Une découverte par François_urophile
Nous avions décidé de passer 2 semaines de vacances en amoureux, mon mari et moi pour réellement nous détendre et éliminer la tension quotidienne du travail. Nous avions même réussi à envoyer les enfants en vacances avec des amis naturistes ayant des enfants du même âge. Nous pouvions les laisser sans inquiétude.
Notre choix s’était porté sur une île des Caraïbes, qui nous semblait remplir tous les critères idéaux : température des plus agréables, plages infinies, sports à volonté qu’ils soient nautiques ou non… De plus, nous avions opté pour un bungalow dans une grande résidence, offrant la possibilité de rester isolé si besoin et bénéficiant d’un accès direct à la plage. Comment cela est souvent le cas dans ces régions, la pratique du naturisme n’est pas véritablement ancrée dans la culture locale, mais nous étions convaincus que nous pourrions trouver des occasions pour rester en tenue d’Adam et Eve.
Nous prîmes l’avion fin août, afin de bénéficier de période plus calme en termes de fréquentation touristique. Nous avions emporté très peu de bagages, nous avions prévu de rester très à l’aise sur place. Je pris l’avion vêtue d’un chemisier clair, porté sans soutien-gorge, et d’un short en jean assez court, avec un string ficelle. Je portais juste des tongs fines, pour avoir la sensation d’être quasi-pieds nus. Le voyage en avion était assez long et je n’arrivais pas à dormir. Bien évidemment, des pensées érotiques commençaient à gagner mon esprit, alors que l’intérieur de l’avion était plongé dans la pénombre. Je me levais et me dirigeais vers les toilettes. Après avoir fait un gros pipi, j’hésitais puis remettait mon short sans remettre mon string pour être plus à l’aise. De retour à ma place, je pris mon smartphone pour consulter une série de vidéos coquines, voire véritablement X, que nous avions pu réaliser. Dès les premières images, je sentis mon petit minou s’humidifier. Je défis doucement le bouton et la fermeture de mon short et mes doigts se glissèrent entre mes jambes. Je léchais mes doigts et recommençaient. Compte tenu de la position et pour que cela reste discret, je ne pouvais pas accéder à mon anus, alors que je ne jouis vraiment qu’avec des stimulations anales. J’étais en train de manger quelques gâteaux avant de commencer cette masturbation : je pris un gâteau – une petite madeleine – et me l’enfonçait entièrement dans le vagin. Je le laissais quelques instants puis le ressortit, luisant de mouille, pour le déguster. Ma main retournait dans mon short et s’activait, me faisant mouiller de plus en plus. Je fermai les yeux, et en les rouvrant, je vis une des hôtesses de l’air qui me regardait en souriant. Elle se pencha vers moi et me dit :
» Vous seriez peut-être plus à l’aise à l’arrière… « .
Je rougis … et me levai puis la suivit, pieds nus, jusqu’à l’arrière de l’appareil. Elle tira le rideau et me dit :
» Vous savez que c’est interdit et que je pourrai demander une sanction… mais la situation m’a excitée et je vais vous le montrer ! « .
Elle remonta sa jupe, baissa sa culotte : je découvris de belles fesses avec un minou tout lisse.
» Je voudrais que tu me lèches … » me dit-elle, et elle pris dans une boite des mini-barquettes de beurre et de confiture et s’en tartina largement l’entrejambe.
