Bizutage par sexnotaboo

Bizutage
par sexnotaboo


Bonjour, je suis Bernard, 49 ans le début de mon histoire remonte à mes 18 ans lorsque mes parents ont déménagé de BORDEAUX vers LA ROCHELLE. Nous étions en cours d’année scolaire et je me suis retrouvé pensionnaire dans un établissement scolaire très stricte.

Je savais que le bizutage était incontournable dans cette école et qu’il était assez hard, mais je n’avais aucune idée de ce qui m’attendait. J’ai tout de suite sentis qu’il se préparait quelque chose, mais quoi ? Puis une nuit, c’est arrivé alors que je dormais. J’étais épuisé pour avoir lutté plusieurs nuits contre le sommeil, sachant que tous me guettaient. Je me suis senti saisi bâillonné et immobilisé par 5 élèves du dortoir. Je me débats farouchement mais très vite, je me retrouve attaché bras et jambes en croix aux quatre coins du lit.

Je suis là, crucifié, totalement nu, offert à la vue des 5 élèves de la chambre. La peur et la honte m’envahissent. Les 5 complices discutent à voix basse sur le sort qu’ils me réservent. D’après les commentaires moqueurs qu’ils font sur mon anatomie, je comprends très vite qu’il s’agit d’un bizutage à caractère sexuel qui va être très humiliant.

Après quelques instants qui me semblent être une éternité, le meneur m’indique que je n’ai pas à avoir peur, ils ne vont pas me faire de mal, je vais être « On veut juste te souhaiter la bienvenue en te baptisant ! » les autres pouffent de rire en s’approchant autour du lit puis d’un ton cérémonieux le meneur prononce : – « Je déclare la séance ouverte ! »

Les 5 complices de déshabillent entièrement et se placent autour de moi le sexe à la main. Je suis très mal à l’aise, mais je suis en même temps fasciné par ces sexes qui m’entourent.

Au top départ, tous se caressent, se masturbent et ne tardent pas à bander, j’entends alors le chef de cérémonie qui déclare – « la séance ne sera levée qu’après la dernière éjaculation. » et précise « Il est permis d’éjaculer plusieurs fois tant qu’il n’y a pas interruption d’érection »

Je ne peux détacher mon regard de ces 5 pines bien raides autour de moi. Tout à coup, et bien malgré moi, je sens mon sexe réagir, la honte me submerge car je n’ai aucun moyen de dissimuler mon début d’érection qui ne peut leur échapper. Mon sexe grossit lentement et je suis en demi érection lorsque l’un d’entre eux s’en aperçoive et s’exclame

« Putain ! Les mecs regardez ! Ça l’excite, ce salaud doit être pédé ! Il bande ! Regardez ça le fait bander »

Une ovation moqueuse s’élève,

«Oui c’est vrai, il a raison il bande ce pédé »

C’est à ce moment que le sperme commence à jaillir sur moi, sur mes cuisses, sur mon ventre et sur ma poitrine. Je suis humilié, mais sentir le sperme chaud et gluant sur mon corps n’a rien de désagréable, et malgré ma honte et mon humiliation, je suis toujours excité.

« Ho regardez, il continue à bander, il est bien raide maintenant il bande vraiment le salaud !»

Ma bite est effectivement bien raide. Seul le chef qui se branle au-dessus de mon visage n’a pas encore éjaculé.

Il se masturbe toujours à une quinzaine de centimètres de ma figure, sous les encouragements de ses camarades, et je sens mon sexe de plus en plus dur, les réflexions que j’entends et qui me concernent m’excitent terriblement :

-« il bande vraiment ce salaud, touche comme il est dur ce pédé », (je sens des mains me tripoter)

Des commentaires salaces et des encouragements fusent de toutes parts à l’intention du meneur

– « Vas-y plus près ! Décharge lui bien sur la gueule à cette pédale ! Ça lui plait, elle aime ça, cette petite salope ! (le sexe s’approche, à 10, puis à 5 centimètres de mon visage)
– Oui vas-y ! Encore plus près ! Il bande toujours ! Plus près ! Enlève son bâillon, il dira rien ça lui plait trop à cette petite pute !

