Il y a un début à tout chapitre 1 et 2 par rom1xbi

Il y a un début à tout
chapitre 1 et 2
par rom1xbi


Chapitre 1
Le commencement

Il est 20 heures et je rentre du boulot, exténué. Je suis médecin de campagne et mes journées sont donc bien remplies.

Après avoir rentré ma voiture dans le garage de la maison, je pénètre dans le hall d’entrée. Je n’entends aucun des bruits habituels d’une maison habitée par un couple. Je pose mes affaires dans un coin et je me prépare à me changer pour revêtir une tenue plus cool. Je monte dans la chambre. Toujours aucun bruit. J’ouvre la porte de la chambre. Je n’ai toujours rencontré personne.

Sur le lit, j’aperçois un paquet avec un message. Je reconnais tout de suite l’écriture de mon épouse:

« Mon Chéri, ouvre le paquet. Ce sont des vêtements que j’aimerais que tu portes ce soir à mon retour ».

C’est bizarre, elle ne m’a jamais fait ce coup là ! J’ouvre le colis et découvre des habits noirs, dans une matière que je reconnais être du latex. Il y a une combinaison intégrale, des gants. Rien d’autre. Décidément, ma femme est devenue folle !

Tout à coup, j’entends la porte d’entrée qui s’ouvre et la voix de ma femme qui s’écrit:

« Tu as trouvé mon cadeau ? J’espère qu’il te plait et que tu as fait ce que j’ai écris sur le petit mot. »

Je n’ai même pas le temps de lui dire que je viens de découvrir le colis que la porte s’ouvre. Ma chère et tendre est debout dans l’encadrement. Je remarque tout de suite qu’elle n’est pas habillée comme d’habitude mais toute vêtue de cuir des pieds à la tête.

Chapitre 2
La présentation
En voyant ainsi accoutrée ma femme, je me sens complément déstabilisé.

– Déshabilles toi tout de suite, me lance-t-elle d’un ton plus qu’autoritaire.
– Mais…, osais-je répondre.
-Tais-toi et obéis !

Je m’exécute et me voilà nu devant elle. Elle attrape les vêtements en latex et me les jette au visage. Je comprends tout de suite que si je ne les enfile pas, ça va barder pour mon matricule.

J’enfile donc la combinaison en latex noire. Celle-ci est parfaitement à ma taille et colle immédiatement à ma peau. Aussitôt la fermeture éclair remontée, j’enfile les gants. Me voici tout vêtu de latex des pieds jusqu’au cou.

– A genoux !!! me lance-t-elle.

Je m’exécute immédiatement. Me voici à genoux devant mon épouse que je croyais, jusqu’ici, tendre et douce.

– Je vais encore te faire quelques cadeaux au long de cette soirée, même si tu ne les mérites pas, me dit-elle.

Elle sort d’un sac en plastique un collier de cuir avec des anneaux métalliques à son pourtour. Elle s’approche et me le met autour du cou, le serre assez pour qu’il gène les mouvements de ma tête. Elle y accroche une laisse. Me voici réduit au rang d’un animal de compagnie, son animal de compagnie.

Ainsi paré de mes atours, elle sort de la pièce et revient immédiatement avec une cagoule. Elle me soulève la tête, m’occasionnant une légère douleur en raison du collier qui m’enserre le cou. Elle ajuste la cagoule sur mon visage et entreprend de lacer l’arrière de la cagoule pour la fermer.

– Te voilà prêt pour être mon jouet, me lance-t-elle. Baisse le regard, je veux que tu baisses les yeux en ma présence. D’accord ?
– D’a.. d’accord.
– Ne me parle pas comme ça, effronté ! Oui, Maitresse ! me répond-elle en hurlant.
– Oui, Maitresse.

Elle m’enfonce dans la bouche une boule de caoutchouc assortie à la cagoule. Elle attrape la laisse accroché à un des anneaux de mon collier et quitte la pièce. Je dois la suivre car le collier me fait souffrir immédiatement. Nous traversons le couloir et nous arrêtons en haut des marches de l’escalier. Elle se retourne et ajuste un bandeau sur la cagoule. Je ne vois plus rien. Je sens la laisse qui tire sur le collier, nous allons descendre les marches, elle debout et moi à quatre pattes.

Une fois en bas de l’escalier où j’ai failli tomber deux ou trois fois, me valant à chaque fois une réprimande de ma Maitresse, nous nous inclinons en direction du salon. Je n’entends pas grand-chose avec ma cagoule, mais il y a quelqu’un. Je fais un mouvement de recul mais la laisse tire immédiatement. Je n’ai pas d’autre chois que de la suivre. Nous nous arrêtons enfin.

– Voici mon esclave, il est neuf et n’a pas encore servi, dit-elle.
– Il a visiblement beaucoup de potentiel, très chère, répond une voix que je ne reconnais pas.
– Oui, je le pense mais il est encore un peu sauvage, il va falloir s’en occuper rapidement pour qu’il ne prenne pas de mauvaises habitudes, lui dit-elle. Il est tout à vous, je vous le laisse, tout est arrangé.
– Très bien, juste le temps de prendre mes affaires et je vous en débarrasse.

La personne sort de la pièce.

– Ne t’inquiète pas, mon Chéri, il va te prendre en main, tu seras obéissant quand tu reviendras, et tu seras tout à moi, me chuchote-t-elle. Ne t’inquiète pas non plus pour ton travail, tes collègues sont au courant et te souhaitent bon courage.

Et je reçois un baiser mémorable sur les lèvres.

– C’est bon, nous pouvons y aller, dit l’homme et revenant dans la pièce. Je reçois une tape sur les fesses et la laisse m’entraine vers la sortie. Où vais-je me retrouver et que va-t-il advenir de moi ?

à suivre

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Une réponse à Il y a un début à tout chapitre 1 et 2 par rom1xbi

  1. Baruchel dit :

    Bravo pour ces protagonistes qui sortent de nulle part. Cela aurait été si difficile de nous presenter de vrai personages ?
    Je veux bien qu’on fasse de l’anonymat ou de impersonnel dans l’érotisme mais quand la convivialité s’en mêle c’est autrement mieux, non ?

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