Quand le phantasme devient réalité par YoungSlave06

A 18 on a la tête pleine de phantasmes en tout genre. On se masturbe en y pensant, on en rêve, on passe des soirées à y penser en les alimentant par quelques films ou photos trouvé sur Internet, mais surtout, on ne les garde que pour soit. C’est mon cas. J’ai un phantasme, un seul depuis des années déjà. Une histoire de sexe qui me fait jouir, à laquelle je pense, mais je n’en parle jamais à personne. Ceci est le récit d’un phantasme que je cherche aujourd’hui à assouvir, malgré une certaine peur toujours présente et qui me freine quelque peu lorsque je décide de me jeter à l’eau.

Je l’avais rencontré sur Internet. Le type de site sur lequel cela c’était fait n’avait que peu d’importance. Pendant quelques semaines nous correspondions par mail. Je n’avais encore jamais eu de relations avec un homme, et pourtant j’en rêvais depuis des années. Malheureusement la peur de l’inconnu nous empêche bien souvent de franchir le pas. On se demande si ça va nous plaire, sera-t-on déçu ou bien encore, mais que ce passera-t-il si ça me plait ? Bien des questions qui forment une barrière. Mais un jour j’avais décidé de me lancer, car je ne pouvais plus me satisfaire de me masturber en y pensant et en m’imaginant ce que ça donnerait. Je ne me suis pas jeté à l’eau tout seul, il était avec moi, il m’a mis en confiance, il savait désormais exactement ce que j’attendais de cette première fois, et il était capable de me l’offrir.

Je suis un jeune homme soumis, et je cherchais un homme dominateur qui ne me laisserais pas mon mot à dire et à qui j’obéirai sans poser de questions. Tout en respectant mes limites bien évidement. Je voulais être attaché, les yeux bandés, exposé dans des positions humiliantes qui ne cacheraient rien de ma plus profonde intimité. Je voulais qu’un homme s’asseye sur mon visage, je voulais qu’il me caresse l’anus et le pénètre. Je voulais me soumettre et obéir, mais je ne voulais pas voir son visage, uniquement son corps et son sexe. Je voulais l’entendre m’insulter et le voir me cracher dessus. Je voulais lui lécher les pieds. Mais pardessus tout, je voulais que son sexe et son anus sentent fort.

Je n’ai pas été déçu, il avait tout retenu de mes phantasmes les plus inavouables et il me combla.

Dans les mails qu’on s’échangeait il me posait des questions, demandait des photos de moi dans différents exercices qu’il m’ordonnait de faire, il voulait voir quelles étaient mes limites et si j’étais motivé. Il m’avait envoyé une photo de lui et de l’endroit dans lequel il me recevrait. Sa corpulence et son âge avaient très peu d’importance, tout ce que je souhaitais c’était qu’il soit expérimenté et qu’il soit sûr de correspondre au profil de « maître » que je recherchais. Apparemment tout correspondait. Dans son dernier mail il me proposa une date et une heure et il m’averti qu’une fois le seuil de sa porte franchi tout se passera comme dans mes rêves et que si je désirais arrêter je devrais dire un mot de passe, car « stop » ou « arrête » il ne le prendrais pas en considération. Le mot de passe était « jaune ». J’étais désormais fixé et en confiance, je n’avais qu’une hâte : que ce jour arrive. Je m’arrangeais avec mon entourage pour ne pas qu’on essaye de me joindre en leur sortant un mensonge pour être tranquille de la journée.

Le jour fatidique arrivé, je me rendis chez lui comme prévu. J’arrivais devant sa porte, elle était entrouverte. Je respirais un grand coup et je la poussais. J’entrais dans l’appartement et après avoir fait quelques pas, la porte se referma derrière moi et une voix me dit :

– « ne te retourne pas et fais ce que je te dirais ».

Bien évidement je m’exécutais. Cela m’avait un peu surpris mais pour l’instant ça commençait très bien. Pendant quelques secondes je sentais qu’il m’observait. Il me dit alors d’une voix ferme :

– « Déshabille toi ».

Je commençais doucement à retirer ma veste, puis mon t-shirt, mes chaussures, mes chaussettes, mon jean et arrivé au caleçon je m’arrêtais. Il est vrai que je ne m’étais jamais retrouvé nu devant un homme. Il mit alors sa main sur mes fesses, les serra, les écarta un peu et insista :

– « Je t’ai dis de te déshabiller ».