(C’est un fait que je n’ai plus envie de crier. Après un instant de flottement, le bâillon tombe !) Et les commentaires reprennent

« Mets-lui dans la bouche ! Il va aimer ça avec la trique qu’il a, c’est sûr que c’est une pédale. Vas-y approches de sa bouche, il bande toujours ce pédé ! Vas-y jute lui dans la bouche. »

L’intéressé hésite, mais en ce qui me concerne, je suis hypnotisé par ce sexe gonflé sur le point d’exploser juste à quelques centimètres de mon visage. En levant les yeux, je croise le regard de son propriétaire qui me fixe, étrangement, la situation me trouble profondément. Malgré moi je sens monter en moi le désir de sucer ce sexe. Je baisse à nouveau les yeux sur cette grosse queue qui m’effleure le visage. La honte et l’humiliation qui m’envahissent ajoutent à mon excitation. À ce moment j’ai vraiment envie qu’il essaye de forcer mes lèvres. Nos regards se croisent à nouveau et là, je sens qu’il a deviné mon trouble intérieur car un sourire vicieux se dessine sur son visage. Tout en me fixant droit dans les yeux, il avance doucement en guidant sa bite vers ma bouche. Son gland s’écrase sur mes lèvres que je tiens encore serrées pour leur donner une ultime impression de refus. Un silence parfait s’est installé, l’attente, l’étonnement et l’excitation sont dans tous les regards. Alors, je ne résiste pas au puissant désir d’ouvrir la bouche pour accueillir ce sexe tendu, gorgé de sève, qui éjacule à l’instant même où il entre dans ma bouche. Les spectateurs qui me couvrent d’insultes humiliantes n’ont pour effet que de m’exciter plus encore.

« Putain la salope, il a ouvert la bouche il reçoit le foutre sans bouger, et il bande encore ! Putain ça m’excite je rebande ! Quelle pute ce mec !…..Moi aussi je rebande ouiiii c’est super ! Oui Moi aussi ! »

Surpris par l’éjaculation immédiate je réprime néanmoins le réflexe nauséeux qui monte ne moi.

Ce salaud reste dans ma bouche jusqu’à ce que j’avale son foutre. Lorsqu’il se retire, je constate effectivement que ses quatre complices bandent à nouveau.

Le meneur se retire en disant :

« – Allez-y les mecs ! Il suce mieux qu’une femme ! Profitez-en ! Ce salaud m’a complètement vidé les burnes ».

Ils se présentent tour à tour, la bite à la main devant ma bouche qui s’ouvre naturellement. C’est après les avoir tous sucés que je suis libéré des liens qui me crucifiaient aux quatre coins du lit.

Heureusement, ma renommée ne dépassa pas les limites de la chambre où, je suçais régulièrement mes 5 camarades de chambrée jusqu’aux vacances d’été, et pendant les deux années scolaires qui ont suivis. Je me suis longtemps demandé ce qui m’avait fait à réagir ainsi, mais ce qui est sûr c’est que je ne l’ai jamais regretté.

Le temps a passé et j’ai rencontré Amandine 26 ans, une superbe créature aux formes généreuses, 95C – 78 – 85, blonde aux yeux bleus, très belle, très sexy, salope et vicieuse à souhait avec qui j’ai été marié plusieurs années. Avec elle pendant quelques temps, j’ai oublié mes fantasmes bisexuels. Mais le proverbe « Chasse le naturel et il revient au galop » est bien réel.

Je vis avec Amandine depuis quelques mois, elle adore parler de ses fantasmes en faisant l’amour. Elle me les raconte avec moult détails, et malgré son insistance, je me montre assez réticent à lui avouer les miens mais sans se démonter, elle en fait un jeu en me certifiant qu’elle me le fera dire un jour. Cette coquine avait raison, un jour où je suis trop excité pour réfléchir sainement, je lui raconte mon aventure du pensionnat et lui avoue que cela m’a beaucoup plu. Elle écoute avidement mon récit, me demande des détails. Elle s’en s’excite et nous faisons l’amour intensément. A partir de ce jour-là elle me demande sans cesse

« Raconte-moi encore ton bizutage chéri çà m’excite tellement ça me fait mouillé terriblement ».

