J’occupe un studio dans un petit immeuble tranquille du centre ville.
En journée, le quartier est assez bruyant et il est parfois difficile de
laisser les fenêtres ouvertes tant le bruit de la circulation est alors
présent.
Mais la nuit, heureusement, cela se calme et mon sommeil n’est que rarement
troublé par quelques joyeux fêtards éméchés qui passent ou un voisin qui
rentre tardivement…
En vérité, rien de bien spécial ou de particulièrement dérangeant.
Depuis la semaine dernière, pourtant, quelque chose a changé.
Longtemps inoccupé, l’appartement juste à côté du mien est maintenant
habité.
Je n’ai pas encore eu l’occasion de rencontrer les nouveaux occupants dont
j’aurais plaisir à faire la connaissance car c’est toujours sympa de
connaître mieux ses voisins…
Ma curiosité est cependant encore exacerbée parce que, ces dernières nuits,
je fus à plusieurs reprises tirée de mon sommeil par des gémissements puis
par des cris qui trahissent un plaisir charnel manifeste !
Bien – sûr, il m’a déjà été donné d’entendre des amants très à leur affaire
qui se laissent aller à manifester plus ouvertement et bruyamment leur
jouissance mais ici, c’est un peu différent…
Le hasard de la construction du bâtiment veut que ma chambre soit mitoyenne
à celle de ces nouveaux voisins.
La nuit passée, réveillée en sursaut par ces gémissements et mue par une
curiosité un rien voyeuriste je l’avoue, je décide de coller mon oreille à
la paroi qui me sépare de l’appartement voisin pour en percevoir
davantage… mais ne parviens finalement pas à distinguer ce qu’ils se
disent…
Même si je peux aisément imaginer ce qu’ils se font, tout ce que j’arrive à
reconnaître c’est que je n’entends que des voix féminines… mais qui
s’arrêtent presque aussitôt après que je me sois cognée au mur…
Zut, m’auraient – ils entendu me lever ?
Les aurais-je dérangés et freinés dans leur élan ?
Plus rien, à nouveau, c’est le silence le plus total…
Un peu déçue de n’avoir finalement rien découvert, je décide donc de me
recoucher et tente de me rendormir.
Mais à peine me suis-je replongée sous les draps que les bruits reprennent
de plus belle : plus forts, plus présents et plus envoûtants que jamais…
Evidemment, je suis passablement excitée par cette émoustillante perspective
et c’est donc sans fausse pudeur que je laisse ma main se diriger vers le
haut de mes cuisses…
Une caresse manuelle que je connais bien puisque elle est ma seule compagne
depuis de si longs mois ; depuis que je me suis fait quitter par le dernier
de tous ces sales mecs qui ont chaque fois lâchement profité de moi…
Je me laisse donc aller à me caresser sensuellement, comme j’en ai
l’habitude…
Et, très vite, mes doigts s’insinuent hardiment dans ma fente d’où je sens
poindre une délicieuse et chaude humidité complice…
Voilà, mon majeur est maintenant entièrement enfoui dans mon vagin !
Calquant le rythme de mes vas et viens à celui des bruits qui me parviennent
à nouveau d’à côté, je ne tarde pas à me satisfaire à un point tel que
j’explose bientôt d’un plaisir certes solitaire mais au combien réel et
délicieux ; sans me soucier de tout le reste, je ressens une rassurante
chaleur qui s’échappe de mon entrejambes et m’endors bientôt dans un profond
sommeil réparateur…
Cette journée a été particulièrement contraignante.
Serveuse dans un snack, je suis sans cesse exposée à la mauvaise humeur, au
stress et aux critiques de clients trop pressés ; quand ce n’est pas aux
regards allumés et aux mains baladeuses de certains indélicats.
Particulièrement fatiguée et contrariée, je rentre ce soir en regrettant que
personne ne m’attende chez moi…
Personne qui m’aurait préparé un bon petit plat, personne pour me prendre
dans ces bras et me faire passer une nuit de délices…
Bref, c’est complètement absorbée par mes pensées que j’aboutis dans le hall
d’entrée et découvre une jolie jeune femme assise par terre, dos à la porte
de mes nouveaux voisins…
Elle a l’air un peu malheureuse, toute recroquevillée sur elle – même : les
jambes serrées et les genoux ramenés sous son menton, elle a la mine
boudeuse d’une gamine que l’on vient de contrarier.
