Brigitte Parade, récit humide par Jean-Sebastien Tiroir

Brigitte est revenue de ce laborieux voyage professionnel qui a duré dix sept jours. A l’aéroport, une mélodieuse et suave voix féminine invite les voyageurs à emprunter les transports en communs, les taxis étant affectés par un mouvement social (on ne dit plus en grève ! )

Elle prend donc le train, puis le bus, le trajet est relativement long

Brigitte est une belle jeune femme aux cheveux blonds cendrés s’éparpillant en boucles sur ses épaules. Elle est assez ronde.

–  » Trop ronde !  »

Non ! N’exagérons rien, peut-être légèrement forte, mais elle n’a rien de difforme ni d’obèse, loin s’en faut. Sa belle poitrine fait néanmoins un bon 100 D. cela la complexe un peu. Les femmes ne sont jamais contentes de leur poitrine. Elle est vêtue d’un tailleur gris légèrement rayé, à la coupe très classique, et orné d’une broche dorée en forme de paon. Un chemisier rose et l’inévitable foulard en soie paraphé d’une signature alambiqué complète cette trop sage panoplie.

Le trajet s’éternise, il y a des embouteillages partout et l’autobus n’avance pas. Un homme s’assoit devant elle et semble impressionné par le physique de Brigitte. Après être resté quelques minutes en arrêt devant elle il lâche brusquement et de façon tout à fait incongru :

– Tiens bonjour ! j’ai failli ne pas vous reconnaître ! Comment allez-vous ?

Elle ne l’a jamais vu ! S’agît-il d’une confusion involontaire ou d’une nouvelle façon de draguer. ? Elle dévisage le type, genre cadre dynamique, la trentaine, pas moche, mais le pauvre n’a pas de chance, il ignore que Brigitte est peu attirée par les hommes. Elle décide de s’amuser et sans se démonter, lui répond le plus sèchement possible ! :

– Je vais très bien, merci, et vous aussi sans doute, mais il ne me semble pas que nous nous connaissions ?

Le type est déstabilisé, et bredouille un vague truc, du genre :

– j’ai dû confondre avec quelqu’un d’autres ! et plonge dans son journal, en pleine confusion !

Elle décide d’insister un brin sadiquement.

– Remarquez, je rencontre beaucoup de monde, il est parfaitement possible que nous nous soyons déjà rencontrés, mais sans doute brièvement, et sans que cela me frappe sinon je m’en souviendrais !

Le type répond par monosyllabe, il ne sait plus ou se mettre, la partie ne lui appartient plus

– Voyons, avec qui pourriez vous bien confondre ? Vous travaillez dans quelle branche ? … Ah ! Non alors ce n’est pas moi ! , Quoique. ?…

Elle fait semblant de chercher. Le type du coup se retrouve de l’intérêt, et tente de réorienter la conversation. Mais Brigitte ne réponds a aucune de ses questions et alors qu’il lui parle d’on ne sait quoi elle n’aura comme toute réponse que

– Quelle chaleur suffocante dans ce bus !

Réflexion non innocente qu’elle accompagne du geste en déboutonnant deux boutons de son chemisier. Du coup le type perd le fil de qu’il disait, deviens cramoisi, prend cela pour une invite et cherche déjà dans sa tête la petite phrase magique qui lui permettra d’entrer pour de vrai dans son rôle du dragueur irrésistible.

Ce qu’il ignore c’est que Brigitte est pratiquement arrivée à destination, et alors qu’il allait balbutier quelque chose, c’est fort sèchement, mais en soutenant son regard qu’elle conclue en ses termes cette rencontre de dupes :

– Ecoutez Monsieur, nous ne saurons jamais si nous nous sommes déjà rencontrés. Cela ne fait rien, cela m’a été agréable de causer avec vous, mais je tiens à ma tranquillité, et si vous me croisez de nouveau, je vous remercie de bien vouloir m’ignorer. !

Patatras ! Le type devient rouge comme trois tomates et deux poivrons.

