous nous déshabillons et je m’allonge sur la planche la tête du coté le
plus haut, Martine place mes pieds reposent sur les poignées à mi-hauteur du
pied avant et me chevauche. Marc se place debout, ma tête entre ses jambes.
Je lui lèche les couilles et saisit la queue. Elle est d’un beau calibre, 5
peut-être 6 cm de diamètre, pas très longue et bien lisse. Le gland bien
rose me parait énorme. Je le tête et le plonge dans ma bouche. Cette queue
est vraiment trop bonne. Marc prend ma tête entre ses mains et se cambre en
avant pour offrir son cul à Serge. Mes yeux regardent la bite veineuse de
Serge s’introduire dans l’anus de Marc. Martine joue avec ma queue. En fait
elle m ‘a avoué qu’elle ne jouit bien qu’en branlant une bite en contact
avec sa chatte. Elle caresse sa fente avec le gland quelques secondes, se
l’introduit dans la chatte, branle la bite et les couilles, ressort le gland
puis recommence.

La queue de Marc remplit bien ma bouche, le gland est à l’entrée de ma gorge
et ses couilles s ‘écrasent sur mon nez. Je vois les couilles de Serge
approcher de mon nez puis s’en éloigner en ballottant. Mes bras enserrent la
taille de Marc, mes lèvres glissent le long du sexe et je l’aspire pour
l’avoir plus profond. J’en bave. J’en perds la respiration aussi et me
retire pour la reprendre, sitôt fait, j’aspire l’engin à nouveau. Martine,
qui perçoit mes efforts, a placé mon gland contre sa fente et me branle
furieusement. Je me tortille dans tous les sens. Martine accélère le
va-et-vient et me vide les couilles jusqu’à la dernière goutte. Je décharge
alternant bruits de succion et gémissements. Marc qui me voit jouir
s’apprête à en faire autant. Saisissant ma tête de ses deux mains, il se
raidit, se cale le gland bien au fond de ma bouche, ahane et me balance dans
les amygdales une dose comme je n’en ai jamais eu. Le sperme s’échappe de ma
bouche et dégouline sur mon visage. Martine qui n’a rien perdu du spectacle
sourit et me libère sans avoir pris son plaisir. Marc ressort de ma bouche
et se dégage d’un Serge qui n’a pas encore joui. Je quitte la planche. Serge
prend ma place, Martine le chevauche et reprend ses petits jeux avec sa
queue. Quelques minutes suffiront pour les mener tous deux à la jouissance.

Je n’ai jamais revu Serge. J’ai revu Marc une fois, à l’occasion d’un plan
avec Martine qui vaudrait certainement d’être raconté, mais il concerne le
bois de Boulogne et je me sens incapable de restituer l’atmosphère sans les
éclaircissements de Marc. En un peu plus de vingt ans, Martine m’a contacté
six fois pour des plans  » sexe « . Trois fois les plans ont foiré. Mais les
trois fois où ils ont marché, c’était génial. J’ai déjà raconté un plan dans
 » chroniques bitophiles : Ciné porno « . Martine m’avait invité à me rendre
dans ce ciné ce jour là. Elle ne figure pas dans le récit car je ne l’ai pas
aperçue. Mais grâce au récit paru dans Vassilia elle a pu me contacter pour
le plan qui suit, pour lequel elle m’a proposé de me rendre sur une aire
d’autoroute, ce que j’ai tout de suite accepté.

