Articho 2 – Passage à l’acte par très_curieux

 

Articho
2 – Passage à l’acte
par très_curieux

Bonjour à tous,

Je me permets de mettre ici la suite d’Articho, le récit zoo que j’avais posté il y a quelque temps sur Vassilia. Il y aura d’autres épisodes, écrivez-moi pour me suggérer des suites possibles, ce que vous aimeriez lire J’apprécierais tout particulièrement les témoignages de celles et ceux qui pratiquent. .

Dernier paragraphe d’Articho (Sophie n’est pas encore passée à l’acte) :
Le chien commençait à suinter ce liquide translucide, et Sophie en enduisit son pénis. Ne se maîtrisant désormais plus, elle ne put s’empêcher d’en appliquer sur son clitoris et sur son visage. Le mécanisme satanique était en marche, la roue tournait, inexorablement, vers la luxure. Elle entraîna alors le chien vers la salle de bain, de son museau il exigeait que les caresses continuent. Sophie passa alors les chaussettes sur les pattes avant, tout était prêt…

La suite :
Tout était effectivement prêt pour l’expérience ultime. Expérience de l’abandon total de soi, être possédée par un animal, voyager à rebours de l’histoire et ressentir ses pulsions les plus archaïques, régresser, perdre ce qui fait que l’homme est homme. Mais au demeurant, comment une jeune fille de 18 ans a-t-elle pu en arriver là ? Elle, Sophie, cette jeune fille de bonne famille élevée dans un environnement profondément sain ? Ce sont les hasards du destin, peut-être aussi et surtout l’ennui et la solitude ?

Sophie était dans un état d’excitation indescriptible, à la frontière de la nausée et de l’orgasme immédiat. Un peu effrayée par le geste, elle décidait de temporiser et de laisser le chien aller et venir entre ses fesses vers le bas du dos. Ainsi pas de risque de pénétration. Articho baisait littéralement la raie de ses fesses et suintait abondamment de son sperme… ce dernier coulait sur la rondelle vierge de Sophie et venait se mêler à sa cyprine. Puis une goute de sperme se forma sur son bouton et perla sur le sol, puis une autre et encore une autre.

Inondée de son jus et de celui d’Articho, Sophie se sentait néanmoins frustrée… elle guida donc le sexe d’Articho sur sa chatte et son clitoris. Les mouvements d’Articho, bien qu’erratiques, stimulaient totalement sa vulve: son pénis allait et venait sur ses lèvres, grandes et petites, et stimulaient son clitoris. Le nœud du chien venait lui frapper l’anus de Sophie.

Elle jouit violement, ce fut presque une catharsis, quelque chose d’animal, de diabolique, qui fut expulsé d’elle. A quatre pattes, elle tomba sur ses coudes, d’épuisement nerveux, et le chien s’en alla se lécher ailleurs. Entre ses jambes, une petite flaque de sperme, de jus. Un élixir de lubricité, désenchanté. Encombrant.

Sophie se saisit vite de l’éponge et fit disparaitre ces traces inacceptables de sa déviation. Angoisse ultime, la porte de la voiture qui claque. Sa mère. Sophie bondit littéralement hors de la salle de bain pour se rhabiller. Air confus devant sa mère, qui si elle le remarquait, ne pouvait en rien imaginer ce qui venait de se passer.

Toujours est-il que Sophie avait reculé. Elle savait néanmoins qu’il n’y avait pas de retour. Mais elle devait vivre dans l’attente du moment où elle aurait la certitude de pouvoir le faire sans être surprise. Les jours passèrent et elle ne pensait qu’à ça et se repliait sur elle même. Rien ne l’intéressait plus. Dans le même temps, son sentiment de solitude devenait toujours plus grand, car ce qu’elle vivait, personne dans son entourage ne pouvait le comprendre ni-même l’imaginer. Ses amies avaient 17-18 ans, pour la plupart vierges et prudes. De ça, Sophie n’en n’avait plus que l’apparence parfaite. Elle se sentait à part, exclue. Et plus ce malaise s’installait, plus son désir augmentait. Dans ses masturbations, Sophie ne pensait plus qu’à des chiens. Les garçons ne peuplaient plus ses rêveries. Elle s’imaginait promener Articho en forêt, et se faire prendre dans une clairière. Elle imaginait d’autres chiens venir tourner autour d’eux. Une orgie zoophile, et sa chatte totalement inondée de foutre canin; son pubis intégralement souillé, collant, les poils plaqués contre sa peau.