Visage angélique de femme-enfant encadré par une longue et lisse chevelure
d’un blond doré comme les blés ; tout le portrait d’une très jeune fille
diaphane dans le plus pur style des naïades du photographe David Hamilton…
Pas si juvénile que cela d’ailleurs ; à voir le galbe de ses jambes et
l’apparente douceur de ses cuisses que dévoile généreusement sa petite robe
d’été…
J’en déduis qu’elle doit avoir largement passé l’âge de se régaler de
sucettes… Quoi que ! !
A y regarder de plus près, elle serait même franchement mignonne !
De fines bretelles laissent bailler légèrement le haut de la robe d’où deux
petits seins arrogants pointent impudiquement leurs bouts…
Mais, que se passe-t-il ?
Ne suis-je pas déjà en train de la déshabiller des yeux ? !
Mon regard interrogatif déclenche en effet une réponse immédiate de sa part
; ce qui coupe court à toute supputation :
» Bonjour, je suis votre nouvelle voisine ; je m’appelle Sophie.
J’ai oublié mes clefs et Dominique n’est pas encore rentrée… »
Dominique, voilà, c’est le nom de son copain (ou mari ?)
« Bonjour, moi c’est Valérie.
Vous n’allez tout de même pas l’attendre ici, venez attendre votre compagnon
chez moi, je vous offre un verre ; nous pourrons mieux faire connaissance…
»
La voyant esquisser un large sourire, je la laisse passer devant moi et
l’invite à prendre place dans mon grand canapé en cuir.
Sans se faire prier, elle s’y allonge carrément non sans prendre soin de
bien m’exhiber ses fines jambes décidément superbes…
Mon trouble augmente ; qu’est-ce qui me prend ?
Tellement déçue par tant d’hommes, je ressens désormais l ‘envie de faire
l’amour avec une femme…
Aurais-je déjà envie de celle-ci ? !
Me laisserais-je tenter par cette inconnue de prime abord si excitante ? !
Tout en entamant la conversation par quelques banalités, je nous sers un
premier Martini que nous buvons rapidement ; cela a le don de nous mettre à
l’aise…
L’alcool me monte immédiatement à la tête et m’incite, sans la moindre gêne,
à lui parler des cris de jouissance que je peux entendre chaque nuit venant
de son appartement…
Elle rougit à peine en m’expliquant simplement :
» Dominique adore me faire l’amour ; on s’entend à merveille ; tu sais.
Et puis, on s’est rendu compte que tu nous écoutais, hier soir…
Alors, j’étais encore plus excitée à l’idée de savoir que tu étais là, juste
à côté de nous… »
Tout en discutant de leurs prouesses amoureuses nocturnes, on continue à
vider la bouteille…
Je lui propose alors de prendre encore un verre et lui demande de bien
vouloir m’attendre quelques instants, juste le temps de prendre une douche
et me changer.
Rapidement, je quitte mes vêtements de travail, me lave et, désormais tout à
fait grisée par les apéritifs que je viens d’avaler d’un trait, décide de ne
pas me rhabiller et de ne pas mettre de sous-vêtements… juste un petit
peignoir ; c’est tout !
Cette courte sortie de bain en éponge doit mettre mes formes en valeur car
le regard de Sophie s’allume soudainement dès mon retour au salon.
» Tu es très mignonne comme cela ; viens t’asseoir près de moi » me
dit-elle.
J’obéis et viens m’installer tout contre elle.
Sans la moindre hésitation, elle pose une main sur mon genou et remonte
progressivement le long de ma jambe…
Sa caresse électrise l’intérieur de mes cuisses ; j’en ressens des frissons
jusqu’au pubis !
Son visage s’approche de mon cou ; elle y dépose de petits baisers très
sensuels…
» Tu sors de ta douche, tu es toute fraîche et tu sens très bon » me
dit-elle tendrement.
Je me sens fondre ; j’ai envie de m’offrir à elle !
C’est le moment qu’elle choisit pour ouvrir mon peignoir d’un geste décidé
et en faire jaillir mes seins nus qu’elle s’empresse de porter à sa
bouche…
» Tu as de beaux nichons, ma chérie ! » me dit-elle avec admiration.
Elle commence alors à me les sucer avidement en mordillant les tétons
qu’elle s’amuse à faire ressortir au maximum.