J’enlevais mon caleçon sans plus attendre. Il posa sa main dans le bas de mon dos et commença à faire le tour. Sa main passait tout autour de ma taille. Il se mit ensuite devant moi, il portait un masque noir, je ne le voyais pas, et tant mieux car ça me met encore plus en confiance. Il portait des vêtements sombres et était plutôt « bien portant ». A son physique on voyait que c’était un « bon vivant », il était un peu plus grand que moi. Il attrape ensuite mon sexe et retira lentement sa main tout en le serrant. Il repassa une nouvelle fois derrière moi et passa un doigt dans la raie de mes fesses. Ça y est, j’y étais, j’étais fier de moi mais en même temps je craignais ce qui allait arriver, mais cette même crainte m’excitait terriblement. Je commençais à avoir une érection et il le remarqua. Il rigola timidement puis me passe un collier au cou avec une chaîne assez lourde. Après quelques secondes de silence j’entendis sa voix à nouveau :

– « allez, tu vas te mettre gentiment à quatre pattes et tu vas me suivre ».

Il se mit à tirer sa chaîne vers le bas se qui me fit me mettre à quatre pattes puis il marcha devant moi en me tirant. Je n’osais pas le regarder, j’avais les yeux rivés par terre. Il me tira ainsi sur quelques mètres puis il s’assit sur un canapé en continuant à tirer pour que ma tête arrive entre ses cuisses. Il remarqua que je fixais avec envie son entrejambes et me dit :

– « ne t’inquiètes pas, tu le verras et tu y goûteras pendant quelques heures, ne soit pas pressé, et en tout cas c’est moi qui décide. Enlève mes chaussures tout doucement. »

Lentement je défis ses lacets, et lui enlevais ses chaussures. Il sentait plutôt fort des pieds mais à ma grande surprise c’était tout sauf désagréable. Mon érection ne réduisait pas. Je me mis à enlever ses chaussettes mais il m’attrapa par le menton pour que je le fixe et me demanda :

– « est ce que je t’ais autorisé à le faire ? Non, je t’ai juste demandé d’enlever mes chaussures, alors tu obéis et tu ne prends aucune liberté. ».

Il faut avouer que j’étais assez surpris et je baissais le regard. Pour punition il m’ordonna de me retourner, en restant à quatre pattes et de lui présenter mes fesses. Je le fis immédiatement. Il me gifla une dizaine de fois de chaque côté puis m’ordonna de me retourner. Une fois que j’étais de nouveau face à lui il me demandant de coller mon visage à ses pieds et de respirer. Je prenais du plaisir à le faire et il le savait. Après une ou deux minutes passées à humer l’odeur de ses pieds il m’ordonna enfin d’enlever ses chaussettes. Et il ajouta : « doucement ». Une fois que j’eu exécuté la tâche il commença à me caresser la visage avec ses pieds. Avec ses orteils il pinçait mes lèvres et mon nez. Presque en chuchotant il me dit alors :

– « et maintenant tu vas gentiment me sucer les orteils, un par un, puis tu feras le reste du pieds avec beaucoup de salive pour bien les laver ».

J’hésitais un peu mais j’ouvris enfin la bouche et j’introduis ses orteils un par un, en jouant avec ma langue. Après avoir fini les orteils des deux pieds, je tirais ma langue et il appuya son pieds dessus en descendant puis en montant. Je mettais de plus de salive possible comme il me l’avait demandé. Une fois ses pieds recouverts de ma salive il m’ordonne de les essuyer avec mes mains. Je ne me fis pas attendre et je séchais ses pieds. Il me caressa les cheveux, comme on caresse un chien, en me disant :

– « bon chien, c’est bien, tu auras droit à une surprise tout à l’heure. Mais pour l’instant tu va te retourner que je vois un peu ton derrière de salope »

