Flot-rence 2 – Première écluse par Aengus danna

 

Flot-rence
2 – Première Ecluse
par Aengus danna

Depuis ma rencontre avec Florence, quinze jours auparavant, je n’avais pas eu de nouvelle d’elle et cela commençait à m’ennuyer. J’avais de plus en plus de mal à attendre mais je sentais que si je faisais le premier pas il risquait de ne pas lui plaire. Je consultait mes mails dix fois par jours à la fac et dès arrivé chez moi me connectait sur le forum d’économie ou sur le chat où on s’était rencontré. Je me rappelle encore de mon excitation lorsque je vis ce mail arrivé. Il était à la fois soulageant car mettant une pause à mon attente et mystérieux :

« Réserve ton mercredi soir, j’ai rien à faire… D’autres infos plus tard. »

Nous étions lundi et il me fallait encore attendre deux jours. Mais à ce moment je n’en pouvais plus rien que de m’imaginer dans ce lit derrière moi avec Florence, mon sexe ne teint plus et forma une impressionnante bosse dans mon caleçon. Bosse que je soulageai sans retenue en lisant et relisant le mail. Tellement excité que j’en arrosai le clavier dont certaines touches ne s’en remirent pas. Si bien, que le lendemain, je vérifiais et re-vérifiais mes mails mais rien. Au matin du mercredi en question alors que je consultais ma boite pour la deuxième fois en vingt minutes le mail tant attendu arriva :

« Rendez vous ce soir 23h35 Quai de Jemmapes au niveau des bureaux des services techniques. Si tu as aimé la dernière fois, tenue blanche de rigueur »

Le mail m’émoustille et pas question de rater le rendez vous. Je réponds donc que je serais présent. Trente secondes après la réponse est là :

« Je m’en doutais ! »

Toute la journée, des séquences se croisent dans ma tête. Ne connaissant pas les lieux il est difficile de me faire de vrais films et je n’ai pas eu le temps de vérifier l’endroit exact. Il me semble que c’est le long du canal Saint Martin mais je n’en suis pas sûr. Rentré chez moi après les cours, je relis une énième fois le mail et me rend compte à ce moment que je n’ai pas de pantalon blanc. Je ressors donc afin de m’acheter un jogging blanc, ce n’est pas ce qui me va le mieux mais autant ne pas contrarier Florence. Il est 22 heures, je pars de chez moi et me mets en chemin à pied, histoire de marcher un peu pour que l’attente soit moins longue. J’arrive Canal Saint Martin, avance et trouve enfin le lieu. Il est 22 h 30, encore une heure à attendre. Je jette un œil pour voir si Florence ne m’attendrai pas mais bien sur elle n’est pas la.

Nous sommes aux portes de l’hivers et je ne me suis pas trop couvert alors au lieu de patienter dans le froid je vais m’installer dans un troquet à deux pas et laisse passer l’heure en buvant un demi après l’autre. Au bout de trois il est enfin temps d’y aller. 23 h 30 je patiente sur les quais. 23 h 35, je vois quelqu’un courir vers moi. Habillé d’un tee-shirt à manche longue vert moulant et d’une jupe de sport elle fait son footing. Elle s’arrête devant moi comme pour reprendre son souffle. Elle à les cheveux brun mi-long ruisselant de sueur et collant à ses joues rouge d’avoir couru. Elle se tourne vers moi :

« Tu attends Florence ? »

Etonné je m’entends répondre :

« Oui »

« Elle m’a dit de te laisser un cadeau, et que tu m’en offres un ensuite nous iront la rejoindre »
« Et que dois-je faire ? »
« Pour l’instant te laisser-faire »

A ce moment elle m’attire dans un recoin sous un escalier et écarte les cuisses en remontant sa jupe. Alors qu’elle me colle au mur, j’entraperçois dans la pénombre de l’éclairage public son entrejambes et alors que je m’attends à voir un sexe parfaitement épilé, énorme est la surprise quand j’entraperçois un sexe d’homme. De surprise et de gène je repousse cet humain qui s’approchait de moi.

« Surpris n’est-ce pas ? » me demande-t-il ?
« Oui, qu’est ce que c’est que ce délire ? »

« Tu es la dernière conquête de Florence alors tu ne la connais pas encore et tu ne connais pas ses délires. Saches seulement pour l’instant que si tu ne fais pas exactement ce que Florence a voulu que toi et moi nous fassions tu ne la reverras pas »

D’un coté choqué et de l’autre très intrigué, je ne savais pas quoi faire mais je savais que si je ne répondais pas vite toute l’attente emmagasinée se transformerait en frustration et donc il serait difficile de finir la nuit avec un mental intact.