Nous entrâmes dans les toilettes : je m’asseyais et elle présenta son minou devant ma bouche : je léchai du mieux possible tout en me masturbant. Elle gémissait sous les coups de langue : une fois nettoyée devant, je la retournai, lui écartai les fesses et commençait à lécher l’anus. Ces gémissements redoublaient… elle adorait manifestement les caresses anales, comme moi. Elle m’indiqua, après avoir joui, qu’elle voulait s’occuper de moi. Elle défit mon chemisier, j’étais maintenant entièrement nue. Elle me lécha les seins après les avoir enduit de confiture, puis me fit pencher en avant, lécha mon anus et je sentis qu’elle y introduisait des objets. Il s’agissait en fait d’olives qu’elle me mettait dans les fesses. Après en avoir introduit une dizaine, elle s’allongea par terre et me demanda de » la nourrir « . Je m’accroupis au-dessus de son visage, poussait doucement afin que chaque olive sorte une à une de mon rectum pour atterrir dans sa bouche ouverte et gourmande. Elle avala tout, mais en poussant je ne pus retenir quelques gouttes de pipi qu’elle avala sans rechigner. Voyant cela, je lui proposai de me boire entièrement. Elle sourit en ouvrant la bouche. Comprenant l’invitation, je me vidai par saccades pour lui laisser le temps d’avaler… et je finis en me faisant jouir avec deux doigts dans la chatte et deux doigts dans l’anus. Remises de notre excitation, nous nous rhabillâmes. Je l’embrassais sur la bouche et revins à place. Mon mari dormait toujours. Je m’endormis jusqu’à la fin du voyage. Pour le petit déjeuner, la même hôtesse passa vers moi. Je demandais un jus d’orange. Elle me sourit et se dirigea vers les réserves, prétextant ne plus en avoir. Elle revient avec un gobelet rempli d’un liquide clair qui ne pouvait pas être du jus d’orange. Je sentis et je compris qu’elle était allée se soulager aux toilettes pour me faire un cadeau. Je bus avec délectation
Nous arrivâmes finalement sur notre site de destination, un bungalow isolé en proximité de plage, avec une piscine commune pour trois bungalows. Nous nous installons et naturellement nous finissons nus. Je me mets à raconter l’histoire avec l’hôtesse de l’air à mon mari, ce qui se traduit par une érection immédiate. A genoux devant lui, je me mets à le sucer avec gourmandise en lui caressant et massant les fesses et les couilles. Je suis déjà bien mouillée. Mes doigts prennent de la mouille vaginale et viennent caresser puis pénétrer mon anus en feu. J’ai trop envie d’être remplie : je me mets à quatre pattes en lui demandant de me prendre et plus précisément de m’enculer. Je sens son gland sur mon anus : il pousse et son membre entier me pénètre. Après de longs va et vient, il finit par jouir et son sperme se libère dans mon rectum. Mon mari prend alors un verre de jus d’orange et me demande de m’accroupir dessus : le sperme s’écoule de mes fesses dans le verre, zébrant le jus d’orange de traînées blanchâtres. Une fois mélangé, je bus d’une traite le cocktail, puis suçait le pénis encore raide pour le nettoyer complètement.
Après cette première journée, nous allâmes explorer les alentours et découvrir la plage, la piscine, etc… La question était : allions nous pouvoir adopter notre tenue favorite, la nudité intégrale. Nous arrivâmes sur la plage, qui était manifestement textile : pas de corps nus à l’horizon. Il fallait nous faire une raison, mais comme nous voulions nous sentir un peu nus, nous avions opté tous les deux pour le string ficelle de bain, et je restais seins nus. Nous restâmes tout l’après-midi à la plage, faisant l’objet d’une certaine curiosité, notamment pour mon mari. Les hommes en string ficelle à la plage sont en effet assez rares.
De retour au bungalow, nous allâmes faire un tour à la piscine. J’avais remis mon short et mon chemisier. Mon mari s’était aussi rhabillé. Nous fîmes la connaissance des autres occupants des bungalows : un couple d’âge moyen (environ 30-35ans) plutôt mignons et deux jeunes filles. En liant connaissance, nous avons appris qu’il s’agissait de deux sœurs, de 20 ans et 18 ans, et qui passaient des vacances payées par leurs parents. Nous échangeâmes quelques mots, et n’y tenant plus, je leur faisais une proposition :
» Je suis un peu gênée de vous demander cela, mais seriez-vous d’accord si mon mari et moi nous nous baignions nus dans la piscine ? nous sommes naturistes et nous avons du mal à mettre des maillots de bain « .
Un peu surpris, ils réfléchissent et finalement nous indiquent qu’ils n’ont pas d’objections, à notre grande satisfaction. Nous en profitâmes immédiatement, et une fois nus, plongeâmes dans la piscine. Après une trentaine de minutes, nous sortîmes et nous installâmes nus sur les chaises longues.
