Sous l’Aile de Madame et Monsieur -1 – par Mondoi

Sous l’Aile de Madame et Monsieur -1 – par Mondoi

Fabien et Marie s’étaient connus l’année passée et vivaient une amourette de leur âge, lui dix-neuf et elle dix-huit, tous deux orphelins de pères et mères, les parents de Fabien victime d’un attentat et ceux de Marie morts dans un accident de voiture. Les deux jeunes avaient errés d’orphelinats en familles d’accueil après leurs drames, ils traînaient leur tristesse sans arriver à se reconstituer quand ils ont atterris chez les quinquas qui s’occupaient d’eux à présent, un notable et son épouse…

Le couple, un peu bourgeois mais sans excès, les avaient pris sous son aile, leur donnant à chacun un toit dans un environnement stable et une occupation dans la maison en dehors de leur scolarité, le tout dans une propriété luxueuse en banlieue de la ville. Marie aidait aux tâches ménagères et de cuisine, Fabien bricolait là où on avait besoin de lui, avec le chauffeur ou le jardinier, homme à tout faire de la maison qui s’était pris d’affection pour lui et l’encadrait avec gentillesse. Peu à peu, les deux jeunes reprenaient goût à la vie…

Rapprochés par la douleur de la perte de leurs parents, ils étaient rapidement devenus amis puis amoureux. Marie avait offert sa virginité à Fabien après quelques semaines de bécots et touche pipi, l’un comme l’autre était peu au fait des choses sexuelles qui se font dans un couple et ils baisouillaient gentiment mais sans imagination, n’osant pas demander ou chercher des idées sur le Net, Fabien était un timide et Marie un peu coincée, tous les deux entendaient parfois les propos crus du personnel de maison…

Après avoir respectés affectueusement le deuil des tourtereaux pendant quelques mois, les employés s’en étaient rapprochés plus familièrement, ne se gênant plus pour plaisanter sur des sujets à fortes connotations sexuelles, ce qui faisait rougir nos deux jeunes, mais les propos graveleux entre hommes intéressaient Fabien et les confidences intimes des femmes captaient l’oreille de Marie, sans se l’avouer l’un à l’autre, Fabien et Marie poursuivaient individuellement leur éducation sexuelle, parallèlement à leur idylle…

Un matin, Fabien, cherchant le jardinier pour l’aider à son travail, le trouve derrière le cabanon à outils dans une étrange attitude avec le chauffeur, celui-ci est en train de se soulager la vessie en se faisant tenir la verge par l’autre. Fabien est stupéfait et il se cache honteux derrière un massif pour ne pas être vu, il sait bien qu’il existe des relations différentes entre certains hommes, il a déjà entendu les employés en parler et en rire, mais là, devant lui, la scène est bien réelle, bouleversé, il n’ose regarder…

Mais la curiosité l’emporte et il ne peut s’empêcher de jeter un regard entre les feuilles du massif, le jardinier est entrain de secouer la verge du chauffeur pour en extraire les dernières gouttes de pipi. Mais il ne s’arrête pas là, sa main entame des va-et-vient sur le sexe de son collègue qui commence à bander, il voit alors le chauffeur prendre le jardinier par la nuque et lui diriger la tête vers son engin, l’homme semble obéir et se penche en avant pour prendre le phallus dans sa bouche et entamer une fellation…

Ça bourdonne dans le crâne de Fabien, son cœur bat fort, sa libido en prend un coup. Comment est-ce possible d’accepter de faire cela entre hommes, lui qui pensait que le jardinier était un trousseur de jupons, l’ayant vu peloter la cuisinière et les servantes, mais la chose qui le trouble encore plus, c’est qu’il s’aperçoit avoir un début d’érection en regardant le spectacle, il essaye de se raisonner, de lutter mentalement contre la réaction son corps, mais devant lui, la fellation continue et les choses s’empirent…