Elle s’était bien amusée. En rentrant, elle trompe sa faim en mangeant n’importe quoi et se couche, harassée, sans avoir pris le temps de prendre une douche

–  » On verra ça demain ! »

Elle se réveille tard, trop tard !

– Putain, tout le boulot que j’ai à me taper ce week-end. Il y a tout le linge du voyage à laver, la maison qui est plein de poussière. Autant démarrer tout de suite

Elle s’amuse à se coiffer la tête d’un fichu blanc, cela lui donne un petit coté  » Perrette et le pot au lait « , puis va pour se recouvrir d’une simple blouse, puis se ravise

–  » Si Annette se pointe !  »

Elle ouvre une commode

–  » Plus rien à me mettre !  »

Par jeu elle choisit un porte-jarretelles noir ainsi que les bas assortis, un petit corset beige avec des motifs, un joli corsage blanc sans manches, et elle recouvre le tout d’une blouse tablier blanche à pois bleus

–  » On va commencer par la lessive  »

Brigitte jette tout le linge dans une panière et va pour descendre à la buanderie.

– Hello !

Evidemment c’est Annette, sa voisine, c’est bien le moment !
– Salut, toi ! Je suis un peu débordée, je démarre la machine à laver et je te fais un bisou !
Annette est une petite brune avec des cheveux coupés au carré. Elle est habillée d’un blue-jean et d’une espèce de tee shirt publicitaire très ample et somme toutes assez nul dont elle s’est amusé à couper les manches. Elle a eu la coquetterie de rajouter une grosse ceinture grise par-dessus.
Annette la suit dans la buanderie. Elle à l’œil coquin ! Elle attends patiemment que Brigitte déverse tout le linge dans le tambour du lave linge, et fasse démarrer l’appareil, puis lui tend ses lèvres. Les deux jeunes femmes s’embrassent fougueusement un long moment mélangeant langues et salives.
– Alors ce voyage ?
– Crevant !
– Tu m’as trompé ! J’en suis sûre !
– Qu’est ce que ça peut bien te foutre ?
– Alors c’est oui !
– Ben oui, c’est oui !
– Tiens ! Je t’ai fais une surprise ! Regarde ce que j’ai fait à ma petite chatte hier ?
C’est avec un regard pétillant qu’Annette baissa son blue-jean.
– Oh ! C’est tout rasé ! C’est super excitant comme ça !
– J’ai une de ses envies !
Brigitte crut d’abord que l’envie de sa coquine de voisine était d’ordre sexuel. Et bien non ! Et elle eut la surprise de la voir lâcher un jet d’urine bien dorée dont une partie vint mouiller sa culotte à demi baissée.
– Te gène pas, fais comme chez toi ! Pisse dans ma buanderie !
– C’est pour te punir de m’avoir trompé !
– Tu parle d’une punition !
Brigitte voulant montrer à sa copine qu’il en fallait d’autre pour la choquer, lui demanda d’en refaire un petit peu, puis recueillit quelques gouttes du liquide bouillonnant dans sa paume qu’elle lécha.
– Hum Délicieux !
Annette prit la main de Brigitte pour goûter à son tour
– Non ! C’est comme d’habitude !
– Mais c’est toujours délicieux !
– Qu’est ce que tu en sais ? On a fait ça qu’une fois !
– Non deux fois ! Tu m’excites avec tes cochonneries !
Annette ouvrit alors le chemisier de Brigitte libérant ses deux magnifiques globes
– Qu’est ce qu’ils sont beaux ! On ne s’en lasse pas !
– Ils sont trop gros, je vais me les faire raboter !
– Méchante !
Et tandis qu’elle pelotait les mamelles de sa copine, ivre de désir, elle lâcha un nouveau jet d’urine dans lequel Brigitte glissa ses doigts
Brigitte se débarrassa alors de sa blouse, attirant Annette vers elle pour l’embrasser fougueusement sur la bouche tandis que cette dernière lui tripotait la chatte
– T’as pas envie, toi ?
– Si ! Tu veux que je t’arrose ?
– Oui ! Sur ma poitrine ! On va jouer au tee-shirt mouillé !
