Aventure en montagne par Domi_Dupont

Aventure en montagne
par Domi Dupont

Christophe Lefrancoz commençait à la trouver saumâtre. Depuis une bonne heure, il errait sans retrouver aucun de ses repères. Pourtant cette putain de montagne, il la connaissait. Malgré son jeune âge (il venait de fêter ses dix-huit), c’était un montagnard expérimenté. Mais dans les instants de panique qui avaient suivi sa chute, il avait du tourner en rond. Là dessus, la pluie et le brouillard s’étaient mis de la partie et maintenant, il n’avait plus aucune idée d’où il se trouvait. Et en prime sa cheville lui faisait un mal de chien. Il regarda sa montre: d’abord dix-neuf heures. Ca devenait inquiétant ! Il ne se sentait pas la force de marcher encore longtemps. Il lui fallait trouver un abri avant que la nuit n’arrive. Ce n’étaient pas les refuges encore parfois utilisés par les bergers en alpage qui manquaient ! Encore fallait-il qu’il en déniche un ! Dès que l’obscurité serait tombée, la montagne deviendrait un piège mortel ! Si seulement, il pouvait se situer ! Mais cette brume ne lui permettait pas de voir à plus de cinquante mètres. Il n’en pouvait plus. La douleur prenait de plus en plus de place. Si son coupe-vent protégeait relativement bien le haut de son corps, l’humidité avait depuis longtemps plaqué son pantalon contre ses cuisses. L’horizon était complètement bouché. Les dernières lueurs du jour s’estompaient. Complètement épuisé, il s’arrêta. Son regard balaya l’horizon. Celui-ci se limitait à une ligne gris-blanc tirant sur le bleuté à l’approche de la nuit. Impossible de distinguer quoique ce soit, le désespoir l’envahit. Quand soudain…

Une lumière ! Une lumière, une cinquantaine de mètres en contrebas ! Plus rien ! Pourtant, il n’avait pas rêvé ! Il l’avait bien vue ! Animé par un regain d’énergie, il reprit son chemin en direction de l’endroit où il avait cru voir… il avait bien vu ! Après une marche assez courte, il devina d’abord la découpe réconfortante d’un pan de mur derrière le rideau de pluie. Mieux en s’approchant, le panache de fumée qui s’échappait du toit lui indiqua que le chalet était occupé. Enfin, il le reconnut : c’était le chalet de Jérôme Danlébois, un sexagénaire parisien. Arrivé dans la vallée une dizaine d’années auparavant, il y vivait en ermite, ne fréquentant le village que pour satisfaire ses besoins alimentaires. Il parlait à tout le monde, rendait à l’occasion quelques menus services mais il restait très en retrait de la communauté. Comme tous les gens de la vallée, Christophe ne l’appréciait pas spécialement. Il ne serait sans doute pas venu lui rendre une visite de politesse mais ce soir, il aurait volontiers embrassé le vieux sur les deux joues. Soulagé, il frappa énergiquement à la porte. Quelques secondes qui lui parurent autant de minutes passèrent avant que l’huis ne s’entrouvre :

– Qui vient… Tiens le fils Lefrancoz ! Qu’est-ce que tu fiches là à pareille heure et par ce temps pourri !

Puis remarquant son état dégoulinant :

– Et ben t’es dans un bel état ! Dépêche-toi d’entrer que je ferme la porte au froid.

Christophe ne se fit pas prier, il s’engouffra dans la pièce. Alors seulement, il s’aperçut que le vieux était vêtu en tout et pour tout d’une vieille canadienne qu’il avait sans doute passé à la va vite avant de venir lui ouvrir. Il n’avait pas pris le temps de la boutonner et sa devanture était librement exposée au regard du jeune homme. Bien qu’un système pileux très développé dissimulât partiellement ses génitoires, Christophe remarqua avec un intérêt amusé que le père Danlébois avait été fort bien doté par dame nature. Sa préoccupation n’était pas là: il se débarrassa de son coupe-vent et vint se planter devant la cheminée où crépitait un bon feu. Il tendit les mains vers le foyer pour s’y réchauffer. D’une armoire le vieux sortit une serviette, un pantalon de velours, les posa sur une chaise et lui dit :

– Ces vêtements trempés, c’est un coup à attraper la mort ! Ote-moi tout ça !

