Le printemps 2 – Marie (suite) par Lovelace

Le printemps
2 – Marie (suite)
par Lovelace

Ce matin, je me réveille, comme tous les matins en semaine, du reste, à 6h30. Ma première tâche est de filer sous la douche. Un peu narcissique, je m’admire un peu dans la glace en passant devant. Je n’arrive pas à m’habituer à voir mon nouveau sexe, surtout le matin après l’érection de fin de nuit : une vraie bite de noir !

Bref, je me lave, m’habille et descend boire mon café et préparer le petit déjeuner de ma chérie. Je suis surpris de la voir descendre à 7h30.

– Déjà levée ? Tu es tombée du lit, ce matin !
– Je voulais être prête tôt, aujourd’hui. Je donne mon premier cours de musculation, au cas où tu l’aurais oublié.
– Non, non ! Je n’ai pas oublié et du reste si je le pouvais, j’y aurai bien assisté.
– Tu parles ! C’est surtout pour découvrir notre voisine, oui, que tu aimerais rester !
– Évidemment ! Bon enfin, tu me raconteras ?
– Bien sûr et avec tous les détails ! Allez, va bosser, cochon ! Elle s’approche de moi, m’embrasse en me pelotant l’entre-jambes. Hummm ! J’adore ton gros paquet ! Vivement ce soir !

A neuf heures et demie, Alice ouvre la porte à sa nouvelle amie qui s’est vêtue d’un jogging.

– Bonjour, Marie. Bienvenue chez nous. Entre, veux-tu un café pour commencer ?
– Bonjour, Alice. Oui, je veux bien une tasse avant de souffrir, répond-elle en riant.
– Tu ne crois pas si bien dire. Les premières fois, les muscles qui ont perdu l’habitude de travailler sont douloureux quelques jours. Mais quelques massages avec un décontractant musculaire en suppriment une bonne partie.
– Je te fais confiance. En tout cas, je dois t’avouer que ce que tu m’as fait subir hier ne m’a pas fait mal, au contraire !
– C’était fait pour ! Et comment va le jeune Michael ?
– Ho, bien ! Hier soir, repensant à notre discussion, j’avais du mal à le regarder comme d’habitude ! J’espère qu’il ne s’est aperçu de rien !
– Pourquoi ? Tu le mangeais des yeux ?
– Presque ! En tout cas j’en avais l’impression.
– Ne brûles pas les étapes non plus, il te faut apprendre, d’abord.
– A trente huit ans, il serait temps !
– Il n’est jamais trop tard, pour bien faire. Allez viens. En attendant, tu vas te défouler sur la fonte et l’acier.

Alice guide son invitée jusqu’à la salle de torture.

– Hé, bien ! Vous êtes sacrément bien installés tous les deux ! Quelle baraque !
– La votre n’est pas mal non plus !
– Oui, mais là, tout de même : Piscine, sauna, SPA, salle de musculation…
– Notre vie est toute orientée autour de notre bien être. Tu vois là-bas, il y a aussi un potager où nous cultivons nos légumes bio.
– Super ! Ça, c’est un truc qu’il me démange de faire depuis un moment ; tu me donnes envie de m’y atteler sérieusement.
– Oui, d’autant que remuer la terre, ça vaut une bonne séance là dessus, s’exclame Alice en montrant les engins de la salle. En attendant, au taf, madame ! Mets-toi en tenue.
– Pourquoi, comme ça ce n’est pas bien ?
– Pour aller courir dans les bois, sûrement ! Mais, pour soulever de la fonte, tu risques d’être mal à l’aise. Fais comme moi, mets-toi à poil !
– Décidément, tu ne fais rien à moitié, toi ! Enfin, si tu y tiens.

La séance se déroule gentiment, mais sans concessions et, au bout d’une heure, elles sont totalement en sueur.

– Un petit sauna va nous faire du bien, mais d’abord une douche tiède.

Alice lui tend un drap de bain et règle la température du sauna.

– Si tu veux, propose Alice une fois qu’elles sont allongées sur le banc de la cabine, on se fera remuer les chairs dans le SPA.

– Avec plaisir ! Je veux tout essayer ! C’est tellement bon de s’occuper de soi !
– Hà, hà ! Tu y prends goût, hein ?
– Oui et je n’ai aucun mal à trouver ça bien.

Alice s’approche d’elle et la caresse doucement.

– Tu veux qu’on refasse comme hier ?
– J’en ai rêvé une bonne partie de la nuit, c’est dingue. J’en ai une envie folle !
– Assieds-toi, écartes les jambes.

Alice lui embrasse le sexe, mâchouille les lèvres fines, descend jusqu’à l’œillet et remonte lui gober le clitoris. Marie frémit sous cette caresse buccale, lui prend la tête à deux mains et l’attire vers elle pour l’embrasser goulûment. Elle se lâche, la Marie ! Maintenant elles se caressent les seins, les bras, les fesses, tout ce qui leur arrive à portée de main. L’intensité augmente avec l’excitation ; elles se mettent tête bêche et s’appliquent mutuellement un cunnilingus qui les fait jouir presque simultanément.

Elles sortent du sauna, prennent une douche froide et filent se plonger dans le SPA.