Près de 2 semaines passèrent, sans que sa mère, ou son père, ou encore son frère ne la laissent totalement seule avec Articho. Le dimanche, toute la famille va à la messe. Sophie prétexta un peu de fièvre pour ne pas y aller. Elle savait qu’elle aurait peu de temps.

Sitôt le reste de la famille partie, elle fit venir Articho dans sa chambre. D’un geste brusque et ample, elle écarta sa couette, laissant apparaitre son corps à la vue du chien. Elle était simplement magnifique. Sa peau était laiteuse, ses jambes, ses extrémités si longues, si fines. Sa poitrine était peu volumineuse mais ferme, son minou était lui délicatement frisé et clairsemé. Sentant son ventre se nouer, elle écarta ses jambes, présentant sa vulve déjà humide au chien. Il vint laper sa chatte excité et déjà, elle se tortillait, décollait ses fesses du lit pour accentuer la pression de la langue sur son anatomie.

Elle repoussa brusquement Articho. Sa famille devait rentrer dans moins de 30 minutes. Elle descendit vers le bas du lit, ses fesses à moitié dans le vide, puis elle saisit les pattes avant du chien. Elle décida que ce serait maintenant, dans l’urgence. En position du missionnaire. Sophie fit venir le chien à elle. Son sexe était déjà bien sorti de son fourreau, rouge et luisant. Elle le prit à pleine main, le chien ne pompait pas encore, elle le guida fébrilement vers l’entrée de sa grotte totalement dégoulinante de cyprine… Sophie tremblait de partout…

Le pénis du chien venait jouer avec ses petites lèvres, tapait à côté, il commençait à aller et venir de plus en plus vite et d’un coup, il trouva l’entrée. Sophie accueillit cette intrusion d’un cri rauque, surpris… d’un coup de rein brutal, le pénis s’enfonça profondément en elle….elle cru se liquéfier. Articho se mit alors à la défoncer frénétiquement, chacun de ses coups de boutoir était accueilli d’un cri sauvage de Sophie qui hurlait littéralement de plaisir et d’extase. 90% de ce plaisir provenait de la nature même de cet acte, mais Articho ne déméritait pas pour autant. Ainsi en missionnaire, son pénis l’emplissait et stimulait son point G. Le chien bavait aussi abondamment sur ses seins ce qui l’excitait encore davantage. Elle explosa littéralement de jouissance, poussa un cri comme si on l’éventrait… Le chien déchargea tout son foutre dans Sophie, puis se retira presque aussitôt laissant le sperme s’écouler hors d’elle, sur le lit et le parquet de sa chambre. Elle était là, pantelante…. Sophie resta quelques instants sans réaction.

Elle l’avait fait. Mais elle en voulait plus. Elle voulait être prise à 4 pattes. Et puis elle voulait emmener Articho la prendre en forêt, à la tombée du jour…

A suivre…

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5 réponses à Articho 2 – Passage à l’acte par très_curieux

  1. Mathilda Stenberg dit :

    Quel joli texte ! Et ces descriptions , hum, j’en suis jalouse, je n’écris pas aussi bien LOL

  2. Belinda dit :

    Ça réconforte de savoir que je en suis pas la seule à apprécier ce genre de choses

  3. Corniglio dit :

    C’est qu’il parviendrait presque à nous exciter avec son récit

  4. Stoller dit :

    Bravo pour cette histoire dans laquelle il n’y a aucune maltraitance animale, Brigitte Bardot nous emmerde

  5. Lucia dit :

    Un peu court, mais c’est très bien

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