Les troubles d’une chienne
1 -Testée par Monsieur
un récit écrit par « lachiennedeMadame »
Il avait dit « Je vais te prendre en main et tu vas devenir ce que tu es : une chienne-cul, une porte-trous. Tu ne seras plus qu’une femelle, ton corps ne sera plus désirable mais seulement utilisable »
Et j’étais là pour ça, dans cette vaste chambre d’hôtel, dont tous les rideaux avaient été tirés pour ne laisser régner qu’une pénombre propice à tous les excès.
Dans l’entrée de la suite, il avait laissé une sorte de tunique noire et courte avec un mot : « ne porte que cela ». Une fois le vêtement revêtu, j’ai le droit d’ouvrir la porte. Celle du paradis de l’enfer.
« Avance au milieu de la pièce », me dit la voix.
Je ne sais pas trop d’où elle vient, mais aussitôt avancée, je sens sa présence derrière moi et je me retrouve avec un bandeau fermement fixé sur mes yeux. Il touche même mes globes oculaires, réduisant à néant ma vision. Puis plus rien.
À nouveau le silence. Oppressant déjà.
Le fait d’être aveuglée en même temps qu’il libère du regard de l’autre, et donc d’une partie de la honte, me réduit à sa merci et ajoute à l’angoisse de ne rien savoir et de l’attente de mon sort.
Soudain je sens ses mains au bas de mon dos qui prennent le tissu. Je finis par sentir quelque chose de froid contre ma peau. Je ne comprends pas.
Puis il est devant moi et les mains s’affairent toujours sur le tissu mais au niveau de mes seins et de mon ventre. Par moments ce même contact glacé. Et un bruit sourd. Un souffle d’air… Il a dû découper le vêtement : je sens mes seins sortir du tissu à présent, mon sexe est à découvert aussi tout comme mes fesses charnues.
Je sens mes yeux qui piquent. Ne pas craquer déjà. Je sens aussi mon sexe mouiller. J’y suis.
De son pied, il écarte mes jambes. « Écarte tes fesses, ça occupera tes mains. Je vais m’occuper de tes mamelles ».
Je sens la morsure des pinces qu’il place sur chaque téton. Il s’amuse à les remuer de temps à autre, d’une pichenette, tandis qu’il malaxe durement mes deux globes. Mon souffle s’accélère, à mesure que la brûlure augmente, se faisant lancinante.
« À quatre pattes maintenant, si tu veux continuer et devenir une vraie chienne »
J’obéis sans hésitation, galvanisée par la voix ferme et la douleur qui déjà est descendue en plaisir dans mon ventre.
Je devine qu’il attache mon collier, sent le poids de la laisse qui l’accompagne.
Il continue en m’entravant : chacun de mes poignets est relié à une cheville.
Il tire sur la laisse et un coup de cravache claque sur mes fesses en même temps que l’ordre « Marche ». Les entraves me laissent peu de latitude et j’avance à l’aveuglette suivant les impulsions de la laisse et de la cravache qui me dirigent, me cognant parfois.
« Il y a une gamelle devant toi : rafraîchis-toi ». Ma gorge étant desséchée, je lape avec reconnaissance l’eau.
Il me fait escalader le lit, me retourne sur le dos et retire brutalement les pinces, m’arrachant mon premier cri.
Je le sens sourire. Il resserre les entraves et je me retrouve presque pieds par dessus tête, le cul et le sexe offerts.
« Voilà tes orifices parfaitement accessibles. Ça me plaît. Je vais commencer à les travailler. Pour que tu sois une bonne porte-trous, il faut qu’ils soient bien dilatés. Cela fera partie de ton dressage. »
Ses doigts d’abord écartent mes lèvres et me fouillent. J’ai chaud. Un gode de bonne taille s’enfonce sans ménagement. Il le fait aller et venir, de plus en plus vite, comme un piston, le tourne écartant davantage encore ma chatte à la torture. Puis il le laisse fiché et se met à tirer sur mon clito sur lequel il pose un objet doux d’abord avant qu’il ne me l’étire encore plus : une ventouse !