» Si vous voulez essayer aussi, n’hésitez pas, c’est si agréable… « .
Et mon mari vint pour me mettre de la crème solaire : comme toujours, il insista sur mes fesses, puis mes seins, jusqu’à mon entrejambe. Sans en avoir l’air, il m’excitait sur mes zones les plus sensibles. Les autres occupants nous regardaient, et surtout la femme du couple et la jeune fille de 18 ans qui semblaient les plus intéressées par le spectacle.
La femme se leva, un peu rougissante, et indiqua qu’elle voulait bien essayer et, joignant le geste à la parole, retira son maillot, laissant apparaître une généreuse poitrine et une vulve partiellement épilée. Elle plongea et passa longtemps dans l’eau.
Satisfaits d’avoir pu convaincre au moins une personne, nous rentrâmes pour prendre une douche. Une fois douchés, nous nous étions fait livré un diner (le livreur a failli avoir une attaque quand j’ai ouvert la porte entièrement nue…).
Arrivés au dessert (des fraises à la chantilly et des compotes de fruits), mon mari me proposa que je serve d’assiette pour le dessert. Comprenant son intention, je m’allongeai nue sur la table et il déversa le contenu des plats de desserts sur mon corps : de la compote et de la chantilly sur les seins et le ventre, des fraises dans ma vulve. Il utilisa son pénis en érection pour étaler le tout et me le donner régulièrement à sucer. Il vient s’accroupir au-dessus de moi et se frotter les fesses sur les mélanges sucrés. Se positionnant en 69, je pus lécher et nettoyer ses fesses. Il en profita pour me glisser un doigt de chantilly dans les fesses et commença une masturbation anale : il me donnait le doigt à lécher régulièrement, et je me mis à sentir le goût de la crème mais aussi de mes matières fécales. Excitée par cette sensation, je lui demandais de me mettre deux ou trois doigts pour me donner l’envie de déféquer. Il s’exécuta et peu de temps après je déféquai dans mes mains, pour tout étaler sur mes seins. Je le masturbais avec mes mains souillées et finalement lui administrai une fellation complète : j’avalai tout le sperme émis. Une bonne douche nous remis en place après cette forte excitation.
La nuit fut très bonne. Réveillée de bonne heure, je décidai d’aller directement à la piscine. Sortant nue du bungalow, je constate que la jeune fille de 18 ans est dans l’eau – elle s’appelle Alice – et en m’approchant, je constate qu’elle entièrement nue ! Humm, elle est très jolie avec déjà de beaux seins, des fesses musclées et un joli duvet sur le minou. Me voyant, elle a le réflexe de sortir en se cachant maladroitement les seins et le sexe… En riant, je viens vers elle et en lui écartant les bras, je lui dis qu’elle n’avait rien à cacher, mais qu’elle devait penser à mettre de la crème sur les endroits habituellement cachés. Je lui proposai de le faire, d’abord sur le dos, puis devant : j’insistai sur les seins puis autour du sexe et je sentis un frémissement. Très naturellement, sa main vint me caresser les seins… je pris cela comme une invitation. Je lui proposai d’aller à l’intérieur pour être plus tranquille. Je la conduis dans la cuisine, l’assoit sur la table, lui caresse les épaules puis les seins, puis les cuisses. Je l’embrasse dans le cou, descends sur son ventre lui écarte les cuisses et ma langue arrive doucement sur son minou déjà tout humide. Je lui lèche bien le clitoris et lui mets un puis deux doigts, en la masturbant doucement. Puis je passe ma langue sur la vulve et la rentre le plus loin possible dans le vagin, tout en lui caressant les seins. Elle se tend et semble vraiment jouir. Je lui demande si elle se masturbe souvent, et elle me confirme que oui. Je lui avoue que même mariée et très satisfaite sexuellement, j’ai besoin d’une masturbation quotidienne. Je lui demande si elle s’est déjà occupée d’une chatte d’une femme mûre et elle m’avoue que » … pas vraiment ! « . Nous échangeons nos places et je m’installe cuisses écartées et relevées. Elle semble fascinée par mon minou tout lisse…je l’invite à venir me lécher et pour l’inciter je prends le pot de miel et me le verse les seins et sur le minou. Elle commence à bien me lécher et s’y prend bien, surtout sur les seins. Je lui appuie la tête sur mon minou pour qu’elle lèche encore mieux. Elle est un peu maladroite mais je suis si excitée que je finis par jouir. Je relève encore plus les jambes et lui demande de me lécher l’anus : elle hésite, mais je remets du miel sur mon petit trou et elle finit par s’y risquer. Très agréable. Je lui dis que j’aime les caresses anales et pour le prouver je m’enfile deux doigts sans problème. Elle m’avoue alors qu’elle est vierge et qu’elle voudrait bien que son copain la sodomise, pour garder sa virginité, mais qu’elle ne sait pas comment faire. Je lui dis que nous aurons le temps voir cela… Je l’embrasse et elle quitte le bungalow.
