Nouvelle année 8 – La Saint Sylvestre par Lovelace


Nouvelle année
8 – La Saint Sylvestre
par Lovelace

Vendredi matin, tout le monde sur le pont de bon matin ! Nous sommes très actifs dans les derniers préparatifs de la soirée.

Mise en place de la table qui supportera le buffet, des écrans sur lesquels on pourra visionner et la soirée en live et des vidéos de nos exploits antérieurs. Nous descendons également la malle à « jouets », montons les portants pour les vêtements. Vers quinze heures, le traiteur nous livre le buffet. Les filles se chargent de la mise en place et de la décoration de la table. Cendriers « chatte », bougies « pénis ».

J’ai monté le chauffage afin que tout le monde soit à l’aise. En fin d’après midi, nous nous changeons et revêtons nos toges.

Anne et Mick en choisissent des courtes, bordées de Bleu. Lucie, Alice et Viviane en choisissent une longue festonnée d’or. Pierre, Yann et moi une longue bordée de rouge. Sandales lacées pour tous.

Les premiers invités que nous accueillons en ce début de soirée, sont Ghislaine et François, l’homme aux couilles de taureau ! Alice et moi faisons les présentations, puis Anne guide François vers la cabine homme, tandis que Mick s’occupe de Ghislaine. Les suivants arrivent en groupe, il s’agit des amis d’Anne, Charlène, Jules, Marc et la très jolie Justine. Eux, choisissent de s’habiller court, comme Anne et Mick. Enfin arrivent Henri, notre médecin et son épouse Martine, accompagnés de la musculeuse Corinne et son époux Patrick, le bien membré !

Tout le monde est maintenant vêtu à la romaine et semble apprécier l’originalité du thème choisi. Nous sommes complimentés sur la décoration pornographique qui est le sujet de discussion de ce début de soirée et aide bien les uns et les autres à faire connaissance.

– Qui a réalisé ces chefs-d’œuvre ? Demande Corinne.
– C’est moi, répond Alice.
– Bravo ! Ces sculptures sont magnifiques et d’un réalisme époustouflant !
– Tu les as imaginées ou bien avais-tu des modèles ? Demande Martine.
– Anne et Bernard ont servi de modèles, sauf les cendriers, c’est moi !
– Ha, bon ! Je ne me souvenais pas que ton clitoris était aussi long !
– Les séances de pose ont dû être olé, olé, non ?
– En fait pas du tout ! C’est fatigant de poser sans bouger un cil !
– Je verrai bien une de ces œuvres chez moi ! S’exclame Ghislaine.
– Si vous le souhaitez, vous pourrez repartir avec l’une d’elle.
– Ho, merci ! Je vais avoir du mal à choisir !
– Moi, je jetterai bien mon dévolu sur cette belle sodomie !

Et chacun d’émettre son avis et exprimer son choix. Le champagne coule à flots, la décontraction est totale et les bruits de conversations couvrent maintenant la musique d’ambiance.

– Quelle merveilleuse idée que d’avoir mixé plusieurs générations ! Lance Martine tenant Jules et Mick à chaque bras. De la chair fraîche, hummm ! Quel régal ! Ça va nous changer de nos vieilles peaux ridées !
– J’aime bien ça moi, les peaux ridées, intervient Justine. Il paraît que les hommes mûrs tiennent plus longtemps et puis, ils ont l’expérience !
– Si tu veux, répond Ghislaine. Pour ma part je sens que je vais me régaler avec ces jeunes bites bien raides !

Joignant le geste à la parole, elle passe sa main sur le bas ventre de Marc qui réagit aussi sec ! Le tissu se tend et laisse supposer que quelque chose de long et dur se cache derrière. Ghislaine soulève le pan de tissu et libère le sexe qui se dresse franchement. Elle le saisit à pleine main, tire la peau et décalotte le gland gonflé, le lâche et soupèse les bourses.

– Voilà quelque chose de jeune et vigoureux ! J’ai hâte d’y goûter.
– Mais c’est même conseillé ! Lui lance Alice. On est là pour ça, non ?

Ghislaine s’accroupit et saisi le membre tendu, le lèche et l’avale. Nous regardons la scène se dérouler en demi-cercle autour du couple. Henri a passé sa main sou l’étoffe qui cache à peine le corps de Charlène et lui caresse les fesses. Martine qui ne quitte pas Jules et Mick, les branle. Il semble que la soirée est lancée !

Nous émigrons vers la salle de sport et nous installons, les uns sur des coussins ou des matelas ou assis sur des tabourets, une chose est sûre, personne n’est isolé !

Lucie a découvert Patrick et se délecte de sa queue au diamètre impressionnant, Corinne et Charlène s’occupent de Pierre, Ghislaine se fait brouter la touffe par Yann pendant qu’elle continue de s’activer sur le vit de Marc. Le rythme qu’elle imprime vient rapidement à bout de ce dernier et il est le premier de la soirée à lâcher sa purée par trois gros jets puissants. Ghislaine, ravie lèche tout ce qu’elle peut.