Ses doigts encore humides de ma mouille commencent alors à explorer mon petit trou, tout serré.
« Il y a du travail de ce côté-là ! »
Il me pistonne de ses doigts à nouveau de ce côté pile. Je gémis, sans défense.
Le premier gode est retiré, la ventouse aussi, j’ai l’impression que mon clito est démesuré. Une pince vient le mordre. Un deuxième cri.
Celui-ci me vaut un coup de cravache sur les fesses… et un bâillon-boule.
Je bave.
« Ne sois pas douillette, ce n’est que le début ! »
À l’entrée de mon cul, je sens un nouveau gode. Quelques centimètres arrondis s’enfoncent. Arrêt. Puis de nouveau, plus large. Je reconnais un gode à boules. Pas à pas, je m’élargis à son passage. Il bouge, tourne, part et reviens dans mes entrailles. Cela devient agréable. Je me laisse aller.
Un vibro vient se nicher dans ma chatte et accentuer mon plaisir. Je râle et me trémousse imperceptiblement.
« Bonne chienne, tu aimes ça hein ! »
Je suis prise des deux côtés. Remplie.
Deux pinces viennent alors réveiller mes seins. Une chaîne doit les relier, je sens son poids les étirer vers le bas. Il les leste encore un peu, rendant la douleur plus cuisante quelques instants.
Il me laisse ainsi un moment qui me paraît interminable.
Des coups de cravache de plus en plus fort pleuvent soudain sur ma croupe, heurtant parfois les godes, produisant des ondes qui se répondent sans fin dans mon ventre.
« Te voilà bien défoncée pour une première fois, ma salope… On va reposer un peu tes trous » et il retire sans égard tout mon harnachement.
« On va voir ce que tu sais faire de ta bouche. Si tu veux plaire à mes compagnes, il va falloir t’en servir »
Il s’allonge sur le lit à son tour, tire sur ma laisse pour me positionner.
« Commence par me lécher les pieds »
Je m’applique sur chaque orteil, comme une petite chienne docile.
« Remonte sur mes tétons »
J’entends son souffle qui s’accélère.
« Bien, bien »
« Les oreilles maintenant, mieux que ça »
« Maintenant je vais me tourner et tu vas me nettoyer le cul comme il faut. Je veux sentir ta langue de pute rentrer dedans »
Son odeur pénètre mes narines tandis que je plonge en lui à l’aveuglette.
Je finis par oublier que c’est un homme et imagine que c’est déjà ma maîtresse que j’honore ainsi de ma bouche.
Je perçois ses mouvements. Sans doute se branle-t-il. Aussi je m’applique encore davantage. Nous nous sommes mis d’accord avant la rencontre sur le fait que je ne toucherai pas son sexe. Cette séance est un examen de passage pour avoir le droit de devenir l’objet sexuel de sa compagne.
Pourtant je suis excitée par la situation. Il doit le sentir. J’ose même m’aider de mes mains pour laisser plus d’espace à ma langue.
Lorsqu’il se retourne brusquement et ordonne « Ta bouche », je ne proteste pas et l’ouvre toute grande pour recevoir en longs jets son jus âcre et chaud que j’avale sans dégoût.
Il retire alors mon bandeau.
« Pas de doute tu es une vraie chienne. Tous tes orifices serviront et pas qu’à ta maîtresse et ses amies je pense ! Tu n’es qu’un tas de viande avec lequel nous allons bien nous amuser tous ! Chienne-cul, chienne-trous, c’est ce que tu es ! Rien de plus. Aux ordres. »
J’ai honte de me sentir ainsi prête à tout finalement. Je n’ose même pas le regarder.
Il se lève et tire à nouveau sur ma laisse. Je me remets à quatre pattes sans hésiter une seconde. C’est ma place.
Il m’entraîne vers la salle de bains où je m’allonge dans la baignoire. Ce moment-là a aussi été prévu dans nos « accords ».
Je retiens ma respiration. Je n’ai jamais subi cette suprême humiliation.
Mais je la veux.
Le jet d’urine remonte implacablement de ma poitrine à mon visage et j’entrouvre la bouche sans qu’il me le demande.