Jérôme se déshabilla, gardant tout de même son slip.

– Allez ! Le slip aussi ! Il est aussi trempé que le reste. Après une brève hésitation, le jeune homme tomba le slip. Il se sentait un peu ridicule ainsi, nu devant ce vieil homme. Sa bite rétractée par le froid et l’humidité lui parut ridiculement petite: pauvre virgule, ponctuation virtuelle entre ses deux boules Le père Danlébois n’avait toujours pas refermé sa canadienne et sa virilité bien qu’au repos en imposait. Soudain, réaction froid/chaud, Christophe se mit à grelotter tout en claquant des dents. Le vieux n’hésita pas, il saisit la serviette et frictionna vigoureusement les parties dénudées. La crise perdurant, il le débarrassa de son pull et de son t-shirt. Il fit approcher le garçon de la cheminée offrant son corps nu à la chaleur de la flamme. Il recommença ses frictions. Si Jérôme n’avait pas été si occupé à claquer des dents, il se serait sans doute rendu compte que le pénis du vieux monsieur s’était partiellement redressé, que son volume avait encore augmenté. Il se serait aussi sans doute aperçu que la serviette passait, repassait et s’attardait souvent au bas de ses reins, entre ses cuisses, voire sur sa bite. Que le mouvement des mains remontant le long de son torse ressemblait fichtrement à une caresse. Il aurait surtout vu le regard brûlant… Mais il avait trop froid…. Peu à peu la crise se calma et une chaleur bienfaisante envahit le corps du garçon. Les tremblements cessèrent. Comprenant la situation, le vieux reposa la serviette, discrètement se détourna afin que ne soit pas révélé son état de bandaison avancée. Il tendit le pantalon au jeune homme. Lui-même enfila prestement le sien et pendit sa canadienne au portemanteau derrière la porte d’entrée. Il avait besoin de s’occuper les mains. Tournant le dos au garçon, il entreprit de pendre les affaires mouillées sur l’étendage à gauche de la cheminée. Cela lui permit de retrouver une certaine sérénité. Il put s’exprimer d’une voix quasi normale :

– Si tu veux un pull, j’peux t’en prêter un mais tu vas très vite avoir trop chaud. Dans une petite demi-heure ton maillot sera sec.

Le torse glabre, à la peau laiteuse rougie par la rugueuse friction du citadin offrait un contraste saisissant avec celui de l’ancien, velu, musculeux, tanné par le soleil d’altitude. Jérôme évitait avec soin de regarder ses juvéniles tétons rose bonbon encore érigés après le passage de la serviette.

– Merci, je n’ai pas besoin de pull. Il fait super chaud chez vous.
– Ben oui ! J’ai pas de thermostat et la cheminée quand elle chauffe, elle chauffe. C’est pour ça que j’étais nu quand tu t’es pointé. Je suppose que je vais devoir t’offrir l’hospitalité pour la nuit. Vu les conditions météo, tu ne pourras pas descendre au village ce soir.
– Je suis désolé pour le dérangement, Monsieur Danlébois. J’essaierai de me faire tout petit.
– Ca, il faudra bien ! répondit le vieux en rigolant. On n’est pas au château de Versailles.

Pour ne pas être au château de Versailles, on n’y était pas. Ce chalet était un vestige d’une époque révolue. Composés d’une seule pièce, sans eau courante, ni électricité, ils offraient aux montagnards, avant l’avènement de la civilisation des loisirs, un confort spartiate. Les seules concessions apparentes de Jérôme Danlébois à la modernité : un grand lit douillet occupant tout le pan Ouest, des lampes tempêtes et une gazinière.

