Ma vie de cocu 1ère expérience par Roxy01

Marie, 42 ans et moi, Julien, 47 ans, sommes mariés depuis vingt ans. Après dix ans de vie commune, nous avons décidé ensemble de vivre mon fantasme. Nous avons donc passé une annonce dans une revue spécialisée:

Homme soumis offre son épouse à homme dominateur.

Nous rencontrons l’heureux élu dans un parc pour faire connaissance. Le courant passe bien avec Michel. Nous nous mettons d’accord sur nos désirs respectifs et fixons le jour à ce samedi, 21 heures chez nous.
Le jour J, mon épouse est adorable, vêtue d’un body de dentelle dont la transparence ne cache rien de sa poitrine ferme et d’une mini jupe :

– « A voir tes yeux, tu me parais impatiente de le rencontrer, lui dis-je.
– Oui, je suis toute excitée; j’espère que toi aussi, et surtout que tu ne te dégonfleras pas, que tu joueras ton rôle à fond.
– Je vais assurer, c’est promis. »

Michel arrive à l’heure précise. Nous l’accueillons dans le salon éclairé faiblement d’une lumière tamisée; Face à Marie, il admire ses jambes et ses cuisses découvertes par une jupe trop courte, remontée très haut en position assise :

– « Tu as vraiment un corps admirable, tu me fais un effet fou !
– Merci, lui répond-t-elle. Julien, si tu nous servais un verre.
– Oui, mais avant, nous allons lancer la soirée, intervient Michel; Julien, déshabilles-toi! »

Je me lève et quitte ma chemise, puis mon pantalon et mon slip; Ainsi nu, je montre à mon invité et à ma femme un sexe bien levé qui en dit long sur mon état.

– Maintenant, déshabille ta petite femme. »

Elle se lève, je m’avance vers elle, fais glisser sa jupe le long de ses jambes, lui retire; je déboutonne le body au niveau de l’entrejambes; je dénude ensuite ses épaules, ses seins, son ventre et enfin son sexe rasé. Tout en contemplant Marie, Michel se déshabille à son tour, exhibant une verge en érection d’un beau calibre.

– « Ne poses pas le body, enfiles-le, la jupe également, avec ton physique de gonzesse, ça devrait t’aller très bien. »

En effet, je suis fin, menu, pas plus lourd ni plus grand que mon épouse. Je revêts donc les vêtements de mon épouse sans problème; c’est avec beaucoup d’émotion que je me retrouve travesti pour la première fois de ma vie. Chaussé des escarpins à talons, je pars à la cuisine, d’une démarche mal assurée, chercher un digestif. Lorsque je reviens avec mon plateau, Michel et Marie sont assis sur le canapé, occupés à se caresser mutuellement; à leur demande, je leur passe un slow. Puis je leur sers un verre d’alcool, pendant qu’ils se lèvent et dansent; je les regarde: ils sont serrés, corps à corps, la poitrine de Marie contre celle de son amant; il lui caresse les fesses, ils s’embrassent longuement…Le slow terminé, ils reprennent place dans le canapé, et sirotent leur boisson. Michel me dit :

– « Comment te sens-tu avec ces vêtements ?
– Bien, dis-je
– Ce soir, tu es Julie d’accord ?
– D’accord.
– Que ressens-tu en voyant ta femme dans mes bras ?
– Une pointe de jalousie mêlée d’une sensation extrême.
– Et toi Marie, tu es bien en ma compagnie ?
– Sincèrement, oui; j’ai eu un peu d’appréhension avant ton arrivée. Maintenant, je suis à l’aise, comblée par tes caresses. J’aime ton corps.
– Tu veux bien passer toute la nuit avec moi?
– Pourquoi pas; Julie, tu dormiras dans la chambre voisine, d’accord? »

Me faire appeler Julie par mon épouse me bouleversa; j’acceptais de leur laisser le lit conjugal. A leur demande, j’allumais les bougies d’un chandelier, éteignais la lumière, et les conduisais à la chambre. Je me tenais droit au pied du lit, les éclairant de la faible lueur. Je les regardais, allongés, enlacés, s’embrassant et se caressant. Puis Michel me dit :

– « Tu vas aller te coucher, mais avant, viens nous sucer, puis tu regarderas comment un homme comble une femme. »

Je posais le chandelier sur la table de nuit; je suçais longuement Marie puis Michel, avant de les regarder faire l‘amour. Ma femme se livrait sans retenue; elle laissait échapper des cris de plaisir sous les coups de boutoir de Michel. Je leur souhaitais bonne nuit, et regagnais ma chambre d’un soir. Une fois seul, je me déshabillais; la porte ouverte, j’écoutais les ébats du couple interdit qui se prolongeaient dans l‘intimité; ivre de douleur et de plaisir, je me masturbais et jouissais…

Vous pouvez me contacter à : sr34@wanadoo.fr

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