Grisé par le petit succès (je suis modeste) de mes deux premières histoires, je poursuis le récit de mes souvenirs de photographe amateur, en remerciant les lecteurs précédents.
Ces souvenirs datent des années 70, je ne garantis pas les dialogues, évidemment, mais l’esprit y est.
Avril 1969. Depuis janvier, j’exerçais mon nouveau boulot de commercial sur tout le département du Var, heureux de cette liberté –relative – mais liberté dans les horaires et les déplacements.
Je longeais le bord de mer d’une ville de la côte, lorsque mon regard fut attiré par une fille, une silhouette, très « déformée » vers l’avant, qui marchait sur le trottoir opposé mais dans le même sens. Je suis fasciné par les fortes poitrines et je voulais vérifier si j’avais bien vu !
Je roule jusqu’à pouvoir faire demi-tour, je ralentis, me gare pour mieux apprécier ma vision qui se rapprochait, je ne m’étais pas trompé, un volume mammaire impressionnant, très « pointu » dans un tricot boutonné devant plus une petite veste noire sur le dos.
J’avais le souffle coupé et passant à 2 m de la route, je vois qu’elle est jeune, toute petite, très jolie et de profil, je vois une bosse jaune bien devant le pan de la veste noire, je la suis des yeux, un pantalon lui moule les fesses, et je sors de la voiture
Je me calme un peu, la rattrape et l’aborde :
– Pardon Mademoiselle, j’étais dans la voiture, je viens de vous remarquer parce que je suis photographe amateur et je cherche une silhouette comme la votre !
Je dis ça tout en regardant discrètement sa « devanture », le tricot est tendu au maximum et entre deux boutons, je vois un bout de soutien gorge noir. Son visage est une perfection
Elle me dévisage, très gênée, hésite….
– Moi ? Pour faire des photos ? Je sais pas ?
– Vous savez, je suis sérieux, je fais des bonnes photos et je peux vous les offrir !
J’étais un peu maladroit, je débutais à l’époque :
– C’est gentil de votre part, mais quel genre de photos ?
– Telle que vous êtes là, vous êtes très jolie, des portraits !
– Je ne sais pas, peut-être, vous habitez ici ?
– Non ! A Toulon ! Mais je viens souvent ici, est-ce que vous êtes libre ce matin ou cet après-midi ? J’aimerais vraiment que vous acceptiez !
– Bon, ben, je veux bien, mais cet après-midi, si vous voulez !
Quelle joie intérieure ! On convient d’un lieu de rendez-vous, de l’heure, et je suis fébrile jusqu’à ce moment, 15 heures où je la vis réapparaître comme un rêve !
Elle aurait pu ne pas venir, cela ne m’effleurait même pas. Elle me voit, je lui ouvre la portière, habillé comme le matin, elle monte, un petit sourire illumine son beau visage
– On pourrait rouler un peu ? Je ne voudrais pas être vue, on ne sait jamais !
– Bien sûr, je voulais chercher un joli coin dans la colline, on y va tout de suite !
Chemin faisant, on fait connaissance, j’apprends qu’elle a tout juste 18 ans (j’en avais 27). Elle se prénomme Odile, a terminé ses études.
Elle est timide, mais très sympa, je parle photo disant que je n’ai pas mon appareil avec moi, mais que cela n’empêche pas de mieux se connaître, elle approuve, je suis sous le charme de cette miniature.
On n’arrête pas d’admirer la mer dans un coin de colline, je la regarde venir vers moi, son tricot près à éclater.
– Qu’est ce que tu regarde ?
– Ton paysage ! tes collines aussi vallonnées que celles-ci ! il fallait que je te le dise !
Elle baisse les yeux.
– Tu es bête, Bernard !
– Tu es belle Odile !
Puis, je lui avoue que de loin, ce matin, c’est sa poitrine qui m’a fait la remarquer … Elle devient toute rouge, je profite de sa confusion :
– Il y a des hommes qui n’aiment pas quand c’est gros, moi j’adore ça !
