Les chroniques de Nathan 1 – Le commencement… par Nathan

Les chroniques de Nathan
1 – Le commencement…
par Nathan


Je m’appelle Nathan, un jeune homme sans attache quelques amis mais rien de plus. Je n’ai jamais connu ma mère, mon père est parti quand j’avais 16 ans. J’ai fini mon adolescence dans quelques foyers par ci par la, en ayant toujours cette envie de réussir. Je n’avais pas eu la chance de pouvoir faire des études, mais cela dit j’apprenais vite, je lisais beaucoup, j’essayais de m’instruire par tous les moyens qui était à ma portée.

Les gens me reconnaissent un grand charme et un très bon charisme. Jouant sur ces qualités je décroche à 19 ans un petit boulot dans une grande boite. Je ne fais pas grand choses, je suis l’assistant d’un éditeur… Mais ça m’est égal, je vois plus loin, j’attends l’opportunité de faire mon trou. Mon enfance à la mérite de m’avoir appris une chose: Pour s’en sortir il faut le vouloir, peu importe les moyens pour y parvenir…

L’année de mes 19 ans, je n’avais pas beaucoup de temps pour moi, je travaillais beaucoup, et vivait dans un studio minable. Je me tapais des quinzaines de manuscrits par semaine, essayant de trouver un bouquin, la perle rare que je présenterais à mon patron. Cette idée m’obsédait, je lisais de plus en plus, tous ce que les autres ne prenais pas la peine de lire, moi je le lisais souvent en dépit des moqueries des collègues et des supérieurs. Six mois plus tard, je tombe enfin sur ce que je cherchais tant, pour moi c’est LE livre tout y est, le style, le rythme, le fond… Sans hésiter, sûr de moi, je vais voir le patron en personne et je lui explique. Ce ne fut pas un problème pour moi, j’ai toujours su me vendre et être à l’aise avec les gens. Je réussis à le convaincre de lire les 10 premières pages, et que si il n’était pas convaincu qu’il n’entendrait plus parler de moi.

– Rappelez-moi vôtre nom.
– Nathan monsieur, Nathan Longes.
– Nathan, mon père me disait souvent « La fortune souris au audacieux ». Vous avez osé tenter votre chance et me parler franchement, ce sont des qualités que j’apprécie.
– Merci monsieur
– Je pense que ce livre est très bon, et qu’il pourrait être encore meilleur. Je vous confie la responsabilité de ce bouquin, contactez l’auteur et travaillez dessus.

J’avais donc vu juste, il était conquit. J’ai travaillé les mois suivant à rendre ce bouquin publiable, et à sa sortie. Le livre a eu des ventes excellentes, ce qui m’a valu une super promotion. J’étais enfin devenu moi aussi un agent.

L’année suivante je travaillais toujours autant, j’étais bon dans ce métier, ce qui me valait la jalousie de certain de mes collègues. J’étais apprécié du grand patron, qui pourtant avait la réputation d’être plutôt sévère. Cela dit cette année que vous connaissez aussi, est une année difficile, le contexte de 2009 n’est favorable à personne… Ma boite s’en sors plutôt bien, mais elle n’est pas épargnée, il faut réduire les coûts. Les rumeurs circulent vite, très vite, on parle déjà de licenciement, une dizaine de personnes se verront remerciées… La pression augmente dans l’entreprise, les tensions se font sentir, des noms commence à circuler, et devinez quoi ? J’en fais partie. Ma place est maintenant menacée, je ne peux pas me permettre de perdre ce boulot, je n’aurais plus jamais une chance pareille. Il faut que je trouve une solution. Les rumeurs vont bon train, maintenant c’est même des rumeurs d’ordre privée qui circulent sur le patron. Celui-ci aurait il y a quelques années été arrêté ivre, sur le parking d’un club sado maso, et une histoire du même type avec son jeune assistant refait surface…

La où tout le monde ne voyait que calomnie, honte et dégoût, moi je voyais une opportunité ! Le patron a un faible pour les jeunes hommes, j’avais enfin trouvé une chance de garder mon emploi. Il fallait seulement que je trouve le meilleur moyen de l’aguicher. Je ne connaissais pas grand chose de lui, mais je savais qu’il lisait ses mails tous les matins avec attention. Trouver son adresse mail personnelle a été un jeu d’enfant… Vous connaissez la chanson une assistante délaissée par son mari, et pleine crise de la quarantaine, un jeune homme beau parleur… Enfin c’est une autre histoire ne nous égarons pas!

