Surprise, surprise !
par aquoisatesert
J’avais passé toute la soirée sur une « love boat » avec des amis. Il s’agit de soirées qui ont lieu sur un bateau transformé en club, sur le lac Léman. Toujours une ambiance folle. Je m’apprêtais à prendre le volant de ma voiture quand j’aperçus une charmante demoiselle devant le capot ouvert de sa Saxo. Je ne peux m’empêcher d’aller lui demander si elle avait besoin d’aide.
– Je peux vous aider ?
– Je ne sais pas, elle ne veut pas démarrer (elle a un fort accent, portugais peut-être).
– Je ne suis pas mécanicien mais je veux bien regarder.
– Merci, tu es gentil.
Elle me tutoie directement, elle a le contact facile.
Pendant que je diagnostiquais, je l’ai observée un peu plus. Elle est grande, surtout avec les hauts talons. Elle a de longs cheveux blonds, les yeux clairs, une bouche pulpeuse et une paire de seins… Un vrai fantasme !
Rapidement, je constate que c’est un problème électrique ou électronique. Les fusibles étant bons. Je ne peux pas faire grand-chose de plus.
– Tu habites loin ? Je peux peut-être te rapprocher ou te ramener ?
– Lausanne.
– C’est sur ma route, je rentre sur Genève, je peux te déposer si tu veux ?
Après une hésitation :
– Tu es sûr que ça te dérange pas ?
– Je t’ai dit, c’est sur ma route.
– Ok, je prends mon sac à main.
Et nous voilà partis, nous discutons de tout de rien. J’apprends qu’elle est brésilienne et qu’elle est secrétaire pour une multinationale fortement implantée au Brésil.
Je l’observe. Elle est vraiment belle, attirante et intrigante à la fois. Il y a quelque chose de magnétique avec elle. Elle porte une robe blanche courte et très moulante. Elle est vraiment sexy. Je lui propose de s’arrêter dans une boulangerie, pour prendre des croissants. Renata, elle se prénomme ainsi, accepte en disant qu’elle en connaît une très proche de chez elle. Elle me guide jusqu’à la boulangerie. Après m’avoir acheté croissants et pains au chocolat, pour me remercier, elle me propose spontanément de les prendre chez elle avec un café.
Je serai stupide de refuser ! Une créature magnifique me propose d’aller boire un café chez elle, j’essaie de ne pas trop fantasmer sur la suite des événements.
Je trouve une place de parc et nous nous dirigeons chez elle. En montant les escaliers, j’ai tout le temps d’admirer son cul ! Mon bas ventre commence à présenter des signes manifestes d’excitation.
Arrivés chez elle, elle m’indique où se trouve la machine à café et me dit qu’elle veut juste prendre une douche car elle sent la fumée et qu’elle a beaucoup transpiré en dansant. Pendant ce temps, je prépare du café. J’entends la douche et je l’imagine nue… ça n’arrange pas mon excitation ! Heureusement, je porte un jean et avec une bonne ceinture, cela ne se voit pas trop.
Je pose les cafés sur la table et je m’installe confortablement dans le fauteuil du salon. Je commence à rire tout seul: je repense à la pub Citroën: « Vous ne savez pas tout ce que Citroën peut faire pour vous « … Merci la Saxo en panne !
Un mouvement me fait revenir à la réalité. Elle est là dans une nuisette noire très transparente. Elle a vraiment des seins magnifiques.
– J’ai envie de te remercier à ma manière, me glisse-t-elle avec un sourire malicieux
Sans attendre ma réponse (j’ai le souffle coupé par ce que je viens d’entendre et ce que je vois, la voilà déjà à en train d’enlever ma chemise, en frottant ses seins contre moi. Ils sont fermes, visiblement « siliconés » mais le résultat en vaut la peine. Mon pantalon et mon boxer ne font pas très long…
Elle se met à genou devant moi et commence à me caresser mon sexe avec délicatesse, puis elle me prend dans sa bouche. Pendant qu’elle commence à me sucer, elle lève les yeux et me regarde droit dans les yeux… Un regard de vraie salope ! Elle me tête, m’aspire le gland avec force et expertise. C’est divin. Je suis ivre de bonheur, je me laisser aller et je me retrouve bientôt totalement couché sur le dos, juste la tête relevée. Soudain, alors que je suis proche de la jouissance, elle s’arrête, se lève sans un mot et vient se mettre à califourchon sur moi. Ses jambes posées sur mes bras, les immobilisant totalement.