– Je suppose que tu n’as pas mangé.
– Non !
– Je suppose également que tu voudrais rassurer tes parents sur ton sort
– Oui mais….
– Il n’y a pas que de mauvaises choses dans le progrès. Du tiroir de la table, il sortit un téléphone portable et le tendit à Christophe.
– Je te demanderai seulement d’être concis car mes batteries ne sont pas inépuisables.

Pendant que Christophe téléphonait, le vieux fit réchauffer sa gamelle de soupe. Il la lui servit dans un grand bol accompagné de pain de campagne et de tomme de montagne. Le jeune homme dévora ce repas improvisé sous l’œil attentif de son hôte. Lorsqu’il voulut se lever, une grande douleur irradia toute sa cheville et il dut se rasseoir précipitamment. Le vieux s’en aperçut :

– Ca ne va pas ?
– C’est ma cheville ! Je me la suis tordue en tombant ! J’espère que je ne me suis pas fait une entorse.
– Laisse-moi voir ! Jérôme remonta délicatement la jambe de pantalon, palpa la cheville avec de grandes précautions et énonça son diagnostic :
– Je ne pense pas que tu te sois foulé quoique ce soit ! C’est seulement la douleur due à la contusion. J’ai ce qu’il faut.

Du même tiroir qu’il avait tiré le portable, il sortit un pot d’onguent.

– Retire ton pantalon et allonge-toi sur le lit.

Christophe ne pouvait prendre appui sur son pied droit et Jérôme dut l’aider d’abord à atteindre le lit puis, une fois qu’il l’eut allongé, lui ôter son pantalon. Sentir ce corps jeune contre le sien provoqua un doux frissonnement dans son entresol. Celui-ci se transforma en début d’érection quand pour faire glisser le pantalon, ses mains rencontrèrent la peau soyeuse du jeune homme. Il prit mille précautions pour ne pas accentuer la douleur, ce qui, égoïstement, lui permit de lents et lascifs frôlements tout au long de chaque jambe, du haut de la fesse (tendre à souhait) via l’intérieur de la cuisse (au passage, par inadvertance, une petite touchette de bite) jusqu’au mollet (au galbe exquis). Quand, enfin, il déposa le pantalon, la queue du vieux tendait l’étoffe de son futal. Il s’aperçut, alors, que Christophe, abandonné, avait fermé les yeux. Le vieux n’osait pas y croire : cela lui aurait plu. Il se morigéna aussitôt : « Arrête, ce gamin, tu le connais depuis des années ! Il essaie simplement d’oublier sa douleur ! ». Il étala la pommade de chaque côté de la cheville contusionnée et entama un massage à la limite de la caresse. Christophe, effectivement, appliqué à contrôler sa douleur n’avait pas eu conscience du comportement du père Danlébois quand il lui ôtait son fut. Maintenant que l’onguent et le massage chassaient le mal, il sentait la douceur de ces mains, il comprenait bien qu’elles remontaient parfois un peu haut. Il se sentait bien, il ne voulait pas rompre le charme. Il garda les yeux fermés acceptant ces caresses jusqu’au moment où sa bite réagit. La peur de la réaction de l’autre le fit se redresser.

– C’est génial votre truc, je n’ai presque plus mal.

Il s’assit essayant de cacher les prémices de son érection. Il put le faire sans difficulté car Jérôme, lui aussi, dut réatterrir. Il n’osait pas regarder l’autre de peur qu’il puisse lire dans son regard le désir qui l’habitait. Sa bite engoncée dans son futal lui faisait mal. Il se força à parler

– Je vais te mettre une bande et demain, il n’y paraîtra plus.

Ainsi fit-il puis il ouvrit le lit pour que le jeune homme puisse s’installer confortablement.

– Comme tu as pu le constater, il n’y a qu’un lit mais il est suffisamment grand pour que nous ne gênions pas… Je suppose qu’après toutes ces émotions, tu dois avoir sommeil.

