Marie-Pierre et Agnès – Le réveillon par Melifer

Marie-Pierre et Agnès – Le réveillon
par Melifer

Agnès risquait d’être en retard, elle partit de chez elle. Il était déjà 19 heures. Le temps d’arriver chez Marie-Pierre, il serait déjà au moins 20 h 30. Un bel immeuble dans le 9e près de l’Opéra abritait son appartement, elle allait chez son amie, à Noisy-le-Sec pour fêter le réveillon du nouvel an. Cela faisait au moins dix ans qu’elle n’avait pas vu Marie-Pierre, elles étaient restées en contact par mail, plus rarement par téléphone. Cette invitation au réveillon par un mail deux semaines plus tôt fut donc une agréable surprise. Elle n’avait pas eu d’autres propositions. Etant nouvelle sur Paris, elle se faisait une joie de se faire de nouveaux amis. En plus, se disait-elle, Marie-Pierre travaillant dans le milieu de l’édition, les invités seraient sûrement des parisiens branchés. Cette soirée serait vraiment une occasion de connaître ce milieu.

Le taxi avait fait vite, Agnès arriva un peu plus tôt que prévu : il était 20 h 25. Elle sonna, une jeune femme lui ouvrit. Il y avait déjà beaucoup de monde, une grande majorité de femme, de tous les âges. Les tenues étaient plutôt décontractées, Agnès jurait un peu par sa belle robe de soirée.

Marie-Pierre, l’accueillit, elles se donnèrent les dernières nouvelles. Marie n’avait vraiment changé, toujours aussi radieuse, une belle forme, en pantalon comme au temps du lycée. Peut-être ce petit scintillement dans les yeux qu’elle n’avait pas avant.
Après les discutions de routines propre à tout apéritifs, tout le monde se mit à table. Ils étaient une bonne quinzaine. Seulement quatre hommes, visiblement homo et en couple. Au fur et à mesure des conversations à table, Agnès se rendit compte avec un certain malaise qu’ils y avaient beaucoup de lesbiennes. Marie serait-elle devenue l’une d’entre elles ? Ce monde lui était inconnu. Bien sûr elle se rappelait des petits jeux au lycée avec Marie-Pierre et Virginie, mais rien à voir, seulement des amusements sans conséquence entre jeunes filles.

Il était déjà 23 h 30, l’alcool gagnait peu à peu les esprits, Agnès rigolait de plus en plus souvent sans véritable raison. Minuit arriva, tout le monde s’embrassa…sur la bouche. L’alcool aidant, cela ne choqua pas outre mesure Agnès. Tout le monde se mis à danser, Marie Pierre dansa avec Agnès et pour rigoler commença à la chatouiller.

« Je me souviens combien tu étais chatouilleuse et toi, tu te souviens de nos petits jeux ? »
« Non…enfin oui » parvint elle à articuler entre deux fou rires.

Elles se retrouvèrent toutes les deux dans le canapé, affalées en train de se chamailler. Les mains de Marie Pierre se rapprochèrent des seins d’Agnès. Marie fit un signe à Aurélie, une amie placée derrière le canapé, qui dégrafa tout de suite le haut de la robe.

« Comme ça je vais bien pouvoir te chatouiller ! »
« Arrête t’es folle ! » rigola t-elle.

Marie dégrafa le soutien gorge mettant à nu les seins. L’alcool, les rires incessants faisaient perdre à Agnès tout sens des réalités.

« Je me souviens dès qu’on te caressait les seins tu devenais comme une poupée bien soumise, c’est encore le cas ? »
« Nan arrête » dit-elle dans un brouillard alcoolisé, ne faisant pourtant rien pour empêcher ces mains de la caresser.

Les pointes se dressaient. De l’adolescence, Marie-Pierre se souvenait des caresses, parfois un peu rudes à prodiguer aux seins d’Agnès pour qu’elle se pâme. Les tétons triturés, les seins malaxés puis caressés, Agnès ne savait plus d’où elle en était. Puis d’un coup, Marie-Pierre referma la robe et cacha rapidement le soutien-gorge sous le canapé.