« Et qui me dis que ce que tu vas me faire est bien ce que Florence désire ? »
« Parce que si je ne le fais pas, la caméra qui nous surveille aux alentours lui indiquera et alors je serais puni ou pire déclassé »

« Caméra ? Déclassée ? » Répétais-je interloqué.
« Oui Florence classe ses conquêtes, deux critères importent, le numéro qui indique l’ordre dans lequel elle nous a rencontré et la lettre qui indique notre intérêt pour elle, intérêt qui se calcule en fonction de notre soumission à ses désirs et à la capacité que nous avons d’assouvir ses plaisirs. Je suis 14H et toi tu es 39S. Nous commençons tous à Z et si tu en es déjà à S en une seule soirée c’est que tu as du mettre le paquet. Ce soir, si tu agis bien tu accédera à la lettre R, la lettre Q ne pouvant être accédée qu’après un stage intense avec Florence, un assistant ou une assistante. Je sais que ça fait très secte et très barge mais c’est tellement de plaisir que Florence nous offre qu’il serait dommage pour toi d’y renoncer. Sache que je vais compter jusqu’à 15 et si tu n’as pas pris ta décision tu n’auras plus de contact avec Florence ou aucun d’entre nous.1…2..3… »
« Et les caméras à quoi elles servent »répondis-je inquiet ?
« 4, à filmer nos expériences, 5, pour les mettre dans une vidéothèque, 6 que Florence utilise lors de ses stages de formation. 8.9.10. Mais elle ne sont 11 ni vendu 12 ni distribué13…14.

En entendant le 14 une pulsion en moi m’obligea à me décider

« Vas y »
« Alors laisse toi faire, et met toi à genoux »

J’entrepris de me mettre à genoux et le contact de la pierre froide à travers mon jogging ne mit pas longtemps à venir. L’homme que l’on nommait 14H s’avança et colla son sexe contre mon cou. Puis quelques secondes plus tard un flot chaud et de senteur fortement iodée se mis a coulé dans mon cou, s’infiltrant dans mon polo blanc, laissant des traces jaunes. L’urine continuait son parcours commençant à imprégner la ceinture de mon jogging, passant par-dessus, et coulant jusque dans mon caleçon. La sensation était étrange. Je sentais à la fois l’envie de repousser cet homme mais la sensation de chaleur qui s’infiltrait en moi me donnait envie de le serer plus fort. Quelques secondes plus tard je sentait au contact des premières gouttes mon sexe se mettre en érection. Que m’arrivait-il ? Comment pouvais je apprécié de me faire pisser dessus, et par un homme en plus.

« A toi maintenant » me dis il une fois terminé
« Que dois je faire »
« Ben me pisser dessus ! Et me dit pas que t’as pas envie avec les trois demis que tu t’es enfilé toute à l’heure tu dois avoir sacrement envie de te soulager »

Je me relevais faisant couler les dernière gouttes d’urine. Autour de moi une grande marque noire témoignait de l’envie énorme qu’avait déployé mon assaillant. Ce dernier pris ma place et entrepris d’ouvrir la fermeture de son col.

« Tu vises dedans t’en mettra moins à coté, avec la gaule que tu as sinon ça va être dur ! » en disant ça, il me plaqua une main sur le sexe que je dégageait aussitôt. Puis je sorti mon sexe et entrepris de vider ma vessie dans le col de cet étranger. Ce ne fus pas compliquer car comme il l’avait expliqué ma vessie était prête à craquer. L’homme en face de moi prenait un plaisir intense à se masturber en se faisant arroser puis quand il sentit que la source allait se tarir il en pris une gorgée qu’il recracha en me regardant stupéfait et une dernière gorgée qu’il avala. J’étais vraiment sur le cul. L’homme continuait à se branler, alors je voulu m’écarter.

« Ne bouge pas » et alors il se mit à me jouir sur les jambes.
« Ca faisait partie du programme » lui demandais-je ?
« Bien sûr sinon je ne l’aurais pas fait »
« Et que fait-on maintenant »
« On attend »
« Quoi »
« Le signal »

Il commençait à faire plus que froid et l’urine sur mon corps ne me réchauffait plus. Mes envies étant un peu redescendues, j’étais un peu pataud dans mon survêtement blanc taché au bord du quai à bientôt presque minuit.