– Tu es un rapide, toi ! S’exclame-t-elle. J’espère que tu récupère vite, parce que j’ai envie de me faire démonter !

– T’inquiètes pas lui répond Yann. Je suis là, moi !
– Alors, vas-y, bourres-moi ! J’ai envie de me faire sauter !

Pendant ce temps, Henri s’occupe d’Anne, François et Alice sont allongés au bord du SPA, Martine est en main avec Jules et Mick, je m’occupe donc de Justine. Je caresse sa poitrine ronde et ferme, suçote ses tétons jusqu’à ce qu’ils raidissent. Je descends lentement jusqu’à son sexe, caressant, léchant la peau soyeuse. J’écarte les cuisses et suce les lèvres douces, la pénètre avec la langue, remonte sur le clitoris tout en lui malaxant les fesses. Celles-ci sont petites et fermes, bien musclées, je glisse un doigt entre les deux globes et caresse son petit trou plissé. Elle se laisse complètement aller et son jus commence à couler. Elle mouille bien, tant mieux ! Elle gémit, se tortille et finit par jouir en me prenant la tête à deux mains pour m’écarter de son sexe. Je me relève, à genoux, lui soulève les jambes et la pénètre d’une seule poussée. Elle aime ça la cochonne !

– Houahouu ! Ho, que c’est bon ! Allez, vas-y, prends-moi bien, là, vas-y à fond !
– Tu peux en être sûre, je vais te défoncer ! Tu m’as l’air d’une bonne salope, toi !
– Ouiiiiiii ! Et tu n’imagines pas combien ! Allez, fais-moi jouir !

Je ne sais pas si c’est le fait des propos de Ghislaine et Justine, mais tout autour, j’entends la même chose, des gémissements, des mots crus.

– Ho, oui ! Vas-y François, bourres-moi le cul ! Humm je sens tes couilles sur ma chatte, yesss, c’est bon !
– Pour moi aussi, j’adore ça ! Je vais venir !
– Ouiiiiiii ! Vides tes grosses couilles sur mes fesses, donnes-moi tout !
– Prenez-moi tous les deux, bande de salopards, faites-moi du bien ! Lance Martine à ses deux comparses.
– Houuu ! Tu as une chatte d’enfer, enfiles-toi bien sur ma queue ! Dit Pierre à Corinne qui s’est empalée sur la colonne de chair, Charlène s’asseyant sur la tête de mon ami pour se faire brouter le minou.
– Hou, la, la ! Qu’elle est bonne ta queue ! Ho ! Elle est vraiment grosse ! Éclates-moi la moule, j’adore ! Exhorte Lucie prise par Patrick.

Ça part dans tous les coins, des éjaculations, des orgasmes à répétition, dans les cris, les éclats de voix, certains se racontent ce qu’ils reçoivent ou donnent, l’orgie est bien partie.

Nous passerons ainsi plus de la moitié de la nuit à nous mélanger, nous échanger, certaines fois tout en mangeant, la liesse est totale, c’est fabuleux !

Certaines scènes seront un tel amalgame de corps qu’elles en sont indescriptibles, on ne sait plus qui est qui, c’est le foutoir général ! La bouffe, le vin, le sexe, tout se mélange, chacun apporte sa créativité, il n’y a plus de limites à l’imagination.
Par moment, le calme revient, les corps rompus par le plaisir, gisent sur les coussins ou les matelas, dans des poses lascives, la béatitude se lit sur les visages. C’est au cours de l’un de ces moments qu’Anne et Mick décident de jouer les servants. Ils parcourent l’assistance, le chaudron en main, proposant aux uns et aux autres de se soulager la vessie, guidant les bites flaccides, les chattes baillantes, les léchant pour les essuyer. Ils s’arrêtent un peu plus longtemps devant Patrick.

– Tu as vu ça, Mick ?
– Oui, c’est un sacré morceau !
– J’aimerai bien voir si tu peux t’empaler là-dessus !
– Il faudrait d’abord qu’il bande !

Se plaçant de part et d’autre de Patrick, les voilà qui entreprennent de lui redonner de la vigueur. En quelques minutes la verge est dressée, encore plus grosse. Anne, qui la tient à pleine main, s’en étonne :

– Regardes ! Mes doigts n’en font pas tout le tour !
– Impressionnant ! Allez, j’essaye !

Mick se place à cheval sur l’engin, face à Anne qui l’aide à s’enfiler.

– Houaa ! Non de Dieu, qu’il est gros ! Je vais me déchirer la rondelle, là-dessus !
– Ne t’inquiètes pas, ça passe !

Une fois planté, il commence à monter et descendre pendant qu’Anne le branle. Elle arrive à obtenir une semi-rigidité, suffisante pour grimper dessus et se l’enfiler dans la chatte.