Mon mari sort de la chambre, le sexe décalotté et en pleine érection : il m’avoue qu’il a tout vu. Il arrive vers moi, me retourne et me penche sur la table. Il prend du beurre et me l’enfonce dans l’anus, puis y enfonce l’embout de la bombe de chantilly, et sans attendre enfonce son sexe turgescent d’un coup dans mon rectum impatient. Quelques va et vient suffisent à me faire jouir et lui aussi : il vide son sperme dans mes fesses et maintient son sexe à l’intérieur… c’est le signe qu’il va finir en pissant à l’intérieur. Je sens d’un coup le liquide chaud me remplir les intestins. Il se retire et me tend un bol : je m’accroupis et vide mes fesses. Le bol est plein d’un mélange de miel, de crème chantilly, de sperme et de pipi. Je me vide une partie sur les seins et avale la dernière partie. Hum, délicieux…
Le lendemain, Alice est revenue se présenter nue à maison : on s’est immédiatement embrassé sur la bouche et nos mains se sont dirigés vers nos sexes. Elle m’a dit : » je veux apprendre la sodomie ! » Hum quel programme ! je lui ai proposé que mon mari nous aide et je l’ai appelé. Il est entré avec une serviette autour des fesses. Nous avons mis Alice à 4 pattes sur la table : j’ai versé sur ses fesses de l’huile d’olive et je l’ai massé partout, puis mes doigts se sont rapprochés de son anus, pour d’abord le masser en surface, puis ensuite faire entrer un doigt pour une lente et profonde masturbation anale. Mon autre main lui masturbait le clitoris, jusqu’à ce qu’elle soit le plus détendue. Je mis ensuite deux doigts, puis un joli gode anal que je lui fis sucer avant. Après de longs va et vient, son anus était détendu.
Je suçais mon mari, sous les yeux excités d’Alice, pour durcir son sexe. Il s’allongea par terre et je positionnais Alice pour qu’elle s’empale par l’anus. Une fois pénétrée, je lui demandais de faire les va et vient à son rythme. Elle se détendit, et sans vraiment jouir pour une première fois, elle apprécia la pénétration anale. Elle se retira. Je lui demandai de me préparer l’anus (je n’en ai pas vraiment besoin, mais je voulais sentir ses doigts dans mon rectum. C’était bon, puis j’ai demandé à mon mari de m’enculer. Quand je lui dis ça, il sait que je veux une pénétration rapide et » brutale « . Ce qu’il fit, sous l’œil impressionné d’Alice. Après 10 minutes de va et vient, je lui demandais de tout me donner : à genoux, j’invitais Alice à s’assoir à côté de moi et il arrosa nos visages avec son sperme. Nous nous embrassons en léchant les trainées de sperme sur nos visages. Elle rentre chez elle… je me demande ce qu’elle raconte à sa sœur pour expliquer qu’elle est pleine d’huile !
Mon mari m’avoua avoir bien aimé cette sodomie en douceur d’un anus vierge bien serré. Je lui dis que j’aimerais bien que l’on fasse quelque chose avec les autres et je proposai d’organiser un barbecue pour tout le monde.