– Tu sais à l’école ce n’était pas facile, on me traitait de vache laitière, de gros pis, j’en passe, à part un ou deux qui voulait les toucher… et en plus mes copines étaient jalouses, j’y comprenais plus rien !
– Que des imbéciles ! Moi je te trouve superbe, Odile, c’est sincère !
C’était fou d’entendre ça, des conneries pareilles risquant de la complexer pour longtemps, j’ajoutais :
– Et ceux qui voulaient toucher ? Tu t’es laissé faire
Toujours rouge de confusion, elle dit :
– Oui, pour un qui était comme toi, ça lui plaisait beaucoup…
– Tu peux me dire, ne te gêne pas !
Pour ça, on remonte dans la voiture alors que j’avais passé un bras sur son épaule.
Elle avait enlevé sa petite veste et j’avais sous les yeux cet impressionnant volume très porté vers l’avant… Je bandais rien qu’à la regarder ! Elle finit par avouer qu’ils avaient flirté à la sortie un soir d’automne, qu’il ne cessait de lui caresser la poitrine sur les vêtements et qu’au fil de leurs rencontres, elle finit par lui laisser voir ses seins qu’il caressait et suçait.
– Et ça te plaisait ?
– Oh oui, c’est très agréable, mais on n’alla pas plus loin, je ne voulais pas !
Elle me donnait chaud, surtout qu’il faisait un temps superbe, on repart vers un sommet, je trouve un joli coin.
– Ce serait bien, ici, si j’avais mon appareil, mais ça ne fait rien, tu pourrais me LES montrer pour voir ce que je ferais comme photos ?
Elle me regarde, réfléchis, hésite,.. je la rassure :
– Je ne touche pas si tu veux, juste regarder, ça me ferait plaisir
Comme dans un rêve, je l’entends répondre :
– Je veux bien, mais ne me regarde pas quand je me déshabille, ça me générait !
Trop content, j’accepte
– Je sors de la voiture, tu m’appelle après !
J’ai le cœur qui bat. Et en fait, je reste debout, dehors, elle ne voit pas mon visage, mais moi je vois ses mains sur les boutons qui cachaient tout ça, un soutien gorge noir pas très sexy mais gonflé à bloc laissant au-dessus des bonnets déborder un peu de chair plus blanche. Puis le tricot enlevé, elle fait ce gracieux geste du dégrafage dans le dos ce qui amplifie encore la proéminence. Les pointes des bonnets sont à 15 cm de son torse, incroyable ! Je la vois ranger son tricot et le soutien… Je n’en crois pas mes yeux : Deux formes oblongues qui n’ont pas bougé ou presque sans être soutenues ! Je l’entends dire :
– Ça y est ! Tu peux venir !
Je m’assieds, elle se cache les seins dans les mains sans y parvenir, je la regarde, lui prend les mains, et lentement je les lui écarte, sans résistance de sa part. Je reste stupéfait devant ces merveilles.
– Qu’ils sont beaux, Odile ! Je n’ai jamais vu ça, merci de me les montrer !
Je lui tiens toujours les mains et je la pousse contre la portière en lui ouvrant les bras en grand, ce qui cambre encore plus sa poitrine et sépare les deux obus.
– Je voudrais te faire une photo comme ça, tu es belle, tu sais !
Elle n’ose pas me regarder en face, regard baissé vers sa poitrine.
– Cache-les encore et appui dessus !
Elle le fait et ça déborde partout.
– Prends les dans tes mains par-dessous !
Elle le fait encore, naïvement.
– Quelle belle photo je ferais encore, quel dommage !
Elle a de belles aréoles, mais curieusement sans tétons, à la place, il y a un petit « cratère » . Je le lui dis :
– C’est seulement quand j’y touche qu’ils sortent
…Et elle me fait voir ça ! Je suis fou ! Car elle se prend le bout entre deux doigts, appuie, et hop ! Le téton apparaît ! J’approche un doigt curieux, elle me laisse faire, je touche ce téton de l’ongle et elle frémit.
– Tu me laisse faire sortir l’autre ?