– Fais-toi masser partout sur le corps par les bouillonnements, tu vas voir ça fait un bien fou !
– Le sauna m’a déjà fait beaucoup de bien, répond Marie avec un sourire espiègle.
– Et bien, tu peux recommencer avec les bulles. Place ta chatte au dessus d’une buse, tu vas voir !
– Hooo ! Tu as raison, c’est excitant !
– À propos de chatte, ça ne te gêne pas cette grosse touffe ?
– Je ne m’étais jamais posé la question avant de voir la tienne, toute épilée. Mais que dirait Jean-Paul si je faisais comme toi ?
– Tu n’as qu’à garder un petit triangle, histoire de dire qu’il t’en reste.
– Je vais faire ça. Je voulais te demander un truc, intime.
– Demande !
– La taille de ton clitoris me surprend. C’est normal qu’il soit si gros ?
– Il a grossit avec la pratique très assidue de la muscu !
– Tu veux dire que le mien aussi va grossir ?
– Si tu en fais autant que j’ai pu en faire, oui !
– En tout cas, je le trouve très beau, tout ton corps du reste, est beau !
– Je te remercie.
– Haaaaaaaa ! Ouiiiiiii !

Marie tout en discutant est restée sur la buse et vient de se faire jouir. Alice éclate de rire, vite rejointe par Marie.

– Ouuufff ! C’est énorme ce truc, je recommencerai !
– Bien sûr et tu pourras aussi le tester sur ta petite entrée, tu verras c’est super aussi. Dit Alice en sortant de l’eau et s’enveloppant dans le drap de bain.

Marie l’imite, puis se rhabille.

– Il va falloir que je te quitte, les enfants ne vont pas tarder à rentrer avec Michael. On est mercredi !
– Déjà, c’est vrai. Écoutes, si tu es libre dans l’après-midi ou dans la soirée du reste, reviens donc.
– Promis, je reviens dès que je peux, en plus, j’en meure d’envie !

Les deux femmes s’enlacent et s’embrassent sur cette dernière promesse. Au dernier moment, Alice se ravise.

– Marie, attends ! Tu paies Michael pour s’occuper de tes gosses, viens donc prendre l’apéro ce soir, je te présenterai Bernard.
– C’est que je ne voudrai pas vous déranger et puis, j’ai peur d’être gênée vu ce que l’on a fait toutes les deux !
– Pour ça ne t’inquiètes pas, il est déjà au courant !
– Hein, mais tu es folle, pour quoi je vais passer, moi maintenant ?
– Pour une femme qui découvre avec bonheur qu’elle a un corps et qui s’en sert ! Et tu verras, il est charmant.
– J’en doute pas, mais je sens que je vais être mal à l’aise.
– Tu verras que non, au contraire. Allez, ne te fais pas prier !
– Bon d’accord, à tout à l’heure.

Le reste de la journée se passe. Alice en prévision de la soirée, se prépare et cherche dans la malle quelques jouets qui pourraient être utilisés si l’occasion se présente. Elle tombe sur l’œuf vibrant et ne résiste pas à se l’enfiler afin de faire monter la tension et se mettre dans un état d’excitation latent.

J’arrive sur le coup des 19 heures. Alice me prévient que nous recevrons Marie à l’apéritif.

– On fait ça en semaine maintenant ?
– Pas le choix, son mari rentre le vendredi soir.
– Bon je vais me mettre à l’aise et j’arrive.

Je monte me prendre une douche, j’enfile un kimono et je redescends au moment où notre voisine arrive.

Alice fait les présentations et nous nous dirigeons vers le salon. Elle est bien telle qu’Alice me l’a décrite, c’est une belle femme. Elle porte une robe noire, sobre et bien coupée et des escarpins de même couleur. Un collier de deux rangs de perles orne son cou et un bracelet identique complète la parure.

Elle s’assied élégamment dans le fauteuil que lui propose Alice, je m’assied dans le canapé face à elle après avoir fait le service.

– Je suis content de faire enfin votre connaissance, dis-je. Heureusement qu’Alice a fait la démarche sinon, dans cinq ans, nous ne nous serions pas encore rencontrés, tant je suis ours et négligent !
– Je crois que de notre côté, nous ne sommes pas mieux !
– De plus, vous avez fait connaissance de la plus belle des façons, d’après ce que m’en a dit Alice.

J’ai décidé de rentrer tout de suite dans le vif du sujet, je ne vois pas l’utilité de tourner autour du pot et de se faire des ronds de jambes !

Marie devient rouge pivoine. Elle était relativement tendue, là, elle ne sait plus où se mettre ! Alice tente de lui venir en aide :

– Ne sois pas gênée, je t’ai dit qu’il était au courant ; on va pas se faire de manières, tout de même !
– Je sais mais ça surprend ! Lance Marie après une grande respiration et affichant un sourire franc.
– Marie m’a fait prendre un super pied ce matin après la muscu. Et je crois qu’il en était de même pour elle.
– C’est vrai, j’ai honte de le dire, mais je me suis bien éclatée.
– Quel dommage que vous ayez un mauvais mari !
– Ho, je ne dirai pas qu’il est mauvais mari, mais mauvais amant, c’est certain ! Enfin je le crois vu que je n’ai eu que lui, je n’ai pas de point de comparaison.
– Dans la mesure où tu n’as jamais eu de plaisir avec, tu peux affirmer que c’est un mauvais amant ! Intervient Alice.
– Vous aimeriez avoir une expérience réussie avec un homme ?
– Depuis hier, oui ! Alice m’a ouvert les yeux.