« Tu vois la lampe en face »
« Oui »
« Ca veut dire qu’on peut y aller »
« Aller où ? »
« A l’autre bout du quai »
« Comme ça ? »
« Ben oui j’ai pas de vestiaire dans mon sac et puis ça fait partie de l’épreuve en plus il faut courir si on veut pas rater notre bus »
« Notre bus ? »
« Cours tu verras bien en arrivant »

Et la comme un con qui sait pas ou aller, je me suis mis à courir à coté de ce type qui venait de me pisser dessus mais dont je ne savais toujours pas le nom. Nous avons courus comme cela pendant cinq minutes avant de tomber sur le bus en question. C’était un vieux minibus à la vitre teintée, de couleur grise. Quand nous arrivâmes, la porte s’ouvrit 14H mentit tout d’abord puis je le suivis. J’entrais dans un bus très peu éclairé ou le chauffeur était habillé d’un costard. IL me lança un bonjour à la fois amical et charmeur. Je suivis 14H dans la partie arrière qui était séparée du poste de conduite par un rideau noir opaque. La « cabine » était dans la pénombre et au fond trônait Florence sur un fauteuil en cuir noir entourée de bougie.

« Bonjour, 32S » m’accueillit Florence d’un ton froid que je ne lui connaissais pas
« Je m’appelle. »
« Maintenant tu t’appelleras 32S et si ça ne te plait pas on demande au chauffeur et il s’arête et on se dis bye-bye. Ici il n’y a que moi qui ait un prénom comme à du te l’expliquer 14H. Mais avec moi on peu toujours s’arrêter mais c’est définitif. Maintenant 32S tu vas te foutre à poil histoire que mes compagnons et moi voyons qui nous acceptons entre nos seins pour ainsi dire »

Elle avait un ton dur de maîtresse et je n’avais pas vraiment l’habitude. Je tentais une plaisanterie mais ça ne la fit pas rire du tout.

« 10D tu veux bien calmer les humeurs de notre nouvel objet »
« Bien sur Florence »

Une petite brune à la peau blanche habillée de bottes en cuir et d’un bustier rouge s’avança vers moi tout en sortant un couteau de sa botte. Elle me plaqua contre le poteau qui était derrière moi. Elle découpa de geste habile mes vêtements en lambeaux avant de me faire basculer en avant. Puis elle me passa la tête dans un anneau en faire qui se situait aux pieds de Florence. Cette dernière commença

« Ça va mieux maintenant, pour te punir tu va me lécher les pieds mais attention à faire cela correctement pendant ce temps la ton corps est aux mains et simplement aux mains de nos amis. »

Je ne voyais que les pieds de Florence qu’elle venait de retirer de ses escarpins et j’entrepris donc de les lécher en prenant bien soin de n’oublier aucun recoin. Pendant ce temps la des paires de mains se glissaient, sur moi, mais je ne voyais pas les corps, je sentais des doigts pénétrer mon cul, des mains caresser ma bite qui était parfaitement au garde à vous, je sentait que des secrétions commençaient à me recouvrir car les mains les déposaient tour à tour.

Au bout d’un moment Florence se leva et toutes les mains se retirèrent. Puis je sentis une main ferme saisir ma bite, je supposai que c’était celle de Florence. Elle ne mit que quelques dizaines de secondes pour que je jouisse, mon sperme maculant le sol. Florence passa sa main dedans puis me recouvris le visage avec tout en faisant passer sur une position allongé sur le dos, la tête toujours dans l’anneau. Au même moment, je sentis le bus s’arrêter et Florence de rajouter :

« Finis pour ce soir, vous pouvez vous videz avant de sortir »

Les protagonistes passèrent donc les un après les autres en me disant bonsoir et en pissant dessus en commençant par 14H qui n’avait pas grand-chose à vider. D’autres furent beaucoup plus généreux. En comptant 14H et Florence ils étaient 9. Je nageais donc dans une cuvette de pisse. Florence avant de partir me vida elle aussi sa vessie dessus et pour terminer m’offrit un baiser

« A demain 39R. »

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Une réponse à Flot-rence 2 – Première écluse par Aengus danna

  1. Claire dit :

    L’auteur devrait arrêter de fumer la moquette ! C’est vraiment du grand n’importe quoi

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