– Avant d’aller plus loin, j’aimerais savoir si tu acceptais d’être mon objet de plaisir pour cette nuit ? Tu me feras et je te ferai tout ce que j’ai envie ?
– Euh, bien sûr… Mais pas de SM ou de choses sales.
– Non, non. En gros, je veux que tu me fasses jouir avec ta langue et je veux te faire l’amour comme tu l’as probablement jamais fait…
Elle a toujours ce sourire malicieux, quel homme pourrait dire non à cela ?
– Ferme les yeux ! Tu n’ouvres les yeux que quand je te le dis, ok ?
Je ferme les yeux. Je la sens bouger, elle doit enlever son string.
– Ouvre la bouche et tend la langue.
Et me voilà bouche ouverte à attendre sa chatte. Je sens quelque chose en plastique.
– Ouvre les yeux .
–
Je découvre qu’elle a placé un gode de forme assez réaliste sur ma langue ! Quelle surprise !
– Mais pourquoi ce gode ?
– J’ai envie que tu le suces avant que je joue avec, c’est tout. Alors, suce-le comme je te l’ai fait avant.
Et me voilà en train de sucer un gode en forme de phallus. C’est une vraie allumée du cul visiblement.
– Eh, j’y ai mis plus de conviction, applique-toi !
Je m’exécute sans rien dire et me voilà en train de sucer véritablement ce gode.
– Voilà, c’est bien ! Tu es doué avec ta bouche et ta langue. Je crois que tu vas pouvoir me faire jouir avec ta langue. Ferme les yeux et ouvre la bouche, on va changer de jouet.
Je ferme à nouveau les yeux et à nouveau je la sens bouger, se contorsionner. J’attends la bouche ouverte et les yeux fermés. Ce petit jeu dure une bonne minute, voir plus. Puis, elle place un autre gode sur ma langue.
– Commence à le sucer mais les yeux fermés cette fois.
Je m’exécute. Je constate tout de suite que la matière est différente. Elle m’encourage à bien le sucer, à l’aspirer et… à garder les yeux fermés. On dirait qu’elle a mis un préservatif sur son gode. J’ai même la curieuse impression que ce gode grandit, qu’il devient plus dur.
– Tu peux ouvrir les yeux maintenant.
Et là… la stupéfaction ! C’est une vraie bite ! Elle a une bite, avec un préservatif, mais une vraie bite !
Je veux me dégager, mais elle a toujours ses jambes sur mes bras et ma tête est coincée par le dossier du fauteuil d’un côté et par sa bite de l’autre. Je ne peux pas bouger.
Elle pose sa main droite sur l’arrière de ma tête et appuie fermement.
– Suce ! dit-elle avec autorité. Cela n’avait pas l’air de te déplaire, il y a quelques secondes. Alors continue !
– Mmmunmum (c’est à peu près le son qui a du sortir de la bouche.
– Tais-toi ! Suce. Ajouta-t-elle, en commençant à bouger son bassin contre ma tête.
Elle est en train de baiser ma bouche ! Alors que je reste passif, elle fait entrer de plus en plus de sa bite dans ma bouche. Je commence à observer cette bite qui va et vient sur ma langue. Elle est vraiment grande, très grande. Je n’ai pas une règle à portée de main mais elle fait bien 20 cm.
– Bon, tu te décides ou je dois t’enfiler un gode dans ton petit cul ?
La menace porte ses fruits, je me résigne et je commence à la sucer de moi-même.
– Comme avant, tu aspires bien fort.
Résigné, je m’exécute sans rien dire (bien qu’avec cet engin dans la bouche, je ne suis pas sûr que je puisse sortir un mot !).