Je pose mon verre et m’approche d’elle, je commence par lui caresser les cheveux, puis la nuque, les épaules, les bras. Elle a la chair de poule et ronronne comme une chatte. Je remonte ma caresse au niveau des épaules et redescend sous les aisselles pour lui prendre les seins à pleines mains. Elle se cambre en jetant la tête en arrière. Elle aime se faire tripoter les seins la cochonne. Je la contourne et l’embrasse, d’abord dans le cou, puis après lui avoir mordillé le lobe de l’oreille, reviens vers la bouche que j’enveloppe de mes lèvres. La belle se laisse totalement faire. Alice me rejoint et nous la soulevons pour lui retirer sa robe. La cochonne avait tout prévu elle est totalement nue dessous.

– Hooo ! Joli ! S’exclame Alice admirant le sexe en grande partie épilé.
– Je voulais vous faire honneur et je pensais que ça comptait pour vous.
– Tout à fait et nous y sommes sensibles.

Nous la réinstallons dans le fauteuil et je m’applique à la caresser sur tout le corps tant avec les mains que la bouche, m’attardant à lécher les tétons durcis, le nombril, alors que mes mains se promènent sur ses hanches et ses cuisses. Je lui écarte les genoux glisse ma tête entre ses cuisses et lui lèche la vulve de haut en bas et de bas en haut, m’attardant à aspirer les petites lèvres et le clitoris. Je prends mon temps, elle souffle, elle gémit, se contorsionne, je la sens prête à exploser.

– Hooooo ! Ouiiiiii ! Ce que c’est bon ! Haaaaa ! J’aime ça ! Mon dieu !

Alors, pour ne pas la faire souffrir, j’accentue mon léchage sur le clitoris et la voilà qui part dans un orgasme dément, elle serre les cuisses violemment sur ma tête et je me prends une double gifle de cuisses ! Mes mains restant libres, je lui pétris les seins tout en lui pinçant doucement les tétons entre le pouce et l’index. Son corps est parcouru de secousses comme si elle était branchée sur le courant. Enfin, elle se relâche et j’en profite pour lécher le foutre qui suinte à l’entrée de la vulve. Elle a bon goût !

– Houaa ! C’était terrible j’ai pris un super pied !
– T’emballes pas, lui dis-je, ce n’était qu’une mise en bouche !

Alice en a profité pour se déshabiller. Elle s’assoit à côté d’elle.

– Alors, c’est comment des caresses d’homme ?
– C’est génial, tu as de la chance Alice. Pourquoi n’en ai-je pas un comme ça à la maison ?
– Et encore, tu n’as rien vu ! Tu vas apprendre à découvrir un homme maintenant. Chéri tu peux retirer ton Kimono ?
– Bien sûr, avec plaisir.
– Regarde, Marie, prends le temps d’admirer un homme nu.

Je me déshabille lentement, d’abord la veste, Marie est ravie. Je défais le lacet du pantalon me retourne et le laisse choir.

– Quelles belles fesses ! S’exclame Marie.

Je me retourne et offre à sa vue mon sexe glabre.

– Ho, mon Dieu ! Il est énorme !
– Non ! Il n’est même pas en érection !
– Déjà que j’ai mal quand Jean-Paul me prend, alors celui-ci qui est deux fois plus gros j’imagine même pas !
– Non, tu n’imagines pas comme tu vas aimer et sans douleur en plus ! Approche que je lui apprenne à s’en occuper.

Je me campe devant elles. Alice lui demande de saisir ma queue d’une main, la laisse palper, découvrir ce morceau de chair dont le gland est encore enveloppé. Elle le soupèse et caresse les couilles. Puis, obéissant à Alice elle ouvre la bouche et y place mon sexe. Au début je sens ses dents, mais en bonne élève, elle écoute les conseils d’Alice et la caresse devient douce. Elle la ressort et tire la peau vers mon pubis ce qui bien sûr découvre le gland épais et rouge foncé. Je commence à bien bander. Elle me lèche le méat, fait le tour de la couronne avec la langue, titille le frein et enfin gobe ce qu’elle peut de ma queue, bien raide maintenant. Elle en est toute excitée, comme un gosse découvrant ses cadeaux au pied du sapin de noël !

Alice pendant qu’elle lui prodigue ses conseils, vérifie la lubrification de sa chatte. Ce n’est pas une fontaine, mais elle est largement assez mouillée. Elle la pénètre avec deux puis trois doigts. Je lui soulève les jambes, les écarte largement et appuyant mes genoux sur le bord du fauteuil, je présente le gland à l’entrée du sexe offert. Je pousse lentement, sans efforts et enfile mes vingt centimètres de chair dans le con gourmand.

– Hooooo ! Il est gros ! Tu as raison, c’est bon !

Je commence à m’activer en elle, d’abord lentement avec des mouvements amples, puis, au fur et à mesure que s’accentuent ses gémissements, j’accélère. Alice n’est pas en reste et lui caresse les seins, et le ventre. Le plaisir la submerge au bout d’un moment. Je suis chaud bouillant, il faut que je me détende sinon je vais tout lâcher. Heureusement dans un long feulement elle jouit enfin. Je me retire et admire le con élargit.

– Ho, là, là ! J’ai jamais connu ça. Que c’est bon !

Elle a les yeux humides et un sourire béat éclaire son visage.

– Alors, tu vois ! Et remarque aussi, que ce n’est pas une question de taille !
– C’est vrai, j’adore, j’en veux encore !

Je m’allonge sur le tapis, la bite en l’air.

– Allez, viens t’empaler ! À toi de jouer maintenant.