A chaque fois elle me demande des détails différents et immanquablement nous finissons par faire l’amour. Un jour en me regardant avec ses yeux coquins, elle me fait remarquer en montrant mon érection du doigt. Dis donc mon chéri on dirait que de me raconter ton histoire t’excite autant que moi. Alors que je rougis un peu, gêné qu’elle s’en soit aperçue, c’est très à l’aise, qu’elle me dit en me fixant droit dans les yeux « J’aimerai bien te voir sucer une grosse bite devant moi, »

En quelques jours, cette salope est parvenue à réveiller la libido bisexuelle et mon désir d’humiliation et de honte. Je ne veux pas lui dire, car j’ai envie qu’elle pense que cela vient d’elle, j’ai envie d’être humilié, mais je veux qu’elle croit que je le fait pour elle.

Régulièrement, elle revient à la charge

« Chéri, tu n’as pas envie de recommencer comme à l’école ? J’aimerais tant te voir avec une vraie bite dans la bouche hummmm, ça m’excite d’y penser, de l’imaginer huummmm, avec une vraie bite bien réelle ! Ça me fait mouiller vraiment tu sais ! »

Elle me prend la main et la dirige vers son entrecuisse

« – Tu vois chéri comme ça me fait mouiller ! Regarde comme je mouille ! Lèche-moi petite salope ! En attendant que je te fasse sucer une vraie bite s»

Je me fais prier, pour la forme, mais j’en ai trop envie pour résister longtemps. Je finis par céder mais avec réticence pour lui faire croire que c’est elle qui a réussi à me décider.

Quelques dialogues et annonces par minitel et nous sélectionnons rapidement un nommé Albert, un black de 35 ans, qui se dit adepte du triolisme bisexuel

Une première rencontre à l’extérieur pour faire connaissance, nous décident et la semaine suivante, Albert est invité chez nous. Amandine le reçoit en minirobe hyper-moulante, blanche très légère, escarpins à talons hauts, bas, porte-jarretelles noirs que l’on devine parfaitement sous le fin tissu clair de sa robe. Elle ne porte pas de soutien-gorge et les pointes de ses seins généreux au milieu de leurs larges auréoles brunes tendent le tissu de sa robe trop légère.

Amandine et moi sommes tous les deux un peu stressés, alors qu’Albert semble parfaitement à l’aise et c’est au cours de l’apéritif qu’il déclenche les événements. Il s’adresse brutalement à Amandine

« Allez à poil salope montre nous ce que tu caches sous ta robe »

Amandine hésite, surprise elle rougit mais sourit, et d’un air provocant, me regardant droit dans les yeux, elle retire langoureusement sa robe. Albert ouvre son pantalon et sort son sexe déjà en érection.

«Elle est super belle ta salope ! » me dit-il, en souriant vicieusement je souris en acquiesçant.
« J’ai très chaud » enchaîne-t-il en se déshabillant complètement.

Sa bite est énorme, raide et bien dure. Je suis surpris et je ne peux m’empêcher de la regarder fixement. Je me déshabille à mon tour fasciné par les dimensions de son sexe tendu. Je sens une vague de honte, d’humiliation m’envahir face à la différence de taille de nos deux bites raides.

Pour cacher mon trouble, je m’avance vers Amandine pour la peloter mais Albert s’interpose,

« Non pas de ça petite bite, si tu veux la toucher, petite salope tu dois d’abord me sucer ! N’est-ce-pas Amandine ? »

Je regarde ma femme d’un air interrogateur, elle est aussi surprise que moi, mais rapidement, je vois briller dans ses yeux une lueur sadique et sa réponse me fait l’effet d’une gifle

– « C’est bien ça petite bite ! Y’en ai marre que ce soit toujours moi qui suce, j’en ai marre que tu me tiennes la tête pour te vider dans ma bouche pour m’obliger à avaler. Ce soir c’est toi qui tête salope ! Et tu ne me toucheras qu’après avoir sucé Albert ! »

A ce moment-là, je me sens envahis par le même sentiment qui, 25 ans plus tôt devant quatre camarades, m’avait fait ouvrir la bouche sur la queue de mon chef de chambre. Je sens mon sexe en demi-érection qui continue à durcir malgré moi sous leurs moqueries.