« Bon on arrête de jouer, Agnès, c’est vrai que c’est tout de même indécent les seins nus. Vas donc nous chercher 3 cocktails. »

Agnès trop heureuse d’être rhabillée, sortie de cette situation honteuse mais pourtant frustrée par les caresses interrompues, obéit tout de suite et accourue vers le bar. Pendant ce temps Marie-Pierre en profita pour raconter les jeux auxquels elles s’adonnaient à l’adolescence. Elle et Virginie, une amie d’enfance, jouaient à la poupée avec Agnès. Les deux filles avaient rapidement remarqué la sensibilité mammaire de leur amie et son goût honteux pour la soumission. Ces deux « qualités » associées faisaient que dès qu’elles lui tripotaient les seins, elles pouvaient faire d’elle ce qu’elles voulaient. Agnès revint, tête baissée vers le canapé où les deux jeunes filles, Marie-Pierre et Aurélie, s’étaient installées. Elle vit dans leurs yeux un éclat vicieux qui lui fit peur. Marie-Pierre l’invita à s’installer entre elle deux et continua de raconter leurs aventures de jeunesse. En entendant les situations scabreuses qu’elle croyait oubliées, une rougeur violente monta à son visage. Elle ne pouvait se cacher d’être excitée par cette situation. Sa soumission de jeunesse était restée enfouie dans son inconscient, refoulée, elle ressortait ce soir avec une grande violence par cette situation.

Marie-Pierre expliqua à Agnès un jeu auquel elle et ses amis s’adonnaient lors de soirée de ce genre. « Oh un jeu tout à fait innocent basé sur le théâtre d’improvisation. » Agnès fut ravie de participer, échappant encore une fois, au récit gênant de Marie-Pierre et à ses conséquences « dangereuses ».
Le jeu était simple : elles allaient jouer à cinq, cinq filles. Les autres, le public, mettrait sur une feuille des rôles qu’ils auraient choisis pour chacune d’elle sans bien sûre les consulter. Après quelques minutes, le temps pour chacune de se mettre dans leur rôle respectif, elles joueraient pendant une heure environ en improvisant selon leur personnage. Le public pouvait participer légèrement à condition de ne pas couvrir un rôle.

Le public se rassembla donc pendant que les cinq : Marie-Pierre, Agnès, Aurélie, Sonia et Aude, se mirent dans une autre pièce afin de ne pas entendre le consensus sur les personnages. Après une quinzaine de minutes de délibération, les cinq futures actrices sortirent pour prendre la feuille contenant leur rôle. Marie-Pierre énonça tout haut les personnages :

– Aude serait une riche bourgeoise mariée à un homme très occupé, ne se souciant que peu d’elle. Elle recherchait le réconfort auprès de ses amies. Plutôt hautaine, imbu d’elle-même, fier de la richesse de son mari et très épicurienne.
– Sonia jouerait la nièce d’Aude en vacances chez elle. Très timide, ne connaissant rien de la vie, elle suivait sa tante partout, impressionnée par sa facilité en public.
– Aurélie jouerait une amie d’Aude. Publicitaire, célibataire, aimant faire la fête, prête à tout essayer, curieuse de tout.
– Marie-Pierre jouerait une femme un peu extravagante, artiste, passant beaucoup de temps dans son atelier à peindre et à écrire.
– Agnès serait son animal de compagnie : une petite chienne de type épagneul, très soumise à sa maîtresse qui l’emmenait partout et très bien dressée.

La scène se passerait dans la propriété de Aude. Chaque personnage arriverait l’un après l’autre, accompagnés de leur « binôme » si binôme il y avait.

Agnès resta interloquée, sans voix lorsqu’elle entendit son rôle. D’un sourire crispé elle dit y avoir un malentendu, c’était une blague. Marie lui expliqua au début que les nouvelles avaient toujours un rôle de ce genre. C’était une sorte d’intégration mais il ne fallait pas qu’elle s’inquiète, c’était juste pour rigoler. Elle lui tendit un verre de digestif pour lui donner du courage.

« T’inquiète pas je t’aiderai dans ton rôle » dit elle d’un air narquois.

Marie-Pierre expliqua qu’elle avait quelques costumes. Elles allèrent donc fouiller dans les placards pour trouver leur compte. Aude trouva une grande robe genre XVIIIe, Sonia une jupe et un chemisier classique, Aurélie une longue robe droite, Marie-Pierre une jupe en cuir et un t-shirt du même goût. Aude dit à Agnès qu’elle avait quelque chose pour elle. En effet elle avait un chien, resté à la maison et par inadvertance, par chance pour ce soir, elle avait gardé dans son sac le collier et la laisse.
Marie-Pierre vint près d’Agnès :

« Attend je vais te le mettre. »

Elle dégagea son cou en défaisant deux boutons du haut de sa robe et passa le collier autour du cou.

« Voilà tu es prêtes pour être une belle petite chienne. »

Depuis l’annonce de son rôle, Agnès était dans un état second, irréel, l’alcool aidant. Comme un automate elle se laissa faire. Elle suivi Marie-Pierre, incarnant déjà sans le savoir son rôle.

