Le printemps 1 – Marie par Lovelace


Le printemps
1 – Marie
par Lovelace

Cet épisode est la suite des sagas précédemment publiées : Une sortie en mer, Retour à la terre, l’Entrée de l’hiver et Nouvelle année

Une longue hibernation a suivi les festivités de la St Sylvestre. Le printemps revient et, avec lui, son lot de bouillonnements, de transformations et de nouveautés, à l’image de ce qu’offre la nature.

Avec lui, les premiers beaux jours, très appréciés, après la rigueur exceptionnelle de l’hiver qui vient de s’achever.

Notre température intérieure aussi, s’élève. La circulation sanguine s’accélère et avec elle nos motivations sexuelles. Non pas que nous ayons cessé de faire l’amour Alice et moi, mais nous avons à nouveau envie d’échanges multiples. Nous avons beau utiliser nos jouets, ils ne remplacent pas des êtres à qui l’on peut donner et dont on peut recevoir des sensations, des émotions, du plaisir !

Nous devisons de tout cela, dans la salle de musculation tout en suant sur nos instruments de torture !

Nous admirons respectivement nos corps nus, luisants de sueur, nous nous trouvons sensuels, désirables, nous sommes beaux !

Il faut dire que nous ne lésinons pas sur les moyens. Une heure par jour d’exercices physiques, a modelé nos corps à la perfection (ou presque) ! Pas besoin d’avoir recours à la chirurgie esthétique, ou presque !

Presque, parce que, pour faire plaisir à Alice (et c’est le cas de le dire), je me suis fait agrandir le sexe, cet hiver. Les femmes disent bien que la taille n’a pas d’importance, n’empêche que toutes celles que je connais les préfèrent taille L voire XL plutôt que M !

Le chirurgien, qui m’a été conseillé par Viviane, s’est vraiment bien appliqué. Mon sexe a gagné plus de 3,5 centimètres en longueur et autant en circonférence, ça en fait une bonne matraque !

Alice en est ravie, elle n’a jamais autant pris son pied ! Elle qui aime être bien remplie, elle est servie.

Et puis un autre avantage de cette transformation, c’est que même si je bande mou, ce qui m’arrive parfois, ma queue est «utilisable».

– Ça te dirais qu’on fasse un truc à plusieurs, me demande-t-elle. Il y a longtemps qu’on ne s’est pas partagés.
– Cinq mois !
– Justement ! Je ne sais pas si c’est dû au printemps, mais j’ai des fourmillements dans le bas des reins !
– Qui veux-tu que nous invitions ?
– Je ne sais pas. J’aimerai bien du nouveau. Je me demandais si notre voisine….
– Tu rigoles ! Cette bourge me semble bien coincée ! Et grenouille de bénitier en plus !
– J’en suis pas si sûre. Avant hier, j’étais dans le jardin et j’ai cru l’entendre gémir. Je sais qu’elle était seule, donc soit elle se masturbait, soit elle se faisait entreprendre par Sucre !
– Soit tu as mal entendu.
– C’est possible, mais je n’y crois pas. J’essaierai bien d’en avoir le cœur net. Après tout qu’est-ce qu’on risque ? Qu’elle m’envoie balader en me traitant de tous les noms ? De toute façon nous n’avons aucune relation avec eux, ça ne pourra pas être pire.
– Et comment comptes-tu t’y prendre ?
– Je ne sais pas encore. Je vais sonner chez elle et j’aviserai.

Alice mettra son plan à exécution, dès le mardi suivant.

Elle profite que Monsieur est en déplacement, en fait, il ne rentre qu’en fin de semaine et repars le mardi matin et, que les enfants sont au collège.

Une belle femme, proche de la quarantaine d’années, lui ouvre la porte. Au premier regard, elle semble avenante, grande bouche aux dents blanches bien alignées éclairant son visage souriant. Un nez droit et fin, des yeux gris foncés surlignés par de longs sourcils fins et encadrés par de petites pattes d’oie révélant son âge moyen. La dame est soignée, bien maquillée, les cheveux longs noués en queue de cheval.