Le lendemain, au moment de l’apéritif, tout le monde est à la piscine : surprise, tout le monde est nu, sauf la sœur d’Alice qui est seulement seins nus. Je propose mon idée de barbecue qui reçoit un accueil favorable, pour la fin d’après-midi. Je demande également qui veut bien m’aider pour faire des courses l’après-midi. Alice et sa sœur se proposent de venir. Hum, j’ai hâte de la découvrir. Je leur donne rendez-vous en début d’après-midi. Je porte une chemise jean noué sous les seins, sans soutien-gorge, et un paréo court. Et comme toujours, pieds nus. Alice et sa sœur – Juliette – portait teeshirt et short en jean, en tongs. Je dis à Alice :
» Tu sais que pour être à l’aise, je n’ai pas mis de culotte… « .
Alice me répondit, sous l’œil surpris de Juliette :
» Humm, tu as raison, ce serait mieux… « .
En même temps, elle ôte short et culotte, et ne remets que le short. Arrivés au centre commercial, nous descendons. Alice et moi restons pieds nus… et Juliette finit par faire de même, à notre grande satisfaction. Après avoir chargé les courses, nous allons à une boulangerie et nous achetons quelques gâteaux : éclair au chocolat, tarte aux framboises… En retournant à la voiture, nous passons devant une boutique de lingerie et maillot de bain. Je propose de regarder, car nous avons un peu de temps. La vendeuse est un peu surprise de nos pieds nus, mais je lui dis que nous sommes naturistes et elle comprend. Alice avise un ensemble » soutien-gorge-¼ de seins et string ficelle « . Cela m’excite et je lui propose d’aller dans la cabine pour qu’elle essaye. A peine rentrées, nous nous jetons l’une sur l’autre, nous débarrassons de nos vêtements, nous nous embrassons et Alice se met à me lécher la chatte. Je me caresse les seins, sous les coups de langue. Je suis tellement mouillée que je prends l’éclair au chocolat et me remplit le vagin avec, et elle reprend son léchage, la bouche barbouillée de mouille et de chocolat. A cet instant, Juliette entra dans la cabine et s’arrêta stupéfaite du spectacle. Très naturellement, Alice l’invita à la rejoindre : elle était vraiment plus délurée que sa grande sœur ! Après hésitation, elle se positionne derrière moi pour me lécher les fesses : je n’en reviens pas ! Mieux, elle prend la tarte à la framboise et écrase une à une les fruits rouges sur mon anus puis vient lécher. Elle dit à sa sœur qu’elle ne savait pas qu’elle était » sexe » comme ça… et qu’elle la croyait très sage ! Hum, je finis par jouir sous les coups de langue de chaque côté. Nous nous rhabillons et quittons le magasin, sous l’œil interrogateur de la vendeuse du magasin. De retour à la voiture, je les remercie de m’avoir fait jouir… mais regrette qu’elles n’aient pas joui. Je leur dis de profiter du voyage : immédiatement, Alice ôte son short et se masturbe sans pudeur, et invite sa sœur à l’imiter, ce qu’elle fait. De retour, je les invite à me rejoindre pour la cuisine et pour préparer le barbecue, qui sera naturiste évidemment.
Je raconte tout cela à mon mari, qui sous l’effet de l’excitation, me présente son sexe à sucer. Quelques mouvements suffisent à le faire éjaculer, et j’avale tout.
Les deux sœurs se présentent, nues comme nous l’avions convenu. Nous préparons les différents plats, dans une bonne ambiance. Puis vient le moment des pâtisseries…. Très excitée, je prends de la farine et m’asperge les seins avec la poudre blanche… en profitant pour bien me caresser. Je dis aux 2 femmes : » Faites de moi un gâteau… » en riant. Je me couche sur le dos sur la table. Elles commencent à me renverser farine, œufs, crème, lait, chocolat sur le corps et me massent partout avec. C’est trop bon surtout quand les caresses se rapprochent et atteignent le sexe. Je mouille de plus en plus. Mon mari nous a rejoint et se masturbe en nous regardant. Il leur dit de ne pas oublier mon petit trou.
» Oui, dit Alice, c’est une vraie folle du cul » et elle met de suite son doigt dans mes fesses… ce qui me fait grimper.
Mon mari nous demande de nous mettre toutes les trois penchées sur la table. Il demande que l’on écarte nos fesses et vient verser de l’huile d’olive dans nos raies.