Comme précédemment, je fis demi-tour pour me retrouver les fesses face à lui. Il passa ses pieds entre mes cuisses pour m’obliger à écarter un peu les jambes. Un fois qu’il avait une vue totale et sans retenue sur le seul endroit de mon corps que personne n’avais encore jamais vu, mon anus, il commença à me caresser les testicules avec son pieds, puis il monta et fit allez retour, de haut en bas, en passant sur mon anus. Je crus sur l’instant que je ne me retiendrais pas plus longtemps et que j’allais jouir. Je posais alors ma main sur mon sexe pour me caresser mais il me mit une grande claque sur les fesses. Sans dire un mot il repris ce qu’il avait entrepris, et cette fois il appuya avec son gros orteil sur mon petit trou. Il appuyait de plus en plus fort mais celui-ci était sec et surtout encore vierge. Il tira ensuite sur la chaîne pour que je lève ma tête et que je me cambre. Il réussi son coup, je poussais ma tête en arrière et je levais mes fesses en l’air. Pendant quelques secondes il tirait par intermittences sur la chaîne, mais sans me toucher, il voulait voir jusqu’où j’irais. Et bien, j’ai tenu, et ça n’avait fais que renforcer mon érection. Il lâche subitement la chaîne. Pendant quelques instants je n’entendais que ça respiration et quelques bruits venant de l’extérieur. Après une minute environ passée dans le silence il retira sur la chaîne mais de côté cette fois-ci pour que je revienne face vers lui, entre ses cuisses.

– « Alors petite merde, ça t’a plu ? Tu aimes ce que te fais ton maître ? Tu en veux encore plus ? »

Et moi de répondre :

– « Oui maître j’aime ce que vous me faites, ça me plait énormément et j’en veux encore plus, merci maître ».

Il était étonné que je lui réponde ainsi, apparemment il s’attendait à ce que je ne réponde pas correctement.

– « Tu es un bon esclave, je crois qu’on va vraiment s’amuser, tu as le droit à une récompense parce que tu as bien répondu, tu vas enfin voir le joujou qui te fera prendre ton pieds pendant quelques heures »
– « Merci maître ».

Il s’aperçu alors qu’un des volet était entrouvert et il se leva en m’ordonnant de ne pas bouger, pour aller le fermer. Il faisait désormais encore plus sombre. Il s’installa à nouveau sur le canapé et me dit :

– « Tu vas maintenant caresser mon sexe avec ton visage par-dessus mon pantalon, pendant 30 secondes, et une fois que ce temps sera passé tu ouvrira ma braguette. ».

Je m’approchais doucement de son sexe et je me mis à frotter mon visage comme celui-ci, apparemment il ne bandait pas, mais moi je prenais mon pied. Je fis cela pendant 30 secondes comme il m’avait été ordonné. Puis je posais ma main à côté de sa braguette et doucement je l’ouvris. Je m’aperçu alors qu’il n’avait rien en dessous et ma rencontre avec son sexe était imminente. Je l’avais tellement rêvé, et ces rêves m’avait fait jouir tant de fois, j’eu du mal à croire qu’enfin c’était la réalité. Il m’ordonna alors de passer ma main dans son pantalon et de caresser doucement son sexe, mais sans le masturber et surtout sans oublier ses couilles. Une fois encore j’hésitais, et cette fois un peu plus longtemps. Il me gifla.

– « Tu as entendu ce que je viens de dire ? Alors exécute, et plus vite que ça. ».

Je fus plus que surpris mais je glissais ma main doucement dans son pantalon et les doigts se mirent à frôler son sexe. Il était doux et je me rendis compte qu’il se rasait soigneusement le pubis. Je descendis doucement pour toucher ses couilles, et je les caressais du mieux que je pouvais. Ca y est, il bandait peu à peu. Son pénis de plus en plus dur glissa hors de son pantalon en poursuivant son ascension. Je l’avais juste en face de moi, à quelques centimètres de mon visage. Je pouvais déjà sentir une forte odeur et ça m’excitait terriblement. Je l’observais, tout en continuant mes caresses. Il attrapa ensuite ma main et la tira de son pantalon, puis la posa à côté de son sexe.

– « Rapproche ton visage, viens plus près de lui, sens le, tu vas aimer » me dit-il.

Je fis ce qu’il me disait et je caressais désormais son pénis avec mon nez, en passant sur toute la longueur, je le frôlais également de temps en temps avec mes lèvres. J’étais réellement dans un état d’excitation extrême. Au bout de plusieurs minutes il poussa ma tête assez brutalement puis se leva. Son sexe était toujours à l’extérieur de son pantalon et j’avais là une vue magnifique. Il déboutonna son pantalon puis laissa tomber celui-ci. Je passais ma langue sur mes lèvres et je n’avais qu’une envie, prendre son pénis dans ma bouche. Malheureusement j’allais encore attendre. Il passa à côté de moi, attrapa la chaîne et se mit à tirer.