Elle ne se le fait pas dire deux fois. La voilà qui me chevauche et part dans un galop effréné jusqu’à m’arroser la queue de son foutre qui commence à être plus abondant.

– Regardes, lui dit Alice. Tu l’as tout mouillé. Lèche le bien jusqu’à ce qu’il n’y ait plus une goutte de foutre.

Elle me lèche la hampe, le gland, me gobe les couilles et se relève enfin, ravie de cette expérience nouvelle.

– Vous êtes géniaux tous les deux, vous me faites découvrir la vie !
– Tu considères toujours que c’est pécher d’avoir du plaisir en faisant l’amour ?
– Ha, non ! Pas vraiment ! Et je n’irai pas confesser quoi que ce soit à ce sujet !
– En attendant, moi je débande et j’ai encore rien donné !
– On va s’occuper de toi tout de suite, mon chéri, mais d’abord j’aimerai finir cette première initiation de Marie. Il y a une forme de relation qu’elle a mal vécue, parce que douloureuse et je voudrai qu’elle apprenne que c’est aussi une grande source de plaisir.
– Tu veux parler de la sodomie ?
– Oui
– Non, non, c’est pas possible, ton mari a un trop gros sexe !
– Tu disais la même chose pour ta chatte, tout à l’heure.
– Oui, mais c’est pas pareil, un sexe se dilate, lui.
– Un cul aussi, ma chère ! On va te préparer. Mets-toi à genoux contre le fauteuil.

Marie obtempère, un peu inquiète tout de même. Alice commence par lui lécher l’anus, puis pénètre la rondelle avec sa langue en prenant soin de bien l’humecter. Marie se tortille et pousse des petits couinements, signe qu’elle prend du plaisir à cette caresse buccale. Puis elle s’enduit les doigts de gel qu’elle étale d’abord largement autour, puis à l’intérieur en insérant un doigt. Marie se raidit sous cette pénétration.

– Détends-toi, laisse toi faire, je te promets que tu n’auras pas mal.
– OK, mais tout de même, c’est sale !
– Il n’y a rien de sale en amour, je t’apprendrai ça plus tard. Par contre il y a des tabous qu’il faut briser.

Pour ma part, je m’assied à côté de sa tête.

– Branles-moi et suces-moi, que je reprenne vigueur !

Alice a passé deux doigts qu’elle agite pour détendre l’entrée plissée, puis un troisième, le passage est prêt. Je me lève et me met en position. Alice m’enduit le gland de salive et le place devant l’œillet.

– Pousse comme si tu voulais faire tes besoins, maintenant !

Marie s’exécute, le passage s’ouvre et mon gland est absorbé délicieusement. Alice me pousse en avant et je rentre délicatement jusqu’à mi-verge.

– Haaaaa ! C’est fort ! Hou, là, là !
– Tu as mal ?
– Non, mais c’est énorme ! J’ai peur.
– Laisses-toi aller, relâches tous tes muscles et concentres-toi sur la sensation.

Je prolonge ma pénétration, ressors presque entièrement et entre à nouveau, lents et longs aller-retours.

– Huummm ! Ouiii ! J’aime bien le sentir coulisser. Finalement c’est agréable !
– Tu vois ! Qu’est-ce que je disais ?
– Tu as raison, c’est vraiment bon ! Ho, ne t’arrêtes pas, vas-y, ça me fait du bien !

Puisqu’elle me le demande ! J’accentue l’intensité, puis ressors totalement, son cul est bien ouvert. Je rentre et sors plusieurs fois pour lui caresser le bord avec le gland qui a, comme d’habitude, pris des proportions beaucoup plus importantes. Alice accentue le phénomène en compressant la base de ma verge entre ses doigts. L’anus de Marie est totalement ouvert, maintenant, béant au point qu’on pourrait presque y glisser une deuxième queue !

– Ho, mon Dieu ! C’est bon ! Viens plus fort, je sens que ça vient !
– J’arrive, ma grande !
– Oui, vas-y ! À fond ! Plus vite ! Plus vite ! Ouiiiiiiiiii !

Je ressors ma queue congestionnée, le gland démesuré. Surprise, je ne suis pas souillé ! Alice gobe ma verge, la suce goulûment et demande à Marie de se retourner pour me finir.

– Allez, Marie branles-le vite, ses couilles remontent, il va jouir !
– Oui, vas-y, t’arrêtes pas ! Branles à deux mains !

Marie empoigne ma queue à deux mains et s’active, sans trop serrer jusqu’à ce que je parte. Je lui éclabousse le visage de deux gros jets, le reste de mon sperme s’écoule sur son poignet !

– Lèches et dis-moi si tu aimes ! Demande Alice.
– C’est salé et un peu âcre ! Mais pas désagréable !

Alice se penche sur son visage et la nettoie, récupère le sperme dans sa bouche et l’embrasse pour le lui donner.

Après quelques instants, nous retrouvons une position plus convenante, assis dans nos fauteuils.

– Vous savez quoi ? Je suis heureuse ! Vous me faites découvrir tellement de bonnes choses !
– Tu verras, c’est loin d’être fini ! Mais je suis contente que tu aies aimé et que tu aies découvert que le coït c’est du plaisir ! Veux-tu rester dîner avec nous, vu l’heure qu’il est ?
– Non c’est gentil, une autre fois, peut-être.
– Tu peux revenir quand tu veux.
– Certainement, pour une autre leçon. S’exclame-t-elle, enjouée.

Nous nous quittons pour ce soir, les filles se donnent rendez-vous pour le lendemain matin, pour la séance de musculation !