» Hum, dis-je, je crois qu’il va nous sodomiser … « .
Et effectivement, il nous encule méthodiquement, en versant du lait sur nos dos bronzés. Après de nombreux va et vient, il finit par jouir abondamment dans une assiette, sur laquelle nous nous précipitons pour lécher et tout avaler. Nous allons ensuite dans la salle de bains pour nous doucher…
» Qui a envie de faire pipi ? » demandai-je et je m’allonge au fond de la baignoire.
Mon mari arrive et commence à faire pipi sur mes seins, puis dans ma bouche ouverte. Alice, très excitée, s’y met aussi en se caressant. Juliette hésite puis se vide aussi… je me caresse avec l’urine.
» Je ne savais pas que c’était aussi bon de s’arroser de pipi… « .
Nous finissons par une vraie douche !
Nous sortons pour le barbecue et commençons à installer les affaires. Nous sommes nus et Alice et Juliette nous rejoignent. Il reste le couple – Jean et Isabelle – qui finit par sortir : Isabelle est déjà toute nue et Jean porte juste une serviette autour de la taille. Nous commençons à servir les apéritifs et l’ambiance se détend : quelques bains dans la piscine et Jean finit par se mettre nu aussi.
Je commence à couper les légumes et avisant une courgette… je commence à la sucer comme s’il s’agissait d’un penis tout le monde regarde et commence à se toucher… Les sexes des hommes sont maintenant en érection et ils en assurent le maintien en se masturbant. Je m’accroupis et commence à me rentrer la courgette dans la chatte … hum c’est rentré et je m’en sers comme d’un gode géant en me branlant dessus. Alice a pris une carotte et se l’est mise directement dans l’anus, et faisant des va et vient. Elle le sort et le donne à sucer à sa sœur qui le prend avec gourmandise. Alice se le remet et sa sœur la caresse. Mon mari vient présenter son sexe dur et Alice et Juliette se le partage avec gourmandise. . Il a pris une bouteille de lait et la verse sur son sexe pendant leur fellation. Isabelle est en train de sucer Jean, à genoux devant lui. Je la rejoins et l’asperge de crème chantilly et lui masse les seins avec la matière blanche en l’embrassant dans le cou. Puis, je me mets à côté d’Isabelle et prend le sexe de Jean en bouche. Le gland est gros, et ma main pleine de chantilly vient caresser ses fesses et son anus. Mon mari est en train de prendre Juliette en levrette, qui lèche sa jeune sœur. Je me mets à quatre pattes et demande à Jean de m’enculer. J’apprends à cette occasion qu’Isabelle n’a jamais voulu pratiquer la sodomie : une bonne occasion pour une initiation, d’autant plus qu’elle n’est jamais allée non plus avec une femme. Je me doigte l’anus avec mon doigt plein de chantilly pour lui préparer le passage : je sens le gland se poser sur mon petit trou, puis forcer gentiment pour rentrer entièrement. Je me tends et commence à gémir de plaisir. Je dis à Isabelle :
» C’est si bon la sodomie… tu devrais essayer ! Occupe-toi plutôt de mes seins … « .
Tout en me faisant sodomiser, j’asperge mes seins de chantilly et invite Isabelle à venir les lécher : elle hésite, puis finalement s’approche. Elle passe sa langue timidement, s’enhardit puis vient vraiment me lécher, avec beaucoup d’envie. Jean quitte mon anus et me présente son sexe à sucer : celui-ci n’est pas très propre et je lèche tout, sous l’œil étonné de son épouse. Puis j’ouvre la bouche en grand, il se masturbe au-dessus et son sperme vient couler sur ma langue. Sans avaler, je me rapprochai d’Isabelle et l’embrassait sur la bouche pour partager nos langues et le sperme crémeux de son mari. Notre baiser se prolongea et je l’allongeai sur la table jambes écartées : je vins tout de suite la lécher. C’était la première fois qu’une femme lui faisait un cunni, et l’on sait bien que les femmes s’y prennent mieux (comme les hommes pour masturber un pénis !). Après un massage avec de l’huile d’olive pour bien assouplir les lèvres du vagin, ma langue la pénétra tandis que mon pouce stimulait le clitoris. Jean, très excité par la scène, était à nouveau en érection et s’est approché pour que sa femme le suce. Au moment, où elle prit le gland en bouche, ma langue descendit sur son anus et commença à le titiller. Elle se mit à gémir quand mon doigt força l’entrée de l’anus. Avec mon pouce dans son vagin, cela faisait une pince et des sensations très agréables pour elle. Je lui mis 2 doigts bien huilés, puis je me positionnais en 69 avec elle, qui suçait toujours son mari. Je pris la bombe de chantilly, rentra l’embout dans mon anus et me remplis les intestins avec la crème. Je dis à Isabelle
» Léche moi le cul « .
