Je suis une femelle salope 7 – Nouvelle rencontre à Soissons par Françoislave

Je suis une femelle salope
7 – Nouvelle rencontre à Soissons
par Françoislave

Nouvelle rencontre mercredi dernier via une annonce passée sur un site Gay de rencontres. Un homme intéressé me laisse son téléphone. Je le rappelle, il habite à un peu plus de 100 km de chez moi mais le désir de prendre une queue entre mes fesses est tellement fort que je le rappelle et nous convenons d’un rendez-vous devant la gare de Soissons.

La route se passe rapidement et j’arrive pile à l’heure devant la gare. Coup de fil, « oui, j’arrive dans cinq minutes » me répond-il. Cinq minutes après, une camionnette se range à côté de moi, un type à l’air sympa baisse la vitre et me dit

– « C’est moi, suis moi, j’habite à quelques kilomètres du centre.

Aussitôt dit, aussitôt fait, il démarre et je le suis. Une dizaine de kilomètres plus loin, je le vois tourner dans un chemin pavé à l’entrée d’un hameau et se diriger vers un bâtiment, une distillerie désaffectée m’expliquera-t-il après. J’avoue que j’ai un instant de panique, c’est l’endroit idéal pour me faire agresser. Qu’importe, je me gare à côté de sa voiture, il est en train de regarder le courrier dans sa boîte, ce geste anodin me rassure.

Je rentre avec lui dans l’appartement et nous faisons connaissance. C’est un gars baraqué, l’air souriant, et nous discutons quelques instants avant de passer dans la chambre. Je suis déjà nu et lui se couche en slip sur le lit. J’ai préparé un préservatif et le pose à côté de lui, et lui enlève son slip. Une belle queue apparaît, déjà dressée et prête à l’emploi.

Je la saisis d’une main et de l’autre je lui caresse les couilles qu’il a bien poilues. Puis je le gobe l’une après l’autre en les suçant amoureusement, une de mes caresses favorites. Je les suce et les lèche alternativement puis je remonte sur la hampe de sa bite vers le gland, il semble apprécier. Je lui enfile la capote et entreprend de le sucer jusqu’aux couilles, à la limite du haut le cœur, elle est bien dure, juste ce qu’il faut en diamètre, je le suce, tantôt vite , tantôt lentement, je lèche le gland, la hampe, puis je recommence mes va-et-vient sur la tige, il grogne de plaisir.

Au bout de quelques minutes, je n’en peux plus, j’ai envie de la sentir dans mon ventre, je la tiens bien serrée d’une main et je m’accroupis au dessus de son ventre, j’ouvre le tube de lubrifiant et m’en colle une grosse noisette sur la rondelle et enfin je m’assois sur sa queue. C’est tellement bon de la sentir me pénétrer que je crie de plaisir et commence à aller et venir sur elle. Il apprécie mes mouvements et m’encourage de la voix tout en me caressant les tétons. Je le baise avec sa queue, je suis heureux de me sentir femelle sur mon mâle, je m’assois jusqu’à sentir ses couilles contre mes fesses puis me relève jusqu’à ce que le gland sorte presque de ma rondelle, et ainsi de suite, un long moment.

Au bout d’un certain temps, il de demande de me mettre sur le côté et recommence à me baiser en me prenant dans ses bras. La position fait qu’il me pénètre plus profondément encore et me bourre comme jamais je ne lai été encore par un homme. Par moment, je le sens proche de la jouissance, puis alors il ralentit ses mouvements pour durer et me pénètre plus doucement tout en me caressant les fesses.

Puis il me fait mettre à plat ventre et recommence à me défoncer, de toutes ses forces, en haletant, presque brutalement, au point que je lui demande de me lubrifier à nouveau.

– « Pas la peine, tu es bien lubrifié comme ça » me répond-il en me bourrant de plus belle.

Le jeu dure plusieurs minutes, je suis aux anges mais en même temps je commence à avoir mal aux reins car il fait son poids le bougre. Je lui dis et il me fait mettre à quatre pattes sans arrêter de m’enculer.

Il jouit enfin dans mes fesses et se retire avec un grognement, la capote est souillée tellement il m’a mis profond et je lui apporte du sopalin pour se nettoyer.

Nous discutons ensuite, allongés l’un contre l’autre, j’ai envie de le reprendre en bouche tant sa queue est appétissante mais en même temps il m’a crevé et les choses en restent là.

francoisalbertbi@yahoo.fr

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *