Hello ! C’est Marine (deux qui la tiennent… comment cela je me répète ?)
La neige tombe aujourd’hui en ce mois de janvier du nouveau millénaire sur la région parisienne. Les flocons arrogants n’auront même pas le loisir de vivre quelques jours, voire même quelques heures sur l’herbe d’hiver. Non il fait trop humide et nos jolis cristaux blancs ne chutent que vers un anéantissement aussi liquide que brutal. Et moi cela me remplit de tristesse, et en plus le ciel est gris, et en plus c’est dimanche. Et ce dimanche, concours de circonstance oblige, il n’y a personne pour me tenir compagnie ! Je n’ai pas envie de lire, ni de regarder la télé, ni de surfer, ni de me balader. Je n’ai même pas envie de me caresser. Mais ça, ça peut venir ! Pour l’instant ma libido est aussi grise que la météo. Les mecs ont de la chance, ils se tapent une petite vidéo, ou alors une petite revue coquine et aussitôt le popol se redresse, prêt à l’emploi. Pratique ! Non ! Très peu pour moi, je préfère la réalité ou alors le rêve, mais foutaise de ces images sur papier glacé ou pixélisées sur un écran plus ou moins cathodique ! Non ! Voilà j’ai trouvé, je vais tapoter sur mon petit clavier et je vais saisir dans un petit fichier un petit truc dans lequel je vais raconter ce qui se passe les autres week-end !
D’accord ? Alors ouvrez le banc !
– Faut-il que je me décrive ?
– Oui ! Répond l’autre branleur dans le fond qui est arrivé en retard !
Je ne suis certes pas Paméla Anderson, mais pas non plus un laideron. Je suis assez grande, assez fine, des seins moyens un cul moyen, pas de graisse, un visage agréable, des yeux bleus, des cheveux mi longs teint en blond, un joli petit sourire ! Faut pas que je me plaigne !
Je me prénomme Marine ! Oui, je sais, je l’ai déjà dit au début ! Comme prénom idiot c’est pas mal ! Mais dans la réalité, il sert peu. Certains ont un pseudo sur le web, moi c’est le contraire dans la vie j’ai un surnom et mon vrai prénom me sert de pseudo (suivez-vous au fait ?). J’ai d’ailleurs un gros fantasme avec mon prénom : C’est de tourner un film avec six ou sept gars habillés en marins (évidemment) qui me prendraient en gang bang. Et puis à la fin, on se tiendrait tous comme à la farandole en chantant :
– C’est nous, les gars de la Marine eu…
Bon, on cause, on cause, mais ça nous éloigne de notre sujet, tout ça ! Vous avez lu mes autres aventures. Et vous avez pu constater que je ne suis pas vraiment lesbienne car pour moi, rien ne vaut une bonne queue qui vous défonce par tous les trous. Mais je dois avouer que de temps en temps, quand je n’ai pas trop le moral et que mon Thibault de mari est en déplacement, j’aime bien inviter quelques copines pour me laisser aller à quelques dérives sexuelles. Cela arrive une ou deux fois par mois et le plus souvent ça se passe chez moi, un samedi ou un dimanche après-midi. Ca commence toujours par une séance de vidéo, où l’on s’échauffe en matant ces couples qui partouzent, puis ensuite on « s’habille ». Je veux dire par-là qu’on se montre nos dernières acquisitions en matière de lingerie sexy. On s’échange les trucs, on prend la pose devant la glace, on joue un peu les putes parce que ça nous excite. C’est Virginie, ma copine rousse aux seins énormes, qui entre la première dans le feu de l’action en demandant sans aucune pudeur :
– Laquelle d’entre vous à envie de se faire lécher ?
Comme elle le fait vraiment bien, elle n’a pas besoin de renouveler sa demande car on a toutes envie d’exploser sous sa langue. Je dois dire que j’ai de la chance car elle a une préférence très nette pour ma chatte impeccablement épilée. Virginie me fait allonger sur le canapé, jambes bien écartées, et après quelques petits coups de langue sur mes tétines, elle descend en direction de ma chatte qu’elle ouvre d’un autre coup de langue. Il n’en faut pas davantage pour qu’aussitôt tout mon corps se tende et qu’un cri s’échappe de mes lèvres.
– Ahhhhhhhhhhh !
Je soulève alors mes reins et sa langue s’enfonce davantage et me pénètre exactement comme une petite bite. Commence alors un travail savant qui m’amène très vite à mouiller. Bientôt, ma chambre résonne de bruits de langues, de gémissements et de petites phrases du genre :
– Aspire-moi le clito ! Inonde-moi bien avec ta salive !
Les orgasmes arrivent à la chaîne, mais moi je ne veux pas encore jouir… et cette salope de Virginie le sait bien Sa langue mouille lentement ma chatte qui s’ouvre à son maximum. Sans cesser de me lécher, elle me branle les seins, me presse les pointes qui n’en peuvent plus de durcir. C’en est trop, cette fois-ci je supplie :
» Plus vite ! lèche-moi plus vite ! Je vais éclater ! »
Elle accélère sa langue et trois secondes plus tard, je hurle de plaisir. Ensuite, chaque bouche défile dans ma chatte jusqu’à ce que le n’en puisse plus.
La dernière fois, nous n’étions que trois, il y avait Prisca la belle antillaise aux fesses bien rebondies et puis bien entendu, Virginie. Ce jour là, elle a innové, j’étais sur le canapé les jambes écartées, et elle me léchait consciencieusement. Seulement j’avais une envie de pisser plutôt grave, je le lui dis :
– Arrête-toi ! Il faut que j’aille faire pipi !
– Pas question ! Me répondit-elle.
– Non ne déconne pas, Virginie ! J’ai trop envie, je risque de te pisser dessus !
– Mais, Marine ça ne me dérange pas du tout ! Au contraire, tu le sais bien ! Me répondit-elle
– T’est vraiment une petite salope, ma chérie ?
– Oui, ma chérie !
Alors je me lâche, et je libère mon jet d’urine qui atterrit tout droit dans le gosier de Virginie. Cette cochonne absorbe tout ce qu’elle peut et s’en pourlèche les babines. Mais j’en fait vraiment beaucoup ! Alors Prisca ma copine antillaise, qui observait la scène prend une carafe que j’avais préparé pour le thé et me la présente de façon à ce que je finisse de faire dedans…
Mais je sens comme une autre envie, un peu plus consistante…
– Je ferais bien un petit caca, ça intéresse quelqu’un ?
– Moi, moi ! Répondit Virgine.
– Alors en position !
J’ai fais ma petit crotte sur le visage de Virginie qui se marrait comme une bossue, J’ai ramassé l’étron et je l’ai léché un peu le trouvant très bon, les deux copines l’ont léché aussi, puis je l’ai jeté dans la carafe qui contenait déjà mon pipi.
Fin
Exercice de contrôle : L’auteur a-t-il mouillé sa petite culotte en écrivant ce texte ? Si oui racontez cette péripétie en quelques lignes et envoyez tout cela à mt_devillers@hotmail.fr
Marine et Thibault – Janvier 2001
Première publication sur Vassilia, le 17/03/2001
Sympa mais trop court
Cochonnes on mode rapide
De belles cochonnes, dommage que le récit ne soit qu’un brouillon !
Hélas, ça ne tient pas trop la distance
Après un joli commencement l’auteur part un peu en vrille, amusant toutefois !
C’est un peu n’importe qui malgré le style alerte