Ses mains pétrissent mes seins et s’égarent aussi sur mes anches, elle
entreprend bien vite de retirer mon maigre vêtement : je suis maintenant
complètement nue à côté d’elle…
Elle se penche vers moi pour me caresser le ventre et descendre plus bas…
Je sens ses lèvres qui courent vers mon nombril et s’approchent de mon
triangle magique.
J’en profite pour prendre sa tête entre les mains, respirer et embrasser ses
cheveux qui sentent bon la camomille.
» Petite coquine » me dit-elle.
» Tu as vraiment envie de faire l’amour, n’est-ce pas ? !
Tu es une petite garce absolument délicieuse ; je vais te couvrir de
caresses et de baisers puis je te mangerai la chatte… »
Cette sentence me fait trembler de désir au plus profond de moi-même.
J’en perds la tête ! !
Je n’ai pas le temps de souffler qu’elle colle sa bouche à mon bas-ventre ;
sa langue s’immisçant immédiatement au plus profond de mon intimité ! !
J’adore qu’on me fasse minette ; plus ou moins bien » sucée » par bon nombre
d’hommes, j’en garde d’excellents souvenirs… mais ici, j’avoue que la
tendresse et l’application de cette langue de velours qui s’insinue si bien
dans mes chairs intimes me fait un effet renversant…
Instinctivement, je m’allonge, ressentant le doux relief froid du canapé en
cuir dans mon dos.
Percevant le souffle chaud de ma soupirante juste à hauteur de mes lèvres
vaginales, je me laisse aller à écarter les jambes au maximum : les
mouvements de langue de Sophie se font de plus en plus précis et pénétrants
: tantôt elle s’enfonce au plus profond de ma cavité rose, tantôt elle s’en
éloigne pour me lécher l’intérieur des cuisse jusqu’aux genoux …
Je suis comblée par l’action de sa langue si agile autour de mon petit
bouton d’amour ; je commence à mouiller sérieusement…
Je ne souhaite plus qu’une chose : qu’elle approfondisse ses caresses…
qu’elle me mette vite un doigt ! !
Mais Sophie se retire quelques instants pour se déshabiller.
Sans la moindre pudeur, et cependant avec une grâce infinie, elle soulève sa
petite robe d’été et me dévoile un mignon petit corps parfaitement bronzé
sans les traces du maillot… elle ne porte pas de sous-vêtements !
Elle me parle toujours avec la même et douce féminité :
» Je te plais ? Tu me trouves jolies, j’espère…
Regarde ma petite chatte, elle est toute épilée et douce comme de la soie !
N’aies pas peur, tu peux me toucher tu sais ! ! »
Je vais lui sauter dessus et lui dire que j’ai très envie d’elle lorsque,
soudain, le carillon de la porte d’entrée retentit…
» Ne bouge pas » me dit-elle doucement.
» C’est Dominique qui arrive, elle va se joindre à nous ! »
Je ne comprends plus rien ; moi qui pensais que Dominique – parfois prénom
masculin – était son mari -… là voici qui me dit » elle » va se joindre à
nous…
Elle m’abandonne pendant quelques instants et se dirige vers la porte
d’entrée pour aller ouvrir : Dominique entre triomphalement d’un pas décidé
; c’est la copie conforme de Sophie ! !
Les mêmes longs cheveux blonds, elle a aussi son visage mutin et son sourire
ravageur !
Un rien plus grande que celle-ci, elle paraît aussi un rien plus âgée et
mieux formée ; ses beaux gros seins débordent d’un minuscule corset de
dentelle blanche et ses cuisses ne sont en rien couvertes par une minuscule
jupe par ailleurs très transparente.
Des jambes impeccablement bronzées que terminent de légères tennis d’un
blanc immaculé lui donnant l’effet d’à peine effleurer le sol lorsqu’elle
marche.
D’un ton direct, elle s’adresse à moi pour me dire :
« Salut, moi c’est Dominique.
J’adore les petites brunes sexy comme toi ; je t’assure que tu vas prendre
ton pied avec moi… »
» Avec nous … » ajoute Sophie d’un petit air malicieux.