Je sentis sa langue sur ma rosette et je poussai :
» Avale « , lui dis-je.
Et je continuais à lui préparer l’anus… J’appelai Alice
» Viens m’aider avec Isabelle « .
Alice arriva, et je lui demandai de s’occuper des fesses d’Isabelle. Alice prit plusieurs carottes et les enfonça dans l’anus d’Isabelle, en choisissant des diamètres de plus en plus importants. Dès qu’une carotte ressortait, Alice la donnait à sucer à Isabelle, l’invitant à » tester le goût de ton cul « . Celui-ci était bien dilaté, et j’eus une idée. J’allais récupérer une grosse poire à lavement, que je remplis de 2 litres de lait tiède et sucré au miel. J’introduis la canule dans le rectum d’Isabelle, et appelai tout le monde :
» venez voir, Isabelle va se rincer les fesses avec du bon lait… « .
Tout le monde vient voir : je vide doucement la poire dans ses fesses, Isabelle étant toujours à quatre pattes, suçant son mari. Une fois la poire vidée, je continue à masturber Isabelle. Elle reste quelques minutes avec les intestins bien remplis, et je demande à Alice et Juliette, toujours nues, de venir se mettre à genoux derrière Isabelle. Je dis à celle-ci de se vider en poussant : le lait sort en grands jets de l’anus, Alice et Isabelle ouvrant grand leur bouche pour en absorber le maximum. Leur corps est couvert de lait et j’en profite pour caresser leurs seins avec toute cette matière. Devant le spectacle, Jean a éjaculé dans la bouche d’Isabelle et mon mari continue de se masturber, une main sur son pénis et une pour des caresses anales qu’il apprécie vraiment.
Alice vient me voir pour me dire qu’elle a envie de faire pipi, et qu’elle voudrait que je vienne avec elle. Hum, elle prend goût aux plaisirs uro, et c’est tant mieux. Nous allons directement dans la salle de bain. Elle me dit :
» Je me retiens depuis ce matin… et je veux partager cela avec toi. Tu veux bien me boire ? « .
Quelle question ? bien sûr… et je m’allonge par terre. Elle s’accroupit au-dessus de mes seins, se masturbe, écarte bien ses lèvres et le liquide commence à sortir. La sensation du liquide chaud sur les seins est toujours très agréable.
» Dans ma bouche, dans ma bouche … » , lui réclamai-je.
Elle ajusta le jet et visa ma bouche grande ouverte. J’avais du mal à tout avaler, tant la petite cochonne s’était retenue longtemps. Sa pisse avait un goût agréable, légèrement sucré. Je me masturbais comme une folle en même temps. Nous étions hyper-excitées… et je lui proposai :
» Alice, j’ai bien aimé ton pipi, mais j’aimerais que tu me donnes encore … « .
Devant son regard interrogateur, je lui dis que je voulais tout partager. Joignant le geste à la parole, je plaçais mon doigt sur son anus…
» Oui, lui dis-je, par là… – retourne toi en 69, je vais te préparer « .