Le décor se planta. Aude et sa nièce étaient assises dans le canapé à discuter. Aurélie arriva, elles échangèrent des banalités, commencèrent à boire un verre de champagne. Puis ce fut le tour de Marie-Pierre, elle traversa la pièce avec « sa chienne ». Des gloussements se firent entendre dans l’assemblée. Encore dans le brouillard, Agnès suivait à quatre pattes, puis comme si soudain elle revenait à la réalité, constatant le public qui la fixait, elle se mit à rougir violement. Elle constatait avec honte et tremblement être le clou du spectacle.

Aude regarda avec un sourire moqueur cette nouvelle venue, Agnès du baisser la tête de honte. Malgré cela, tous ces regards, son avilissement fit monter en elle une chaleur connue. Ses forces l’abandonnaient. Pourquoi donc avait-elle accepté ce jeu ? Ca recommençait comme au temps de son adolescence.

Aude tout en continuant de la regarder avec malice :

« Oh quel gentil toutou mais il doit avoir trop chaud, il faudrait au moins lui enlever le haut ».
« Oui vous devez avoir raison, vous pouvez le faire ? »
« Avec plaisir, j’adore m’occuper des petites chiennes surtout lorsqu’elles sont si mignonnes. »

Les yeux d’Aude brillaient d’une joie malsaine.

« Attends mon toutou, on va t’enlever ça, viens me voir »

La laisse passa dans les mains de Aude qui tira dessus afin d’obliger Agnès à venir à ses pieds.

« Voilà, gentille chienne, allez fait la belle que je t’enlève ton vêtement. »

Agnès rouge de honte dû obéir. Aude dégrafa lentement le haut de la robe découvrant bouton après bouton la poitrine. Tête baissée, imaginant tout ces regards sur elle, Agnès se sentit mollir.

« Oh quelles jolies petites mamelles ! » s’extasia Aude en caressant des doigts les seins offerts.

La lourdeur du désir descendit dans ses seins dont les bouts s’allongèrent.

« On dirait qu’elle aime ça. Serait ce une petite chienne vicieuse ?»

Les doigts pinçaient légèrement les pointes, puis caressait la peau du bout des doigts pour enfin revenir pincer plus fort les bouts. Un éclair de douceur infâme se propagea dans le ventre d’Agnès. Tous ces regards, ces mains sur ses seins la laissaient dans une excitation folle.

« Mais, pourquoi se trémousse t-elle comme ça, aurait-elle envie d’un petit pipi ? »

Marie-Pierre dans un grand sourire de perversité approuva.

« Je pense qu’on devrait aller lui faire faire un tour dans le jardin »

Aurélie s’offusqua :

« Arrêtez, la pauv’ bête, il fait un froid de canard. Elle a l’air propre, tu n’as pas une bassine, Aude, elle va faire dedans, on va l’aider. »
« Oh oui tu as raison ».

Aude ramena une bassine. Agnès n’y croyait pas, c’était un rêve ou plutôt un cauchemar, ça allait s’arrêter, elle allait se réveiller. Mais une obéissance naturelle, l’impossibilité de refuser ce qu’on lui demandait l’obligea à continuer et puis personne ne s’offusquait, tout le monde avait l’air de trouver ça normal.

Aude, accompagnée des autres femmes, l’amenèrent près de la bassine et la placèrent au dessus, toujours à quatre pattes. Puis Aurélie enroula la robe au dessus du postérieur et la coinça dans la ceinture. Elle enleva la culotte et appuya sur le bas du dos d’Agnès pour qu’elle se mette accroupi au dessus de la bassine. Une chaleur épaisse, une ivresse lourde empâtait la chair d’Agnès. Tous les yeux étaient rivés sur son sexe ouvert malgré elle. Les regards fouillaient son intimité. Elle sentait l’humidité gagner son vagin.

« Allez, fait un petit pipi ! ».

Rien ne sortait, tous ces regards bloquaient sa vessie, l’empêchant de satisfaire ses maîtresses. Elle ne pouvait par contre empêcher l’excitation malsaine d’envahir tout son corps, la faisant mouiller comme jamais.

« Elle n’y arrive pas » sortit Sonia en rigolant.
« Il faudrait l’examiner voir, si elle n’a pas de problèmes. »

Cette phrase déclencha comme un éclair tiède qui s’enfonça dans son sexe. Son corps ne lui appartenait plus. Aude tira sur la laisse pour amener leur petite « chienne » près du canapé.