Je pouvais mettre mon petit plan à exécution, je tentais le tout pour le tout. Le soir en rentrant chez moi je fais un petit détour et achète un appareil numérique. Je le mets sur son socle, et prend une série de photos de moi nu, j’avais l’habitude de cela, ce n’est pas la première fois où je me retrouve à essayer d’exciter un homme, il fallait bien trouver de quoi manger étant plus jeune…

Exciter et donner envie à un homme ? Rien de plus facile, toutes les femmes savent ca, nous pensons que nous avons le contrôle. Mais c’est faux Messieurs, les femmes ont le pouvoir. Le pouvoir c’est simple, réussir à donner envie de vous a quelqu’un, devenez un fantasme pour lui, et vous ferez de lui ce que vous voulez…

Il aurait été trop facile de lui envoyer ces photos par mail, il fallait que je trouve un moyen plus subtil. Il faut qu’il ait envie de moi sans savoir qu’il peut m’avoir, le faire languir. Je mets ces photos sur une clé USB, une trentaine de photos plus perverses les unes que les autres. Je dévoile mes formes, mes courbes, sans pudeur. Je transmets la clé à ma nouvelle amie secrétaire qui grâce a une belle mascarade la donne au directeur:

-Monsieur, j’ai les chiffres du mois en cours. lui dit-elle sur le pas de la porte
-Oui entrez.
-J’ai trouvé plus sur, vue les tensions qui règnent dans la boite de vous les transmettre par clé USB plutôt que par le réseau ou par mail.
-Vous avez bien fait, merci Jade.
-J’ai du empreinter la clé à Nathan, la mienne est HS, faites la moi passer une fois que vous aurez terminé.

Et voila le travail, mon patron va trouver un dossier nommé « Photos perso ». Et je suis sûr qu’il ne se gênera pas pour l’ouvrir. Maintenant il ne reste plus qu’à attendre et laisse le doute et l’envie s’installer en lui.

La semaine suivante, je reçois un appel en fin de matinée, je suis convoqué dans son bureau.

– Ah Nathan, entrez je vous en prie.
– Vous vouliez me voir monsieur?
– Euhh oui, en fait voila… Donc, je voulais euhh…
– Oui?
– Simplement vous dire que vous avez fait du bon travail sur la dernière affaire.
– Je vous remercie.
– Et euhh.. N’hésitez pas si vous avez besoin de moi.
– Merci, monsieur.

Je commence à sortir de son bureau, et je me baisse pour ramasser une petite pièce au sol. Lui offrant le spectacle de ma croupe moulée dans un pantalon noir. Je fais demi-tour pour lui rendre, il se lève et me tend la main. Je lui glisse directement dans la poche de son pantalon, en prenant soin de bien caresser sa cuisse au passage…

Il avait vu les photos, et il était troublé, c’est la première fois que je vois dérouté. Maintenant il allait surement vouloir abuser de moi, je vous avoue que l’idée ne me dérangeait pas du tout. C’est un bel homme mur, j’ai déjà eu l’occasion de gouter au plaisir de chair entre hommes, et ça ne m’a pas déplut du tout…

Les jours passent, à chaque fois qu’on se croise je lui lance des regards provocateurs, aguicheurs… Les poignées de mains sont de plus en plus chaleureuses.

Une réunion est annoncée la semaine suivante, objet: nouvelles reformes… Ca s’annonce plutôt mal, mon patron ne semble pas vouloir passer à l’action, il faut que je sauve ma tête!

Il faut que je me débrouille pour aller dans son bureau, et jouer le tout pour le tout. Des croissants ! Comme on le fait souvent, parfois on apporte le petit dej au bureau, je pose des croissants vers la machine, et entreprend d’en apporter un au patron avec un café.

– Monsieur, petit déjeuner, croissant et café.
– Ah merci

Il prend une gorgé de son café.

– Arghhh, il est pas sucré! dit-il
– Ah désolé, grosse boulette n’est ce pas ?
– Oui très grosse. dit il en souriant
– Va falloir me punir…

Je m’approche de son bureau, en fermant la porte.

– Pardon ?
– Oui oui punissez-moi!

Il rougit, semble confus, il ne sait pas quoi dire ni faire, il hésite. Je vois qu’il en meurt d’envie, je lui donne un coup de pouce. Je pose mes mains sur le mur et me cambre en avant.