Sans perdre la moindre seconde, Dominique se défait de son corsage et laisse
choir sa micro jupette sous laquelle, elle non plus, ne porte rien …
La voilà aussitôt entièrement nue devant moi : son corps est en tout pareil
à celui de Sophie à ceci près qu’elle a des formes plus épanouies que la
première de mes courtisanes et qu’elle présente la particularité d’avoir une
abondante toison pubienne d’un éclatant blond doré alors que, comme je viens
de vous le dire, ultra féminine, Sophie est entièrement épilée, lisse et
glabre comme petite gamine pré pubère…
» Regard, Dom’, notre voisine vicieuse est déjà en train de se masturber à
deux mains alors que je viens à peine de commencer à lui lécher le minou…
» s’écrie Sophie en revenant dans la pièce.
C’est vrai que je me suis laissée aller à me caresser vigoureusement en
attendant qu’elle revienne…
Mais dans l’état où elle m’a laissée, que puis-je faire d’autre ?
Je ne peux décemment attendre plus longtemps qu’on s’occupe de moi car, tout
à fait enivrée maintenant que l’alcool a fait son effet, j’ai une envie
folle de faire l’amour… fut-ce avec une femme… et, à fortiori, avec deux
! !
» Vite, vite » les suppliais-je…
» Venez vite près de moi, j’ai grand besoin qu’on me lèche le minou… »
Sans se faire prier et sans la moindre concertation, elles s’agenouillent
toutes les deux devant le canapé et se positionnent le long de mon corps
ainsi entièrement offert…
Sophie s’occupe de mes seins qu’elle presse et malaxe vigoureusement alors
que sa langue vient se perdre sur mon visage pour de profondes caresses
buccales.
Dominique s’est immédiatement placée à la hauteur de mon sexe dont elle a
écarté les lèvres sans la moindre hésitation !
D’autorité, elle prend possession de mon intimité et me mouille la vulve de
quelques grands coups de langue particulièrement bien appliqués puis, sans
prévenir, enfonce d’un coup son majeur au plus profond de mon vagin…
Alors qu’elle joue de ses phalanges pour me caresser le sexe » de
l’intérieur « , elle approche son visage de ma fente et se met à titiller du
bout de sa langue mon clitoris gonflé de désir…
Sous l’effet d’un tel traitement, celui-ci s’érige de plus belle et darde
impudiquement.
» Soph’, viens ici ; on va lui sucer le clito à deux ; elle semble adorer ça
! » lance – t – elle à sa comparse.
Celle – ci abandonne volontiers mes seins et ma bouche pour venir se coller
à mon sexe ; d’autant plus facilement que Dominique vient de glisser un gros
coussin sous mes reins pour faire ressortir mon joli Mont de Vénus coiffé
d’une petite toison brune triangulaire et parfaitement taillée qui a l’air
de tant leur plaire…
Alors que Sophie s’applique à me lécher le sexe de plus belle en me doigtant
simultanément, Dominique en profite pour glisser une main entreprenante sous
mes fesses et introduire subrepticement un doigt dans mon petit oeillet
froncé…
Le doigt de l’une devant et maintenant le doigt de l’autre derrière : je
suis aux anges…
Ces deux vicieuses me font onduler le bassin au rythme de leurs vas et viens
digitaux dans mes deux orifices : elles entremêlent leur langue comme des
serpents en transformant leurs séance de léchage en de salaces baisers
passionnés au creux même de ma cavité sexuelle…
Je prends un pied d’enfer et ne manque pas de leur hurler mon plaisir :
» Oh oui, mes salopes, encore, encore,…
Dévorez-moi le minou et défoncez – moi les trous ! »
Au bout d’un moment, plutôt passive jusque là, j’ai davantage envie de
passer à l’action ; moi aussi.
Je les supplie donc :
» Laissez-moi vous lécher aussi, faisons un double 69 ! »
Alors, dans un parfait mouvement tout empreint de douceur et de tendresse,
nous nous laissons glisser sur l’épais tapis du salon et nous disposons en
triangle de manière à ce que chacune d’entre nous ait à portée de la bouche
le sexe d’une compagne et sur son propre sexe la bouche d’une autre…
Ainsi, je lèche Sophie en étant sucée par Dominique, elle – même mangée par
Sophie que ma bouche dévore…
Nos sexes sont trempés ; tant par la salive de nos saphiques amies que par
la cyprine que notre plaisir en fait suinter…
Nous changeons plusieurs fois de position, inversant les rôles pour
qu’aucune d’entre nous ne soit déçue : c’est maintenant Sophie qui me
caresse de sa langue gourmande alors que je déguste Dominique ; elle-même en
pleine action dans l’entrejambe de Sophie.