« Disposons-la sur le fauteuil pour l’examiner. »

Comme une poupée de chiffon, Agnès se laissa porter par les trois femmes sur le canapé : une de chaque côté, la prenant sous les genoux, la troisième la tenant sous les fesses. Elles la placèrent le cul sur le bord du canapé, les jambes de chaque côté des accoudoirs, le haut du corps vautré dans le fond. De sorte que c’était son cul, entièrement ouvert de l’anus jusqu’au vagin, qui était exposé en premier lieu. Agnès ne pouvait plus se cacher de l’attente presque douloureuse de mains sur son corps, de doigts sur son sexe, elle en tremblait.

« C’est incroyable, elle ne veut pas pisser mais qu’est ce qu’elle mouille. C’est une vraie vicieuse ta chienne, Marie-Pierre ! »

Sonia, d’un air innocent :

« Dis tata Aude, c’est quoi la mouille ? »
« Attends je vais te montrer, c’est quand les femelles sont en chaleur et qu’elles sont excitées sexuellement. »
« Regarde. »

Aude prit la main de Sonia et l’amena au bord du sexe, et lui fit toucher des doigts la mouille du vagin.

« Mais c’est tout gluant ! »
« Sens ! »
« On dirait une odeur de crevette ! »
« Goûte maintenant ! »
« Je ne pourrais jamais, c’est dégueulasse. »
« T’inquiète pas c’est naturel ».

Et Aude approcha la main de Sonia vers sa bouche et la fit goûter la mouille d’Agnès.

« C’est salé ! »

Marie-Pierre s’exclama d’un coup :

« Je sais ce qu’elle a, elle est tellement excitée qu’elle ne peut pas pisser. »
Aurélie : « Mais oui, tu as raison, il faut la soulager. »
Aude : « en plus ça va être l’occasion de montrer à ma nièce comment fonctionne le plaisir d’une femelle. »

Marie-Pierre, connaissant Agnès depuis l’adolescence, se plaça derrière le fauteuil et commença les caresses qui faisaient chavirer son amie. Elle lui caressa les seins, tordit légèrement les pointes. Agnès commença à couiner de plaisir et attendait avec impatience la suite.

« Sonia, tu vas faire exactement ce qu’on va te dire et tu vas voir ça va être drôle, on va faire jouir cette petite chienne. »
« Oh oui. » fut le petit cri de joie de la « nièce ».

Sous les injonctions de sa tante, Sonia toucha délicatement les poils d’une lèvre. Une douceur ignoble s’enfonça dans le con d’Agnès. Son sexe s’ouvrait, comme une huître molle et chaude. Une attente anxieuse, une curiosité dévorante et le besoin maladif de se faire tripoter l’envahissaient. Les doigts de Sonia mus par une curiosité perverse continuèrent leur exploration perverse. Comme on le fait pour un tissu, Sonia froissa légèrement les lèvres humides comme pour vérifier leur texture. Agnès sentit réagir sa chair, elle coulait, se liquéfiait sous le tripotage inexpérimenté.

Aurélie lui demanda de vérifier si la petite chienne était très ouverte, si son vagin avait déjà beaucoup servi. La main approcha lentement du sexe pendant que les yeux de la jeune fille scrutaient le regard du « toutou » cherchant le trouble procuré. Elle enfonça un doigt, puis deux, provoquant un hoquet de plaisir, les fit aller et venir, causant des bruits mouillés. L’assistance émit un petit rire discret.
Comme actionné par un fil invisible, Agnès tendait son sexe à la main, cherchant à assouvir son plaisir. Derrière elle, Marie-Pierre soufflait des mots graveleux dans son oreille en continuant de lui triturer les seins.

« Tu aimes ça, hein !? Petite chienne, te faire tripoter par les jeunes filles. Gardes les yeux ouverts, on veut y voir ta jouissance. »
« Tu sais ce qui la ferait partir, Sonia, ce serait de la lécher en haut de son vagin le petit bout, le clitoris. »

Sonia s’exécuta, elle lécha tendrement, le bout du clitoris sortit de sa « caverne », pointa effrontément.

« Voilà, continue et met lui un doigt dans le cul, on va voir si il a déjà servi ! »

Agnès émit un souffle dans son plaisir :

« Oh non, pas ça ! »
« Chut, un chien ne parle pas voyons, allez laisse toi faire. »

Le non était purement pour la forme car Agnès ne pouvait s’empêcher de continuer à tendre son cul aux caresses.

« J’espère qu’il est propre, au moins » dit Sonia en approchant un doigt de l’anus qui s’ouvrait, prêt à accueillir l’intrus.