« Regarde Albert ! Il bande, Je lui dis qu’il doit te sucer s’il veut me baiser et ça le fait bander ce pédé ! Quelle salope ! Une vraie petite pute ! On va bien s’amuser avec lui, Je suis toute excitée rien que d’y penser hummmmm »

Amandine se coule contre lui et l’embrasse à pleine bouche elle se couche sur le canapé, et écarte largement les cuisses. Albert mon chéri lèche moi un peu s’il te plait je mouille tellement.

Albert se met à quatre pattes devant elle et enfouit sa tête entre les cuisses de ma femme qui se caresse les seins en me regardant dans les yeux en susurrant.

– « Hum c’est bon tu sais p’tite bite ce qu’il me fait, sa langue est vivace, hoooooooouiiiiiiiii il me suce bien hooooo nooooon arrête je viens trop vite noooonnn »

Elle se dégage s’agenouille devant son amant pour le sucer.

Elle me fixe droit dans les yeux en suçant la bite énorme qui lui déforme la bouche, je ne lui avais jamais vue avec un regard si salope.

Entre deux succions elle cherche à m’humilier davantage

« Huuuummm mon chéri ! Regarde comme elle est grosse ! Au moins là, j’ai la bouche bien pleine avec la sienne c’est pas comme avec ta petite bite à toi hummmmmmmm ! Hooo mon chéri c’est bon tu sais ! Je sens que tu vas aimer ça ! C’est sûr … »

Elle le suce encore quelques instants puis elle se relève, me prends par la main et m ‘attire vers Albert :

– « Allez p’tite bite mets-toi à genoux ! C’est à toi de sucer maintenant ! »

Lorsque je suis agenouillé, elle s’affale sur le canapé, ouvre largement les cuisses en disant :

« Vas-y Albert mets lui ta bite bien profond dans la bouche a cette petite pédale pendant que je me masturbe en matant ».

Je suis humilié au-delà de mes espérances, et je sens mon sexe terriblement dur qui devient presque douloureux.

Comme je reste là immobile hésitant, elle reprend

« Bernard, mon chéri ! Dépêche-toi un peu ! On va pas y passer la nuit ! Suce la grosse bite, fais-moi mouiller, chéri. Excite-moi bien si tu veux me baiser tout à l’heure ! »

J’en ai très envie, mais je fais durer le plaisir et je me montre encore hésitant. Je les fais attendre encore un peu car je sais que mon hésitation les excite encore plus

Albert, à son tour m’interpelle

« Alors petite bite tu te décides oui ou non ? » Il se tient la queue à pleine main « Regarde là comme elle est belle ! Ça c’est de la bite au moins viens la téter, elle est bien dure, pleine de jus ! Allez petite salope ! Suce la belle glace au chocolat ! Suces bien pour faire gicler la crème vanille dans ta bouche de petite pute »

Honteux, humilié, vaincu, super excité, je m’approche vers cette magnifique queue black. D’une main, Amandine me prend la nuque avec douceur, en me souriant

« Mon chéri, je t ‘aime, si tu savais comme ça m’excite, allez Vas-y, suces le ! Tu vas voir, ça va aller. C’est bon d’avoir une queue dans la bouche ! Je t’assure que tu vas aimer ça ! D’ailleurs je sais que tu l’a déjà fait et que tu aimes ça mon cochon Tu te rappelles à l’internat ? Tu m’as tout raconté petit pédé ! Tu caches bien ton jeu va ! Regarde la bien celle-là on en voit pas des comme ça tous les jours tu sais ? Pour finir, tu as une sacrée chance ma salope »

De l’autre main elle guide la queue d’Albert vers ma bouche. Je résiste encore un peu pour la forme, mais la distance entre ma bouche et la bite d’Albert diminue, jusqu’à ce que son gland violacé, gonflé de désir et de sperme effleure mes lèvres qui s’ouvrent d’elles-mêmes pour le recevoir. Amandine s’extasie

« ho oui ! Oui ! C’est magnifique mon chéri, tu sais, ça m’excite terriblement, de te voir sucer une grosse bite ! Tu es une sacrée cochonne ! Allez grosse salope, soit femelle, soit pute, soit plus chienne que ça je veux te voir sucer, téter, pomper ce sexe de mec je veux te voir aspirer et avaler son jus, je veux voir son sperme épais, gluant, et bien chaud couler dans ta bouche de pédale »

Elle me caresse le cou, le dos les fesses qu’elle écarte pour me lécher et me doigter l’anus.