La scène réveille mon excitation et ma queue s’allonge. Corinne, qui se trouve à côté de moi le remarque et la prend en main, masturbant lentement le cornichon qui lui sert de clitoris avec deux doigts de son autre main.

– Impressionnant ce garçon ! Il n’a pas peur !
– Pourquoi, tu as peur toi ?
– Non, mais c’est mon mec, j’ai l’habitude ! Et je peux te dire qu’au début je l’ai sentie passer !
– Et maintenant ?
– Maintenant, ça rentre facile ! Tu veux voir ?
– Allons-y ! Tournes-toi.

Elle se met à quatre pattes et creuse ses reins. La rosette est légèrement entre-ouverte. Je la lèche, insère ma langue, j’y laisse un maximum de salive puis, positionne mon gland. Je pousse, effectivement, ça rentre à l’aise ! Je ressors et admire le cratère qui s’ouvre largement. On pourrait y insérer une balle de tennis sans forcer ! Je reprends ma pénétration tout en admirant le trio qui continue de baiser devant nous.

Je fais un tour d’horizon et je remarque qu’une certaine activité a repris. Lucie se gouine avec Charlène, Viviane, qui s’est équipée d’un gode ceinture enfile tout ce qui bouge et a l’air de s’en amuser beaucoup. Pour l’instant elle transperce Ghislaine, jambes relevées, largement écartées qui se malaxe les seins en gémissant. Justine joue avec le pal de Pierre. Elle le tient à deux mains, le lèche, suce le gland, gobe les couilles, le tout avec un joli sourire encadré par deux petites fossettes. Alice s’en remet à deux queues bien vigoureuses appartenant à Jules et Marc, qui la prennent en sandwich dans un rythme effréné.

Martine, dans des couinements de goret, j’ai jamais entendu une femme crier aussi fort son plaisir, se fait éclater la rondelle par Yann.

– Hooo ! Ouiiiiiii ! Oui ! Défonces-moi, à fond ! Vas-y, c’est boooon ! Ouille, j’aime ça, allez, allez !

C’est infernal, c’est communicatif, ça réveille tout le monde, les accouplements langoureux se transforment en chevauchées. Pierre, la bite à la main, cherche où se mettre et finalement opte pour le cul tendu de Justine. Seul François, allongé sur un matelas, dort du sommeil du juste ! Je me demande comment il fait pour ne pas se réveiller avec tout le vacarme que fait Martine, bientôt rejointe par à peu près tout le monde ! Ma partenaire du moment aussi monte en température :

– Qu’est-ce que c’est bon ! Tu m’encules bien, viens plus fort, je vais jouir, je sens que ça vient ! Haaaaaa ! Ouiiiiiii ! Ho que c’est bon, putain je prends mon pied ! Là, ouiiiiiii !

Je m’extrais du fourreau et la prenant par les cheveux, la fait se retourner. J’investis sa bouche et en deux ou trois aller-retour éjacule le peu qu’il me reste de sperme. Elle avale sans problème, lèche bien le gland jusqu’à la dernière goutte et lâche un long soupir de satisfaction en s’allongeant sur le matelas.

Repus et satisfait, je fais de même et m’endors, il est cinq heures.

Je sors du coma avec l’étrange sensation d’être en activité. Je n’éprouve pas le besoin, comme à l’habitude, de m’étirer, de réveiller mon corps, morceau par morceau, partant des pieds pour remonter jusqu’à la tête. Non ! Je m’éveille doucement, envahi par un sentiment de satisfaction. Normal ! Quand j’ouvre les yeux, j’aperçois en première vision, une paire de seins dansant devant moi. Charlène est assise sur ma queue en érection et se donne du plaisir.

– Tu avais une grosse érection, j’en ai profité ! Me dit-elle, voyant que je suis réveillé.
– Tu fais bien ! C’est très agréable d’être sorti ainsi du sommeil ! Continue, surtout.

Je me mets en appui sur les coudes et, balayant la salle du regard, je n’aperçois que des corps endormis. Nous sommes les deux seuls réveillés; même Anne qui, pourtant, est une lève tôt, dort comme un bébé !

Chacun semble s’être écroulé dans la situation qu’il tenait au moment où un nuage d’un gaz soporifique puissant serait passé dans la pièce. Une main tenant une verge, une bouche proche d’un sexe, des positions de coït, mais sans pénétration, les membres étant ramollis. Et nous deux comme, seuls survivants d’un cataclysme, baisant, comme pour dire : ouf, nous y avons échappé !

– T’as pas baisé cette nuit, pour être aussi en forme ?
– Tu rigoles ! J’ai pas arrêté ! Je suis détrempée de tout ce que je me suis pris ! Et de tous les côtés, encore ! Je n’arrive pas à être rassasiée.
– Remarque, moi ça me va ! Tu me fais du bien et, être sorti du sommeil par un câlin, il n’y a rien de tel !
– Vous êtes incroyables les vieux ! Vous récupérez moins vite, mais par contre qu’est-ce-que vous tenez bien ! Et en plus vous savez vous en servir de votre engin !
– Merci quand même pour les vieux !
– C’était façon de parler ! Héééé ! Ha, c’est bon ! Ho, oui, prends-moi bien là !