Elle est vêtue d’une courte robe rouge qui révèle deux longues jambes fines. Les pieds chaussés de petits talons noirs. Tenue surprenante pour une grenouille de bénitier !

La robe met en valeur les hanches rondes, comme les fesses du reste et une poitrine généreuse, un peu lourde, visiblement libre sous la robe, surprise là aussi.

– Bonjour lance Alice, enjouée. Je suis votre voisine. Cela fait bientôt deux ans que nous nous croisons sans avoir pris le temps de faire connaissance. Je me disais qu’il était grand temps de réparer cette lacune, si vous le souhaitez, bien sûr.
– C’est vrai, nous somme négligents et timides de surcroît. Mais entrez, je vous en prie.

Elle guide Alice vers le séjour et l’invite à s’asseoir dans un fauteuil.

– Puis-je vous offrir un café, ou une boisson ?
– Un café me ferait plaisir, merci.
– Je reviens vite, mettez-vous à l’aise.

Arrive Sucre, remuant du train arrière pour montrer sa joie, comme s’il profitait de l’absence de sa maîtresse pour venir tenir compagnie à son invitée. Il semble reconnaître Alice et lui lèche d’emblée la main qui se tend pour le caresser. Alice ne résiste pas et profite que son hôtesse soit à la cuisine pour écarter les cuisses et se faire renifler le sexe. Sucre en profite pour mettre quelques coups de langue sur la vulve humide, ce qui a pour effet d’électriser Alice. Entendant des pas sur le carrelage, cette dernière se rassied correctement, ajustant sa robe, juste à temps !

– Sucre, couché ! S’écrie sa maîtresse revenant en portant les tasses et la cafetière sur un plateau.
– Laissez, laissez ! Ce n’est pas grave ; j’aime bien les animaux, surtout les gros chiens – quel mensonge ! Elle aurait tout aussi bien pu dire : «ne le grondez pas, je le connais bien depuis qu’il m’a fait jouir, l’année dernière» ! – et le votre est particulièrement beau !
– Il est vite envahissant, vous savez. Très gentil, mais collant. Au fait, nous ne nous sommes même pas échangés nos noms ; moi c’est Marie et vous ?
– Alice, répond-elle en prenant la tasse tendue par son hôtesse qui s’assied face à elle dans le fauteuil en vis à vis. Se faisant, sa robe remonte légèrement. Alice, le regard vif (et vicieux) entrevoit que Marie ne porte pas non plus de culotte. C’est prometteur, songe-t-elle.

Au cours de la demi-heure qui suit, la conversation porte sur tout et rien, le temps, les enfants de Marie, le boulot de ces messieurs les époux. Le tutoiement se met en place naturellement et la conversation devient plus personnelle, leurs occupations, la mode, les régimes de saison, les signes astrologiques, les lectures préférées. Des sourires polis elles passent aux éclats de rires francs, une certaine copinerie se met en place. Il faut dire qu’Alice est très sociable et douée pour attirer la sympathie.

– Tu ne t’embêtes pas à rester seule ici ?
– Dès fois, oui, mais je m’échappe souvent et je traine en ville.
– Tu aimes faire les boutiques ?
– Pas tant que ça, je chine surtout. Les boutiques je les fais surtout au printemps, lorsqu’on a envie de mettre des tenues plus légères et là, je complexe et j’ai du mal à trouver des vêtements qui ne m’obligent pas à exposer mes formes trop en valeur et la mode actuelle ne m’y aide pas vraiment.
– Qu’est-ce qu’elles ont tes formes ? Tu es une belle femme !
– Merci, tu es sympa. Seulement depuis mes accouchements rapprochés, je me suis épaissie et j’ai pris du volume !
– Tu veux rire ! Tu es resplendissante. En tout cas moi j’aime !
– J’aurai aimé faire comme toi. Les mômes, c’est pas trop mon truc finalement. Mais j’ai choisi un mec qui voulait une tribu catho pratiquant en plus !
– Pas toi ?
– Non, enfin sans plus, je joue le jeu, j’ai pas trop le choix ! Et pour les enfants, je dois t’avouer que j’ai triché ; je ne l’ai jamais confessé, mais après l’accouchement des jumeaux, j’ai pris la pilule et j’ai fait croire à Jean-Paul, mon mari, que le moule était cassé !