Nous dînons puis nous installons au salon pour regarder une émission TV.

– N’empêche que j’ai pas eu mon compte, moi dans l’histoire ! S’exclame Alice.
– Tu es jalouse ou frustrée ? Après tout, tu l’as invitée pour la déniaiser, non ? Et tu as réussi ! Donc, tu devrais être satisfaite !
– Certes, je voulais qu’elle sorte de sa gangue. Je trouvais dommage qu’une belle femme soit dominée par un courant de pensée qui n’est pas le sien et se soit laissée écraser par son mari.
– Tu n’exagères pas un peu ? Après tout elle a choisi, non ?
– Elle a dit oui devant monsieur le maire, mais sans rien savoir de la vie. Elle est sortie de chez ses parents pour entrer chez son mari, comme on entre au couvent !
– Et bien, maintenant elle en sait un peu plus. Ce qui m’inquiète, pour elle, c’est l’attitude qu’elle aura désormais avec son mari ! Ça va pas être simple vu qu’elle va pouvoir comparer.
– Peut-être prendra-t-elle un amant, qui sait ! En attendant, moi j’ai une petite faim !
– Veux-tu un sucre d’orge ? Dis-je en baissant mon pantalon.
– Hum ! Miam miam ! ! répond-elle le sourire aux lèvres et l’œil gourmand.

Elle se penche vers moi, saisit ma verge d’une main et la porte à sa bouche, la tétant et la léchant comme elle le ferait d’une sucette. Ma queue ne tarde pas à se rigidifier sous les coups de sa langue experte, accompagnés des mouvements de sa main qui glisse jusqu’à la base de la hampe pour saisir les couilles qu’elle soulève et presse le long de la verge pour pouvoir les lécher.

De sa main libre, elle se caresse le clitoris qu’elle humidifie du bout des doigts avec sa mouille. Elle se relève, prend appui sur mon épaule, m’enjambe et s’enfile sur mon sexe tendu. Elle s’active en lents mouvements amples de haut en bas. Puisque j’ai les mains libres, je caresse ses seins dont je suce les bouts durcis, ses belles fesses rondes et fermes.

– Haaa ! Qu’elle est bonne ta queue ! Ça me fait un bien fou !
– Toi aussi tu me fais du bien, tu m’excite grave !
– Retiens-toi, surtout ! Je veux que ça dure !

Et ça dure ! Pas loin d’un quart d’heure ! Elle finit pas s’asseoir, sur mes cuisses, mon sexe planté au plus profond d’elle et, donne des petits coups de reins d’avant en arrière. La sensation est tout aussi agréable et a l’avantage que je n’ai pas à faire d’efforts pour me retenir de jouir. Par contre, Alice se lâche :

– Hoooo ! Ouiiiii ! Ça vient, ça vient ! Hummmm ! Je jouiiiiis !

Elle s’effondre, la tête posée sur mon épaule. Je lui caresse la nuque et le dos jusqu’aux fesses, ce qui la fait frémir. Des secousses la parcourent quelques instants, puis elle se relève, se retourne et se met à quatre pattes sur le tapis, me tendant les fesses.

– Viens, prends moi derrière, viens me démonter le cul avec ta grosse bite !

Je sais que quand elle devient vulgaire dans les propos c’est qu’elle est vraiment très excitée et qu’elle va jouir comme une folle !

Je me place derrière elle, pose mon gland à l’entrée du jardin secret. Elle pousse pour entrouvrir la porte et recule d’un coup. Mon sexe se trouve enfoncé de près de la moitié dans l’anus accueillant. Je termine de l’enfoncer et bouge en puissance la tenant par les hanches. Mes couilles claquent sur sa vulve, le bruit contribue à son excitation.

– Ahan Oui, vas-y défonces-moi, éclates-moi le cul ! Vas-y fort, c’est bon ! Ouiiii !
– Tu aimes ça, hein ! Salope ! Tu aimes te faire démonter la rondelle !
– Oui, j’adooore ! T’arrêtes pas ! Je viens, comme ça, ouiiii ! Je viiiiiiiiiens ! Haaaaa !

Et elle s’effondre, allongée sur le tapis, me laissant à genoux la bite en l’air !

Elle se retourne et me voyant ainsi, éclate de rire.

– Veux-tu que je te suce pour te finir ?
– Comme tu veux ! C’est toi qui choisis.
– Approches !

Elle me prend la queue, la met en bouche et m’applique un pompier des familles et me fait jouir en quelques instants. C’est divin !

Nous montons nous doucher et nous coucher sur cette séance de jambes en l’air.

Le lendemain matin, un léger manque de dynamisme me scotche un peu tardivement à la maison. Quand je me décide à partir enfin, la sonnerie de la porte retentit, c’est Marie qui vient pour sa séance de musculation.

Je l’embrasse sur les lèvres et ne peux m’empêcher de la peloter se faisant. Elle ne se défend pas et y trouve même un certain plaisir ! Elle même répond à cette privauté en mettant sa main sur mon service trois pièces et me malaxe les couilles à travers le pantalon, le tout avec un sourire entendu.

– Alice est là ? Demande-t-elle.
– Oui, elle doit être en haut en train de se préparer. Tu n’as qu’à la rejoindre, moi, je file, je suis très en retard.

J’apprendrai par la suite qu’elle est effectivement montée pendant qu’Alice finissait de se pomponner.