J’ai pris les choses en main, c’est le cas de le dire. Je la tiens par les fesses et lui balance des coups de rein rapides. Je sais que je peux y aller sans risque de jouir trop tôt, d’une part j’ai beaucoup donné cette nuit, d’autre part, le matin je suis assez peine à jouir !

– Hà ! Hà ! Hà ! Hooooo ! Ouiiiiiii ! Vas-y, vas-y ! Tu me fais du bien, je sens que ça vient ! Huuuuumm !
– Regardes-moi ça, cochonne tu m’as trempé la queue !
– Tu m’as fait super jouir ! C’était génial ! Attends !

Elle s’écarte, s’agenouille entre mes jambes et me pompe le dard, le nettoie méticuleusement avec la langue, tirant bien sur la peau pour qu’il n’y ait pas de plis, agace le frein et, finalement, me branle énergiquement jusqu’à ce que je jouisse. La garce aime le sperme, elle me met en bouche et aspire jusqu’à ce que je débande, jusqu’à la dernière goutte sortant du méat.

Le jour se lève, le ciel est clair et, à travers les baies vitrées apparaît une campagne couverte d’une épaisse couche cotonneuse, d’un blanc immaculé. Je décide qu’il est temps de préparer le réveil de nos invités.

– Viens, Charlène, tu vas m’aider !
– À quoi faire ?
– On va préparer le petit déjeuner ! Mais d’abord, je vais aérer un peu, ça sent le bouc ici !
– Oui, c’est vrai ! Ce mélange acre d’odeurs de sperme, de foutre et de pisse, ça prend un peu au nez !
– De pisse ? Je sens pas trop !
– Non, mais je le sais. Tu dormais peut-être, mais cette nuit il y a eu une bataille rangée qui s’est terminée en arrosage général !

Nous ouvrons les baies vitrées en grand, laissant entrer la fraîcheur matinale. Il fait relativement doux. Je mets le sauna en route puis, nous allons côté salon mettre en route la cafetière de restaurant que nous a prêté le traiteur. Je vais allumer le four et met à cuire les viennoiseries. Charlène, de son côté, apporte les tasses, cuillers, Sucre, bref, tous les accessoires.

J’entends bouger dans la salle, c’est François le premier à sortir du sommeil. Charlène l’interpelle :

– Bonjour ! Je ne t’ai pas beaucoup vu cette nuit, toi ! Tu étais où ?
– Je crois que je me suis endormi assez tôt, le vin était excellent !
– Tu as donc encore les couilles pleines ! Et vu la taille, il doit y en avoir pas mal, là dedans !
– Ho ! Certainement, oui !
– Viens ici, j’ai encore faim, moi !
– Elle est vraiment insatiable, hein ? Dis-je à François.

Vu qu’il a bien dormi et qu’il a encore des réserves, il ne se fait pas prier longtemps. Charlène, à genoux, s’occupe de le faire bander. Elle a un peu de mal, visiblement François n’est pas du matin ! Il faut dire que ce n’est pas un fou de sexe. Il accompagne sa femme dans ses délires, il est généreux. Par contre, les plans cul ne le concernent que peu, il ne fait que participer. En plus il fait un complexe, sa queue est de loin la plus petite de toutes, douze ou treize centimètres en érection, pas plus.
Charlène finit par obtenir une rigidité correcte, sa main enveloppe complètement la verge, seul le bout du gland dépasse de la main fermée.

– Tu es loin d’avoir le gabarit de Pierre, mais foutre dieu avec les couilles que tu as j’ai hâte de me faire asperger ! Allez, prends-moi ! Par derrière s’il te plait !

François s’exécute et encule la jeune femme, sans ménagements.

– Humm ! Oui ! Allez, bouges, bouges ! Vas-y, c’est bon ça, ouiiiiiii !

En trois minutes, l’affaire est presque faite, François ne tient plus.

– Ho, la vache, je vais jouir !
– Attends ! Ordonne Charlène en se retirant et se retournant vers lui. Viens sur moi !

François secoue sa bite et balance des jets de sperme à n’en plus finir ! Charlène en est couverte, sur le visage, les seins, ça coule sur son ventre.

– Houahou ! Quel volume ! S’exclame-t-elle. J’en n’ai jamais pris autant !
– Je suis ravi que ça te plaise ! Lui répond François. Tu as de la crème pour ton café !
– Merci, oui ! Et elle éclate de rire.

La fraîcheur dans la salle et l’odeur du café qui envahit l’espace, éveille les corps les uns après les autres. Au bout d’une vingtaine de minutes, le brouhaha s’est installé, comme hier au moment de l’apéro, à la différence que tout le monde est à poil !
Tout en se restaurant, chacun aborde à sa façon, l’histoire de cette folle St Sylvestre, mais tous s’accordent à dire qu’ils on le cul éclaté, la chatte en feu ou la bite en chou-fleur !