– « Bien évidement tu restes à quatre pattes » me dit-il sans même regarder.

Je le suivais docilement et cette fois-ci j’observais ses fesses en me demandant quand est ce que je pourrais enfin profiter de toute son intimité. Il ouvrit une porte puis entra dans une chambre avec un grand lit. Il m’ordonna alors de me mettre à quatre pattes sur le lit. Je grimpais alors sur celui-ci et je lui offris à nouveau mon anus. Il s’approcha et commença par frotter son sexe contre mon petit trou. J’eu peur un instant qu’il ne me pénètre de suite mais avant que je n’ose lui posait la question il me dit :

– « Ne crois pas que je te ferais le plaisir de te sodomiser maintenant, tu vas encore attendre. ».

Rassuré mais frustré je me laissais aller. Son pénis qui reprenait de la taille passait doucement sur mon anus, puis descendait pour me caresser les couilles. Il commença également à me caresser avec ses doigts. J’étais aux anges, je me laisser faire en tortillant un peu des fesses, comme une chienne. Je sentis qu’il se mit à sourire puis se retira quand il remarqua que mon plaisir prenait de l’ampleur.

– « Maintenant tu vas t’asseoir sur le bord du lit et je vais t’attacher les mains derrière le dos. ».

Il le fit, et je me retrouvais désormais les poings liés, assis au bord de son grand lit. Il se dressa à nouveau devant moi, attrapa ma tête par derrière et la tira vers lui. Ma bouche approchait de son pénis et il me dit d’ouvrir la bouche. Mon cœur n’avait jamais battu aussi fort et mon sexe était plus dur que jamais. J’ouvris la bouche, je tirais ma langue et il colla son pénis contre celle-ci. Je me mit à le lécher, de haut en bas, de long en large, en passant sur ses couilles. J’étais en train de faire ma première fellation et je prenais beaucoup de plaisir, lui aussi apparemment. J’ouvris ensuite grand ma bouche pour accueillir sa bite. C’était chaud et doux, et ça avait un goût quelque peu âcre, c’était normal puisque son sexe était un peu sale comme je l’avais rêvé. Mais cette fois ce n’était pas un rêve, j’étais vraiment entrain de tailler ma première pipe. Je le suçais du mieux que je pouvais, en alternant les mouvements et en jouant avec ma langue. Cela a duré quelques minutes puis je sentis son sexe frémir, et il se retira violement. Il resta plusieurs secondes à 50 centimètres de mon visage et moi je me léchais les lèvres pour ne pas perdre le goût. Je fixais son pénis et j’avais envie de continuer, lui il voulait passer à autre chose et me dis :

– « Alors ma petite suceuse, cette première fois ? Je vois que tu as aimé. C’était ta récompense, celle que je t’avais promis. Tu suces plutôt pas mal pour une première fois. On va passer à autre chose maintenant. Je vais m’asseoir sur la chaise au fond de la pièce et toi tu vas t’allonger sur le lit, sur le dos, en relevant tes jambes pour écarter tes fesses et tu vas orienter ton anus vers moi, ensuite je t’ordonnerais quoi faire. »

Il me détacha les mains et alla s’asseoir sur sa chaise. Il faisait noir et je ne le voyais pratiquement pas. Une fois mon maître installé confortablement au fond de la pièce, je me mis en position. Je n’osais pas lever la tête pour le regarder. J’entendis simplement :

– « Tu vas rester comme ça et tu vas te pisser sur la visage ».

Heureusement on s’était mis d’accord que je devrais boire beaucoup d’eau avant de venir et j’avais donc envie de pisser. En me tenant derrière les genoux je regardais mon sexe qui avait un peu ramollit. Je me mis alors à pisser, sur mon torse, puis au fur et à mesure que je pissais, plus le jet était fort, je m’en pris sur le visage.

– « Ouvre la bouche » m’ordonna-t-il.

Je le fis et je recevais désormais ma propre pisse dans ma bouche. Puis le jet se mit à faiblir et je lâchais mes dernières goûtes sur mon ventre. J’avais le cul grand ouvert, je me pissais dessus, et un étranger me regardait faire, quoi de plus excitant que ça ?! Une fois que j’avais fini, je baissais mes jambes et je me mis à me caresser le torse pour étaler ce qu’il restait de mon urine tout en léchant le contour de ma bouche pour recueillir les dernières goûtes qui restaient. Je levais doucement ma tête et je l’aperçu entrain de se masturber ardemment.