Brigitte écarta bien sa chatte et arrosa copieusement sa copine, le fond blanc du tee-shirt devenait de plus en plus transparent et de plus en plus collant au fur et à mesure de l’opération !
– On est vraiment un peu dingues ! Commenta Annette d’une voix tremblante.
– Et alors ? Y a pas de mal à se faire du bien, et on ne fait de mal à personne !
Mais les apartés de sa voisine n’était pas de nature à interrompre l’envie de Brigitte. Et Annette tira sa longue langue sur laquelle le jet vint se briser. Elle ne se contentait pas d’avaler, elle dégustait !
– Hum ! Ta pisse est tellement bonne que tu devrais la mettre en bouteille, plaisanta Annette
– Pourquoi pas, la prochaine fois que je pars en déplacement je t’en garde un litre !
– T’es folle ! Frais c’est délicieux, mais après ça fermente ! Oh là là !Je ne sais pas ce qui m’arrive j’ai encore envie ! répondit Annette se remettant à pisser comme une fontaine
– C’est pas possible ! Qu’est ce que tu as bu pour qu’il y en ai autant ?
– Du thé au jasmin !
Annette retira son tee-shirt trempé, dévoilant une jolie guêpière à fleur de laquelle elle laissa s’échapper deux appétissants petits seins
Une banane en plastique traînait dans un coin de la buanderie
– Tiens pisse sur la banane demanda Brigitte à Annette qui s’exécuta.
Brigitte enfonça alors l’objet ainsi lubrifié dans la chatte d’Annette. Leurs seins se frôlaient leurs donnant la chair de poule
– Attends, j’ai mieux, regarde ce que je cache ici, petite coquine ! dit Annette, en exhibant un beau gode noir
– J’aime pas ces trucs là !
– C’est pas grave, lèche-moi le bout des seins, je vais me le garder pour moi toute seule. Et tandis que Brigitte obtempérait, elle s’enfonça l’objet dans sa chatte humide.
– Je ne suis pas vache, je vais te donner un coup de main !
Elle demanda à sa voisine de se coucher sur le dos et la chevaucha en lui branlant la chatte avec le gode, tandis qu’elle-même s’excitait. Mais ce sexe offert était trop tentant, il fallait qu’elle le lèche et elle revint titiller le clito de sa copine qui eut un violent orgasme lui provoquant un nouveau jet de pisse, Brigitte s’amusa à en avaler le maximum
– C’est mon tour ! décida-t-elle se plaçant au-dessus de sa voisine, qui avait repris son jeu de gode ; visant sa petite chatte rasée.
– Non pas là, dans la bouche, j’ai encore soif
Annette sentit le 2e orgasme s’approcher et alors que Brigitte pissait copieusement dans sa bouche grande ouverte. Annette lampait comme si on lui avait servi une grande bière bien fraîche un jour d’été torride
– Moi aussi, je peux encore déclara Annette
– Chouette j’ai encore soif ! répliqua Brigitte
Elle changèrent une nouvelle fois de position et tandis que sa copine pissait, Brigitte pressa ses deux seins l’un contre l’autre et les souleva un petit peu de façon à ce que la pisse qui dégoulinerait de sa bouche lui chatouille les tétons.
– Tu m’étonneras toujours, mais comme je suis bonne fille je vais maintenant t’aider à finir ton ménage ! Dit Annette !
– Super ! Et qu’est ce qu’on fait après ? Répondit Brigitte avec une feinte candeur.
– D’après toi ?

Fin de l’épisode

Jean Sebastien Tiroir © 2000
monsieur_tiroir@hotmail.com
Première publication sur Vassilia, le 7/10/2000

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4 réponses à Brigitte Parade, récit humide par Jean-Sebastien Tiroir

  1. Sorenza dit :

    C’est très humide, j’aime beaucoup

  2. Q36dilat dit :

    les cochonnes

  3. Vanloo dit :

    Une femme qui pisse c’est joli
    Deux femmes qui pissent c’est bien plus joli
    Mais pourquoi ne me pissent-elle pas sur mon zizi
    J’en serais fort aise, pardi

  4. Pipolo dit :

    Encore des pisseuses qui m’excitent

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