Quitte à rester dans la folie, nous décidons de nous la jouer scandinaves ! On se rue dehors et on se roule dans la neige, organisons une bataille de boules de neiges. Nous restons bien une demi-heure dehors, totalement nus. Nous ne ressentons pas le froid, actifs que nous sommes à courir partout, se chamailler comme des gosses. Cela dit, lorsque nous rentrons, nous sommes rouges et glacés. Ça se remarque surtout chez les hommes, nos sexes sont recroquevillés, même pour les mieux montés d’entre nous; pas un qui possède plus de 5 centimètres de chair ! Nous avons l’air un peu ridicules avec nos petits bouts de peau ratatinée, et les filles ne se privent pas d’en rire.

Alice et Viviane décident qu’il faut nous rendre notre dignité.

– Alignez-vous messieurs, nous allons toutes, à tour de rôle vous réchauffer la queue !

Nous obéissons et c’est la noria des bouches qui commence. Chacun a droit à sa petite pipe, rapide, de chacune des participantes soit neuf pompages consécutifs. À cette cadence, tout le monde retrouve sa vigueur assez rapidement, même François dont le sexe avait presque complètement disparu.

– Maintenant, pour vous remercier, nous allons vous rendre la pareille. Dis-je. Allongez-vous en ligne.

Les femmes s’exécutent et s’allongent, jambes ouvertes, prêtes à recevoir nos langues.

Je passe en premier, les sexes sont glacés et les clitoris aussi rétractés que l’étaient nos bites. Les plus faciles à prendre en bouche sont ceux de Viviane, Corinne et Alice, qui sont surdimensionnés.

– Vous riez de nous et de nos différences de taille, mais vous n’êtes pas mieux ! Chez vous aussi il y a de sacrés différences ! Dans la taille et le volume du clitoris, mais également de l’ensemble du sexe, plus ou moins long, plus ou moins large, des lèvres plus ou moins proéminentes, gonflées, pendantes, fripées. Il n’y en n’a pas deux pareilles !

– Oui, mais ça se voit moins que vous !
– En attendant, j’ai mis le sauna en route, si certains veulent se faire une séance, c’est le moment ! Attention, pas plus de quatre à la fois, merci. Il y a également cinq places dans le SPA.

L’air s’étant renouvelé dans le salon et la salle de sport, je referme les baies vitrées. Le froid a du bon, mais tout de même ! Pendant que j’y suis, aidé de Pierre, Lucie et Alice, nous débarrassons la salle de sport des coussins et matelas. Une fois retirés, je passe le sol au jet. Arrosant, au passage, ceux qui se sont installés dans le SPA.

J’ai interrompu leur conversation qui portait sur ce qui les motive dans le sexe. Tout le monde se marre et la conversation repart :

– Vous savez ce qui m’excite, moi ? Intervient Justine.
– Non, dis-nous ! Demande Yann
– Voir deux mecs ensemble. Pour beaucoup c’est dégueulasse, moi, ça me chauffe terrible !
– Comme ça ? Dit Yann en se levant et tendant sa bite à Mick pour qu’il la suce, ce qu’il fait immédiatement.
– Oui, mais surtout, s’enculer !

Yann sort de l’eau, va chercher un pot de gel sur une console, se badigeonne et revient, un doigt planté dans le petit. Il tourne le dos à Justine en s’accoudant au bord du SPA et appelle Mick. Ce dernier sort de l’eau, en érection, s’approche et plante son dard dans l’anus ouvert de Yann. Deux petits aller-retour, il ressort et entre à nouveau, cette fois à fond.

– Comme ça, alors ? Questionne à nouveau Yann.
– Hà, oui ! Voilà, ça j’aime regarder ! Voir vos balloches bringuebaler et la tige entrer et sortir, c’est d’enfer. Continuez, les mecs, je bous déjà !
– Moi aussi, je brûle ! J’ai le bout de la queue en feu ! Dit Mick.
– C’est les restes de tes exploits de la nuit ! Dis-je en rigolant.
– N’empêches, ça pique fort !
– Oui, ben maintenant que tu y es, continue !
– Et toi, Justine, t’en es où ? Demandé-je.
– Moi ? J’en peux plus de les voir comme ça ! J’ai le feu au cul !

Je m’approche du bord, m’assied tout en me branlant pour finir de raidir ma queue.

– Tiens, viens te mettre sur ma lance, ça va éteindre ton incendie !

Elle voit ma bite dressée, sourit et se lève. Dos à moi, elle prend ma queue à pleine main, l’approche de son trou à chocolat et l’enfile, jusqu’à la garde.

– Hummmm ! C’est bon ! Une bonne bite y’a rien de tel !

