Annick et Léna 2 – Annick, Léna et Marc par Docilamant

 

Annick et Léna
2 – Annick, Léna et Marc
par Docilamant

Annick, Léna et Marc

Soudain il y eut un coup de sonnette.

– Va ouvrir, dit Annick après avoir regardé dans l’écran du portier automatique. A peu près nu, un plug anal en place et des anneaux sur le sexe, je m’exécutais et tombais en face d’un homme jeune, peut-être 35 ans. La voix d’Annick se fit entendre dans le haut parleur :

– Bonjour Marc, entre. Tu vas prendre une douche et Eric va te conduire à la salle de bains et ensuite c’est lui qui va te préparer et t’équiper exactement comme lui. Ton petit paquet se trouve sur l’étagère dans la salle de bains.

Marc était très surpris mais ne discuta pas. Il m’expliqua :

– Je couche avec Annick depuis 6 mois. Elle m’a invité pour le week-end sans me dire pourquoi.

Il commença à se déshabiller ce qui, compte tenu de ma nudité, me mit un peu à l’aise. Gêné que je sois dans la pièce à le regarder, je le rassurais :

– Je crois que nous allons devoir nous y habituer. Veux-tu du vin, cela te détendra?

Je lui versai un verre et il le vida. Nu, il prit une longue douche dans la grande salle de bains sans cloisons et sachant que nous nous regardions mais étions dans la même situation, nous nous détendîmes. Nous nous mîmes à rire en voyant nos sexes qui se mettaient en érection. Regardant mon sexe dans le slip en résille il me dit :

– Tu sais c’est la première fois que je vois un homme en érection en vrai.

Je lui avouais :

– Moi aussi, surtout à cause de moi! Si tu as fini ta douche, j’ai pour instruction de te passer un anneau sur le sexe et les couilles et de te dilater l’anus pour te pluger. Autant le faire tout de suite et aller retrouver les femmes.

Je m’accroupis devant son sexe et lui passai l’anneau en silicone, aussi doucement que possible. Je ne pus m’empêcher de lui dire :

– Elle est belle et douce.

Laissant une main sur son sexe, je glissais mon bras entre ses jambes puis un doigt dans l’anus, puis un second.

– Tu es gentil, tu es très doux, je me sens en confiance, dit-il.
– Je ne te fais pas mal ? Il est presque introduit?

Le plug noir que j’avais appliqué sur l’anus, dilaté maintenant à 3 doigts, s’enfonça et Marc gémit :

– C’est bon. Tu en as un?
– Oui depuis deux heures. A chaque fois que je bouge, je le sens. Le plaisir est immense.

Je lui passais enfin le slip en résille emprisonnant maintenant son membre tendu. Celui-ci m’attirait et j’aurais voulu l’embrasser mas je n’osais pas. Marc devina mes pensées et me dit :

– Au point où on en est autant se donner tous les plaisirs possibles non ? Sens-toi libre avec mon corps.
– Toi aussi répondis-je, fais ce dont tu as envie.

Il avança sa main vers mon sexe également tendu, mais douloureux maintenant à force d’érection, et le caressa doucement à travers la résille noire.

– Viens, dis-je, elles vont nous attendre. Nous gagnâmes le salon. Les deux femmes en latex, un verre de vin à la main se tournèrent à notre arrivée.
– Vous êtes propres ? Vous avez fait connaissance ?

Remarquant les lèvres qui s’échappaient du slip fendu et largement ouvert et mouillé d’Annick, je risquais une plaisanterie.

– Vous aussi non ?

Immédiatement Annick se tourna vers moi et me gifla. Marc voulut prendre ma défense devant la gifle osée par sa maitresse, mais Léna le gifla à son tour.

– Tiens çà t’apprendra !

Et s’adressant à moi, elle ajouta :

– Puisque tu as remarqué que le latex d’Annick n’était pas convenablement disposé, ajuste-le et caches bien son sexe.

Je me penchais et ajustais avec les dents les berges de la fente du slip. Elle sentait bon et je ne pus me retenir de la lécher. Léna se tourna vers Marc et lui dit :

– Fais en autant, tu attends quoi ?

Marc s’exécuta. Nous étions à genoux tous les deux, dominés par les poitrines des femmes. Lena chercha la bouche d’Annick et elles s’embrassèrent en se pinçant les seins pendant que nous les léchions de toutes nos forces. En se rapprochant elles se firent face et nous obligèrent à abandonner nos proies. Nous nous retrouvâmes face aux anus des dames que nous commençâmes aussitôt à pénétrer de nos langues et à lécher avec ardeur. Interrompant leurs baisers mais pas leurs caresses, Annick dit :

– Ils ont été plutôt mignons là. Ils ont droit à un peu de plaisir je crois. Lena ajouta :
– Vous avez bien fait connaissance dans la salle de bains? Vous n’avez plus de secrets? Embrassez-vous alors les petits. Là maintenant !