Après quelques hésitations, je commence à la téter et aspirer de plus en plus fort son sexe. Je finis par me prendre au jeu.
– On dirait que tu aimes ça, petite salope ! me lâche-t-elle en me fixant dans les yeux.
Curieusement, ce commentaire m’excite et j’utilise ma langue pour accentuer la pression contre son gland. Elle me pince les tétons et j’adore ça. Ses gémissements m’encouragent. Je commence à apprécier de la sucer.
Je continue à soutenir son regard pendant que je la suce de plus en plus vite, de plus en plus fort.
– Tu es une vraie salope ! J’aime ça.
Soudain, elle se retire d’un geste brusque et enlève le préservatif… Je la regarde surpris, et c’est là que la première giclée de sperme atteint mon visage. Une deuxième, une troisième et une petite quatrième suivent.
Avoir plein de foutre de cette magnifique créature sur mon visage, m’a considérablement excité. Elle me passe un linge pour m’essuyer et tout naturellement se met à genou et recommence à me sucer.
J’ai l’esprit sans dessus dessous. Je ne comprends pas très bien ce qui m’arrive. Mais c’est un véritable délice de se faire sucer. Alors qu’elle me suce, elle commence à me masser mon petit trou. Après un soubresaut, je me laisse faire. Je sens un liquide visqueux contre mon anus, elle a dû mettre du lubrifiant. Elle glisse un de ses doigts et joue avec ma rondelle. Puis un deuxième doigt s’introduit. Elle me masse la prostate de ces deux doigts tout en me suçant. C’est divin ! Plusieurs fois, je suis prêt de jouir mais elle sait comment jouer avec moi.
Après un bon quart d’heure de ce traitement, elle se redresse, place un préservatif sur son sexe et l’avance vers ma bouche. Cette fois, pas d’hésitations, je la saisis. Je la masse puis je la prends dans ma bouche. Je la sens grandir dans ma bouche et cela m’encourage. Je la suce à nouveau à fond.
A ma grande surprise, elle se retire alors qu’elle n’était visiblement pas proche de la jouissance. Elle me regarde dans les yeux, s’avance, m’embrasse goulûment. Je lui rends son baiser. Elle me prend les deux chevilles et me soulève les jambes et les replie contre mes épaules. C’est alors que je sens son sexe contre ma rondelle.
– Laisse-toi aller, pousse et tu verras cela ne te fera pas mal, au contraire. Tu vas aimer, je suis une experte.
Je la regarde droit dans les yeux et lui fait un signe d’approbation de la tête. Elle recommence à m’embrasser, la pression de son sexe augmente de plus en plus.
– Relaxe-toi, laisse-toi faire, me glisse-t-elle avec douceur cette fois.
Cette fois je sens que je m’ouvre petit à petit. Son gland est passé. Une légère douleur aussi. Mais elle n’avance plus sa bite, elle patiente en m’embrassant et me tortillant les tétons. Puis, elle recommence son avancée tout doucement. Elle se retire légèrement, puis avance davantage. La douleur disparaît petit à petit. Elle continue inlassablement et finalement, je sens ses couilles contre mes fesses. Sa bite est entièrement en moi. D’abord avec un lent va et vient, puis en accélérant, elle me prend, de plus en plus fort. Ce traitement dure quelques minutes de bonheur.
– Mets-toi à quatre pattes, ma petite salope. Dit-elle tout gentiment.
Je me mets en position et attends avec impatience qu’elle me prenne. Je me retourne et je lui lâche :
– Prends-moi, prends-moi fort.
– Maintenant, je vais vraiment te baiser, ma petite pute.
– Oui, je suis ta pute, ta salope. J’ai envie que tu me prennes, comme une chienne.
Je n’arrive pas à croire ce que je viens de dire. Je suis en train de me faire en… par une femme magnifique et j’aime ça. Cette fois, elle y va plus franchement. Elle me prend par les hanches et s’introduit fermement d’un trait. Ce qui m’arrache un râle. Désormais, elle utilise ses mains sur mes hanches pour me faire coulisser sur son piston.