Par moments, nous modifions encore notre triangle amoureux en nous
rejoignant à deux sur la troisième d’entre nous…
Sophie, la véritable soumise d’entre nous, apprécie plus particulièrement de
se laisse faire ; nous ne nous privons donc pas pour exploiter au maximum sa
grande disponibilité à accueillir notre langue et nos doigts au plus profond
de chacun de ses orifices…
Nous passons un long moment à nous aimer de la sorte… chacune d’entre nous
se laissant inonder par les vagues de plusieurs jouissances successives…
Après plus de deux heures d’un très intense plaisir, fourbues, courbaturées
mais au comble de la satisfaction, nous décidons de nous accorder une petite
pause.
Nous passons (chacune à notre tour, pour éviter d’y prolonger nos
délicieuses amours !) à la salle de bains pour nous rafraîchir : nous
doucher et nous parfumer nous fait le plus grand bien avant d’attaquer la
suite des événements…
Pour nous amuser un peu et ne pas rester simplement nues, nous préférons
revêtir de mignons petits dessous sexy et des nuisettes transparentes ; nous
rions de nous voir déguisées comme trois braves femmes attendant
impatiemment le retour de leur petit mari chéri au domicile conjugal…
Car nous avons décidé de passer le restant de la nuit ensemble et, pour ce
faire, Sophie et Dominique sont retournées quelques minutes chez elles
emporter des » accessoires » nécessaires aux nouvelles manœuvres qui nous
attendent…
Nous nous faisons plaisir en prenant un bon repas que nous nous sommes
appliquées à préparer amoureusement comme trois véritables ménagères,
maîtresses – femmes dans leur cuisine.
Après avoir dégusté de fins mets accompagnés des vins adéquats puis clôturé
cela par un doux digestif bu sans modération, nous sommes à nouveau en
pleine forme pour reprendre nos ébats…
Pour ma part, je suis encore un petit peu entamée, mais cela ne me dérange
pas et augmente d’ailleurs ma hardiesse autant que cela me donne du cœur à
l’ouvrage.
Nous nous installons confortablement toutes les trois dans le canapé pour
visionner une cassette.
Dominique insert une vidéo dans le magnétoscope.
» Tu vas voir, Valérie, c’est très spécial ! »
Le premier film s’intitule » Partouze Lesbienne » et met effectivement en
scène plusieurs filles particulièrement délurées…
En fait, on en dénombre pas moins d’une bonne dizaine qui – sans la moindre
présence masculine -se laissent aller aux pires extrémités des pratiques
homosexuelles féminines…
Nous regardons les scènes avec passion ; ce qui produit un effet immédiat !
Très admirative de ces nombreuses et jolies femelles en rut, Sophie, après
quelques molles caresses, passe rapidement à la vitesse supérieure et
n’hésite plus longtemps à se masturber vigoureusement par dessus son petit
slip bleu…
Elle est tellement pressée de se faire jouir qu’elle s’enfonce un doigt
carrément à travers la mince barrière de dentelle…
Dominique, plus à l’aise, n’a pas attendu pour retirer son petit déshabillé
de soie et, à nouveau dans le plus simple appareil, m’invite à laisser
s’égarer ma main dans les replis de son sexe caché par son abondante mais
douce et soyeuse toison dorée…
Je n’hésite pas plus longtemps et plonge volontiers entre ses cuisses.
Lorsque commence le deuxième film » Des gouines et des godes « , nous sommes
à nouveau entièrement nues toutes les trois…
Sur l’écran, défilent des images de jeux particulièrement osés de doigts et
d’imposants phallus de caoutchouc qui rentrent et sortent d’orifices trempés
de plaisir.
Nous n’y tenons plus et voulons au plus tôt nous identifier aux actrices du
film : Dominique sort du sac qu’elle a ramené un peu plus tôt de chez elle
une splendide collection de godes dont nous allons nous servir
immédiatement…
Il y en a de toutes les tailles, de toutes les couleurs et de tous les
modèles… certains sont particulièrement impressionnants au point que je me
demande comment on va parvenir à se les enfoncer ! !