Marc se releva, je le suivis et nous nous approchâmes l’un de l’autre. Nos sexes tendus dans les slips transparents se touchèrent et nous joignîmes nos lèvres. Je lui caressais la nuque et nos langues se mêlèrent. Ses mains vinrent sur mes hanches puis mes fesses. Nous primes vite goût à ce baiser et nous nous frottâmes l’un contre l’autre.

– Ça suffit glapit Lena.

Elle nous tendit une bouteille de vin. Je bus au goulot et tendis la bouteille à Marc. Je craignais les effets différés de l’alcool et savais que nous risquions de perdre le contrôle et d’aller beaucoup plus loin. Les femmes s’étaient reversé un nouveau verre et nous regardaient, Lena une main sur les fesses d’Annick, Annick une main sur le cou de sa maitresse. Je sentis la chaleur du vin, soudain, et me tournai vers Marc pour l’embrasser de nouveau. C’était parti nous allions avoir notre premier rapport homosexuel et sous la contrainte de nos partenaires respectives. Lena mit ses mains sur les hanches, nous regardant en riant, tandis qu’Annick se plaçait derrière elle, lui empaumant les seins plaquant son ventre sur ses fesses et se frottant voluptueusement contre elles.

– Très excitants ces mecs, fit elle.

Ma main glissa enfin vers le sexe de Marc. Je m’agenouillai et il me caressa la tête. Je descendis son slip au dessous de ses testicules et commençais à embrasser le sexe. La tête tournait. Je pris le sexe dans ma bouche en riant. Il s’accroupit aussi et me pinça le bout des seins m’arrachant un cri de plaisir

– Encore chéri.

Son sexe m’échappa je me jetais en avant pour le rattraper. Nous roulâmes par terre. Il avait le visage à hauteur de mes fesses. Il baissa mon slip soudain et écarta mes fesses. Je me sentais bien, confiant, sous le regard des femmes qui désormais se caressaient en nous insultant. Je sentis la pointe des talons aiguilles venir vers nous à plusieurs reprises mais sans nous toucher. Marc enfouit son visage entre mes fesses et je sentis sa langue pénétrer profondément mon anus encore dilaté. Je l’obligeai cependant à se mettre sur le dos et nous commençâmes à nous embrasser avec force, en 69, alternant sexe, couilles et anus. Les femmes fascinées s’étaient accroupies pour mieux voir tout en continuant à se masser furieusement. Puis elles se mirent elles aussi en 69. Très excités, nous nous redressâmes à demi et échangeant un regard nous contemplâmes les femmes tout en continuant à nous caresser.

– Viens, dit Marc.

Il plongea son index dans l’anus de Lena qui était sur Annick puis un deuxième doigt et fit rouler sur le côté les deux femmes. J’explorai Annick en même temps. Leurs anus étaient vaselinés et dilatés. Elles furent prises d’un simple coup de hanche qui leur arracha un cri. Marc me lança

– Il est bon le cul de ma femme hein?

Elles cherchèrent à se dégager mais nous les tenions solidement. Alors, elles s’abandonnèrent au plaisir des clitoris léchés et des ventres pénétrés profondément.

– Oui bourre-moi Eric, fourre-moi.

Et sentant monter les spasmes, Marc et moi éjaculâmes en même temps qu’elles jouirent. Instantanément elles se détendirent et s’effondrèrent. Au lieu de me retirer, je restais dans l’anus d’Annick et débandant rapidement j’urinais sans le vouloir tout le contenu d’une vessie remplie depuis plusieurs heures. Annick émergea seulement pour dire

– C’est bon, c’est chaud, continue salaud.

Ayant terminé enfin apaisé, je me retirais restant contre la compagne de Marc. Je réalisais que Lena avait son visage dans la chatte d’Annick et quelle avait du avoir un joli spectacle. Brusquement l’urine fut éjectée bruyamment d’Annick incapable de se relever et inonda tout sur son passage allant baigner et souiller le visage de Lena posé à même le sol.

– Je n’arrive pas à en faire autant à ta femme, grogna Marc.

Il décula et vint se placer au dessus du cul et du visage de Léna et pissa longuement la main sur la hanche avant de s’effondrer à son tour dans le mélange de corps, de latex et d’urine. Nous mîmes plus d’une heure à récupérer. Nous commençâmes à remettre en état le salon carrelé à grand coups de détergents et de serpillères. Nous ne nous étions pas changés et la vue des corps moulés dans le latex mais mouillés, souillés, nos slips en résille déchirés, nous excita vite tous de nouveau. Léna décida

– A la douche.