– « Vous êtes satisfait maître ? » lui demandais-je, mais la réponse ne fût pas celle escomptée :
– « Ta gueule, tu ne poses pas de questions toi, tu réponds et tu obéis, c’est tout. Reste allongé. »

Il se leva et s’approcha du lit. Il s’accroupit ensuite au dessus mon visage de sorte à ce que ses couilles reposent sur ma bouche et mon nez soit à 2 ou 3 centimètres de son anus. L’odeur était encore plus forte que pour son pénis, mais là encore j’étais terriblement excité.

« Tu ne bouges pas, tu as juste le droit de me lécher les couilles et de respirer la bonne odeur de mon trou du cul ».

Ma langue se mit alors immédiatement à jouer avec ses couilles et je respirais de plus en plus fort son odeur. Au bout de quelques temps je m’y étais habitué et l’odeur me paraissait beaucoup moins forte qu’au début. Il appuya alors son anus contre mon nez, et m’ordonna de continuer à lécher ses couilles. Je le fis, même si j’avais un peu de mal à respirer. J’avais l’impression que mon nez pénétrait doucement son trou, c’était très agréable. Il posa ses mains sur mon ventre pour prendre appui puis frotta son anus et ses couilles sur mon visage. Je me laissais faire et je ne pensais plus qu’à jouir. Ensuite, il se leva, me regarda puis descendit du lit. Il continuait à me regarder en se caressant le sexe. Je n’osais pas lui rendre ses regards, il m’intimidait.

– « Maintenant tu vas gentiment te mettre à quatre pattes sur le lit, petite chienne. »

Je le fis sans attendre. Il sorti alors de la pièce et revint avec des cordes. Il m’attache les mains aux coins supérieurs du lit, et je fus obligé de poser ma tête sur celui-ci. J’avais les fesses en l’air et il m’écarté les jambes. Il me demanda alors :

– « Tu aimes prendre des douches de pisse ? Tu veux que ton maître te pisse dessus ? »,
– « Oui maître, j’aime prendre des douches de pisse et je veux que vous me pissiez dessus. ».

Il se mit à genoux derrière moi et je sentis un jet chaud couler sur mon anus, les gouttes descendaient doucement sur mes couilles et il me pissa sur le dos, en m’aspergeant sur tout le corps. C’était chaud et bon. Je léchais les gouttes qui parvenaient jusqu’à mon visage avec délice. Une fois qu’il eut fini, il passa son doigt entre la raie de mes fesses et me caressa l’anus, puis se mit à appuyer dessus, de plus en plus fort, jusqu’à que son doigt ne commence à rentrer. Il le fit doucement au départ puis de plus en plus rapidement au fur et à mesure que mon cul se dilatait. Il introduisit un deuxième doigt puis un troisième. Après quelques va-et-vient, il retira ses doigts et m’ordonna de les lécher. Ce que je fis sur le champ. Puis, il alla ouvrir un placard au fond de la pièce, pris un plug, enfila dessus une capote et il revient vers moi. Doucement il le frotta à mon trou, puis il commença à le faire entrer. Non sans mal mais il y arriva, j’aimais ça, je tortillais mes fesses. Le plug rentra en entier. Je m’attendais à des va-et-vient mais non, il le laissa dans mon cul puis vint me détacher les mains. Il m’ordonna de me remettre en position sur le bord du lit pour le sucer. Cette fois, son sexe avait vraiment un goût de pisse mais c’était bon. Je le suçais et je gardais dans mon cul son plug. La sensation était bizarre mais terriblement excitante. Je lui bouffais littéralement le sexe. Je ne voulais pas m’arrêter. Au bout d’un certains temps, il me gifla, retira son sexe, me mit une autre gifle et me dit :

– « Allez, maintenant je vais te dépuceler ton petit cul, je vais t’enculer comme un sauvage et toi tu me remercieras pendant tout le temps que je ferais ça. »
– « Oui maître »
– « Remets toi à quatre pattes salopes, offre moi ton cul »