Le chauffeur vient de glisser une main dans le pantalon de son suceur pour lui caresser les fesses, le jardinier se laisse faire et l’aide même en défaisant le devant de son pantalon qui lui glisse sur les chevilles, la main du conducteur lui baisse alors le slip, dévoilant des fesses blanches. Fabien voit ses doigts lui farfouiller dans la raie après les avoir mouillés de salive, la tête lui tourne, « ils ne vont quand pas se livrer à une relation sodomite ? » se dit-il, pas eux, deux hommes, son érection à encore augmentée, il a honte…

Le chauffeur donne alors une claque sur le derrière du jardinier en lui indiquant un arbre de l’autre main, celui-ci se dirige vers lui en tenant son pantalon à deux mains, s’appuie dessus en se penchant en avant, croupe tendue et offerte à son collègue qui se place derrière lui en dirigeant sa verge dans l’entre-fesses. Fabien le voit donner quelques mouvements des hanches et faire disparaître son engin dans le cul du jardinier, celui-ci se laisse sodomiser sans broncher, comme s’il aimait cela, Fabien n’en revient pas…

Maintenant, le chauffeur besogne ardemment son collègue en le tenant aux hanches, l’autre, la tête penchée en avant se masturbe d’une main. Fabien n’en pouvant plus de supporter la douleur de sa verge coincée en érection, s’ouvre le pantalon pour la laisser prendre l’air, mais à peine est-elle dehors qu’il ne peut s’empêcher de la caresser en regardant l’accouplement des deux hommes. Les caresses deviennent rapidement masturbation et le voilà qui s’astique le manche devant un spectacle sodomite entre gars…

Le chauffeur a accéléré ses coups de reins et soudain pousse un râle puissant. Fabien comprend qu’il est entrain de jouir dans les fesses du jardinier qui, lui aussi, arrive à l’orgasme et éjacule dans l’herbe. Le chauffeur se retire du conduit rectal et donne sa queue à nettoyer au jardinier qui le fait avec la bouche, une coulée de sperme s’échappe de son anus élargit, ajouté à l’émotion suscitée par ce coït rectal entre gars, il n’en faut pas plus à Fabien pour décharger aussi, il se mord les lèvres pour ne pas crier…

Marie, de son côté, a rejoint la cuisine pour aider aux pluches du matin, mais en arrivant, elle entend des ricanements derrière la porte entrouverte. Les ricanements se transforment par instant en roucoulades et même en petits gémissements, elle regarde discrètement dans l’entrebâillement et tombe des nues en voyant les raisons de ce chahut, la cuisinière est allongée sur la grande table du personnel, jupe retroussée et blouse ouverte sur sa généreuse poitrine dont la femme de chambre suce les pointes…

Entre ses cuisses, la servante finit de lui enlever sa grande culotte, la hume en poussant un soupir de délectation, puis se penche sur son entre cuisses pour lui prodiguer des câlins buccaux, Marie en est sidérée, voir choquée, ces femmes, qui parlent si souvent des bienfaits que les hommes leurs font, ces femmes sont des lesbiennes…? Ou alors elles font les deux…? se demande Marie…

Elle trouve cela dégoutant mais n’ose pas rebrousser chemin de peur qu’on l’entende, elle reste derrière la porte et regarde…

La femme de chambre se trousse la jupe et enlève sa culotte, puis elle monte sur la table s’accroupir au-dessus du visage de la cuisinière, celle-ci lui embouche de suite la vulve en y donnant des grands coups de langue, elle lui lèche même l’anus, ce qui trouble Marie, jamais elle n’a imaginé que l’on pouvait faire cela, c’est sale cet endroit, quel plaisir peut-on ressentir à faire cela…? Et la femme de chambre, quel plaisir ressent-elle à se faire nettoyer l’anus de la sorte…? « C’est dégoutant ! » se redit Marie…

Mais elle n’est pas au bout de ses surprises, elle n’entend pas ce que les femmes se murmurent mais elle voit la servante quitter la chatte qu’elle lèche pour aller prendre la panière de légumes, elle la pose près d’elle et saisit un concombre de belle taille qu’elle dirige entre les cuisses écartées de la cuisinière. Celle-ci tend une main vers elle demandant quelque chose et la servante lui donne une carotte longue et épaisse que la cuisinière introduit dans l’anus de la femme de chambre en continuant de la brouter…