Mais la passion et l’envie résolvent bien des problèmes et trouvent des
réponses à bien des questions…
Toute la nuit, nous jouons avec ses extraordinaires » sex toys » qui sortent
du vagin de l’une pour entrer aussitôt dans l’anus d’une autre en étant
repassé par la bouche d’une troisième…
c’est de la folie ! !
Dominique, assurément la plus vicieuse de nous trois, se fait un devoir de
sucer systématiquement chacun des ustensiles que Sophie et moi venons de
nous introduire.
» Comme çà, je vous goûte aussi de l’intérieur ! » nous dit-elle avec
délectation.
On s’essaye à tout : longs, fins, lisses, gros ou nervurés et veinés ;
chacun de ces affriolants passent par chacune d’entre nous.
Alors que Sophie nous implore de s’occuper encore davantage d’elle, je
décide d’aller au devant de mes limites en me servant d’un double gode
particulièrement long : 45 cm !
Son étonnante souplesse permet pourtant de le courber au point de pouvoir
l’introduire simultanément devant et derrière : les gros glands qui coiffent
ses deux extrémités produisent un effet diabolique : je les sens presque se
toucher au plus profond de mon ventre, seulement séparés par la mince paroi
qui délimite mon vagin et mon conduit anal ! !
Nous sommes insatiables !
Le » Huge Dildo » que Sophie veut qu’on lui introduise entre les fesses est
tout simplement affolant : plus de 50 cm de long pour un diamètre de 10 cm
au moins : plus qu’un outil ,de plaisir, c’est un engin de torture ! !
Il est tellement gigantesque et impressionnant que Dominique et moi devons
le saisir à deux mains pour le diriger vers l’arrière train de notre
complice…
Après moult précautions – et une préparation adéquate visant à dilater son
petit trou au maximum – , nous entamons une lente, périlleuse et
manifestement très délicate intromission…
Sophie, à quatre pattes par terre, la croupe fièrement dressée, hurle !
Oui, elle hurle !
De douleur ? !
Non, non, c’est de joie !
Elle crie sa joie d’avoir ainsi » le derrière défoncé par un membre gros
comme un pied de table » (ce sont ses propres paroles !)
Et, aussi incroyable que cela puisse paraître, ce monstrueux mât de latex
rentre progressivement dans ses fesses ! !
Alors que Dominique s’emploie à le faire pénétrer le plus loin possible tout
en masturbant de sa main libre le clito en fusion de Sophie, moi, je me
place en dessous de celle-ci pour qu’elle puisse à loisir me lécher
l’entrejambe pendant que je lui dévore les seins et la chatte…
» Oh oui, oui, encore, encore ! Bouffez-moi de partout et faites-moi éclater
le cul ! ! » hurle-t-elle de toutes ses forces… en écartant de ses mains
ses fesses déjà si distendues !
Nous accédons à sa demande : doucement, progressivement et toujours très
prudemment, nous lui enfonçons encore plus profondément le volumineux
mandrin …
Submergées par d’incroyables vagues d’un formidable plaisir intense, nous
explosons bientôt toutes les trois d’une fantastique jouissance qui nous
trempe les cuisses jusqu’aux genoux…
Abandonnant nos impersonnels gadgets de plastique, nous nous réfugions dans
la chambre où nous nous blottissons toutes les trois au creux de mon grand
lit aux draps de satin.
Après nous être encore amoureusement cajolées et tendrement embrassées ;
quelques douces paroles échangées suffisent à nous endormir profondément.
Lorsque nous sortons, le lendemain matin, nous avons trouvé ce petit mot
épinglé sur la porte :
» Salut les filles.
Nous sommes les trois mecs beaux et sympas qui habitons le loft du 4ème.
On vous a entendu vous amuser et on aimerait pouvoir participer !
On vous attend.
Fred, Marc et Bob »
Dans un grand éclat de rire commun, nous arrachons le billet, le chiffonnons
et le jetons sans autre forme de procès.
Nous partons en ville faire quelques emplettes pour ce soir…
PHM – phm@mail.be
Février 1998
Première publication sur Vassilia, le 04/11/2001
J’adore la conclusion, c’est vrai que c’est agaçant ces mecs qui veulent s’imposer pendant qu’on se fait des bonnes caresses entre nanas
Lesbos sans surprise mais pas désagréable à lire