Éclats de rire des deux femmes.

– N’empêche, pour en revenir à toi, je ne comprends pas que tu te dévalorises physiquement !
– C’est très gentil, mais tu crois ça parce que ma robe m’avantage.
– Je ne crois pas non. Lèves-toi que je te regarde mieux.

Marie s’extrait du fauteuil et se donne une contenance en tournant sur elle-même.

– Alors, tu vois bien ! C’est pas terrible, hein ?
– Décidément, je ne vois rien de «pas terrible», comme tu dis. Enlèves donc ta robe, comme ça j’en aurai le cœur net !
– Tout de même ! Je ne vais pas me mettre nue devant toi !
– Pourquoi pas ? On est entre femmes, non ? C’est comme un essayage dans une boutique de fringues, ou bien comme si on était à la plage !
– Non, c’est pas vraiment pareil ! Et puis à la plage je mets un maillot une pièce.
– Hé bien ! Là tu auras un maillot deux pièces ! !
– Pas vraiment, en fait !
– T’es à poil sous ta robe ? Ne t’inquiètes pas, des femmes j’en ai vu d’autres et pas que nues !
– Justement ! C’est vraiment gênant, je n’ai jamais fait ça.
– Allons, arrête de te faire prier. Pour une fois dans ta vie, laisses toi aller !

À bout d’arguments, Marie accepte de retirer sa robe. Elle défait le zip dans son dos et dévoile ses épaules, ses seins et, enfin, son ventre avant que la robe ne finisse par tomber en tas à ses pieds.

Alice observe qu’elle a effectivement les seins relativement lourds, mais pas tombants, le ventre rond, la taille un peu épaisse. Elle se lève fait le tour de cette femme plantureuse, admire ses fesses qui auraient besoin d’être remusclées. À part ça, elle est vraiment belle. Alice ne peut résister à l’envie de la toucher. Elle passe une main sur les épaules, descend le long du dos jusqu’à une fesse pendant que l’autre enveloppe un sein.

Marie frémit et se dégage de cette caresse.

– Non, je t’en prie, c’est vraiment gênant.
– Détends-toi, laisses-moi faire. Tu as une jolie peau et très douce aussi. Tu es sensuelle, attirante.

Marie tremble, émue, elle est électrisée de la tête aux pieds par les douces caresses qu’Alice recommence à lui prodiguer. Cette dernière approche une main de la toison recouvrant le pubis, passe ses doigts dedans et son majeur atteint le bouton surmontant la vulve. Marie sursaute.

– Ho, non ! Pas ça ! Mon dieu qu’est-ce que tu fais ?
– Tu m’attires, tu m’excites !
– Arrêtes ! Je ne suis pas lesbienne !
– Tu n’aimes pas ?
– Mon Dieu, c’est affreux, mais si, j’aime bien ce que tu me fais !
– Alors laisses-toi faire, si c’est bon.

Marie rejette la tête en arrière, ferme les yeux et se laisse aller au plaisir de cette caresse, contre nature pour elle. Alice la contourne et, face à elle la prend dans ses bras et l’embrasse tendrement sur la bouche.

– Tu me troubles, mais qu’est-ce qui m’arrive ! J’ai jamais fait ça !
– Il n’est jamais trop tard pour découvrir le plaisir ! Défait ma robe.

Marie obéit et la robe se retrouve aux pieds d’Alice qui immédiatement se love contre elle, les deux femmes sont peau contre peau. Alice en experte, reprend ses caresses, Marie vibre sous ses doigts, se pâme, en a les jambes coupées. Alice la guide et la fait s’asseoir au bord du fauteuil, s’agenouille devant elle, lui écarte les jambes et approche la bouche de son sexe. D’abord de légers baisers du bout des lèvres, puis elle rajoute des petits coups de langue et, sentant que Marie est prête à l’accueillir, elle gobe le clitoris et lui prodigue un cunnilingus qui emmène rapidement son hôtesse au nirvana. Le plaisir submerge Marie ; son orgasme est violent, tout son corps tremble d’une décharge puissante. Une minute après, elle en frémit encore.