Je pris un tube de gel et m’en enduis largement deux doigts que je faisais rentrer dans son anus, pour commencer une bonne masturbation rectale. La stimulation rectale a pour effet de développer l’envie de déféquer…et elle se vida les intestins. Son caca vient se déposer sur mes seins et je crois qu’elle a joui en même temps. Je me caressai les seins et étalais la matière un peu partout. Elle regardait, toujours en se masturbant. Je l’invitais à me rejoindre … lentement, elle se coucha sur moi, seins contre seins. On s’embrassait à pleine bouche, en remuant nos seins et nos ventres pour partager le caca. Je lui massai les fesses. Puis face à face, assise, jambes écartées, nous nous sommes faits jouir comme jamais… Nous nous sommes longuement douché avant de rejoindre les autres.
Dehors, le spectacle était à la hauteur : Juliette et Isabelle, en 69 et enduites d’huiles, tandis que mon mari et Jean les pénétraient dans tous les sens. Nous les rejoignons et nous, les quatre femmes, nous mettons à quatre 4 pattes, fesses en l’air en réclamant d’être prises par des pénis vigoureux. Je dis :
» Alice veut rester vierge du minou, donc on veut être prise uniquement par le cul.. n’est-ce pas les filles… allons messieurs allez-y « .
Et ils passent d’un anus à l’autre pour nous satisfaire. Quand elle n’est pas sodomisée, Alice s’enfonce dans le fesses une courgette de bonne taille, elle devient vraiment accro de l’anal. Après une vingtaine de minutes de profondes et agréables sodomies, nos hommes sont prêts à jouir…nous nous asseyons par terre, bouches ouvertes et ils viennent y répandre leur sperme. Nous dégustons le précieux nectar sans en perdre une goutte. Je dis
» Merci messieurs, nous allons avoir besoin d’une dernière petite douche… « .
Mon mari a compris et commence à pisser sur nous. C’est une première pour Jean, Isabelle et Juliette, qui semble apprécier ! Juliette jouit alors qu’elle prend le jet de pisse dans la bouche ! Une jolie fin…
Pour nous remettre, nous plongeons tous dans la piscine avant une bonne nuit de sommeil méritée. Les reste des vacances s’est passé le plus agréablement du monde : nudité permanente, sexe libre ! Alice a continué à pratiqué les jeux uro / scato, seule ou avec moi, Isabelle a voulu rattrapé son retard en sodomie et ne se fait plus prendre que par ce côté, … ..
Vivement les prochaines vacances !
Suivant son humeur on peut lire ce récit soit comme un délire, soit comme une suite d’âneries. Mais pour que ce soit un délire, il conviendrait que l’auteur fasse preuve d’un peu d’humour…
J’ai essayé avec mon épouse soumise le coup des olives. C’était génial ! Merci pour l’idée !
Après ce troisième texte, on arrive à mieux cerner cet auteur que je trouve pour ma part très intéressant.
Au positif, des fantasmes intéressants, lorgnant clairement vers des choses un peu extrêmes (mais ce n’est pas à moi que ça va déplaire). Ses récits sont des récits d’initiation, et il y a beaucoup de respect dans la façon dont les choses sont présentées.
Au moins bon, je trouve que ces initiations sont très (trop ?) rapides. Dans la vraie vie je ne pense pas que l’on franchisse tous ces pas aussi rapidement…
Si je peux me permettre une suggestion l’auteur devrait, faire des récits beaucoup plus longs divisé en épisodes, cela permettrait de cerner la psychologie des personnages et d’observer leur évolution à travers leurs expériences, leurs hésitations, leurs découvertes…
Quant à ce présent récit, il ne m’a pas laisse de marbre 😉
Tous mes encouragements.
Claire
Merci Claire pour ces commentaires précis, que je partage tout à fait.
Toujours content que cela « ne laisse pas de marbre », ce qui est quand même l’objectif initial.
Pour information, il s’agit d’une première série de textes orientés sur les initiations, incluant des pratiques extrêmes mais traitées de manière positive et non dégradante. Le tout dans un format que je qualifierais plutôt de « masturbatoire » (donc 10 minutes de lecture 🙂 ) et non pas de littéraire.
J’ai commencé à explorer un format plus long, tout en restant en un seul texte, à partir de la publication n°8 (donc encore un peu de temps avant de le découvrir !), avec davantage de psychologie, soutenue par davantage de dialogues.
D’ici là, continuez à en profiter et à me faire part de vos commentaires, toujours constructifs
Cordialement
Francois