Sans attendre de réponse, il ouvrit une espèce de paravent devant la cheminée installant la pièce dans une obscurité relative. Sa bite, si elle n’avait pas retrouvé une attitude de repos, n’était plus aussi rigide aussi enleva-t-il son futal sans trop de gêne. Il se glissa rapidement sous les draps. Il fallait qu’il cesse de penser à ce jeune corps nu, désirable allongé à portée de sa main. Il récita certains mantras qui l’avaient beaucoup aidé au début de sa solitude. Mais ça n’accrochait pas. Sans cesse, ses pensées revenaient à cette chair souple, délicate, quasi féminine que ses doigts avaient effleuré un peu plus tôt. Mantras… Mantras… Il imaginait ces fesses croquantes qui s’ouvraient pour offrir à sa convoitise cette rondelle sans doute vierge. Il avait du se tourner sur le côté droit, dos à Christophe car sa queue avait retrouvé son volume, sa rigidité, tressautant doucement au rythme de son fantasme. Situation comique s’il en fut car Christophe lui non plus n’arrivait pas à trouver le sommeil. Ses pensées suivaient un cours parallèle et complémentaire à celles du père Danlébois. Bien que celui-ci fut prestement entré dans le lit, Christophe avait fort bien vu la grosse queue un peu molle et les belles boules velues. Il avait envie de la toucher, de la sentir grossir sous sa main. Lui qui n’avait pas beaucoup de poils, mais alors vraiment pas beaucoup, avait envie de fourrager dans broussailles enchevêtrées.

Les deux hommes, perdus dans leur fantasme, ne parvenant pas à trouver le repos, s’agitaient beaucoup. Heureusement le hasard, dieu parfois bienveillant, dénoue certaines situations. Deux gestes indépendants en se conjuguant peuvent tout enclencher: Jérôme, pour aucune raison particulière, se coucha sur le côté gauche, à la seconde où la main droite de Christophe se déplaçait sur sa droite justement. La main rencontra la queue et ne put faire autrement que de la serrer. Instant de stupeur.

Jérôme : – Il tient ma queue ! Christophe : – Il bande !

La jeunesse eut l’initiative de la joute. La main entama une douce caresse le long de la hampe dressée déclenchant un soupir de satisfaction/libération chez le partenaire. Les hostilités étant ouvertes, Jérôme ne resta pas passif et sa main partit flatter le pieu adverse. Comment résister à une telle flatterie ! Il présenta les armes aussitôt. Cette double masturbation n’était qu’une mise ne jambe, en quelque sorte. Déjà, le vieux insinuait une main entre les cuisses du jeune homme. Du bout de l’index, il titillait la peau très excitable du périnée, démarrant son périple haut sous les couilles pour l’achever dans la raie culière aussi loin que la longueur de son doigt le lui permettait. Pendant ce temps, le reste de ses doigts pétrissaient les testicules. Christophe, satisfait de la tournure que prenaient les évènements, avait abandonné la queue de peur d’une éruption impromptue et laissait sa main jouer aux boules. Il se mit lui aussi sur le flanc : ainsi sa bouche put chercher (et trouver) un téton (puis un autre) à déguster tandis que sa main (la gauche pour être précis) peignait ces poils. Du pubis jusqu’au cou, ce n’était qu’une vaste étendue à débroussailler. Cette pelouse grisonnante le rendait fou : abandonnant les tétons, il lécha le torse. Déversant sans compter sa salive, il lissa cette toison. De nombreux poils demeuraient coincés entre ses dents mais il n’en avait cure. La main du vieux ouvrit ses fesses, son index curieux eut une surprise. La facilité avec laquelle il s’introduisit en ce lieu consacré lui indiqua clairement que ce n’était pas un voyage inaugural. Le majeur le rejoignit facilement. Manifestement, ce lieu avait déjà reçu de nombreux visiteurs. Les deux compères s’enfoncèrent profondément, entamèrent de souples va-et-vient qui déclenchèrent une lècherie frénétique.