De son autre main, elle continuait ses caresses : deux doigts dans le vagin, pendant que le pouce avait remplacé la langue sur le clitoris. Elle caressa d’abord doucement l’entrée de l’anus, puis récolta un peu de mouille coulant du sexe pour enfoncer, millimètre par millimètre son doigt.

Marie-Pierre pinça plus fort les mamelons. Agnès sentit un plaisir immense monter en elle, du fond de son corps, elle tremblait. Sonia approcha sa bouche du clito et reprit son action en le mordillant légèrement. La jouissance partit dans un cri. Un cri du fond de la gorge, long comme une plainte. Agnès tremblait de tout son corps, jamais elle n’avait ressenti jouissance aussi extraordinaire, aussi intégrale. Le plaisir dura plusieurs minutes dans un silence total de l’assemblée accaparée. Puis, ne pouvant supporter aucuns attouchements sur son sexe devenu ultrasensible, elle retira d’elle-même les mains de Sonia et descendit du canapé, honteuse.

« Et attends, toutou, ce n’est pas fini. »

Le rêve cauchemar continuait. Agnès sentit son cou tirer par la laisse. Aude tira vers elle la petite « chienne », la laissa sur les genoux à ses pieds. Elle caressa les cheveux d’Agnès.

« Là, c’est bien, la petite chienne a bien joui, elle est soulagée maintenant, n’est ce pas !? ».

Toutes les actrices s’étaient assises dans le canapé, fortement excitées par les évènements. Sonia, suivant son rôle, s’était placée sur une chaise à côté de sa tante.

« Maintenant, petit toutou, tu vas remercier ma nièce pour le soulagement qu’elle t’a procuré, aller, va lécher ses pieds ! »

Agnès obéit. Aude lui demanda de remonter doucement avec la langue jusqu’au creux du genou. Agnès s’enhardi, devinant où Aude voulait en venir, trouvant là aussi une occasion de se venger de la honte que Sonia lui avait fait subir.
Elle remonta de ses mains le bas de la robe afin de dégager les cuisses. Sonia protesta mais Aude lui indiqua de se laisser faire : il était normal que la chienne remercie du plaisir qu’elle avait reçu. Agnès continua de remonter, écartant les cuisses, enfouissant la tête sous la robe pour atteindre le sexe.

« On ne voit rien ! » s’exclama Aurélie.
« Sonia, dis nous ce qu’elle te fait ? »
« Oh j’ai honte…. Elle est en train de me lécher en haut des cuisses, à l’intérieur, là où c’est tout doux… Oh non… elle lèche maintenant ma culotte ! A l’endroit de mon clitoris… Ca me fait tout drôle, jamais on m’a fait ça……Ses doigts enfonce ma culotte dans mon sexe, elle va être toute mouillée ! »
« Ce n’est pas grave, va, on la lavera. »

Aude remonta complètement la robe de Sonia pour montrer à l’assistance l’action d’Agnès. La culotte était maintenant complètement enfoncée dans le vagin. On pouvait voir les lèvres dépasser de chaque côté. Agnès semblait jouer avec le sexe de Sonia, retirant par saccade la culotte emprisonnée. Puis elle plaqua la culotte trempée au sexe en tirant par le haut et gratta le clitoris à travers. Sonia soufflait, respirait difficilement. Les doigts écartèrent le tissu pour découvrir le sexe trempé. Agnès commença alors à sucer le clitoris, d’abord doucement avec de petits coups de langues, puis en le tétant comme un bébé avec le sein de sa mère. Le corps de Sonia s’arqua, elle jouit quasi-silencieusement. Juste un souffle indiquant son plaisir.

La pièce s’arrêta, tout le monde applaudit. Agnès cru sortir d’un long sommeil agité. Elle se rhabilla rapidement, arracha le collier et couru vers la porte d’entrée. Marie-Pierre la rattrapa.

« Le prends pas comme ça, ce n’était qu’un jeu et puis tu as pris ton pieds non ? Promets-moi que tu n’es pas fâchée et que tu reviendras ! »

Agnès souffla un « oui » en baissant la tête. Elle savait déjà que ce n’était que le début de ces parties de plaisir.

Melifer
Melifer1976@hotmail.com

Cet épisode à eu l’honneur d’être nommé Prix spécial lesbos pour 2006

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2 réponses à Marie-Pierre et Agnès – Le réveillon par Melifer

  1. Agnes dit :

    Ben non, cette Agnès n’est pas moi… mais ça aurait pu !

  2. Janis dit :

    Un bon petit récit goudou

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