– Ho, là, là ! ! Mais qu’ai-je fait ? C’est terrible, c’est honteux !
– Honteux ? Tu as pris ton pied, non ? C’est ça que tu trouves honteux ?
– Mais je viens de tromper mon mari et avec une femme en plus ! Tu ne te rends pas compte ! Et d’un autre côté, je me sens coupable car j’ai pris un plaisir immense. Je n’avais jamais eu d’orgasme jusqu’à aujourd’hui !
– Comment est-ce possible ? Tu n’avais jamais jouit ?
– Non, je t’assure. En fait, j’ai connu mon mari à dix neuf ans, j’étais vierge, on s’est mariés un an après. Je n’ai connu que lui. À vingt deux ans j’étais enceinte des jumeaux et depuis je ne me suis occupée que d’eux. Quant à Jean-Paul, il me fait l’amour le vendredi soir et le samedi. Il s’allonge sur moi et me besogne trois ou quatre minutes, le temps d’éjaculer et voilà, normal, quoi !
– Normal ? Jamais il ne t’a fait ce que je viens de faire ? Tu ne l’as jamais touché ?
– Ben, non ! Pour lui l’accouplement sert à procréer, le plaisir est un péché.
– Pour toi, mais apparemment pas pour lui ! Sinon il ne te ferait plus l’amour, puisque tu ne peux plus avoir d’enfants !
– Exact. Mais je n’ai jamais abordé le sujet avec lui, il n’aurait pas compris et puis je n’ai jamais osé le faire, non plus !
– Hé, bien ! Je crois que j’ai bien fait de venir sonner à ta porte !
– Je ne sais pas. Cela dit tu m’as fait du bien et je suis curieuse d’en savoir plus. Mais je ne pourrai pas, je crois, vivre longtemps dans le mensonge ; alors, que faire ?
– Mais tu vis déjà dans le mensonge.
– Comment ça ?
– Tout ce que tu viens de me dire, tout ce que tu caches à ton mari et puis, tu te mens à toi même. Tu sais que le plaisir existe, mais tu fais semblant de ne pas vouloir le connaitre.
– Oui, tu as certainement raison.
– La vie est trop courte pour s’emmerder. Ça fait dix sept ans que tu te prives pour un mec qui ne pense qu’à lui.
– Je ne me prive pas de tout. La preuve, je m’occupe quand même de mon aspect.
– Pour lui faire plaisir, pour qu’il soit fier d’arborer une belle femme à son bras !
– Oui, c’est pas faux !
– C’est le Macho égoïste par excellence, ton mec ! Tu n’as qu’à te refuser à lui pour voir ! Prétextes que tu as tes règles, ça lui fera les pieds !
– Ça c’est déjà produit, en vrai. Dans ce cas il me retourne et me prend par derrière.
– Tu confirmes ce que je disais ! Lui a droit au plaisir, pas toi ! Et il te prend comme ça, tout de go ?
– Non, il s’enduit le sexe de gel avant.
– Bien sûr ! Toi la douleur, lui le plaisir ! Moi qui suis une adepte de la sodomie, je t’assure que tu peux prendre un super pied par là. Mais ça ne se fait pas comme ça, pas à la hussarde, surtout quand l’autre n’est pas motivé !

Alice s’est rapprochée de Marie tout en discutant et recommence à la caresser. Marie s’enhardit et aventure ses mains sur le corps d’Alice. Elles s’enlacent, s’embrassent et finissent tête bêche dans un soixante neuf endiablé. Un nouvel orgasme vient terrasser Marie, accompagnée par Alice qui cède aussi, malgré la maladresse des caresses de Marie.