Je n’attends pas sa réponse, pince le bout et le deuxième apparaît que je titille un peu, mais elle se recule et dit :
– On pourrait sortir, il fait beau, on se fait bronzer ?
Elle se débinait un peu, mais j’accepte, prend un plaid qu’on étale.
– Je me fais bronzer, d’accord, mais on enlève tout, hein ?
– Oh non ! Pas la culotte !
– Bon ! Si tu veux !
Je ne voulais pas lui faire peur… je la vois faire glisser son pantalon dévoilant une petite culotte noire tandis que je m’allonge en slip en admirant son corps. Elle cache encore sa poitrine en s’agenouillant à coté de moi
– C’est pas bien ce que je fais, si on me voyait !
– Mais pourquoi tu le fais alors ?
– Parce que j’ai confiance en toi
Elle me dit ça avec un sourire charmant.
Je deviens amoureux ; je prends sa main, lui enlève
– Tu voulais bronzer, non ?
Elle s’allonge et ses seins ne bougent presque pas ! Elle a les yeux fermés, je ne dis plus rien mais j’approche mon visage du sien…je lui fais un bisou sur la joue, sur l’oreille, elle ne dit rien, je frôle son épaule, ma bouche descend lentement vers son sein gauche … Elle respire fort, ma langue tourne autour du petit cratère et j’observe son visage : je la vois encore se pincer les lèvres quand j’aspire pour faire saillir son téton.
Je touche au paradis surtout quand je sens sa main caresser mes cheveux ! J’en profite et prends l’autre sein doucement dans ma main gauche. Quel plaisir pour moi ! A l’époque je n’en avais jamais touché ni sucés d’aussi beaux, ni photographié, sauf une mais pas de 18 ans !
Et c’est son jeune âge qui m’empêcha d’aller plus loin, car elle me repoussa gentiment, je n’insistais pas surtout qu’elle fut d’accord qu’on se revoit la semaine suivante et on se rhabilla. Sauf qu’elle accepta de ne pas remettre son soutien gorge et que je la forçais à ne pas boutonner son tricot, elle me disait :
– Tu es fou ! Bernard !
Mais elle le fit et on roula deux ou trois kilomètres dans la colline avec ses seins qui tressautaient et surtout qu’elle me laissa toucher, palper pour finir par m’avouer que ça lui plaisait que je m’occupe d’eux.
Regagnant une départementale, elle voulut boutonner son tricot, je l’en empêchais :
– Je voudrais que tout le monde voie comme tu es belle !
Ça la troublait beaucoup, mais vu sa petite taille on risquait peu de la voir, et finalement j’inclinais son dossier ce qui la tranquillisa.
– Bernard est-ce que je te fais bander ?
Je restais interloqué !
– Bien sûr, mais tu te rends compte de ce que tu me demandes ? Tu sais ce que c’est j’espère ?
– Ben oui ! J’ai touché mon petit copain sur le pantalon, mais j’ai jamais vu !
– Si tu veux la prochaine fois, je te montrerais, tu aurais pu me le demander avant ?
– J’osais pas ! Mais c’est vrai que je te fais bander ?
– Odile ! Depuis que tu es montée dans la voiture, je bande, tu n’as pas vu tout à l’heure mon slip ?
– Je n’ai pas voulu regarder, mais ça me fait vraiment plaisir !
Je n’en revenais pas mais on arrivait en ville et très vite elle me demanda de la déposer après avoir boutonné enfin son tricot. On se quitta trop vite, mais je vis qu’elle avait oublié son soutien-gorge ! Un trésor pour moi.
Une semaine plus tard, je l’attends ½ heure 1 heure, elle ne vint pas, mais si cela vous a plu, il y aura des suites beaucoup plus excitantes.
Bernard
Bernard Photographe © 2000
Première publication sur Vassilia, le 21/10/2000
Ça sent le vécu, c’est tout tendre mais on reste un peu sur notre faim
A réserver aux amateurs de gros nénés ! J’en suis mais j’aurais préféré que ce soit vassilien, parce que a part un doigt de voyeurisme…