Je me remis immédiatement à quatre pattes sur le lit et je commençais un peu à angoisser. Je voulais utiliser le mot de passe mais avant que je n’aie eu le temps de dire quoique ce soit, il commença à retirer le plug. Doucement, puis finalement celui-ci sorti tout seul. La sensation était terriblement étrange, mais c’était délicieux. Un peu d’air sorti de mon cul, et finalement il se referma mais en étant toujours très souple et près à accueillir enfin une vraie queue. Il enfila une capote et commença à me pénétrer. Il n’eut aucun mal et son sexe entra comme dans du beurre. Je lâchais un petit cri de plaisir et tout en faisant des va-et-vient de plus en plus rapide, il me giflait les fesses. Il allait vite, j’avais le cul en feu et je sentais ses couilles taper contre les miennes. Puis il ralenti. Il sorti de mon cul, puis entra à nouveau et comme ça plusieurs fois. J’avais vraiment l’air d’une chienne en chaleur, j’en voulais encore plus, toujours plus. Il reprit son rythme de départ et après quelques minutes je sentis son sexe frémir et il se retira subitement.

– « Allonges toi sur le dos, tu vas recevoir le plus cadeau qu’un maître puisse t’offrir. »

Je m’exécutais et il s’installa sur mon torse en serrant ma tête entre ses genoux. Il se pinçait les tétons et se mit à se masturber, de plus en plus vite, puis il me demanda de lécher le bout de son gland, ce que je fit, et d’un coup, un grand jet vint se poser sur mon visage, par-dessus mon front, mon oeil droit et mon nez, jusqu’à mes lèvres. Un deuxième fit de même. Je l’entendis respirer très rapidement et son rythme de masturbation était de plus en plus faible. Il essorait désormais les dernières goûtes de son sperme sur mon visage. Mon je tirais ma langue pour attraper le reste de sa semence sur son gland. Il me mit alors son sexe dans la bouche et m’ordonna de la nettoyer. Comme convenu je n’avalais pas, mais j’avais quand même bien nettoyé sa bite dont l’érection faiblissait. Il se retira et me dit :

– « Très bien, t’es une bonne chienne, ton maître est satisfait et maintenant tu vas étaler mon sperme sur ton visage et je vais te regarder jouir. »

Je me mis alors à me masturber, en me touchant l’anus comme à mon habitude. La jouissance ne se fit pas attendre, plusieurs longs jets se posèrent sur mon ventre et je me tortillais en entier de plaisir. Il se mit à sourire, m’ordonna de me lever, ce que je fis, et m’indiqua la salle de bain et me disant qu’il m’attendrait dans le salon. J’allais prendre une douche, je n’étais pas encore redescendu de mon petit nuage et j’avais l’impression d’avoir la tête dans du coton. Je fini ma douche et le rejoignis dans le salon. Il était assis, entrain de fumer une cigarette, toujours à moitié à poil et il me dit :

– « Allez mets toi à genoux, j’ai encore quelques trucs à te dire. »

Je me mis à genoux près de lui. Il posa sa main sur ma tête et me dit :

– « Pour une première fois, tu t’en es bien sorti, j’accepte de poursuivre ton éducation si ça te dis, et si tu décides de revenir on passera au niveau supérieur. Dans l’avenir tu pourrais être amené à me servir de chienne dans des soirées entre copains, tu pourras aussi devenir mon vide couille et mon esclave attitré. Je te ferais découvrir l’esclavage sexuel, le vrai et tu goûteras au plaisir de la scato et des partouzes. Réponds moi par oui ou non, mais quelque soit ta réponse tu quitteras cet appartement sans rien dire d’autre. Si tu acceptes je te contacterais dans quelques jours. Alors ? »

Il faut avouer que j’avais très envie de dire oui, surtout pour les partouzes et la scato, et puis aussi pour être enfin l’esclave sexuel d’un maître hard et dominateur.

– « Oui maître, je veux. »

Et je me levais sans rien dire d’autre, je quittais sans appartement et rejoignis ma voiture.

Ceci était le récit de mon plus grand phantasme, si vous avez aimé et si vous désirez m’aider à le réaliser, devenir mon maître, n’hésitez pas à me contacter à cette adresse : steph_the_steph@yahoo.fr

Je pourrais alors vous expliquer en détails la situation et je pourrais peut être devenir votre esclave.

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2 réponses à Quand le phantasme devient réalité par YoungSlave06

  1. Diri dindire dit :

    J’aurais bien aimé être à la place de ce soumis

  2. Bertrane_TV dit :

    C’est vraiment excellent, ça m’a beaucoup excité de lire ça. Il est juste dommage que l’auteur ne se soit pas lâché davantage sur la scato

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