– Bonjour, Alice.
– Ho ! Bonjour ! Tu arrives tôt dis-moi.
– J’avais hâte de commencer une nouvelle séance, bien que je sois pas mal courbatue.
– Ha, ha ! Ça tire sur les muscles, hein ?
– Oui, sans compter que ce que vous m’avez fait subir hier soir a laissé des traces !
– Tu as mal au cul ?

On peut dire ça comme ça, oui ! Mais c’est une douleur bienfaisante ! J’ai fait des rêves pas possibles.

– Hoo ! Il faudra que tu me racontes ça ! Tiens, puisque tu es ici, on va en profiter. Tu vas enfiler un accessoire pour ton cours d’aujourd’hui. Viens.

Alice l’entraîne vers la malle à jouets, choisit un petit plug anal et le lui tend.

– Tiens enfiles-toi ça. Tu verras, ça te distendra un peu le temps de la séance de gym.
– Mais j’ai encore l’anus un peu irrité de la pénétration d’hier !
– Justement, tu es encore trop serrée. En portant cet accessoire, ça t’aidera et la prochaine fois tu te dilateras plus facilement.
– Vous êtes vraiment des gros cochons, vous deux !
– Et tu es loin d’avoir tout vu ! Allez, on descend !

La séance commence La seule chose que porte Marie c’est le plug qu’Alice l’a obligée à enfiler.

Pendant que Marie s’échine sur la planche à abdos, Alice, qui travaille sur le butterfly, lui demande :

– Dis donc, on se demandait avec Bernard comment tu allais faire maintenant, avec Jean-Paul ? Ça va pas être simple pour toi, de subir ses assauts, sachant ce que tu sais !
– J’y ai pensé aussi, figures-toi ! Mais bon vu la qualité des rapports qu’il m’inflige, je n’aurai sûrement pas de mal à rester de marbre !
– Oui, mais tu vas avoir du mal à ne pas comparer ! Ça risque de t’agacer !
– Bof, je ferai ça comme on va à la messe !
– Et puis, maintenant que tu commences à prendre goût au plaisir, il va bien falloir que tu aies un partenaire ?
– Ça, par contre, ça peut devenir un problème ! Je ne peux pas demander à Michael, en plus je sais qu’il a une petite amie, et je ne me vois pas aller draguer !
– Oui, Mick sort avec l’assistante de Bernard ; maintenant, il n’est pas dit que de temps en temps, il ne puisse te faire plaisir !
– Tu l’appelles Mick ? Tu le connais ? Et comment a-t-il connu l’assistante de ton mari ? C’est quoi, tout ça ?
– Bon il faut que je te raconte.

Alice explique donc comment nous avons fait la connaissance de son au pair boy, comment nous l’avons initié, lui aussi à l’amour et au libertinage, comment il s’est retrouvé dans les bras de Anne que nous avions également éduquée.

– En fait, votre truc c’est de dépraver les gens sains !
– Non c’est de faire découvrir à chacun, sa part de vice qui sommeille en lui. Mais surtout faire que chacun découvre que la vie est faite pour en profiter et y prendre du plaisir. On s’emmerde déjà assez avec les obligations extérieures, autant que le peu de vie intime que l’on a soit une réussite de bien être !
– J’admets que là dessus tu as raison. Je m’en rends compte depuis deux jours. Et tu penses que je pourrai utiliser Michael ?
– J’en suis sûre. Il ne manquera pas d’en parler à Anne, ça c’est sûr, il lui demandera son aval avant, et tout ce que tu risques, les connaissant, c’est qu’elle participe à vos ébats. En plus, son jeu favori c’est de jouer les soumises. Il te faudra apprendre à être dominante.
– Pour moi qui suis soumise à mon mari depuis presque vingt ans, ce ne sera pas évidemment aisé !
– Oui et non, si tu as un caractère dominant qui a été bridé, tu n’auras pas de mal, par contre si tu as toi même une tendance à la soumission, tu auras, certainement du mal à diriger.
– Oui, mais comment le savoir ?
– Je n’ai pas la réponse, hélas ! Tu verras bien si tu es à l’aise dans ce genre de jeu.
– En attendant, j’aimerai bien que tu serres les jambes ! Voir, du coin de l’œil, ton sexe offert et ton gros clitoris me fait fantasmer !
– Hé bien ! Fermes les yeux ! La séance n’est pas finie et il est hors de question de perdre de l’influx. Le sexe, ça coupe les jambes et justement, tu dois pédaler. Allez, à vélo !
– Oui, chef ! N’empêche qu’après, j’aimerai bien m’occuper de toi !
– Après, on verra. Pour l’instant, le travail !

Il est onze heures lorsqu’Alice met fin à la séance. Toutes deux sont en nage, elles décident de prendre une douche.

– On pourra se faire un sauna, comme hier ? Demande Marie.
– Bien sûr ! Dis-moi, j’ai l’impression que tu essayes de rattraper le temps perdu au niveau jouissance, non ?
– J’avoue que depuis avant hier, j’ai l’impression d’être la belle au bois dormant qui vient d’être réveillée par le prince charmant après cent ans de sommeil. Et tu ne peux pas savoir comme ça me démange !
– Ho, je m’en doute !

Tout en discutant, elles s’installent dans le sauna.

– Mais tu sais, en cas de crise de démangeaison, reprend Alice, tu as un exutoire possible, chez toi.