– Mon Dieu ! Mon Dieu ! Quelle honte ! Voilà que je deviens lesbienne ! S’écrie Marie en se rasseyant dans son fauteuil.
– Mais non ! C’est pas parce qu’on se donne du plaisir entre femmes qu’on est lesbienne. Regardes moi. Je te donne du plaisir, mais j’adore mon mari et je ne pourrai pas m’en passer ! Il est grand temps de faire ton éducation ! Et puis tu vas également t’occuper de ton corps. Tu viendras à la maison tous les matins. On a une salle de musculation, tu vas remodeler ton corps. Tu verras, après tu te sentiras mieux. Et pour ce qui est du plaisir avec un homme, pourquoi ne pas utiliser ton Au Pair ?
– Michaël ? Tu n’y penses pas ! Un amant et chez moi en plus !
– Pourquoi pas ? Tu crois que ton mari se prive, lui ? Tu es bien naïve !
– Mais tout de même ! Je ne peux pas le tromper !
– C’est pas le tromper, c’est prendre enfin ton pied ! Tu verras, je vais t’apprendre.

Marie regarde l’heure, se lève et enfile sa robe.

– Les enfants ne vont pas tarder à rentrer, maintenant. En tout cas je suis heureuse d’avoir fait ta connaissance. Tu m’as ouvert les yeux sur beaucoup de choses et j’ai hâte de continuer.
– Il n’y a pas que les yeux que je t’ouvre ! Allez, on se voit demain matin à la maison, d’accord ?
– D’accord, avec plaisir !

Les deux femmes se quittent en s’embrassant affectueusement et Alice rentre à la maison le cœur joyeux et le sourire aux lèvres, pas mécontente de débaucher sa cul bénit de voisine !

Le soir, elle me raconte en détail son après-midi voluptueux mais qui l’a laissée sur sa faim. Je me fais un plaisir de la rassasier.

Soulevant sa robe, je la soulève en la prenant par les fesses et la dépose dans un fauteuil. Je m’agenouille et lui lèche le con, humide d’envie. J’aspire les lèvres entre les miennes, glisse ma langue dans sa vulve, remonte jusqu’au clitoris saillant que je gobe et lèche. Maintenant, elle mouille franchement et relève les jambes largement écartées, afin de me faciliter la tâche. J’en profite pour descendre le long du périnée et lui titille la rondelle. Ma langue s’insère en une mini pénétration anale. Elle commence à gémir sous mes caresses buccales et, sentant son plaisir monter, je l’accentue jusqu’à l’orgasme en me polarisant sur son clitoris. Ce petit intermède m’excite assez et j’ai une assez bonne érection, suffisante pour la prendre. Un large sourire de satisfaction barre son visage lorsque ma queue pénètre la grotte trempée. Elle me plaque à elle en me prenant par les fesses. Je la besogne avec de longs aller retours, les nouvelles proportions de mon vit me le permettent, maintenant. La sentant proche de la jouissance, j’accélère mes mouvements et elle explose en m’enserrant dans ses jambes.

– Hooo ! Ouiiiii ! Qu’est-ce que c’était bon ! Prends moi derrière, maintenant, mets moi ta grosse queue dans le cul !

– Tes désirs sont des ordres !

Je me retire, lui lèche le petit plissé pour bien l’humecter et présente mon gland devant l’entrée étroite. Elle pousse pour s’ouvrir et j’entre lentement et délicatement.

– Allez, vas-y, entre, prends moi bien à fond ! Me demande-t-elle impatiente.

Ne voulant pas la contrarier, je m’enfonce de toute la longueur de ma verge ; mes couilles battent sur ses fesses dans un claquement mouillé. Je m’active, ressors complètement pour admirer la dilatation entre à nouveau. Le jeu dure plusieurs minutes et tout en allongeant mes mouvements d’avant en arrière, je lui caresse les seins jusqu’à lui faire atteindre un nouvel orgasme.

Je sors, ma queue est légèrement souillée, mais qu’à cela ne tienne, elle s’assied, la prend en bouche et me suce tout en me branlant.

– Viens ! Donnes moi tout, vides-toi les couilles ! M’exhorte-t-elle.

Obéissant, je me laisse aller et éjacule dans sa bouche. La gourmande avale jusqu’à la dernière goutte, le jus qui s’écoule.

– Houaouu ! Ça fait du bien !

– Tu l’as dit ! J’en avais vraiment envie, après les zakouskis de cet après-midi !

Nous terminons cette journée en fumant une dernière cigarette, prenons une douche et allons sagement nous coucher, le corps et l’esprit délassés !

A suivre

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