Par manque d’appui, je ne peux pas limer ce magnifique cul; aussi, je la saisi par les hanches dans l’idée de me mettre debout, mais mon pied glisse sur le rebord d’un des siège moulé du SPA. Je perds l’équilibre, pars en avant et elle finit la tête dans le cul de Mick. Ce dernier perd également l’équilibre et nous voilà tous les quatre dans l’eau, mords de rire !

Le reste de la matinée continuera sur le même thème de rires et délires !

Nous réinstallons le buffet avec les restes de la veille, il y a largement de quoi recommencer ! Alice a vu grand. Mais, bon, la fête n’est pas finie !

À quelques uns nous avons ouvert des huîtres. Ces dernières sont un excellent remède contre la fatigue.

Évidemment, il y a façon et façon de les manger ! Nous, vicieux et pervers, décidons de les changer de lieu. J’initie cette dégustation en prenant Ghislaine par la main, l’installe sur le dos, fesses en l’air et jambes écartées. Je dépose l’huître dans sa chatte et la gobe. Manger ainsi une huître issue d’une moule, c’est divin. Bien sûr, tout les gars m’imitent !

Alice prend le relais et, pour la dégustation du foie gras, c’est nos queues qui servent de support, ou plutôt nos glands. Elle initie cette forme de dégustation en décalottant Patrick et, le badigeonne de foie qu’elle lèche tout en mangeant son toast !

Le seul inconvénient de nos pratiques est que les hommes et les femmes ne mangent pas en même temps ou en tout cas pas la même chose en même temps !

Bien entendu, le jeu va dégénérer et finir en partouze générale !

Pour ma part, assis au bord d’un fauteuil, Ghislaine étant devant moi, jambes écart, j’en profite pour l’enfiler tout en restant assis, un coup devant, un coup derrière ! Et elle aime ça la bougresse ! Une huître, un coup de queue, un coup de blanc ! Elle rit comme une folle et, lorsque je suis à court de coquillages, c’est elle qui prend le relais avec tout ce qui se tartine et se boit !

François quant à lui, a trouvé comment plaire à ces dames ! Celles qui sont fans de sperme bénéficient de son opulence. Il arrose de sperme plus d’une demi-douzaine d’huîtres qu’Anne, Charlène et Martine gobent avec délectation.

En moins d’une heure, nos organes génitaux sont tartinés d’un amalgame de tout ce qui se trouve sur la table du buffet : huîtres, foie gras, mayonnaise, guacamole, langoustines, et j’en passe ! La jatte de mousse au chocolat, une partie des desserts proposés, est très utilisée par ces dames ! Nos queues sont vite couvertes de cet onguent dont elles se délectent !

L’après-midi se déroule dans cette atmosphère de stupre et fornication sans omettre la joie qui caractérise cette St Sylvestre. Les rires fusent autant que les soupirs de satisfaction, jusqu’à tard dans la soirée.

Les premiers à partir sont trois de nos quatre jeunes, invités par Anne, seule restante, Justine, suivis de près par Martine et Henri, désolés, mais celui-ci est de garde dimanche. Enfin, Ghislaine et François prennent aussi le chemin du retour, vers huit heures du soir. Nous restons donc à onze pour terminer ce week-end.

Nous profitons de l’accalmie provoquée par les deux derniers départs pour nous lancer dans du rangement expéditif, et redonnons un semblant de propreté au salon et à nous mêmes en passant sous la douche.

J’en profite pour ouvrir une des baies vitrées afin d’aérer la salle, le temps que nous allions nous faire propres. Des jappements et des couinements nous interpellent.

– Merde ! S’exclame Mick. Je l’avais oublié, celui-là, il est enfermé depuis hier matin !
– C’est pas cool, ça dit Anne. Va le voir, le pauvre !
– De qui parlez-vous ? Demande Corinne.
– De Sucre, le chien des voisins, interviens-je.
– Ho ! Pauvre chou ! Ramènes le donc, dit Justine.

Je me souviens qu’Anne nous avait fait part de ses doutes concernant les relations que Justine entretenait avec son chien et je me demande si celle-ci n’aurait pas une envie particulière !

Je n’aurai pas à me poser la question très longtemps. Mick revient quelques minutes plus tard avec Sucre. Le chien, heureux d’avoir de la compagnie se précipite sur tout le monde pour avoir des caresses. Justine tombe à genoux devant lui et se laisse lécher le visage par l’animal trop content de l’attention qui lui est portée.

– Ho, que tu es beau, toi ! Quel gros toutou et affectueux avec ça !
– Oui, il est gentil et très bien dressé ! Dit Mick.
– Il en a l’air en tout cas ! Reprend Justine qui, dans l’effusion perd l’équilibre et se retrouve assise sur les fesses.

Sachant ce qui va se produire, nous nous installons tout autour, dans les fauteuils et canapés pour assister à la scène à venir.