Puis elle passe derrière Albert pour lui caresser et lui lécher les couilles pendant que je le suce. Je vois ses mains s’activer derrière lui. Je comprends qu’elle s’occupe de son anus, car par moment il se contracte en poussant le bassin en avant s’enfonçant davantage dans ma bouche, manifestement surexcité par le traitement qu’elle lui impose. Quelques instants plus tard, je reçois en bouche une copieuse giclée de foutre épais, brûlant et gluant. Amandine me maintient la tête sur sa bite mais c’est inutile, je n’ai pas envie de me retirer, j’avale le sperme au fur et à mesure qu’il jaillit dans ma bouche, je suce, j’aspire et je tète jusqu’à la dernière goutte. Ma chérie vient m’embrasser aussitôt, pour partager le reste de foutre que j’ai en bouche

« Mon amour, je t’aime ! Fais-moi goûter ! » Puis elle se positionne en levrette et me dit « allez Chéri ! Baise moi, tu l’a bien mérité »

Elle se cambre, le cul en l’air comme une chatte en chaleur

« Je suis tellement mouillée que je ne vais même pas sentir ta p’tite queue dans ma moule trempée et gluante ! Mais baise moi quand même petite salope »

Surexcité par la fellation que je viens de faire et par ses paroles crues et humiliantes, Je ne me fais pas prier. Pendant que je la lime Albert se caresse en nous matant et c’est Amandine qui lui dit

« Viens que je te suce au lieu de te branler »

Albert lui présente aussitôt sa queue en disant « suce salope » elle avale son sexe à demi raidit puis le suce avec avidité. Elle commence bientôt à gémir puis se laisse aller en criant sa jouissance avant de s’effondrer au moment où j’éjacule en elle. Elle a toujours la bite d’Albert en bouche qui a repris sa raideur initiale. Il retourne Amandine en lui disant c’est à ton tour pétasse de goûter à ma queue et lui écartant les cuisses il s’enfonce en elle sans douceur, elle s’agrippe à lui en disant

« Oui ! Oui ! Salaud baise moi comme une chienne je suis ta pute baise moi bien à fond vide bien tes couilles dans mon ventre de salope ça m’a tellement excitée de voir l’autre pédale te pomper que je suis trempée hoooouuiiii baise moi fort ça c’est de la bite au moins ouiiiii, Celle-là je la sens au moins, je la sens bien glisser dans le sperme du cocu ouiiiiiii »

Je n’avais jamais vue ma femme dans un tel état d’excitation. Albert se dégage pour la prendre en levrette et j’en profite pour lui présenter ma bite à sucer. Amandine me regarde avec un petit sourire moqueur, hésite, comme si elle allait refuser, mais pour finir, elle ouvre la bouche pour avaler ma queue encore molle. Experte elle ne tarde pas à lui redonner vigueur. Albert se raidit et éjacule en elle. Lorsqu’il s’arrête de limer, Amandine abandonne ma bite, se dégage et me dit :

-« Couche-toi sur le dos maintenant c’est à toi de jouer le cocu ! »

Je m’exécute et cette chienne vient s’accroupir au-dessus de mon visage, et les cuisses largement ouvertes, elle écarte les lèvres de sa chatte engluée et dégoulinante de nos deux spermes mélangés en m’ordonnant.

« Ouvre la bouche pédale ! Lèche moi la moule et avale tout ce qui coule. » S’adressant à Albert, « Regarde chéri ton bon foutre ne sera pas perdu le cocu va le bouffer ! C’est une p’tite bite ! Mais une bonne lécheuse »

Un peu plus tard dans la nuit, alors que j’étais occupé à téter Albert, Amandine a sorti son gode ceinture et m’a enculé pendant que je le suçais.