C’est une véritable furie qui se déchaîne entre mes fesses. Parfois elle se retire totalement, attend quelques secondes puis replonge d’un seul coup au fond. J’aime ça, je suis en transe avec un trans et j’aimerais que cela dure éternellement.
Soudain, ses mains quittent mes hanches pour prendre mes poignets, qu’elles tirent d’un coup à elle. Deux conséquences: j’ai maintenant la tête enfoncée dans le fauteuil et elle s’enfonce encore plus profondément en moi. Je suis à la limite de défaillir. Désormais, ses assauts sont entrecoupés de pauses: elle se retient.
– Tourne-toi sur le dos mais je veux rester au fond de toi
Pendant qu’elle s’active à nouveau en moi, je vois ses seins qui s’agitent. . Je n’arrive toujours pas à croire qu’elle puisse avoir une bite: elle est belle, féminine. Et pourtant, je la sens bien sa bite. Et j’aime ça. J’adore. Elle me sourit et commence à me caresser le gland. Sa pression devient de plus en plus forte, je suis au bord de jouir. Elle se retire de mon fondement et se couche sur le dos.
– Viens t’empaler et caresse-toi en même temps.
Une fois empalé, je me branle comme un fou et je viens en quelques secondes sur ses seins. Quelle jouissance ! C’est de la folie. Je crois bien que je n’ai jamais autant joui, en termes de sensations et de liquide. Ses seins sont recouverts de ma semence et son visage a également reçu 1-2 jets. La voir ainsi couverte de mon sperme est très excitant.
– Nettoie-moi tout ce sperme, s’il te plait.
– Tu as un mouchoir ou un linge à proximité ?
– Non, avec ta langue, me glisse-t-elle, toujours avec ce sourire malicieux.
Et me voilà en train de lécher ses seins et mon sperme par la même occasion. Il n’y pas vraiment de goût particulier, la consistance est un peu étrange par contre la situation est excitante au possible.
– Mais tu aimes ça ! Une vraie petite salope !
Et c’est vrai, j’adore ça ! Je n’en laisse pas une goutte. Je me place sur le dos et relève mes jambes.
– Oui, je suis ta salope. Prends-moi, prends-moi fort, maintenant. J’ai envie de te sentir au fond de moi, vas-y.
– Tu vas pas être déçu !
Elle me replie totalement les jambes et s’appuie derrière mes genoux. Elle s’enfonce en moi d’un coup sans ménagement. Je râle, de douleur et de plaisir. Elle entre et sort avec force, ses coups de rein sont puissants. Je noue mes jambes derrière elle et avec mes talons, j’appuie contre ses fesses en accompagnant chacun de ses mouvements.
– C’est bon, continue.
Mes paroles l’encouragent. Elle me baise vraiment, elle me défonce. Son va et vient s’accélère. Elle gémit de plus en plus et elle finit par jouir, dans un râle de plaisir.
Elle s’effondre sur moi et nous nous embrassons avec fougue. Nos langues s’entremêlent, nous nous échangeons un long baiser langoureux et passionné.
Je la regarde dans les yeux et je la trouve toujours belle, je la considère toujours comme une femme malgré ce qu’elle vient de me faire. Ma tête et mes sens sont chamboulés.
– Tu as encore des forces ? me demande-t-elle
– Pourquoi ? A quoi tu penses ?
– J’ai envie que tu me prennes ! Me lâche-t-elle en se caressant les fesses.
… à suivre
Ce récit à eu l’honneur d’être nommé Prix Spécial Trans pour 2007
Moi je précise toujours dans mes rencontres « Je suis un garçon ». D’ailleurs pour certains, inutile de leur dire, il s’en aperçoivent mais je leur indique quand même ! Avec cette précaution je n’ai jamais eu d’embrouilles
D’accord avec Sandra
Prix spécial trans ??? Je rêve ! Ce récit ne le mérite pas. Si le descriptif peut passer (et encore !), l’amorce est ridicule ! L’histoire de la transsexuelle qui ne se révèle pas de suite dans une situation semblable est une légende débile. En plus c’est dangereux pour la trans, certains types sont tellement machos et transphobes que cela peut être dangereux pour la transsexuelle.