Marie est à la fois mal à l’aise et hypnotisée par ce que se font les trois femmes, elle ressent une chaleur troublante dans le bas de son ventre, elle connait cette sensation, elle la ressent quand elle a envie de câlins avec Fabien, mais là, ce sont des « gouines », elle ne veut pas de câlins avec des « gouines », elle ne l’est pas, c’est trop dégoutant, alors pourquoi cette chaleur en son ventre…? Elle est perturbée, le doute s’immisce en elle, elle se résonne… Non…!!! Tu n’es pas comme elles…! Non, tu n’as pas envie de ces jeux…!

Mais la chair est faible, stupéfaite, elle sent une humidité poindre à l’orée de sa vulve, au même moment, la femme de chambre se met à faire pipi sur le visage de la cuisinière qui ouvre largement la bouche pour boire à la source. Pendant ce temps-là, la servante lui besogne le vagin à grands va-et-vient de concombre, elle lui relève les cuisses pour avoir accès à son anus et y enfonce aussi une carotte, la cuisinière gémit de plaisir, prise par tous les orifices, elle déguste en l’avalant le champagne de sa pisseuse…

Marie, au bord de l’évanouissement, va commettre une faute irréversible, voulant vérifier l’étendue de l’humidité qui se répand dans sa culotte, elle y glisse une main, involontairement, ses doigts effleurent ses chairs. Elle découvre ses petites lèvres gonflées et sensibles à l’extrême, oui, plus de doute, elle mouille comme une chienne devant une scène de sexe lesbien, elle cherche à contrôler jusqu’où à coulée sa mouille et se passe un doigt dans la raie, effleurant malencontreusement son anus trempé, il s’ouvre et palpite…

Elle ne peut plus retirer sa main de sa culotte, elle n’en a plus la volonté, elle se sent vaincue par un désir qui la dévore, alors elle commence à se caresser le sexe en regardant les ébats des trois femmes. Plus rien ne la choque, même quand la femme de chambre commence à faire ses besoins sur la cuisinière, quand elle la voit pondre une sculpture organique sur le visage de celle-ci, elle ne peut résister à l’envie de se toucher l’anus, sa mouille aidant, elle s’introduit un doigt dedans, elle qui n’a jamais fait cela, elle s’encule…

La servante aussi est montée sur la table, abandonnant les légumes plantés dans les orifices, elle arrose le ventre de la cuisinière d’un jet puissant de son urine puis lui montrant ses fesses écartées des mains, elle lui pond un bronze de belle taille sur le ventre en se masturbant. Marie n’est plus elle-même et se laisse aller à faire sous elle en se branlant le cornichon, le doigt dans son derrière provoque une descente de ce qu’elle n’a pas réussi à pondre aux WC ce matin et elle fait dans sa culotte, en y prenant plaisir…

Devant ses yeux, les trois lesbiennes ne sont plus que gémissement et râles orgasmiques, les fontaines giclent et se vident, les matières s’étalent sur les corps, Marie jouit sous ses doigts, honteuse mais heureuse, elle vient de découvrir d’autres possibles, sa libido s’en trouve changée, en fera-t-elle profiter Fabien, l’acceptera-t-il…? Elle ne sait, mais elle se sent maintenant plus femme qu’avant, une nouvelle Marie vient de se révéler, elle quitte à pas feutrés la porte entrebâillée, laissant sa flaque de plaisirs au sol…

A suivre

 

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Une réponse à Sous l’Aile de Madame et Monsieur -1 – par Mondoi

  1. Claire dit :

    Ne cherchez ni le réalisme, ni la vraisemblance, ce n’était pas le but de l’auteur qui a du terminer la rédaction de ce récit avec la bite raide comme un piquet.
    on a le droit d’être troublée même si j’ai lu bien plus subtil

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