Ma bite avait raidi à nouveau et Amandine se couche sur le dos cuisses ouvertes et me dit

« Baise moi Chéri, j’ai envie de sentir ta petite bite nager en moi, Hummm oui ! Ouiii bien au fond, comme çà ouiii vas-y baise moi fort ! Hummm tu sens comme tu glisses bien dans le foutre de mon amant !!»

Je m’enfonce en elle bien à fond et elle m’attrape bien sous les fesses, les écarte en disant « Ouiii petite bite comme ça plus profond ouiiiii » elle a les doigts bien ancrés dans mes fesses, qu’elle écarte en disant

« Tu vas voir comme c’est bon avec une vraie bite, je sais que tu vas aimer ça pédé, tu en redemanderas » puis s’adressant à Albert « Vas-y Chéri encule le ! Cette chienne est prête ! Défonce-lui la rondelle avec ta grosse bite de black ! »

Pris au piège, je tente de me dégager mais elle me tient bien. Albert déjà installé derrière l’aide à me maintenir en place. D’abord, je sens sa langue qui me pénètre l’anus, puis je sens rentrer un puis deux doigts qui me fouillent et me dilatent. Je me cambre en arrière, chaque mouvement que je fais m’apporte une onde de plaisir qui monte de mon cul ou de ma queue.

Je sens tout à coup le gland d’Albert me caresser entre les fesses, il le fait glisser jusqu’à mon anus. Il enduit largement mon cul et sa queue de salive et posant délicatement son gland sur ma rosette il appuie. Mon anus cède d’un coup à la pression de son gland énorme qui s’enfonce en moi. Je sens une vive brûlure qui m’arrache un cri de douleur lorsque qu’il entre en moi. Après un bref arrêt, Albert s’enfonce en moi doucement, cm par cm jusqu’à la garde puis il reste immobile bien calé en moi. Je me sens bien rempli, c’est une sensation étrange mais très agréable. Une fois la sensation de déchirure disparue, c’est moi qui commence à onduler du bassin. Il subsiste encore une certaine douleur mais qui s’estompe rapidement laissant place à une douce chaleur qui irradie tout mon corps.

Ma bite gonfle et durcit plus encore dans la chatte d’Amandine qui commence à râler et très rapidement, j’éjacule en elle. Une vague de jouissance inconnue montant de mes reins m’envahit, alors qu’Albert me lime avec ardeur je me cambre, j’épouse son rythme et je pousse en arrière pour m’empaler plus fort sur son manche énorme. Je le sens soudain éjaculer dans mon cul en râlant. Elle aimait me faire porter ses dessous sexy de femelle pour sucer Albert. Elle adorait mater lorsque je le suçais ou qu’il me sodomisait devant elle. Elle guidait elle-même la bite d’Albert dans ma bouche ou entre mes fesses pour se masturber en nous matant.

Elle m’a initié à l’uro, Elle adore me faire coucher sur le dos, et chaussée des talons très hauts, elle se campe debout, les jambes ouvertes au-dessus de moi, avec ses doigts, elle écarte les lèvres de sa chatte épilée pour m’arroser d’urine. Puis elle me prend la tête et me colle la bouche sur sa chatte encore trempée de pisse pour me faire lécher les dernières gouttes en disant

« Lèche salope, nettoie bien que ce soit propre pour mon amant, »

Je lui prépare l’anus avec ma langue pour qu’Albert l’encule, je suce Albert avant et après qu’il la baise et je lui lèche la chatte après l’amour, je lèche ses seins pleins de foutre. Elle m’encule avec un gode ceinture pendant que je suce Albert qui éjacule dans ma bouche et me sodomise. J’aime aussi lorsqu’elle est pleine de foutre qu’elle s’accroupisse au-dessus de ma bouche et en écartant les lèvres de son sexe elle pousse pour faire descendre le sperme qu’elle a en elle puis d’un coup elle colle sa moule sur ma bouche juste au moment où elle se lâche à uriner. C’est comme ça que je connais mes plus fortes érections

cricrigdn@gmail,com

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2 réponses à Bizutage par sexnotaboo

  1. Canard dit :

    Un patchwork de perversions

  2. Sapristi dit :

    Pour la psychologie des personnages, on repassera mais ça reste agréable à lire

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