Nous partîmes en titubant encore un peu vers la salle de bains. Nous nous retrouvâmes nus tous les quatre sous la douche multijets, relaxante et chaude. Je regardai Marc qui retirait le plug discrètement et en fis autant. Je commençais à me laver quand je sentis les mains de Marc m’aider en s’occupant de mon sexe, qu’il décalottait en forçant puis recalottait en tirant sur le prépuce aussi complètement que possible. Je glissais mes mains savonnées vers ses hanches et ensuite ses fesses que j’écartais cherchant du doigt son anus. Je le caressais puis le pénétrait bientôt lui arrachant un soupir de plaisir lorsqu’il écarta les cuisses. Annick interrompit le long baiser quelle échangeait déjà avec Lena en même temps quelles se malaxaient les seins pour m’attraper par les couilles et nous forçant sèchement à interrompre nos caresses. De l’autre main elle prit son homme par les cheveux et le força à se mettre à genoux et guida mon sexe entre les fesses de Marc, mon gland trouvant tout de suite l’orifice dilaté et savonné.

– Bourres-le bien me lança-t-elle avec un sourire radieux. Vous avez l’air de bien vous entendre et il adore le plaisir que lui donne son anus.

Je cherchais à me retenir mais les contractions du cul de Marc, le plaisir qu’il prenait eurent vite raison de ma résistance. J’éjaculais en m’écroulant sur lui. Je me dégageais de son trou et me mis en levrette pour qu’à son tour il me prenne et puisse jouir. Je me laissais pénétrer, mon sexe douloureux l’érection tombant doucement, me laissant, les yeux fermés, tout au plaisir unique de la sodomie. Marc très excité jouit à son tour très vite après seulement quelques va-et-vient, en me prenant profondément. Les deux femmes s’accroupirent et commencèrent à nous laver lentement en nous caressant. Rapidement les caresses firent irradier une chaleur nouvelle dans nos corps. Marc m’embrassa longuement et je lui rendis son baiser. Puis Annick s’absenta. Elle revint rapidement vêtue d’un string en latex noir minuscule tenu par deux liens montant haut sur ses hanches ne cachant que le bas de son pubis épilé. Elle en donna un identique à Léna en lui ordonnant

– Cache ta fente, ma pute préférée !

Puis elle nous tendit, à Marc et à moi, un comprimé bleu ciel ainsi que la bouteille de vin.

– Avalez çà qu’on ne perde pas de temps sans bandaison. Léna debout enfila son string et les cuisses écartées pour s’exhiber, l’ajusta sur ses lèvres gonflées. Je bus une large gorgée de vin pour faire passer le comprimé et Marc m’imita en souriant.

– Du viagra me glissa t-il.

La vue par en bas des seins lourds de Léna, les tétons tendus, la main appliquant le petit bout de latex noir sur son sexe, me réexcitèrent aussitôt. Le vin aidant j’étais prêt à n’importe quoi, toute inhibition étant levée depuis longtemps, par ce début d’ivresse entretenue depuis plusieurs heures. Léna caressa le visage de Marc alors qu’Annick mit un doigt puis un second dans ma bouche et l’explora avant d’y mettre sa langue en me forçant à l’ouvrir à fond. Je compris que les deux femelles allaient échanger leurs amants. L’idée de baiser Annick devant Léna m’excita intensément et je commençais à masser, à malaxer les seins, à pincer les tétons dressés. Marc n’était pas en reste et je pouvais voir Annick qui regardait Léna se faire caresser par Marc, les fesses et les cuisses pétries vigoureusement. Annick me dit soudain :

– Je n’ai pas eu de dessert tout à l’heure.

Elle attrapa le bol de crème au chocolat et se massa le haut des cuisses et le sexe avec, langoureusement.

– Je ne risque rien mon sexe est bien à l’abri dans mon latex dit-elle en se contorsionnant pour badigeonner aussi ses fesses et la raie.

Je restais fasciné par le spectacle et m’attrapant par les cheveux elle m’allongea sur le sol humide de la salle de bain. Elle m’enjamba aussitôt et vint frotter son entrejambe sur mon visage. Je léchais comme je pouvais les chairs, le latex et la crème m’en mettant aussi partout sur le visage. La brutalité d’Annick grandit et elle cherchait maintenant à se masturber sur mon visage violemment. Elle jouit alors sans cesser de se frotter, en hurlant comme une folle. Léna se pencha pour lécher la crème qui restait sur le sexe et l’anus de sa partenaire. Marc suivit et lécha le sexe et le cul de Léna qui s’offraient désormais. Ecartant doucement Marc je pris de la crème et badigeonnai, à pleine main, l’entrejambe de Léna en mettant aussi sur mon doigt et en l’enfouissant dans l’anus, seul orifice libre de string, en écartant le petit lien avant de lécher avidement. Léna gémit :

– Prenez moi maintenant, tous les deux, puisque cette idiote a joui seule.