Quand j’arrive sur l’aire de repos, je fais comme Martine me l’a demandé et
stationne quelques mètres avant une voiture verte. Je me trouve face au
toilettes. Une autre voiture et un poids-lourd sont stationnés sur le
parking. De temps en temps, l’homme dans la voiture regarde furtivement la
cabine du poids lourd puis l’entrée des toilettes. Je sors de la voiture et
me dirige vers les toilettes. En entrant du coté  » hommes  » je note que
l’urinoir de près de 3m ne comporte pas de séparations. Toute personne
entrant et se dirigeant vers les cabines peut facilement jeter un coup
d’oeil sur les urinoirs. J’ouvre la porte d’une cabine. Les parois sont
couvertes de messages et de dessins. Chaque message est une invitation
sexuelle en direction des routiers qui fréquentent l’aire de repos pour
leurs arrêts réglementaires mais aussi, comme la plupart d’entre-nous, pour
soulager leur vessie ou leurs intestins. En repensant à la voiture sur le
parking, je suis sûr qu’ils viennent surtout ici pour satisfaire un autre
besoin, tout aussi naturel mais un peu plus risqué. Cette inspection
effectuée, je me dirige vers la porte. L’automobiliste ne semble pas gêné ou
intéressé par ma présence. En le regardant, je ne peux m’empêcher de penser
à tous ces messages dans lesquels l’auteur recherche une bite généreuse ou
un cul accueillant. Il est presque 10h lorsque le routier descend de sa
cabine, en ferme la porte et s’avance rapidement vers les toilettes. Dans la
voiture, l’homme semble endormi. Je laisse le passage au routier pressé.
C’est un noir assez costaud qui me balance un sourire entendu en entrant
dans les toilettes. Je le lui rends. Il s’installe face à l’urinoir. Jusque
là c’est le scénario prévu. Après un court instant je m’installe près de
lui, sort mon sexe, feint d’uriner et jette un coup d’oeil à mon voisin. Ses
couilles sont hors du pantalon et sa main tient une bite flasque de plus de
20cm. L’autre main est appuyée sur le mur. Il se balance en poussant de
légers grognements. Il me regarde. Je ne me peux m’empêcher de demander en
souriant :

–  » Vous pensez que ça aide ?  »
–  » C’est toujours long le matin, et je ne veux pas partir avant de m’être
soulagé.  »

Sa main secoue le gros morceau de chair et entame un va et vient. Il me
sourit.

–  » Tu peux certainement m’aider.  »
–  » Uhm ?  »

Le sexe grossit lentement et se redresse.

–  » Il sera certainement plus coopératif si je lui donne ce qu’il demande.
Viens dans une cabine.  »

Le sexe est maintenant presque à l’horizontale. Le gland, recouvert au
trois-quarts par le prépuce, montre un bout violacé. Il prend mon poignet et
d’un signe de la tête me montre les cabines. J’acquiesce de la tête et me
dirige vers la cabine du fond. Il me suit, entre, ferme la porte avec le
verrou et m’invite à m’asseoir sur le siège des toilettes. Ce que je fais et
il s’avance vers moi. Le monstrueux engin palpitant pointe droit sur mon
visage. Je vois tout à fait ce qui va plonger dans ma gorge. La plus grosse
queue à laquelle je peux la comparer est celle du noir dont j’ai raconté les
exploits dans  » chroniques bitophiles : Les toilettes publiques – à chacun
son plaisir « . Celle-ci me paraît plus grosse. Je la prend à pleine main et
ce qui en dépasse est plus long que ma bite entière. Il enlève ma main,
prend sa queue de la main droite, à mi-longueur et la décalotte pour montrer
un beau gland rouge-violet. Impressionné je n’ose bouger. Puis je me décide,
pose mes lèvres sur le gland. Il est très doux, d’une chaleur exquise et je
le prend en bouche. La main lâche la queue, se pose sur ma nuque et tire ma
tête en avant. Le gland glisse sur ma langue puis rencontre une résistance à
l’entrée de la gorge. L’homme se retire et prenant ma tête de ses deux mains
me force à me pencher en avant. Dans cette position, ma gorge est
directement alignée avec le cylindre qui veut la pénétrer. Je suis
terriblement excité par cet homme qui prend des précautions pour m’offrir le
plus intime cadeau qu’il puisse me faire et je subis la poussée en gémissant
de plaisir. Le gland passe le point dur et reprend son volume. Il continue
sa poussée jusqu’à ce que mon front touche son corps. Mon visage s’écrase
contre son ventre, je suffoque, me débats pour me dégager et il se retire.
Je sens une nouvelle traction sur ma tête et me prépare à avaler la chose
une nouvelle fois. C’est à ce moment que Martine frappe à la porte en
demandant qu’on lui ouvre. Le noir ouvre. Martine entre et me voit le gland
dans la bouche haletant et bavant . Elle regarde le noir :

–  » Quel engin. Tu n’as pas menti. C’est une merveille  »

Elle tend la main et caresse lentement la chose et lui flatte les couilles.