Il démarre au quart de tour, et viens se coller a moi, il appuie son bassin contre mes fesses, et me saisie les tétons à travers la chemise. Je sens son sexe qui se gonfle.

– Alors hein, comme ça tu sais pas faire du café
– Pardon
– Chut chut chut…

Il se recule et me met une bonne fessée, c’est violent, mais intense !

-En plus tu poses nu, tu aimes jouer les petites cochonnes.

Il me lance une série de fessés, jusqu’à s’essouffler, je gémis doucement et retient mes cris pour ne pas alarmer toute la boite.

Il me retourne, je vois une belle bosse à travers son pantalon. Il me traine par la cravate jusqu’à son petit divan, il s’assied, me penche en avant et me baisse le pantalon.

– En voila des belles fesses, elles commencent tout juste à rougir. Allez debout !

Il s’enfonce dans sur le dossier, défait son pantalon et sort sa verge déjà bien raide.

– Maintenant tu va jouer les putes pour moi, d’accord! Allez assieds toi sur le bureau et déshabilles toi doucement.

J’exécute ses ordres, j’ouvre doucement ma chemise devant lui. J’avoue que je ne m’attendais pas a cela, je pensais dominer l’affaire, mais la c’est moi qui suis impressionné par cet homme. Je n’ose rien lui refuser, et me retrouve tout timide à me dénuder pendant qu’il se masturbe.

-Voila doucement, enlèves moi ca! C’est bien, continu, garde ta cravate.

Je suis maintenant tout nu devant lui.

-Vas y caresse toi les tétons maintenant… Hummm oui comme ça voila continues! Maintenant bouges tes fesses, ondule pour moi… Voila c’est parfait

Je fais ce qu’il me demande, je bouge pour lui, je lui fais un véritable show privé, je m’applique à être sensuel. La nature ma donner de jolies formes, des fesses de femmes bien rondes, et un corps avec de belles courbes rondes. J’ai toujours eu du succès avec les hommes et les femmes, et j’ai vite appris à jouer de ce physique avantageux.

-Allez viens là, à quatre pattes.

Je marche à quatre pattes jusqu’a lui, je le regarde dans les yeux. Il saisit ma cravate, et me tire en avant.

– Maintenant tu va me sucer!

Je ne me fais pas prier, et n’hésite pas à saisir la verge déjà mouillée. Elle n’est pas d’un diamètre énorme, je la prends facilement en bouche, mais pas entièrement car elle est longue. J’aspire donc son membre chaud, je suce en jouant de ma langue sur son gland.

– Regardes moi bien.

Je le fixe dans les yeux. Il sort son sexe, et le tape fort sur ma langue. Il me tient toujours par la cravate, il me l’enfonce de plus en plus profond. J’ai du mal à encaisser, et je tousse au bord du vomissement. Les larmes me montent aux yeux.

-Allez avales la.

Je me contrôle et je suis ses mouvements, je l’avale maintenant en entier, je la sens taper le fond de ma gorge. Je me branle en même temps car j’en suis terriblement excité. Je le suce de plus en plus vite, il me serre de plus en plus fort, il est au bord de la jouissance…

-Tiens prend !

A peine il finit sa phrase qu’une bonne giclée, puis deux, puis trois viennent frapper mon palais.

-Joue avec vas-y.

Je m’amuse de son sperme, je le fait sortir et le ravale.

– Maintenant penche toi en arrière et jouis dans ta bouche, tu avaleras tout ensuite.

Je me mets sur le dos, ramène mes pieds derrière la tête, et me masturbe frénétiquement! Il en profite pour caresser mon anus, ce qui ne fait qu’augmenter mon plaisir. Je continue et ne tarde pas à inonder mon visage d’une belle éjaculation.

-Voila c’est bien, maintenant lèche tout et avale moi tout ça.

J’ai jouit comme jamais j’avais jouit, je pensais faire ca pour garder mon boulot, mais au final je ne pensais qu’a mon plaisir et au sien. Serais-je devenu un esclave accompli ?

-Maintenant que ce soit clair, tu es à moi, quand je te demande dans mon bureau tu viens, tu feras ce que je te dis quand je te le dis. C’est compris?

-Oui monsieur.

Lors de la réunion, nous avons appris qu’il n’y aurait aucun remaniement du personnel ! On pourrait croire que j’avais donc fait tout cela pour rien… Mais une nouvelle expérience s’offrait à moi, elle promet d’être jouissive…

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