Sucre, en bon chien prêt à rendre service, va droit au but et engouffrant son museau entre les jambes de sa maîtresse du moment, se met à la lécher vigoureusement. Loin de se débattre, Justine, au contraire, écarte et relève les jambes pour faciliter l’action du chien et lui prend la tête à deux mains, se laissant aller au plaisir de cette caresse. Elle ne tarde pas à jouir d’un orgasme puissant sous les coups de langue, d’une efficacité diabolique. Elle se redresse, le visage épanoui, caresse le flanc de Sucre et lui impose de se coucher.

Elle caresse son ventre et porte sa main directement sur le sexe qu’elle dégage de sa gangue poilue et expose la tige rouge. Elle en approche sa tête et lèche le membre de l’animal, puis le met carrément en bouche.

La bête doit sûrement apprécier la caresse buccale, elle ne bronche pas. Justine, alors le lâche, se met à quatre pattes et le chien, se remettant sur les siennes, lui grimpe dessus et, après avoir trouvé l’entrée du vagin, se secoue en elle. La garce aime cette étreinte animale, rapide et violente. Elle prend visiblement son pied.

Nous, ça nous chauffe fort !

Lucie, bien entourée par Pierre et Patrick, branle les deux colosses; Alice et Corinne se masturbent mutuellement; Viviane pompe Mick qui la pelote, Anne s’est assise sur la queue raide de Yann. Quant à moi, je me branle en attendant que Justine soit libérée de l’étreinte contre nature.

Ça commence à gémir et à couiner dans tous les coins. Justine, elle, explose, au moment où Sucre se lâche. Ce dernier la quitte pour aller s’asseoir devant l’âtre et se nettoyer à grands coups de langue, alors qu’elle reste proscrite. Je me mets à la place du chien et, positionnant mon vit sur la rondelle, l’encule, d’une seule poussée, de toute la longueur de ma verge. La réaction est fulgurante et me surprend; j’ai l’impression de l’avoir transpercée avec une lame. Elle est tant à fleur de peau que ma pénétration a fait déborder le vase ! Elle ne s’en défend cependant pas, au contraire, et m’encourage de la voix.

Elle fait écho à Lucie qui a cessé de branler les deux gros manches qui l’entouraient pour les enfiler. Elle est assise sur Pierre alors que Patrick lui éclate l’anus. Viviane aussi, du reste se fait prendre l’anus, mais pas par le même gabarit ! Anne, quant à elle, finit de jouir sur la bite de Yann.

Alice et Corinne ne sont pas en reste à entendre leurs propos et elles ne tardent pas à se laisser submerger par leur émotion !

Lucie, l’adepte de l’extrême est servie ! La chatte défoncée par le chibre de Pierre et le cul éclaté par Patrick, dont la bite a le diamètre d’un jésus, elle est aux anges !

– Tu aimes te faire trouer le cul, hein ma salope ! Dit Patrick entre deux halètements.
– Ho, oui ! J’adore ça, j’ai la chatte et le cul remplis, c’est super ! Je m’éclate !
– Moi aussi, dit Anne. J’ai pris un super pied, ton mec à une queue d’enfer !
– Vas-y, ouiiiiiii ! Hooo, c’est bon ! Allez, allez, Je viens, haaaaa ! Quel bonheur ! ! s’exclame Viviane interrompant les discussions en cours par ses exclamations.

Alice et Corinne se complimentent sur la qualité de leur langue et le goût de leur foutre.

– Yesss ! Moi aussi, je viiieeens ! Crie Lucie allez, les mecs bourrez, bourrez, c’est bon je jouiiiiis !
– Moi aussi, moi aussi ! Hou là, là ! C’est bon, putain ! Haaaaaaaa !

Voilà, toutes nos femmes ont joui, il ne reste que nos queues à vider. Le seul mâle à s’être vidé les burnes ce soir, c’est Sucre ! !

Notre frustration ne dure qu’un temps, nous avons parmi nous des amatrices de sperme, dont Anne, qui réclament d’être abreuvées de ce nectar.

Anne, s’agenouille devant Pierre et astique le manche jusqu’à obtenir le breuvage espéré. Elle avale tout ce qu’elle a en bouche, lèche les gouttes tombées sur sa main ou restant accrochées au gland et passe au suivant, Patrick, qui bande mou, depuis qu’il a quitté le cul de Lucie. Elle s’y attaque avec autant d’ardeur et obtient rapidement ce qu’elle souhaitait, mais orientant mal la queue, le premier jet explose sur sa joue. Elle rattrape le coup en mettant le sexe en bouche, le reste de la salve finit au fond de son gosier !

Alice, qui aime aussi boire le jus de couille, s’occupe de Yann et Mick, en même temps, un dans chaque main. Connaissant les artistes, elle sait que Mick sera le premier à jouir. Elle ne se trompe pas et ce sont trois jets puissants qui lui remplissent la bouche. Yann ne tarde pas et explose avant qu’elle ait fini d’avaler, elle récupère ce qui coule sur son menton du bout de la langue et avec un doigt.