J’enfonçais mon sexe dans l’anus de Léna pendant qu’elle écartait le latex laissant libre son fourreau pour Marc. Tous les trois nous nous pétrissions, massions, tout en pistonnant. Les mouvements étaient saccadés. Je sentais le sexe de Marc venir contre le mien juste séparé par la fine cloison de chair, du mien. Je m’enfonçais avec délices dans l’anus de Léna.

– Défoncez-moi, salauds, allez plus fort, plus fort !

Enfin elle jouit et cela déclencha l’éjaculation de Marc suivie de la mienne aussitôt après. J’avais mal partout. La tête en feu je vacillais et finalement m’écroulais sur le sol, le visage sur le sexe d’Annick. Dans un demi-sommeil, celle-ci ouvrit les cuisses dégageant son sexe gainé de latex noir. Je mordis doucement à travers le latex les lèvres et sentis les mains prenant mes cheveux pour plaquer encore plus fort mon visage et mes dents sur le sexe. Je réussis à introduire ma langue le long du string, ma main derrière et introduisis un puis deux doigts dans l’anus que je fouillais longuement. L’odeur du latex, le goût du sexe enfermé et inondé de sécrétions prisonnières, rapidement m’excitèrent même si mon sexe n’était pas encore dur. Je léchais de plus en plus fort le clitoris, déjà gonflé maintenant. La main qui n’était pas occupée dans l’anus d’Annick pinça les lèvres couvertes de latex, arrachant de petits cris. En érection complète maintenant, je me hissais sur Annick, tentant d’écarter le string serré pour introduire mon sexe dans le sien. Je pris appui sur les seins pour m’introduire dans le conduit qui maintenant m’accueillait. Annick plaqua mon visage sur le sien introduisit sa langue dans ma bouche y amenant autant de salive quelle pouvait puis frotta son visage trempé contre le mien. Je fis venir moi aussi de la salive que je laissais couler sur le visage et les seins, tout en limant de toutes les forces qui me restaient cette femme si avide de plaisirs sexuels. Nous réussîmes à jouir en même temps, douloureusement, sous le regard heureux de nos partenaires réciproques avec seulement l’idée de recommencer, mais sans en avoir la force.

La fatigue nous entraina dans le sommeil tous les quatre, enlacés, vaincus par nos pratiques sexuelles. Vers 19 heures, les femmes se levèrent et quittèrent la salle de bains. Nous entendîmes des douches quelque part dans la maison et des conversations téléphoniques atténuées. Coup de sonnette, portes qui claquent, bruit de vaisselle. La vue de Marc allongé par terre sur le ventre, endormi, les cuisses écartées, me fit tendre la main et lui caresser doucement le dos, ce qui déclencha bientôt une érection intense chez moi et chez lui, comme je pus bientôt le voir, lorsqu’il se retourna langoureusement sur le dos en me souriant.

– Il vaut mieux que l’on s’apprête. Il doit être tard et nous n’allons sans doute pas tarder à dîner.

Nous nous douchâmes lentement et rasés parfumés nous cherchions des vêtements. A l’entrée de la salle de bains sur une patère des cintres portaient des vêtements en latex. Une rapide inspection nous apprit qu’ils étaient sans doute mettables: 2 pantalons et 2 tee-shirts. Les pantalons étaient munis d’un zip permettant de dégager tout l’entre jambe du sexe jusqu’à l’anus. Très serrés, très moulants, nous avions eu quelques difficultés à les enfiler mais y étions parvenus avec le sentiment d’avoir une nouvelle peau noire et brillante qui ne laissait rien caché de nos anatomies.

– Tu es très beau dis je à Marc en lui caressant la nuque.
– Toi aussi, viens, répondit-il en me prenant par la taille pour m’emmener vers le salon.

fin de l’épisode

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2 réponses à Annick et Léna 2 – Annick, Léna et Marc par Docilamant

  1. Judix dit :

    Merci Claire pour cette critique, je n’aurais pas dit mieux et puis comme ça, je n’ai pas besoin de chercher mes mots

  2. Claire dit :

    Malgré de très bon passages très chaud , le récit souffre de la neutralité psychologique des personnages. Notamment les hommes, qui se lancent dans une première expérience bisexuelle avec la même nonchalance que s’ils allaient acheter du jambon. C’est quand même dommage.

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