– Ha, bon ! Et quoi ?
– Sucre, ton chien !
– Non mais ça va pas ? Un chien, mais tu es folle ! !
– Je t’assure que c’est un bon plan ! Il est très doué !
– Mais qu’est-ce que tu racontes ?
– En fait, Sucre est déjà venu ici. Un soir, Mick ne voulait pas le laisser seul chez vous, il l’a ramené. Quand il a commencé à nous renifler, on s’est dit : pourquoi pas essayer ? Et on s’est laissé lécher et je t’assure qu’il a une langue exceptionnelle !
– Mais c’est dégueulasse ! Se faire lécher par un chien, vous êtes des pervers, des dépravés !
– Tout à fait ! Et on assume. N’empêche que quand on mourra, il n’y a pas grand chose qu’on pourra regretter de n’avoir pas fait !
– Mon Dieu ! Quelle horreur !
– Tu n’en sais rien, puisque tu n’y as pas goûté ! Avant hier, tu disais la même chose du plaisir entre êtres humains, non ?
– Ok, mais là, c’est pas pareil, c’est contre nature !
– Notre petit intermède à toutes les deux aussi, tu la qualifié de contre nature !
– C’est vrai, d’accord, mais un animal ?
– Quand tu auras essayé, tu me diras si tu trouves ça bon ou pas, mais pas avant. C’est comme les gens qui se mettent à table en disant qu’ils n’aiment pas ce qu’ils ont dans leur assiette avant d’y avoir goûté !
– Si tu vas par là, il n’y a de limites à rien !
– Exact ! Il n’y a que les limites que tu te fixes.
– Ça me fait peur, tout ça. Mais très bien, j’essaierai.
– Si tu veux, pour la première fois, je peux te guider.
– Ta présence me donnera sûrement du courage.
– En attendant, tu peux me lécher le clito, maintenant.
– J’en rêvais. Je le trouve très beau. Il est long, bien gonflé et le gros bout rose qui dépasse, c’est sexy ! On dirait une petite verge.

Alice écarte largement les jambes, Marie s’engouffre dans le V et, bien plus adroitement qu’hier, lèche, mordille, aspire lèvres, vulve, clitoris et va même jusqu’à titiller l’anus du bout de la langue. Elle s’enhardit et se dévergonde de plus en plus. Elle concentre maintenant sa caresse buccale sur le clitoris, tout en insérant deux doigts dans la chatte d’Alice.

– Haaaa ! C’est bon ce que tu ma fais ! Hoo ! T’arrêtes pas, vas-y, plus vite, tu m’excite fort !
– Tu aimes vraiment ?
– Hooo ! Ouiiiiiiiiii ! N’arrêtes pas, surtout, je viens, là, je viiiienns !

Alice repousse le visage épanouit de Marie, contente d’avoir fait jouir son professeur !

– Humm ! Tu m’as fait du bien ! Vraiment, c’était super !
– J’en suis heureuse !
– Bon, c’est pas le tout, mais maintenant, quelques minutes de SPA pour terminer cette matinée sportive. Tu restes déjeuner avec moi ? Je fais une salade composée.
– Je voudrai pas abuser. Mais d’abord, il faut que j’aille sortir Sucre.
– Tiens, tu n’auras qu’à le ramener avec toi.

Alice, en attendant, va à la cuisine préparer le repas. Elle enfile un petit tablier directement sur sa peau nue. Sexy ma femme dans cette tenue ! Trois quart d’heure plus tard, Marie revient avec Sucre. Ce dernier est content de revenir chez nous et le montre. Il se tortille, jappe, renifle partout, surtout Alice ! Essayant de passer son museau sous le tablier, faisant le tour et lui reniflant les fesses. Il est tout fou ! Alice le calme d’un :

– Assez, Sucre, vas coucher ! Puis se tournant vers Marie :
– Mais qu’est-ce qu’il est collant !

Le chien obéit et file s’étaler sur le tapis devant la cheminée. Il a retrouvé la place qu’il affectionne.

Marie, devant la non tenue d’Alice ne peut s’empêcher de s’extasier :

– Super, ta tenue, vraiment sexy ! Ça met bien tes fesses en valeur !
– Ce qui n’est pas ton cas avec ce jogging ! Allez, enlèves-moi ça et enfile un débardeur, il y en a un dans la salle de muscu.
– Oui, tu as raison, je vais me changer.

Marie revient quelques minutes plus tard, seulement vêtue d’un débardeur m’appartenant, ce qui lui fait une sorte de très mini robe arrivant au ras des fesses, très échancrée sous les bras laissant apparaître le galbe de sa généreuse poitrine.

– Voilà qui est mieux ! Lance Alice. Allez, viens, on va prendre un apéro de ma fabrication.
– Hà ! Et qu’est-ce que c’est ?
– Un jus de légumes et fruits, tu vas voir, c’est bon et tonifiant !

Les deux femmes s’installent dans les fauteuils, devant l’âtre. Sucre, qui ne dort que d’un œil, soulève la tête pour regarder les nouvelles venues et se met à remuer de la queue. Il se lève et s’approche d’Alice dans l’intention de renifler les effluves émanant de son sexe.

Alice ne le contrarie pas et, au contraire écarte les cuisses pour lui faciliter la tâche. Sucre s’engouffre dans le passage et immédiatement se met à lécher la vulve odorante.

– Ho, il est content le chienchien ! Dit Alice amusée. Il aime ça, hein, le jus de femme ! Petit cochon, va !

Marie regarde la scène éberluée.