Jérôme dut accomplir des gestes acrobatiques pour ne pas déculer ses doigts alors que Christophe tentait d’introduire son visage sous son aisselle pour bouffer cette touffe plus dense et plus odorante Ces fragrances viriles d’homme qui n’utilisait ni douche, ni déodorant l’enivrèrent. Il lui fallait autre chose. Complètement oublié la douleur à la cheville, il se contorsionna, posa ses lèvres sur le gland encore encapuchonné du vieux, se demandant comment il parviendrait à engloutir un tel engin. Lors de cette dernière manœuvre, Jérôme n’avait pu faire autrement que de retirer ses doigts mais ceux-ci retrouvèrent instantanément le chemin, s’enfonçant de nouveau dans le cul grand ouvert. Dans la suite logique de cet exercice, le pénis de Christophe se trouva face à la bouche de Jérôme. Celle-ci, l’espace d’un instant, engloutit entièrement la bite qu’on lui présentait. Cela se fit sans mal car l’engin s’il était parfaitement opérationnel n’était pas d’une taille exceptionnelle. Mais cela n’intéressait pas vraiment le vieux. Après quelques va-et-vient polis, dans une succession de mouvements enchaînés, il se mit sur le dos, sans lâcher les fesses du jeune homme, il le fit basculer au-dessus de lui. Il se recula, s’appuya contre le montant du lit de telle manière que sa bouche se trouve à la hauteur du nid d’amour de son jeune partenaire. Ses mains ouvrirent largement les jeunes fesses comme on ouvre une orange. Sans plus attendre, la pointe de sa langue vint buter contre le petit trou du cul qui émit une suite de contractions appelant d’autres jeux. Recevant le message cinq sur cinq, les lèvres du vieux vinrent se coller à l’anus tandis que sa langue, sans effort, pénétra ce vagin improvisé et telle une petite queue commença de le baiser. Le vieux faisait couler un maximum de salive afin de lubrifier au mieux le conduit.

De son côté, Christophe ne perdait pas son temps : il couvrait la hampe musculeuse de mille baisers, la léchouillant du haut des couilles à la fente du méat. De l’extrémité de sa petite langue très pointue, il avait pénétré le conduit urinaire. D’une main il branlait doucement cette grosse Bertha. De l’autre, il malaxait ces vieilles couilles qu’il sentait pourtant encore pleine d’une sève qu’il espérait bien faire jaillir. A un moment, il voulut emmener sa menotte entre les fesses de l’autre mais le mouvement de contractions compulsives de celles-ci lui fit immédiatement comprendre que ce lieu lui était interdit. Il n’avait toujours pas risqué prendre cette énormité dans sa bouche. Une crainte irraisonnée de s’étouffer l’en empêchait. Progressivement pourtant, il passa de baisers titillant sur le méat à des baisers plus expansifs, plus profonds. Enfin, il osa ouvrir carrément sa bouche et ses lèvres se collèrent de part et d’autre du gland. Alors qu’il commençait à apprécier cette situation, se disant que par palier, il arriverait bien, à gober cette grosse bête, une poussée d’origine inconnue précipita les évènements. Bien qu’il n’eut en bouche que la moitié de cette bite, le gland vint heurter violemment sa luette. Il crut qu’il allait mourir asphyxié mais le vieux dégagea suffisamment son engin pour que l’air puisse à nouveau circuler dans sa trachée. Quand il sentit des doigts, beaucoup de doigts lui branler férocement le cul, il comprit la cause profonde de cette brusque pénétration. En effet, le vieux avait, pour remplacer sa langue humide, enfoncé trois doigts jusqu’à la garde d’un seul élan. Il les entrait, les sortait, les tournait, les écartait du plus qu’il pouvait, dilatant ainsi un maximum la porte en prévision d’une intromission future. Ces manipulations sans tendresse excessive entraînaient la bouche de l’autre dans un coulissage imposé. La bite noueuse sous ces caresses buccales augmentait encore de volume. Christophe se demandait si son petit trou pourtant fort accueillant pourrait l’absorber. Depuis plusieurs années, il prenait de la bite. Il en avait eu de belles mais une comme ça jamais. Et il fallait que ce soit celle d’un vieux, de son bled de surcroît !

