Aventures au bURO 2 – Petite escapade par peenut

Aventures au bURO
2 – Petite escapade
par peenut

Quelques semaines s’étaient écoulées depuis ma première expérience uro au boulot (voir chapitre précédent). V. avait du en parler avec quelques collègues car le regard de certaines avait changé depuis. De mon côté, je n’avais qu’une envie : recommencer. Mais je n’avais pas réussi à provoquer une nouvelle rencontre avec V. Pourtant, un matin alors que j’étais en réunion, un collègue me demande un document. Je me penche pour attraper mon attaché case, le pose sur la table et au moment où je l’ouvre, je fais une découverte incongrue : un magnifique slip rouge et une petite enveloppe… Heureusement, mon collègue est en face, il n’a rien pu voir, si ce n’est probablement mon expression inhabituelle !

Je referme rapidement mon porte-document et fait tout pour abréger la réunion. Une fois libre, je me précipite vers les premières toilettes disponibles et je contemple mon trésor. Dans l’enveloppe, une petite carte où il y a écrit :

« Alors, tu m’as déjà oubliée ? Tu trouveras ci-joint ce qu’il faut pour te rappeler notre petite aventure. Si cela t’en donne envie, je suis partante pour une escapade, toujours sur le même thème, mais un peu plus longue et confortable cette fois-ci. La balle est dans ton camp ! »

Ouaouh ! Si je m’attendais à ça… Je m’empare du slip et le porte à mon nez. Instantanément je reconnais les odeurs qui m’avaient transporté la première fois. Une érection presque douloureuse me prend et je suis obligé de me masturber et de me faire jouir rapidement.

En sortant des toilettes, une seule idée en tête : l’organisation de notre deuxième escapade ! En une petite demi-heure, tout est prêt. Date choisie, chambre d’hôtel réservée, invitation lancée… et acceptée dans la foulée par la demoiselle !

Le jour convenu, un midi, nous nous retrouvons directement à l’hôtel pour ne pas éveiller les soupçons. J’ai choisi un établissement où l’accueil est automatique en journée et surtout où il y a de magnifiques douches à l’italienne dans chaque chambre. Nous entrons et V. explore un peu les lieux. En voyant la douche, la belle me dit :

– « Bon, bah, je sais par quoi on va commencer… ».

Nous nous déshabillons entièrement et avant de rejoindre V. j’attrape le gode que j’ai pris soin d’emporter au cas où. Dans la douche, je m’assois par terre le plus confortablement possible puis elle vient vers moi les jambes bien écartées. Je ne peux m’empêcher de commencer par embrasser et lécher sa magnifique vulve. Mais, comme la première fois, elle m’interrompt rapidement en me disant

– « J’ai bu énormément avant de venir pour avoir ce qu’il fallait pour te donner une petite douche. Il faut que je me soulage sinon je vais exploser ! ».

Elle se recule alors un peu, écarte des deux mains les replis de son sexe et ajuste tranquillement son « tir ». Quelques secondes plus tard, je suis inondé par un jet dru et chaud. Elle a du boire effectivement beaucoup d’eau car l’odeur est très faible et la couleur aussi. Son urine coule sur moi tandis qu’elle fait varier les zones arrosées en bougeant son bassin. Mes cheveux, mes yeux, tout mon visage sont aspergés. J’essaie de garder les yeux ouverts pour profiter du spectacle et j’ouvre la bouche pour boire un peu cet élixir de jouvence. Le jet est tellement puissant que je ne peux tout intercepter et le trop plein descend tout le long de mon corps jusqu’à mon sexe en érection maximale. Cela m’a semblé durer des heures puis finalement elle s’est arrêtée pour me contempler.

– « Alors, heureux ? » me demande-t-elle.
– « C’était génial ! Approche que je te remercie… »

Elle revient doucement vers moi. Quelques gouttes d’urine perlent dans les poils de sa vulve. C’est magnifique. J’entreprends de lui faire un bon cunnilingus en la léchant doucement. Ses lèvres gonflent peu à peu et son vagin est inondé de cyprine. Les couleurs de son sexe sont sublimes. Son clitoris a pris du volume et je décide de m’y attarder. Je le masse délicatement à travers son capuchon. V. a l’air d’apprécier. Au bout d’un moment, elle me demande

« Si on testait ton engin ? » en me montrant le gode. « Rinces-toi un peu et retrouve-moi au lit ».

Je ne me fais pas prier. Après m’être rincé rapidement, je la rejoins sur le lit avec l’objet et commence à faire aller et venir le gland entre ses grandes lèvres pendant qu’elle se caresse les seins. Elle se cabre rapidement pour le faire entrer dans son vagin. Je pousse tout doucement jusqu’à la moitié mais elle se cabre encore plus pour le prendre en entier. Je suis impressionné de l’aisance avec laquelle elle a pris l’engin en elle jusqu’à la garde. J’attrape ce qui reste au dehors et j’entame un lent va et vient. A chaque aller-retour, son clitoris sort de son capuchon. Le bruit du frottement entre ses lèvres trempées est divin et le spectacle, grandiose. Elle me demande d’accélérer le mouvement. Je sens son vagin s’agrandir et à ses gémissements, je sens que la jouissance est proche. Elle finit par prendre le gode elle-même et au bout de quelques instants elle le retire violement en expulsant un grand jet qui m’éclabousse. Au même instant, elle a poussé un joli cri qui faisait plaisir à entendre… Elle éprouve alors le besoin de m’attirer dans ses bras. Au bout d’un moment elle me dit

– « Je vais rarement jusque là parce que j’ai honte d’uriner en jouissant. »

Je lui réponds tendrement

– « Tu n’as pas uriné, tu as éjaculé. Tu ne savais pas que les femmes aussi peuvent éjaculer ?

Et me voilà parti à la déculpabiliser et à lui expliquer rapidement ce qu’on appelle communément une femme fontaine. Elle est visiblement étonnée mais surtout soulagée. Elle me demande alors si j’ai envie d’une bonne fellation. Quelle question !

Elle prend donc mon sexe délicatement dans sa bouche et commence par me sucer le gland puis elle enfonce plus profondément mon membre. La scène précédente m’a tellement excité que je ne résiste pas bien longtemps. Je la préviens que je vais venir mais elle me garde au chaud jusqu’à ce que j’éjacule dans sa bouche en plusieurs soubresauts. Elle se redresse alors pour venir m’embrasser avec la bouche encore pleine de ma semence. C’est la première fois que ça m’arrive et ma foi, je trouve cela fort agréable. Un bref coup d’œil sur ma montre me fait revenir à la réalité. Il va falloir redescendre de notre nuage et… retourner au boulot. Le souvenir de cette petite escapade est ancré en moi à jamais, cela va sans dire !

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