–  » C’est incroyable. Enfonce la lui bien que je vois jusqu’où il peut aller
 »

Je suis si excité que j’aspire sans attendre que le noir appuie sur ma
nuque. Martine regarde le cylindre d’amour s’enfoncer et m’encourage. Encore
quelques secondes et mes lèvres touchent la toison pubienne. Je tiens la
position un court instant, hoquète et vomit littéralement le sexe. Cet
tentative nous surprend tous les trois.

–  » T’es une vraie salope, Allan. C’est mon tour, laisse moi faire  » dit
Martine en repoussant ma tête. Elle demande à l’homme de s’asseoir sur le
siège. A regret je me lève et le noir prend ma place, avançant son cul au
maximum à l’avant du siège. Martine se met face à la porte, enlève sa jupe,
écarte les jambes et se reculant, enserre les jambes de l’homme entre les
siennes. Elle s’accroupit légèrement, plaque le gland sur sa fente humide et
branle l’homme. Je me masturbe sans quitter le sexe des yeux. L’homme râle
de plaisir. Je vois le gland disparaître dans la chatte, ressortir. La main
caresse la queue du méat aux couilles puis enserre le cylindre et branle. Je
m’agenouille devant le siège et avance ma bouche grande ouverte. Martine y
introduit le sexe et le branle. Ma bouche se referme et mes lèvres suivent
les aller-retours de la main de Martine le long de la colonne, lorsque la
main est à la base du sexe le gland est entier dans ma gorge. Le noir
tremble de tous ses membres et sa respiration devient haletante. Martine se
retourne et comprend qu’il est sur le point de jouir. Elle sort la queue de
ma bouche, place le gland au contact de sa chatte et branle le membre
vigoureusement. Je pose mes lèvres humides à la base du gland et titille le
filet de la langue. Du sperme s’échappe du méat et coule sur mes lèvres. Le
noir est pris de violents spasmes et jouit. Je me branle convulsivement. Une
giclée copieuse fuse au dessus de ma tête, Martine se branle le clitoris
avec le gland gluant, je vois une autre giclée finir dans la toison de
Martine qui gémit, la bouche entrouverte et les lèvres tremblantes. Elle a
joui, elle lâche le membre et se redresse.

–  » wouaah !  »

Elle me regarde. Mon pouce et mon index forment un rond et encerclent la
base du pénis. Je remonte cet anneau le long du membre en serrant, lorsque
la peau tendue ne me permet pas d’aller plus loin, l’autre main prend le
relais. J’évacue ainsi le sperme résiduel une première fois et recommence
une deuxième fois. Martine me sourit et me tend un kleenex.

–  » ça ne te suffit pas, tu en veux encore ?  »
–  » je veux jouir en beauté. Merci.  »

J’essuie le gland avec le cleenex, pose mes lèvres entrouvertes sur le méat
et aspire la queue ramollie. Le gland passe la luette et descend dans le
pharynx. J’entame un mouvement de va-et-vient de la tête. Des bruits de
succion résonnent dans ma tête lorsque le gland sort de ma gorge. Le noir a
posé une main sur ma tête et gémit doucement. Je ferme les yeux et jouis
violemment en branlant la queue molle avec ma bouche.
Martine se réajuste en riant.

–  » Dommage que j’ai pas une bite entre les jambes, je crois que j’aimerais
ta bouche  »

Je me relève et en fais autant. Le noir est debout devant le siège et
soulage sa vessie.

Je lance un  » Merci, elle était super bonne !  » et sors des toilettes. Je
rejoins ma voiture et démarre lorsque Martine apparaît à la porte des
toilettes.

Fin

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2 réponses à Martine par Allan_1

  1. Muller dit :

    Devrait être renommé « Martine chez les lego »
    Tout est mécanique, on s’emboîte sans que ses personnages possèdent la moindre vie en dehors du sexe, ce n’est pas très bien écrit et l’auteur sait mesurer la longueur d’unz bite au centimètre près !
    Enervant

  2. Stablinski dit :

    Pourquoi pas ? Moi j’ai déjà sucé des bites, ça m’a bien plus !

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