Les premiers instants de panique surmontés, le jeune homme s’appliquait à lécher consciencieusement ce raide morceau de chair bourgeonnante laissant sa bouche se mouvoir au rythme du travail manuel du vieux. Il tenta une seconde reconnaissance vers l’entre-fesses de celui-ci. Essuyant une nouvelle rebuffade, il se rabattit sur un malaxage en règles de ses testicules. Le vieux, s’il tenait à l’intégrité de son intérieur intestinal, asservissait complètement celui de son partenaire. Cependant vu la grosseur de ses doigts et l’étroitesse (toute relative) de la tuyauterie ramonée, il ne put y insérer son auriculaire. De sa main libre, il pinçait, étirait tour à tour avec rudesse chacun des tétons, y plantant parfois sadiquement ses ongles. Conservant ses doigts profondément enfouis, il forma un anneau de son pouce et son auriculaire autour des boules les tirant vers le bas. Puis il s’adossa confortablement contre le montant du lit, laissant la bouche de l’autre le pomper. Ce qu’elle faisait avec adoration. Christophe, à chaque déplacement écartait ses lèvres au maximum, gonflait ses joues afin d’aller encore plus loin. A force de persévérance, il finit par ingérer les trois quarts du monstre. Sentir ce vit palpiter dans sa bouche, ces doigts fouir son cul lui procurait une excitation proche de la jouissance. Son anneau se contactait autour des doigts comme ses lèvres autour de la bite. Cette émulation était communicative: les sursauts dans sa bouche se firent plus fréquents avec une amplitude plus grande.

L’attrapant par les cheveux, le vieux dégagea sa queue. Il dégagea aussi sa main. Soulevant Christophe par les hanches, il amena ses fesses au-dessus de sa bite. Pour la première fois depuis le début de leurs ébats, il fit preuve de tendresse. Avec délicatesse, son énorme gland vint appuyer contre l’anus entrouvert. D’une voix éraillée, il dit :

– A toi de jouer petit ! Empale-toi comme tu le sens !

Christophe LA sentait ! Il se demandait toujours comment il allait bien pouvoir l’accueillir. Mais il en avait trop envie pour s’arrêter à une telle considération. Les cuisses collées à celle du vieil homme, une main sur chaque fesse les étirant vers l’extérieur pour faciliter l’introduction, il poussa, poussa, poussa et poussa encore. La pointe du gland avait franchi la porte sans grande difficulté. Il en arrivait au moment fatidique où la partie au plus grand diamètre écartait ses chairs, heureusement bien lubrifiées, pour forcer le passage. Ca ne passait pas ! Il s’immobilisa découragé. Le vieux, patient, lui caressait le dos ne faisant nullement mine de lui imposer la pénétration. C’était trop con ! Il la voulait cette grosse bite ! Il voulait qu’elle le remplisse, qu’elle lui ramone les entrailles ! Il l’aurait ! Il plaça ses mains sous ses cuisses. Il prit son souffle, le bloqua. Il expulsa brutalement l’air qu’il avait emmagasiné tout en tirant violemment sur ses cuisses. Il ne put s’empêcher de hurler à la fois de joie – Ca y était ! – et de douleur – il avait l’impression d’être déchiré de partout. N’empêche qu’il était bien empalé entièrement sur ce pieu viril ! Le vieux lui abandonnait toujours l’initiative. Après un moment à avoir savouré cette pure jouissance intellectuelle d’avoir cette énormité en lui et laissé s’estomper la brûlure insupportable qu’avait causée cette même énormité, il commença de bouger. D’abord timidement, presque en se cachant puis peu à peu, l’assurance venant, il se souleva. Il se garda bien de laisser échapper le gland. Il l’avait en lui, il le gardait. Il n’avait pas envie de ressentir tout de suite une seconde intromission. Elle était si grosse qu’elle raclait littéralement contre les parois. Les forts frottements sur sa prostate provoquaient une montée de liquide séminal. Sa bite, si petite par comparaison, devenu flasque sous le coup de la douleur, retrouva toute sa vigueur. De ses deux mains dorénavant libres, il se branla doucement.