– Il a l’air de t’apprécier vraiment, dis donc. Vraiment, je ne sais pas si je vais pouvoir me laisser faire comme toi !
– Avances toi au bord du fauteuil, écartes les cuisses et appelles-le et tu sauras !

Marie s’exécute et appelle Sucre. Le chien se retourne et s’approche de sa maîtresse et bien sûr agit de même. Elle se crispe légèrement au moment où la langue du chien atteint son sexe.

– Détends-toi. Ferme les yeux et laisse toi faire ! Suggère Alice.
– Bon sang ! Mais c’est que c’est agréable ! Il est doué, mon chien ! Un peu vif, mais, ouch ! Efficace !
– Tu vois ! Il n’y avait pas de quoi en faire tout un plat !
– Mais est-ce que c’est vraiment sain ? On risque pas de choper une maladie ?
– Pas plus qu’avec un humain ! La salive, en plus est antiseptique !

Sucre se démène, s’appliquant à laper tout le jus qui coule de plus en plus au fur et à mesure que l’excitation monte. Alice, admirant la scène se caresse doucement tout en exhortant sa copine.

– Regardes-le ! Il en peut plus, je crois qu’il a envie de tirer un coup !
– Lâches-toi, laisses-toi aller !
– Hooooo ! C’est bon ! Ais-je le choix ? Haaa ! Je sens que ça viens, humm ! Que c’est bon !

Marie jouit, ses muscles tressaillent et elle se détend totalement.

– Alors ? J’avais pas raison ?
– Si ! C’est vraiment super !
– Allez, maintenant, fais lui plaisir, il en peut plus, regardes il bande !

Il est vrai que Sucre est excité et cherche un moyen de s’accoupler avec sa maîtresse.

– Mets-toi à genoux, par terre !

Marie écarte Sucre et descend du fauteuil, se retourne. Elle n’a pas fini de se mettre en position que Sucre la contourne et lui grimpe sur le dos, balançant son bassin d’arrière en avant en cherchant à s’introduire. Il finit par y arriver, coince Marie entre ses pattes avant et s’échine à grands coups rapides dans le sexe offert.

– Ho, oui ! Vas-y le chien ! Baises-moi ! Là, c’est bon !
– Tu aimes ça, hein ? Bonne garce que tu es !
– Oui ! J’aime ! Il me fait du bien ce cabot ! Quelle salope je fais !

Sucre se retire, fait le tour de sa maîtresse et revient se mettre en place, la pénètre à nouveau, dans son excitation il passe d’un trou à l’autre, sans le vouloir.

– Quelle bête ! Il m’encule autant qu’il me baise ! Vas-y connard ! Fais-moi jouir, mais choisit le trou et restes-y !

Alice essaye d’intervenir et d’aider Sucre à se dominer. Finalement, le chien finit pas rester en place suffisamment longtemps pour faire jouir sa maîtresse.

– Hoooo ! Le bougre a réussit, c’est bon ! C’est divin ! J’ai joui !

Sucre aussi ! Il redescend et lèche la chatte, va s’asseoir et se lèche le sexe ramolli mais encore hors de son fourreau. Marie qui reste le cul en l’air, exhibe un con béant dégoulinant du sperme animal. Finalement elle se laisse choir sur le côté, ravie de ce qui vient de lui arriver.

– C’était comment ? Demande Alice qui elle-même a jouit sous ses propres caresses.
– J’ai pris un super pied ! S’exclame Marie. Je te promets de ne plus faire de commentaires à priori ! Je n’aurai jamais imaginé qu’un chien puisse devenir un amant ! C’est dément !
– Tu m’en vois ravie ! Maintenant, tu n’as plus à chercher midi à quatorze heures ! Tu as tout ce qu’il te faut sous la main !

Elles se mettent à table après avoir récupéré de leurs émotions, souriantes du plaisir qu’elles se sont donné.

Je rentre vers 19h30 ce jeudi soir et la première chose que fait Alice c’est de me raconter sa matinée exceptionnelle avec Marie et…Sucre.

– Je vois que tu ne t’ennuies pas pendant que je bosse !
– Serais-tu jaloux ?
– Non, mais j’aime bien, tu le sais, participer aux réunions plaisir ! En l’occurrence à part hier soir, je suis passé au travers !
– J’y peux rien, moi, si on ne peut pas l’inviter le week-end ! Et puis tu sais, je suis un peu frustrée moi aussi. Je donne beaucoup plus que je ne reçois dans cette affaire !
– On va arranger ça ! Veux-tu qu’on invite quelqu’un ce week-end ?
– J’aimerai bien oui ! Que dirais-tu de notre esclave préférée ? Elle aussi doit se languir depuis la St Sylvestre.
– Très bien, demain je mettrais deux katiouchkas sur mon bureau, en espérant qu’elle soit libre !
– Aurais-tu oublié qu’elle n’a pas le choix ? Et si elle a prévu un samedi avec Mick, c’est pas un problème !

à suivre

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2 réponses à Le printemps 2 – Marie (suite) par Lovelace

  1. Chastaing dit :

    Ah, ce chien , je l’adore !
    Et puis j’ai bien aimé ce dialogue :
    – Mais c’est dégueulasse ! Se faire lécher par un chien, vous êtes des pervers, des dépravés !
    – Tout à fait ! Et on assume. N’empêche que quand on mourra, il n’y a pas grand chose qu’on pourra regretter de n’avoir pas fait !

  2. Lucia dit :

    cette façon d’intégrer la zoo au récit comme s’il s’agissait d’une chose non taboue ne peut que me plaire

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