– Et toi mon coco, m’interpelle Viviane, tu n’as pas eu droit à ta pipe ?
– Il semble que non ! Mais c’est pas grave, écartes les cuisses, on va faire autrement.

Viviane ne se fait pas prier et ouvre largement se longues jambes, exhibant sa vulve épanouie par la multitude de pénétrations qu’elle a subi (comme les autres du reste) depuis hier ! Je me branle rapidement le temps de retrouver un minimum de rigidité et enfile le con béant. C’est bon, c’est chaud, bien mouillé, ça m’excite fort. Je me démène à fond, ne cherchant pas à me retenir puisque le but est de jouir. En trois minutes mon affaire est faite ! Je lâche ma purée, ce qui réjouit Viviane qui me tient par les fesses.

– Ha, bien voilà ! Ça fait du bien, non ?
– Oui, excellent, c’est bon de se dégorger le poireau !
– Finalement, j’essayerai bien de me faire lécher pas la bestiole pour savoir ce que ça fait !
– Ne te prives pas, il est là pour ça ! Dis-je. Attends, je te l’amène.

J’appelle Sucre, qui s’approche tout frétillant et le pousse à ma place entre les jambes de Viviane. Ni une ni deux, il se met à lécher l’entrecuisse dégoulinant de foutre et de sperme, à grands coups de langue rapides.

– Houuu ! Mais c’est bon ! Hé, les mecs, vous avez des leçons à prendre, sa langue est très efficace !
– Hé bien, tu vois ! Tu aurais eu tord de ne pas essayer ! Génial, non ?
– Hooooo ! Ouiiiiiii ! Non de Dieu, il va me faire jouir, ce con ! Haaaaaa ! Ça y est je viens ! Hummm !
– A qui le tour ? Demandé-je.
– Moi ! Je veux bien essayer aussi ! Lance Lucie.

Le contraire m’aurait étonné ! Toujours prête à toutes les expériences, la mère Lucie !

Je guide Sucre jusqu’à elle, elle s’ouvre comme une fleur à l’heure de la rosée, accueillant la langue avide de l’animal qui ne se fait pas prier pour nettoyer l’entre-jambes de toutes les traces de foutre qui la souillent. Mais l’action de la langue, provoque une abondante sécrétion de ce nectar, ce qui fait que Sucre ne se lasse pas de lécher et obtient, très vite, l’effet escompté : Lucie part dans un violent orgasme qui la secoue de la tête aux pieds.

Le chien excité par deux léchages successifs est en érection et tente l’assaut. Lucie dans sa transe ne s’en défend pas et relève les jambes, ce qui met sa vulve à portée de la bête qui lui grimpe dessus. Le vit, rouge, du chien s’enfonce dans le sexe ouvert à cette pénétration. L’animal s’active et se répand en elle, bien avant qu’elle ait atteint son plaisir et la voilà qui réclame d’atteindre l’orgasme. Le problème, c’est que plus un mâle ne bande dans l’assistance. Alice, en bonne copine, file récupérer un gode et l’enfonce dans le con trempé et ramone la belle jusqu’à obtention de la jouissance espérée.

– Ha ! Putain ! Comment ai-je pu faire ça ? Mais quelle excitation ! Houaa ! Quel pied !

Tout le monde se marre et sur cet ultime orgasme, nous décidons que la soirée peut se terminer sur un dernier verre que nous sirotons avec plaisir avant d’éteindre la lumière, repus et rompus !

Cette année aura été un révélateur pour tous les acteurs présents en cette fin de soirée, période de découverte fondamentale dans notre quête du plaisir. En quatre mois, nous aurons, tous, fait la découverte d’une multiplicité de facettes du sexe, tout en considérant que nous sommes encore des amateurs et que certains aspects, qui nous attirent plus que d’autres demandent à être plus fouillés. Ce sera notre crédo pour l’année qui démarre.

A l’année prochaine, peut-être !

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7 réponses à Nouvelle année 8 – La Saint Sylvestre par Lovelace

  1. Chastaing dit :

    Il est insatiable, ce chien ! 😉

  2. Roque dit :

    « Tout le monde se marre et sur cet ultime orgasme, nous décidons que la soirée peut se terminer sur un dernier verre que nous sirotons avec plaisir avant d’éteindre la lumière, repus et rompus ! » J’adore !

  3. Muller dit :

    Orgie joyeuse, orgie baveuse ! comme disait Coluche

  4. Darrigade dit :

    C’est vraiment joliment raconté, même le passage zoo est parfaitement intégré dans le délire.

  5. Baruchel dit :

    C’est bien comme ça que je conçois les fêtes, du sexe, du sexe et encore du sexe. Bravo à l’auteur

  6. Sapristi dit :

    Eh bien mes amis quelle partouze, tout le monde s’enfile dans la joie et l’allégresse, à lire d’une seule main !

  7. Lucia dit :

    C’est gentil d’inviter le chien au réveillon, je retiens l’idée !

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