Jérôme, s’apercevant de la chose, plaça de nouveau ses mains de part et d’autres de ses hanches. Il le souleva de nouveau, sans pour autant déculer et le fit tourner dans un aérien 180°. Christophe, maintenant, lui faisait face: sa petite bite bandée semblait viser la tête du vieux.

– Branle-toi ! Je veux te voir juter.

N’ayant pas lâché les hanches, il imprima un mouvement de haut en bas au corps du jeune homme qui se masturba sur le même rythme. Cela ne dura pas très longtemps car cette bite qui le remplissait jusqu’à l’estomac lui déchirait la tête : la jouissance approchait. Soudain son corps et sa main s’affolèrent, ils s’activèrent dans rythme effréné. On n’entendait plus que le bruit de deux respirations haletantes et les « splash-splash » des fesses de Christophe qui cognait contre les cuisses de l’ancien. Le jeune homme éjacula à longs jets qui allèrent s’écraser sur le torse, le visage de son vis à vit. La première goutte de sperme qui tomba sur son visage déclencha sa jouissance du vieux. Son cul, ses cuisses se soulevèrent spasmodiquement comme s’il voulait pousser sa queue encore plus haut, encore plus loin. Quand Il se vida dans ses intestins, Christophe eut l’impression que le vieux n’avait pas joui depuis des siècles, qu’il s’était déchargé de plusieurs litres de liquides tellement il était inondé.

Sans déculer, le vieux empoigna les cheveux de Christophe et plaqua les lèvres de ce dernier sur sa poitrine gluante.

– Avec ta langue ! Nettoie tes cochonneries ! Vite !

Le jeune adorait son jus (pas que le sien d’ailleurs). Il ne se fit pas prier et lécha goulûment toutes les parcelles de peau souillées. Quand il eut terminé, le vieux se retira de son cul et lui imposa le toilettage de sa bite. Elle avait perdu de sa rigidité mais restait encore ferme et d’une taille conséquente. Enduite de sperme et d’autres résidus du ramonage intensif qu’elle avait pratiqué, cette queue n’était guère appétissante aussi, Christophe la fourbit sans réel plaisir mais avec le secret espoir de lui redonner sa vigueur précédente afin de subir une nouvelle troussée. Espoir déçu : malgré son application, l’engin ne retrouva pas sa rigidité. Bien mieux, l’ancien se rendant compte des intentions de Christophe, utilisa l’eau très froide de la source pour lui nettoyer le cul, la queue et les couilles. Ce qui refroidit définitivement, du moins pour cette soirée, les ardeurs du jeune homme.

Le lendemain matin, la cheville de Christophe ne le faisait plus souffrir et il ne pleuvait plus. Après une longue séance d’adieu où il put apprécier à nouveau la rude virilité de son hôte, il redescendit au village le cul endolori et le cœur content. Il savait qu’il rendrait de nouveau visite au vieux… et que ce ne serait pas par politesse.

domi.dupon@caramail.com

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4 réponses à Aventure en montagne par Domi_Dupont

  1. Bernardin dit :

    Si tout comme moi vous êtes bitophile, vous allez vous régaler, ce texte est généal.

  2. Mermillaud dit :

    Un petit bijou !

  3. Biquet dit :

    Comment ? Ce chef d’œuvre est resté planqué depuis 15 ans dans les tréfonds du site et n’a jamais suscité de commentaire ! Je rêve ou quoi ?
    Un magnifique récit respectueux et formidablement bien écrit ! On s’y suce, on s’y encule et cette lecture m’a provoqué une érection du tonnerre de dieu que j’ai du calmé avec ma mimine préférée.

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